Je fantasme sur mon oncle
Récit érotique écrit par Julfor [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2017 dans la catégorie A dormir debout
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Je fantasme sur mon oncle
Coucou Tonton,
Je suis hyper embêtée de t'écrire ce mail et j'hésite à le faire depuis plusieurs semaines.
Je ne tiens plus et il faut que je t'avoue quelque chose :
Dans les albums photos de maman il y a une série de photos de vacances ou tu apparais en maillot de bain sur une plage.
Depuis mes 14 ans je suis obnubilée par ces photos.
Au début j'étais un peu gênée de les regarder mais je ne pouvais pas m'en empêcher.
Un jour j'ai pris l'album dans ma chambre et je me suis masturbée en regardant ces images de toi.
J'ai eu un tel orgasme que je ne pouvais plus m'empêcher de me doigter en imaginant quantité de scénarios de plus en plus cochons ou toi et moi avions des échanges torrides.
J'ai fini par me raisonner en me disant : c'est mon oncle, je ne peux pas avoir de relation sexuelle avec lui.
Avec le temps et beaucoup de volonté j'ai pu m'ôter ces idées de le tête.
Jusqu'à il y a quelques semaines ou j'ai fais un rêve qui m'a mise dans un état d'excitation extrême.
J'étais nue dans une barque qui s'éloignait lentement d'une plage déserte.
Comme l'embarcation s'éloignait du rivage, j'ai décidé de plonger pour rejoindre la terre ferme.
La sensation de l'eau sur mon corps était extrêmement agréable.
J'ai atteins la rive un peu essoufflée et je me suis étendue sur le dos laissant le soleil sécher ma peau encore mouillée.
Le sable était chaud, les rayons du soleil caressaient mon corps nu, j'étais bercée par le bruit des vagues, le moment était idyllique.
J'ai soudain entendu un bruit sourd qui m'a sortie de mon cocon.
Je me suis levée et remarqué au loin une silhouette.
Je m'en suis approchée lentement, c'était un homme de dos, nu comme moi, occupé à couper du bois à la hache,
Je l'ai rejoins et hésitante je lui ai tapé sur l'épaule.
L'homme a sursauté, et s'est retourné très surpris.
Je me suis retrouvée face à toi, mon oncle favoris.
Nous avons eu le même réflexe, toi de cacher ton sexe avec tes deux mains, moi de cacher ma poitrine avec un bras et mon entre jambes de la main.
Nous ne savions pas quoi faire, pas quoi dire, nous ne savions pas ce que nous faisions ensemble sur cette île.
J'ai pris l'initiative de te prendre par la main et t'entraîner à l'eau en te disant que si nous nous retrouvions sur cette plage ensemble ça ne pouvait pas être le fruit du hasard.
Nous sommes entrés dans la mer pour que l'eau cache notre intimité, je me suis retournée et je t'ai attirée à moi, mon dos collé contre ton ventre.
J'ai senti ton sexe, dur comme la pierre, me masser le bas du dos.
Je t'ai pris les mains et les ai posées sur mes seins durcis par la chaleur montante.
Tu as hésité un bref instant puis tu t'es mis à me caresser la poitrine, les épaules, le cou, le visage avec des mains de velours.
Le temps c'est arrêté, j'étais au paradis la tête en arrière sur ton épaule le bouche entre ouverte pour laisser y rentrer tes doigts, j'avais l'impression que mes seins allaient exploser tant ils étaient gonflés par l'excitation.
J'ai pris une de tes mains pour la diriger entre mes jambes que j'avais légèrement écartées pour t'offrir ma cavité vaginale.
Tu me titillais le clitoris d'une main tandis que l'autre passait de mes seins à mon ventre et aux profondeurs de ma chatte.
N'y tenant plus je me suis retournée, j'ai pris ton sexe en main pour le diriger entre mes jambes.
Tu t'es reculé d'un pas et tu m'as dit : « non tu es ma nièce, on ne peut pas faire ça »,
Je t'ai répondu que j'en avais envie plus que tout au monde, que tu ne pouvais pas me refuser ce cadeau toi qui m'en avait offert tant d'autres.
Je t'ai dis que j'aspirais à sentir ta langue contre ma langue et connaître le goût de ta salive, prendre ton gland en bouche et goûter à ton sperme, sentir tout ton sexe pénétrer mon anus, sentir les vas et viens de ton pénis au plus profond de mon bas ventre.
Je t'ai dit : « s'il te plaît tonton » et je me suis réveillée.
Depuis ce jour c'est une obsession, je veux faire l'amour avec toi.
Dis-moi au plus vite si c'est possible mai je t'en supplie accepte tu pourras faire de moi ce que tu veux.
Ta nièce qui t'aime et te désire.
Je suis hyper embêtée de t'écrire ce mail et j'hésite à le faire depuis plusieurs semaines.
Je ne tiens plus et il faut que je t'avoue quelque chose :
Dans les albums photos de maman il y a une série de photos de vacances ou tu apparais en maillot de bain sur une plage.
Depuis mes 14 ans je suis obnubilée par ces photos.
Au début j'étais un peu gênée de les regarder mais je ne pouvais pas m'en empêcher.
Un jour j'ai pris l'album dans ma chambre et je me suis masturbée en regardant ces images de toi.
J'ai eu un tel orgasme que je ne pouvais plus m'empêcher de me doigter en imaginant quantité de scénarios de plus en plus cochons ou toi et moi avions des échanges torrides.
J'ai fini par me raisonner en me disant : c'est mon oncle, je ne peux pas avoir de relation sexuelle avec lui.
Avec le temps et beaucoup de volonté j'ai pu m'ôter ces idées de le tête.
Jusqu'à il y a quelques semaines ou j'ai fais un rêve qui m'a mise dans un état d'excitation extrême.
J'étais nue dans une barque qui s'éloignait lentement d'une plage déserte.
Comme l'embarcation s'éloignait du rivage, j'ai décidé de plonger pour rejoindre la terre ferme.
La sensation de l'eau sur mon corps était extrêmement agréable.
J'ai atteins la rive un peu essoufflée et je me suis étendue sur le dos laissant le soleil sécher ma peau encore mouillée.
Le sable était chaud, les rayons du soleil caressaient mon corps nu, j'étais bercée par le bruit des vagues, le moment était idyllique.
J'ai soudain entendu un bruit sourd qui m'a sortie de mon cocon.
Je me suis levée et remarqué au loin une silhouette.
Je m'en suis approchée lentement, c'était un homme de dos, nu comme moi, occupé à couper du bois à la hache,
Je l'ai rejoins et hésitante je lui ai tapé sur l'épaule.
L'homme a sursauté, et s'est retourné très surpris.
Je me suis retrouvée face à toi, mon oncle favoris.
Nous avons eu le même réflexe, toi de cacher ton sexe avec tes deux mains, moi de cacher ma poitrine avec un bras et mon entre jambes de la main.
Nous ne savions pas quoi faire, pas quoi dire, nous ne savions pas ce que nous faisions ensemble sur cette île.
J'ai pris l'initiative de te prendre par la main et t'entraîner à l'eau en te disant que si nous nous retrouvions sur cette plage ensemble ça ne pouvait pas être le fruit du hasard.
Nous sommes entrés dans la mer pour que l'eau cache notre intimité, je me suis retournée et je t'ai attirée à moi, mon dos collé contre ton ventre.
J'ai senti ton sexe, dur comme la pierre, me masser le bas du dos.
Je t'ai pris les mains et les ai posées sur mes seins durcis par la chaleur montante.
Tu as hésité un bref instant puis tu t'es mis à me caresser la poitrine, les épaules, le cou, le visage avec des mains de velours.
Le temps c'est arrêté, j'étais au paradis la tête en arrière sur ton épaule le bouche entre ouverte pour laisser y rentrer tes doigts, j'avais l'impression que mes seins allaient exploser tant ils étaient gonflés par l'excitation.
J'ai pris une de tes mains pour la diriger entre mes jambes que j'avais légèrement écartées pour t'offrir ma cavité vaginale.
Tu me titillais le clitoris d'une main tandis que l'autre passait de mes seins à mon ventre et aux profondeurs de ma chatte.
N'y tenant plus je me suis retournée, j'ai pris ton sexe en main pour le diriger entre mes jambes.
Tu t'es reculé d'un pas et tu m'as dit : « non tu es ma nièce, on ne peut pas faire ça »,
Je t'ai répondu que j'en avais envie plus que tout au monde, que tu ne pouvais pas me refuser ce cadeau toi qui m'en avait offert tant d'autres.
Je t'ai dis que j'aspirais à sentir ta langue contre ma langue et connaître le goût de ta salive, prendre ton gland en bouche et goûter à ton sperme, sentir tout ton sexe pénétrer mon anus, sentir les vas et viens de ton pénis au plus profond de mon bas ventre.
Je t'ai dit : « s'il te plaît tonton » et je me suis réveillée.
Depuis ce jour c'est une obsession, je veux faire l'amour avec toi.
Dis-moi au plus vite si c'est possible mai je t'en supplie accepte tu pourras faire de moi ce que tu veux.
Ta nièce qui t'aime et te désire.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
depuis l'age de 16 ans je fantasmais sur la bite de mon oncle Alexandre,je l'avais surpris alors qu'il sortait de la douche,j'avais trouvée ce sexe énorme et pendant des années il anima mes soirées de masturbation.
J'espère qu'il y aura une suite et que ce ne sera pas qu'un rêve, Que tu auras le plaisir de t'amuser autant que tu le voudras avec la queue bien raide de ton tonton et qu'il te la metttra partout où tu as envie de la sentir !