James 2 - histoire érotique

Il caressait ma cuisse doucement moi je palpais ses tétons. On s’est regardé, souri puis nos visages se sont rapprochés et nos langues se sont mêlées. Couché sous moi il a écarté les cuisses, on se frottait sexe contre sexe. Je suis remonté jambes écartées jusqu’à mener mon sexe à sa bouche qu’il a entrouverte, laissant passer la langue pour lécher mon gland. Il a levé la tête vers moi, a souri et a relâché les muscles de ses lèvres.
J’ai pénétré sa bouche avec plaisir, frottant contre ses papilles mon sexe gorgé de sang. Je l’ai laissé jouer avec, passant la main sur sa poitrine. J’ai trouvé un mamelon qui en étant un peu pincé l’a fait frémir.
Tu aimes ?
-C’est un de mes points sensibles.
Ma queue était tellement dure que j’aurais perforé une feuille de papier.
-Tu as envie de me prendre ?
Tu crois ? Je souriais et me suis penché vers la table de nuit ou je mettais mes en-cas et sorti une capote que j’ai déchiré avant de la poser. Venant de la boîte ou tu étais je préfère s’il y a un plus tard on verra.
Je me suis glissé entre ses cuisses. La capote était luisante de produit et j’ai passé le gland plusieurs fois autour de son anus avant de pousser. De son côté sans me quitter des yeux il se branlait doucement. Il a poussé un petit gémissement quand je l’ai pénétré. Un voile est passé devant ses yeux. Je me suis enfoncé dans son jeune trou avec plaisir sur toute la longueur. La souplesse surement due à une saine pratique régulière me comblait d’aise.
-Vas-y, baise-moi, laboure mon trou.
Je n’avais pas besoin d’encouragement et j’ai commencé mes va et vient d’abord lentement puis comme il ne débandait pas et continuait à se branler le manche de plus en plus vite.
-Vas-y je vais lâcher !
J’ai joui sur sa commande en même temps je crois que son jus giclait loin sur son ventre.
-Attends reste un peu en moi. J’aime me sentir empli.
Tout en restant en lui je me suis penché, il a levé la tête et on s’est roulé une pelle d’enfer avant qu’il me libère et que je me retire, capote pendant lamentablement remplie de mon jus.
-Je suis sur que toi tu es clean laisse toi faire mets-toi de côté simplement. Il a léché ma queue encore baveuse et raide.
Hé attends un peu pour remettre ça.
-Non c’est juste pour te dire que j’ai aimé et que c’est la première fois que je fais ça dans un lit.
Mais tu fais l’amour où ?
-En boîte ou sous un porche quand il fait nuit. Mais comme ça dans un lit en regardant le mec dans les yeux, c’est une première fois. Tu sais je fais le fanfaron mais je ne suis pas ce que tu imagines. J’aime l’amour entre mec plus que tout et chez moi on va dire que ce n’est pas apprécié. Mon père est un macho fini !
Ho je comprends ne t’inquiètes pas. Va prendre ta douche, je mets un jogging et je vais chercher des croissants, tu iras chercher tes fringues à l’hôtel, inutile de payer si tu fais un test tu pourras rester et on baisera autant que tu veux. La boulangerie n’est pas loin mais si ta douche est finie tu prépares le café.
-T’es vraiment cool, Alain. (Il a rosi) Je peux t’appeler Alain ?
Après l’amour ensemble bien sur que tu peux, tu dois même ! Aller file à la douche.
De retour il sentait bon et j’ai tenté un bref bisou sur la joue mais il a tourné la tête et ce sont ses lèvres que j’ai touchées.
-Je me sens bien avec toi, le café coule j’ai commencé à m’habiller mais de te savoir si près j’aurais déjà envie de…
Tais-toi, on déjeune et tu files à l’hôtel.
On a déjeuné sur ma petite table de cuisine face à face son pied contre le mien et entre chaque bouchées le sourire aux lèvres. J’ai passé le doigts sur ses lèvres pour ôter une miette de croissants. Il a pris ma main pour lécher le doigt en me fixant.
James si tu reviens on aura tout le temps pour faire ce que tu veux. Mais fini avant, ne pense pas déjà à l’après. Bois on café et file je débarrasserais.
Une fois debout j’ai bien vu la bosse.
Dehors il fait frais ça ira mieux.
-Je ne sais pas mais je ne vais pas arrêter de penser à toi. Je file et n’en ai pas pour longtemps.
J’ai lavé la vaisselle et pris une douche avant de m’habiller un peu et sortir du congélateur un bourguignon que j’ai mis au micro-onde puis à mijoter. S’il revenait on le mangerait, sinon ce ne serait pas une grosse perte. J’ai allumé le lecteur de cd et mis un morceau classique qui gardait mon humeur en pleine forme. Au bout d’un moment après le chien est allé à la porte et a balayé le seuil de sa queue.
J’ai tout de suite compris que mon chien avait détecté une présence amicale et j’ai ouvert avant que ça sonne. James était tout étonné.
Entre. Mon chien t’a reconnu comme un ami. Tu restes ici ce soir ?
-Euh oui si tu veux de moi et me supporte.
Tu t’es changé et l’odeur de tes fringues est plus accueillante.
-J’ai fait ça dans des toilettes publiques seul endroit où on peut le faire tranquillement. Mais tu auras une surprise. Au fait, je ne t’ai pas embrassé.
Cette fois ce fut plus direct lèvres contre lèvres.
Au moins c’est franc !
-Tu doutais ?
Tu verras ou pas que beaucoup de menteurs sont dans notre milieu. Va déballer ton sac dans la chambre d’ami et mets tes fringues sales dans la machine à laver.
-Je vais me trouver pratiquement nu alors. Il disait ça avec un grand sourire.
Si ça ne te gêne pas moi non plus.