James 10
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
James 10
Il s’est dévêtu, une fois nu j’ai eu la surprise. Il avait rasé son pubis et on voyait sa queue nue bandée.
James a cette fois perdu sa timidité.
-C’est curieux à voir mais c’est beau. Il a touché les couilles faisant tressauter la queue.
-Je ne vous ai jamais vu venir ici avec un ami mais il est bien choisi. Vous allez au block ce soir ? Moi j’attendrais là. Mais je suis juste passé vous voir pour le dire. Je peux sucer votre ami ?
Vas-y je sais que tu as peu de temps avant le service.
J’avais à peine dit ça qu’il était en train de lécher la tige de la bite de James. Comme il était allongé en pente Bruno m’offrait le magnifique spectacle de ses fesses également sans aucuns poils juste avec le petit cercle plus sombre. Je n’ai pu résister à caresser ses fesses et frotter son petit trou que je savais extensible.
Si tu parles du blockhaus fermé par une chaîne oui, j’ai amené la clé. Si le cadenas n’a pas été forcé on pourra y jouer.
James a ouvert de grands yeux interrogatifs vers moi et n’a pas pu se retenir, se vidant par petits coups dans la bouche de Bruno qui s’est dégagé de la queue.
-Bon il faut que je retourne au travail.
Il s’est rhabillé et il est repassé en s’accrochant aux rochers, disparaissant de notre vue.
-Waouh ! C’était le mec de l’accueil non ?
Tout à fait. Le pauvre est toujours en manque comme il l’a dit et quand il connaît quelqu’un, il est un peu saute au paf. Tu connaîtras d’autres talents ce soir. Il est surprenant et très attaché.
Tout en parlant je caressais l’ombre de ses tétons, jouant à passer les doigts autour et les pincer.
-Mmmh, c’est bon ! Il frémissait.
Ce soir à table tu mettras la chemise fine qui ne cachera pas ou si peu l’ombre et la pointe de tes tétons.
-Je vais faire salope à table !
J’ai souri, ça te gêne ?
-Avec toi, non.
Tu n’as pas vu les tétons de Bruno ?
Dans un sourire il m’a dit ne pas avoir eu le temps.
Tu les verras mieux ce soir. Mais si on veut prendre un verre avant de dîner il faut y aller. Je l’ai regardé enfiler le string.
Il te va à merveille et te fait de très belles fesses.
-Je ne sais pas mais il agace un peu mon petit trou quand je marche.
C’est le but James et pour le moment il est souple. Demain tu feras la différence. Aller je m’habille aussi et on passe le rocher.
On a rejoint l’hôtel et la chambre pour se changer et s’habiller pour le repas.
Garde ton string je me doute que tu as du mouiller dedans mais tu le nettoieras ce soir. Passe cette chemise, plaquée sur ton torse elle sera très bien. Cette nuit sera corsée et tu peux mettre le pantalon de cuir je l’ai laissé dans la voiture. Je peux aller te le chercher. Il est devenu rouge.
-Tu crois que je peux ici dans ce trou perdu ?
Pas si perdu que ça. On n’est pas loin de belles villes.
-Ce n’est pas ce que disais Bruno.
Lui c’est différent il ne trouve pas ce qu’il cherche, pas de personnes comme nous tu verras tout à l’heure.
-Ok alors je veux bien le porter.
Je suis passé à la voiture chercher le sac où était le futal cuir et l’ai remonté à la chambre. J’ai ôté les étiquettes et lui ai tendu.
Assis sur le lit il a enfilé les pieds et tiré pour le remonter sur les jambes.
Aller remonte le bien sous ton paquet pour fermer les boutons.
Une fois fait il s’est mis devant la glace murale.
-Hé ! On devine tout !
C’est fait pour et il y aura des jaloux. J’ai viré mon pantalon pour mettre un jeans à boutons une chemise et un gilet en cuir.
-Hum je ne connais pas la fin de la soirée mais je sens déjà ta chaleur sexuelle.
D’une petite tape sur les fesses je l’ai poussé dehors dans le couloir et on est descendu au restaurant. Dans la salle Bruno était au service a eu un bref « ho » avant de venir et nous guider vers une table un peu isolée donnant sur l’eau. J’ai fait placer James coté salle et moi devant lui, voyant la tête stupéfaite de certains et certaines. Les chaises, confortables avaient un espace entre l’assise et l’appui pour le dos. J’ai bien compris que le pantalon était descendu sur ses fesses et qu’on voyait le noir du string sous la chemise diaphane.
Très pro Bruno attendait et nous a demandé si on prenait l’apéritif, me glissant tout bas, « il est magnifique ! ».
James a cette fois perdu sa timidité.
-C’est curieux à voir mais c’est beau. Il a touché les couilles faisant tressauter la queue.
-Je ne vous ai jamais vu venir ici avec un ami mais il est bien choisi. Vous allez au block ce soir ? Moi j’attendrais là. Mais je suis juste passé vous voir pour le dire. Je peux sucer votre ami ?
Vas-y je sais que tu as peu de temps avant le service.
J’avais à peine dit ça qu’il était en train de lécher la tige de la bite de James. Comme il était allongé en pente Bruno m’offrait le magnifique spectacle de ses fesses également sans aucuns poils juste avec le petit cercle plus sombre. Je n’ai pu résister à caresser ses fesses et frotter son petit trou que je savais extensible.
Si tu parles du blockhaus fermé par une chaîne oui, j’ai amené la clé. Si le cadenas n’a pas été forcé on pourra y jouer.
James a ouvert de grands yeux interrogatifs vers moi et n’a pas pu se retenir, se vidant par petits coups dans la bouche de Bruno qui s’est dégagé de la queue.
-Bon il faut que je retourne au travail.
Il s’est rhabillé et il est repassé en s’accrochant aux rochers, disparaissant de notre vue.
-Waouh ! C’était le mec de l’accueil non ?
Tout à fait. Le pauvre est toujours en manque comme il l’a dit et quand il connaît quelqu’un, il est un peu saute au paf. Tu connaîtras d’autres talents ce soir. Il est surprenant et très attaché.
Tout en parlant je caressais l’ombre de ses tétons, jouant à passer les doigts autour et les pincer.
-Mmmh, c’est bon ! Il frémissait.
Ce soir à table tu mettras la chemise fine qui ne cachera pas ou si peu l’ombre et la pointe de tes tétons.
-Je vais faire salope à table !
J’ai souri, ça te gêne ?
-Avec toi, non.
Tu n’as pas vu les tétons de Bruno ?
Dans un sourire il m’a dit ne pas avoir eu le temps.
Tu les verras mieux ce soir. Mais si on veut prendre un verre avant de dîner il faut y aller. Je l’ai regardé enfiler le string.
Il te va à merveille et te fait de très belles fesses.
-Je ne sais pas mais il agace un peu mon petit trou quand je marche.
C’est le but James et pour le moment il est souple. Demain tu feras la différence. Aller je m’habille aussi et on passe le rocher.
On a rejoint l’hôtel et la chambre pour se changer et s’habiller pour le repas.
Garde ton string je me doute que tu as du mouiller dedans mais tu le nettoieras ce soir. Passe cette chemise, plaquée sur ton torse elle sera très bien. Cette nuit sera corsée et tu peux mettre le pantalon de cuir je l’ai laissé dans la voiture. Je peux aller te le chercher. Il est devenu rouge.
-Tu crois que je peux ici dans ce trou perdu ?
Pas si perdu que ça. On n’est pas loin de belles villes.
-Ce n’est pas ce que disais Bruno.
Lui c’est différent il ne trouve pas ce qu’il cherche, pas de personnes comme nous tu verras tout à l’heure.
-Ok alors je veux bien le porter.
Je suis passé à la voiture chercher le sac où était le futal cuir et l’ai remonté à la chambre. J’ai ôté les étiquettes et lui ai tendu.
Assis sur le lit il a enfilé les pieds et tiré pour le remonter sur les jambes.
Aller remonte le bien sous ton paquet pour fermer les boutons.
Une fois fait il s’est mis devant la glace murale.
-Hé ! On devine tout !
C’est fait pour et il y aura des jaloux. J’ai viré mon pantalon pour mettre un jeans à boutons une chemise et un gilet en cuir.
-Hum je ne connais pas la fin de la soirée mais je sens déjà ta chaleur sexuelle.
D’une petite tape sur les fesses je l’ai poussé dehors dans le couloir et on est descendu au restaurant. Dans la salle Bruno était au service a eu un bref « ho » avant de venir et nous guider vers une table un peu isolée donnant sur l’eau. J’ai fait placer James coté salle et moi devant lui, voyant la tête stupéfaite de certains et certaines. Les chaises, confortables avaient un espace entre l’assise et l’appui pour le dos. J’ai bien compris que le pantalon était descendu sur ses fesses et qu’on voyait le noir du string sous la chemise diaphane.
Très pro Bruno attendait et nous a demandé si on prenait l’apéritif, me glissant tout bas, « il est magnifique ! ».
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