Je lui ai donné mon cul - 1 - histoire érotique

Bonjour à toutes et à tous.
Tout d’abord je vous demanderais d’être indulgent car c’est ma toute première histoire X. J’ai longtemps fantasmé et provoqué mes orgasmes sur les histoires des autres avant de décider d’écrire cette histoire.

Je suis une jeune marocaine de 22 ans, je suis musulmane et issu d’une famille très pratiquante et conservatrice. J’ai 2 frère et 2 soeurs, et nous vivons tous avec mes parents. J’ai eu une enfance très stricte, les traditions et coutumes chez nous font que j’avais très peu de liberté.
Au lycée j’ai eu des petit copains mais toujours en cachette. Je n’étais jamais allé au de la d’embrassade, car ça serait déshonorer ma famille. Déjà le peu de copain que j’ai eu, si mes frères l’avaient su je serais déjà morte à l’heure actuelle.
A l’âge de 16 ans j’ai décidé de me voiler, par croyance et conviction. Cela ne m’empêchait pas d’être coquette et très attirante.

Tout commence à mes 21 ans. Lorsque je rencontre ce garçon. Yasser,, c’est son prénom. Son réel prénom. Il était sénégalais-algérien. Un beau mélange qui faisait toute sa beauté. Sa peau basanée et ses traits mi maghrebin mi africain faisait qu’il était doux et dur à la fois. Tout ce que j’aime.
Ce garçon était au départ mon ami. Nous passions du temps ensemble au travail. Car oui, c’était mon collègue. Il était là pour gagner un peu d’argent pour payer son appartement car il n’était pas d’ici. Il était là seulement pour étudier. Moi je gagnais un peu d’argent pour mon argent de poche, les habits et le maquillage n’allaient pas se payer seuls, j’étais moi aussi étudiante.
Yasser était un garçon drôle, respectueux, intelligent et par dessus tout absolument ce qu’il y avait de plus sexy.
Il était grand, métisse, avec de belles dents blanche et un sourire à en faire tomber plus d’une. C’est en partie pour cela que je le considérais seulement comme un collègue, comment un si bel homme voudrait de moi ? Non pas que je sois laide, car - sans prétention - je suis une belle femme un peu rondelette mais avec de très beau traits et de belles formes. Mais lui, il était au dessus.

Nous avions l’habitude d’aller prendre des cafés ensemble après le travail, ou alors de seulement s’assoir et papoter dans nos voitures des heures avant de rentrer. Je dois l’avouer, avec le temps j’étais piqué, mais jamais je n’aurais cru que ça puisse être réciproque.
Un jour, après le travail bien évidemment, Yasser m’a proposé de boire ce café chez lui. Nous y sommes donc allé, il vivait seul dans un petit appartement étudiant de 2 pièces seulement. Cetais petit mais cool. Ce n’était pas très rangé, il était un peu bordélique mais c’est un homme après tout.

Nous nous sommes posé dans la grande pièce qui constituait la partie principale de l’appartement, il y avait le salon, et la chambre en même temps. Il m’a servi le café, nous avons bu.. papoté.. l’heure était à la rigolade et à la détente. Nous nous rapprochions de plus en plus, j’étais plus ouverte que jamais à ce rapprochement et il m’étonnait. Il a commencé par me toucher la main pour prendre et déposer délicatement ma tasse sur la table, puis il s’est approché et m’a chuchoté à l’oreille
« Ça fais longtemps que je sais pas comment te le dire, mais tu me plaît Soumaya » j’étais abasourdie. Mon coeur s’est emballé.. je n’ai su quoi répondre sur le coup. Il est vrai qu’il était mon fantasme depuis bien longtemps, mais à aucun moment je ne me suis laissé le droit d’imaginer un scénario pour savoir quoi répondre ? Je n’ai rien dis. Je l’ai laisse continuer. Il a commencer par poser sa main par dessous mon voile, sur ma nuque. Puis il m’a regardé dans les yeux, et a rapprocher ses lèvres des miennes.
Je me suis laissé emporter. Oui. Mais je n’était pas sure de bien faire alors j’étais stressé. Lui s’y prenait très bien. Il m’a langoureusement embrassé et moi j’étais juste sur un nuage.
J’avais envie de le serrer fort contre moi, et de lui crier que j’ai tant envie de son corps sur le mien depuis tant de temps.
J’avais envie de lui dire, Yasser baise moi. Mais c’était impossible, je suis musulmane, lui aussi. Et je ne pouvais pas déshonorer ma famille, ni même me faire passer pour la kehba du coin. Que dirais on de moi auprès de mes frere ? Je devais rester chaste et respectable. Mais ce discours, combien de temps j’allais m’y tenir ?
Combien de temps allais-je résister à son corps? Combien de temps allais-je m’autoriser à rêver qu’il me pénètre sans le laisser vraiment me prendre ?
Pas longtemps, parce que, voilé et musulmane ou non, on ne résiste jamais assez longtemps à une bite pareil..




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