Je demande à ma femme de descendre les bretelles de son tee-shirt
Récit érotique écrit par Michel63 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je demande à ma femme de descendre les bretelles de son tee-shirt
<p>La promenade
Il fait chaud, c’est l’été, avec ma femme nous en profitons après une petite sieste pour nous promener. Le coin est tranquille bercé par le chant des cigales et le cricri des grillons. On est seuls, aucuns promeneurs, la nature est belle et nous appartient. Dans ce décor de plénitude je demande à ma femme de descendre les bretelles de son tee-shirt. Tout en marchant elle les dégage de ses épaules, les glisse le long de ses bras et bientôt apparaît le bombé du haut de ses seins déjà bronzés, les aréoles brunies, les pointes dressées, ce galbe que j’adore. Nous continuons notre chemin, de temps à autre je me retourne pour apprécier la beauté de ce buste, la poitrine ballotte à chaque pas et arrivés vers une ancienne tour, je m’arrête pour la serrer contre moi. Je sens ses mamelons un peu frais contre la peau de mon torse, je me baisse et passe quelques coups de langues goulus sur les bouts qui grossissent. Au loin nous entendons un moteur aussi ma femme s’empresse de se réajuster. Un véhicule tout terrain jaune se rapproche, c’est celui des gardes forestiers qui surveillent la zone, ils nous saluent, passent leur chemin et continuent de s’enfoncer dans la garrigue. Nous voilà enfin seuls, j’en profite pour mettre ma main sous le tee-shirt de ma femme et lui saisir les seins. C’est bon devant cette nature avec le soleil et tous ces parfums de sentir cette volupté féminine, cela m’enivre. Nous sommes sur un point culminant à l’ombre d’ un pin, je l’embrasse, nous nous enlaçons, je la caresse, elle enlève son haut, nos corps se frottent l’un contre l’autre, sa poitrine s’écrase contre moi, la sève monte, elle déboutonne son short, je glisse ma main dan sa culotte et trouve son fruit tout mouillé. Je la déshabille complètement, j’embrasse ses seins, son ventre, son pubis, ses cuisses, ses fesses, elle, appuyée contre le tronc se laisse envahir part mes ardeurs. Elle s’abandonne, écarte ses jambes, mes doigts coulissent entre ses lèvres, pénètrent son vagin, je lui suce ses pointes, les mordille. J’ai envie d’elle, nos bouches se rejoignent, la fougue nous emporte, sa main empoigne mon pénis, le serre, le frotte contre son ventre, nous sommes moites, ne formons plus qu’un, c’est le feu, nos corps se rejoignent, ma verge s’infiltre et la pénètre sans peine jusqu’au fond de son fourreau. Je sens ses ongles dans mon dos, elle halète, sa poitrine gonfle rapidement, j’ai le souffle fort, la gorge sèche, mon sexe la pénètre au plus profond, dans un même élan, au même instant nous atteignons l’ultime bonheur. Je lui donne ma sève, les yeux fermés elle me sourit, je l’embrase tendrement et la laisse à son extase. En me retournant, mon regard est attiré par quelque chose qui scintille en contrebas dans les fourrés. Discrètement je fais le tour, descends le talus et tombe avec surprise derrière le véhicule des gardes forestiers. Je me rapproche doucement et vois tout en haut ma femme les seins à l’air. L’un des deux hommes la regarde, avec dans une main ses jumelles, la seconde sur son sexe qu’il masturbe, l’autre légèrement plus haut caché derrière un arbre en fait de même. J’imagine qu’ils ont dû assister à nos ébats et c’est tout excité que je rejoins ma femme qui m’attend encore à demi-nue . Pour ne pas la choquer je ne dis rien, j’embrasse une dernière fois ses seins, elle se rhabille et nous rentrons.
J’ai été gêné de voir ces deux hommes, mais fier que mon épouse ai suscité leur désir.
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Il fait chaud, c’est l’été, avec ma femme nous en profitons après une petite sieste pour nous promener. Le coin est tranquille bercé par le chant des cigales et le cricri des grillons. On est seuls, aucuns promeneurs, la nature est belle et nous appartient. Dans ce décor de plénitude je demande à ma femme de descendre les bretelles de son tee-shirt. Tout en marchant elle les dégage de ses épaules, les glisse le long de ses bras et bientôt apparaît le bombé du haut de ses seins déjà bronzés, les aréoles brunies, les pointes dressées, ce galbe que j’adore. Nous continuons notre chemin, de temps à autre je me retourne pour apprécier la beauté de ce buste, la poitrine ballotte à chaque pas et arrivés vers une ancienne tour, je m’arrête pour la serrer contre moi. Je sens ses mamelons un peu frais contre la peau de mon torse, je me baisse et passe quelques coups de langues goulus sur les bouts qui grossissent. Au loin nous entendons un moteur aussi ma femme s’empresse de se réajuster. Un véhicule tout terrain jaune se rapproche, c’est celui des gardes forestiers qui surveillent la zone, ils nous saluent, passent leur chemin et continuent de s’enfoncer dans la garrigue. Nous voilà enfin seuls, j’en profite pour mettre ma main sous le tee-shirt de ma femme et lui saisir les seins. C’est bon devant cette nature avec le soleil et tous ces parfums de sentir cette volupté féminine, cela m’enivre. Nous sommes sur un point culminant à l’ombre d’ un pin, je l’embrasse, nous nous enlaçons, je la caresse, elle enlève son haut, nos corps se frottent l’un contre l’autre, sa poitrine s’écrase contre moi, la sève monte, elle déboutonne son short, je glisse ma main dan sa culotte et trouve son fruit tout mouillé. Je la déshabille complètement, j’embrasse ses seins, son ventre, son pubis, ses cuisses, ses fesses, elle, appuyée contre le tronc se laisse envahir part mes ardeurs. Elle s’abandonne, écarte ses jambes, mes doigts coulissent entre ses lèvres, pénètrent son vagin, je lui suce ses pointes, les mordille. J’ai envie d’elle, nos bouches se rejoignent, la fougue nous emporte, sa main empoigne mon pénis, le serre, le frotte contre son ventre, nous sommes moites, ne formons plus qu’un, c’est le feu, nos corps se rejoignent, ma verge s’infiltre et la pénètre sans peine jusqu’au fond de son fourreau. Je sens ses ongles dans mon dos, elle halète, sa poitrine gonfle rapidement, j’ai le souffle fort, la gorge sèche, mon sexe la pénètre au plus profond, dans un même élan, au même instant nous atteignons l’ultime bonheur. Je lui donne ma sève, les yeux fermés elle me sourit, je l’embrase tendrement et la laisse à son extase. En me retournant, mon regard est attiré par quelque chose qui scintille en contrebas dans les fourrés. Discrètement je fais le tour, descends le talus et tombe avec surprise derrière le véhicule des gardes forestiers. Je me rapproche doucement et vois tout en haut ma femme les seins à l’air. L’un des deux hommes la regarde, avec dans une main ses jumelles, la seconde sur son sexe qu’il masturbe, l’autre légèrement plus haut caché derrière un arbre en fait de même. J’imagine qu’ils ont dû assister à nos ébats et c’est tout excité que je rejoins ma femme qui m’attend encore à demi-nue . Pour ne pas la choquer je ne dis rien, j’embrasse une dernière fois ses seins, elle se rhabille et nous rentrons.
J’ai été gêné de voir ces deux hommes, mais fier que mon épouse ai suscité leur désir.
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