James 9
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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James 9
Prends le temps de réfléchir, tu me répondras lundi matin. Deux nuits et une journée vont t’aider à décider si vraiment on peut tenter de vivre un moment ensemble.
-Oui. Aille, tu mes écrases là.
Je t’ai dit d’attendre avant de prendre ta décision et prends ça pour une caresse de ma part.
-Quand tu caresses je le sens bien.
En été le soleil luit tard et quand j’ai pris la direction du Touquet il a été étonné.
-C’est un endroit pour riche cette ville.
On ne va pas là-bas. Mais dans un village sur la côte, beaucoup plus tranquille. L’hôtel est sympa et le personnel discret.
J’ai pu me garer devant l’hôtel et comme je n’avais qu’un seul sac. Dès que j’ai été reconnu, un jeune nous a mené à l’étage ouvrant la porte d’une chambre au fond du couloir.
-Ici vous pourrez vous reposer la salle de bain bloque tous les bruits de la chambre voisine. Il y a longtemps que je ne vous avais pas vu accompagné.
Tu nous réserves une table avec vue sur la manche et tranquille s’il te plait ?
Il a eu un charmant sourire.
-Vous serez satisfait comme à chaque fois.
Je lui avais graissé la patte et il nous a laissé. J’ai poussé James vers la porte fenêtre et une fois ouverte la Manche s’étalait devant nous. Appuyé au balcon derrière lui je le tenais par les hanches et il reculé le bassin.
-Toi tu as des idées cochonnes !
Tu la sens en tire-bouchon ?
-Non et j’ai moi aussi envie. Tu connais de beaux endroits.
On est ici pour la nuit mais avant viens sur le bord de l’eau on va faire un tour.
On est passé de l’hôtel au bord de la manche à l’étale en ce moment et je lui ai fait longer le bord le tenant pour passer certains endroits barrés par des rochers jusqu’à un endroit caché par des arbustes et totalement invisible sauf de la mer. J’ai commencé à me dessaper. Il a fixé dehors puis a commencé lui aussi à virer ses vêtements. En soulevant les jambes pour faire passer son pantalon j’ai vu de dos le bout de cuir séparer les deux lobes fessiers et failli trébucher. Il était magnifique. Ayant commencé avant lui j’étais en pleine forme, la queue raide comme une grosse bougie.
-Eh ben dis donc ! Ce sont mes fesses qui te font cet effet ?
Et ce que je vois pointer en dehors du slip c’est aussi une asperge blanche ? Il a éclaté de rire.
-Si t’en veux je peux te fournir en sauce.
Approche que j’inspecte. Oui je pense que tu as le sac plein de sauce, il pend bien. Je me suis mis à genoux pour tailler une pipe tout en caressant les boules. Il a vite gémi et n’a pu retenir son plaisir en criant de joie.
-La vache ce que c’est bon de se lâcher et tu suces très bien. Presque trop bien.
Je me suis allongé, collé à la petite bande d’herbe. Je t’apprendrais. Première leçon. Tu t’allonges entre mes cuisses, la tête au niveau de ma queue et tu passes la langue sur tes lèvres. Comme ça oui. Puis tu approches du gland lèvres entrouvertes. Tu pousses sur le gland en desserrant les lèvres doucement. Là tu ne sais pas encore la partie la plus fragile nerveusement, elle se situe de l’autre côté du frein. Sous tes dents du dessus.
Il suivait ce que lui disait et je lui ai dit d’aller doucement et plus de se servir de ses lèvres, sa langue elle, devait titiller le méat. Il était un élève doué avec d’énormes envies de découvrir. Je ne pouvais pas me retenir et j’ai repoussé sa tête lui jetant mon foutre au visage.
Il est remonté vers moi, rampant sur mon corps, le visage barbouillé de sperme et on s’est embrassé, cessant juste pour lécher de son front à son menton.
-Tu chatouilles.
Ne dis pas que tu n’aimes pas ça ?
-Oh non, J’ai un bon prof.
Une voix venant de l’autre côté du passage rocheux l’a figé.
J’ai reconnu la voix du jeune qui nous avait mené à la chambre. Alain, en fait que je connaissais comme il me connaissait, l’ayant déjà amené là une fois.
-Vous êtes visible ? Je peux vous rejoindre ?
Besoin d’aide pour passer les rochers ?
-Non ça va.
Sa petite bouille encore un peu enfantine est apparue. J’ai retenu la main de James qui voulait cacher sa nudité.
Laisse, il est comme nous et a besoin d’un peu d’amour. Pas beaucoup de clients lui donne ce qu’il aime. Alors Bruno ? Des envies ?
-Marre de ce patelin ou le moindre gay est à 50 bornes. Attendez, je vais me mettre à l’aise comme vous.
-Oui. Aille, tu mes écrases là.
Je t’ai dit d’attendre avant de prendre ta décision et prends ça pour une caresse de ma part.
-Quand tu caresses je le sens bien.
En été le soleil luit tard et quand j’ai pris la direction du Touquet il a été étonné.
-C’est un endroit pour riche cette ville.
On ne va pas là-bas. Mais dans un village sur la côte, beaucoup plus tranquille. L’hôtel est sympa et le personnel discret.
J’ai pu me garer devant l’hôtel et comme je n’avais qu’un seul sac. Dès que j’ai été reconnu, un jeune nous a mené à l’étage ouvrant la porte d’une chambre au fond du couloir.
-Ici vous pourrez vous reposer la salle de bain bloque tous les bruits de la chambre voisine. Il y a longtemps que je ne vous avais pas vu accompagné.
Tu nous réserves une table avec vue sur la manche et tranquille s’il te plait ?
Il a eu un charmant sourire.
-Vous serez satisfait comme à chaque fois.
Je lui avais graissé la patte et il nous a laissé. J’ai poussé James vers la porte fenêtre et une fois ouverte la Manche s’étalait devant nous. Appuyé au balcon derrière lui je le tenais par les hanches et il reculé le bassin.
-Toi tu as des idées cochonnes !
Tu la sens en tire-bouchon ?
-Non et j’ai moi aussi envie. Tu connais de beaux endroits.
On est ici pour la nuit mais avant viens sur le bord de l’eau on va faire un tour.
On est passé de l’hôtel au bord de la manche à l’étale en ce moment et je lui ai fait longer le bord le tenant pour passer certains endroits barrés par des rochers jusqu’à un endroit caché par des arbustes et totalement invisible sauf de la mer. J’ai commencé à me dessaper. Il a fixé dehors puis a commencé lui aussi à virer ses vêtements. En soulevant les jambes pour faire passer son pantalon j’ai vu de dos le bout de cuir séparer les deux lobes fessiers et failli trébucher. Il était magnifique. Ayant commencé avant lui j’étais en pleine forme, la queue raide comme une grosse bougie.
-Eh ben dis donc ! Ce sont mes fesses qui te font cet effet ?
Et ce que je vois pointer en dehors du slip c’est aussi une asperge blanche ? Il a éclaté de rire.
-Si t’en veux je peux te fournir en sauce.
Approche que j’inspecte. Oui je pense que tu as le sac plein de sauce, il pend bien. Je me suis mis à genoux pour tailler une pipe tout en caressant les boules. Il a vite gémi et n’a pu retenir son plaisir en criant de joie.
-La vache ce que c’est bon de se lâcher et tu suces très bien. Presque trop bien.
Je me suis allongé, collé à la petite bande d’herbe. Je t’apprendrais. Première leçon. Tu t’allonges entre mes cuisses, la tête au niveau de ma queue et tu passes la langue sur tes lèvres. Comme ça oui. Puis tu approches du gland lèvres entrouvertes. Tu pousses sur le gland en desserrant les lèvres doucement. Là tu ne sais pas encore la partie la plus fragile nerveusement, elle se situe de l’autre côté du frein. Sous tes dents du dessus.
Il suivait ce que lui disait et je lui ai dit d’aller doucement et plus de se servir de ses lèvres, sa langue elle, devait titiller le méat. Il était un élève doué avec d’énormes envies de découvrir. Je ne pouvais pas me retenir et j’ai repoussé sa tête lui jetant mon foutre au visage.
Il est remonté vers moi, rampant sur mon corps, le visage barbouillé de sperme et on s’est embrassé, cessant juste pour lécher de son front à son menton.
-Tu chatouilles.
Ne dis pas que tu n’aimes pas ça ?
-Oh non, J’ai un bon prof.
Une voix venant de l’autre côté du passage rocheux l’a figé.
J’ai reconnu la voix du jeune qui nous avait mené à la chambre. Alain, en fait que je connaissais comme il me connaissait, l’ayant déjà amené là une fois.
-Vous êtes visible ? Je peux vous rejoindre ?
Besoin d’aide pour passer les rochers ?
-Non ça va.
Sa petite bouille encore un peu enfantine est apparue. J’ai retenu la main de James qui voulait cacher sa nudité.
Laisse, il est comme nous et a besoin d’un peu d’amour. Pas beaucoup de clients lui donne ce qu’il aime. Alors Bruno ? Des envies ?
-Marre de ce patelin ou le moindre gay est à 50 bornes. Attendez, je vais me mettre à l’aise comme vous.
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