Je ne lui ai jamais dit que j’avais trouvé son numéro dans les toilettes…

- Par l'auteur HDS Smoi -
Récit érotique écrit par Smoi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Je ne lui ai jamais dit que j’avais trouvé son numéro dans les toilettes… Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Je ne lui ai jamais dit que j’avais trouvé son numéro dans les toilettes…
J’étais dans des toilettes publiques, et je lisais les graffitis un peu partout, quand celui-ci a retenu mon attention :
« Ma queue se cherche une jeune et belle petite bouche »
Et bien sûr, il y avait un numéro de téléphone.
Juste pour préciser un peu, j’ai 22 ans, je suis un hétéro de la région de Montréal au Québec et plutôt beau bonhomme !
Pendant la semaine qui a suivi, j’ai imaginé toutes sortes de scénarios, j’ai hésité à appeler, mais j’ai fini par faire le saut…

-Bonjour, je m’appelle Simon, j’ai 22ans, et j’ai signalé votre numéro au hasard. Vous êtes la sixième personne que j’appelle. Je ne suis pas de la région, je suis en tournoi de hockey à Montréal et je me cherche une place pour dormir pour ce soir.

-C’est quoi cette histoire, je te connais ?

-Non ! j’ai signalé au hasard. Mes coéquipiers sont tous allés dormir chez leur parenté. La tente chez qui je devais aller dormir ne répond pas. Je me suis dit qu’en signalant des numéros au hasard, j’allais finir par tomber sur un bon samaritain.

-Et tu es où là ?



Il a fini par accepter de venir me chercher à l’aréna, croyant que c’était vraiment du hasard. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, plutôt grand. En arrivant chez lui, je lui demande si je peux prendre une douche et me mettre en pyjama. Et il me dit : «fais comme chez toi». Tout ce que j’avais sur le corps en sortant de la douche, c’est une paire de jeans hyper courtes et serrées et un chandail de hockey propre. On a bu quelques bières sur le sofa devant la télé. Il n’arrêtait pas de me regarder, et j’aimais ça. Je faisais exprès pour l’allumer, je retirais lentement mes lèvres du goulot de ma bouteille de bière à chaque gorgée. Je me suis levé et j’ai enlevé mon chandail, sous prétexte qu’il faisait chaud. Mes jeans étaient tellement courtes qu’on voyait une partie de mes petites fesses et que mes couilles sortaient quand je m’assoyais. C’est alors qu’il se lève lui aussi et se dirige vers sa chambre. À son retour, il portait un peignoir en soie dans lequel je pouvais très bien voir l’effet que je lui faisais. Quand il s’est assis à nouveau, sa queue sortait du peignoir et c’était maintenant moi qui regardait sans arrêt dans cette direction. Il m’as surpris et m’a dit : «Tu peux lui toucher si tu veux». J’étais figé, mais je me suis dit, après tout, c’est MON scénario ! Je me suis maladroitement approché de lui et j’ai délicatement ouvert son peignoir. J’ai pris sa queue dans ma main, et je me suis mis à la caresser doucement. Il a subtilement passé sa main derrière mon cou pour approcher mon oreille de sa bouche et il m’a murmuré : «j’aimerais beaucoup voir tes jolies petites fesses de proche». Alors qu’il était toujours assis sur le sofa, je me suis levé et placé dos à lui. Il a caressé mes fesses, m’a donné de petits bisous juste sous les jeans en me tenant par les hanches. Il s’est levé lui aussi, à placé sa main droite sur mon ventre et sa main gauche sur ma gorge. Je sentais sa queue frotter entre mes fesses, il me serrait très fort. Il m’a ensuite retourné et m’a fait mettre à genoux devant lui. J’ai mis mes mains sur ses fesses et j’ai approché mes lèvres de sa queue bien bandée. Je lui ai donné petit bec sur le gland, puis d’autres en allant vers le bas. J’ai soulevé ses couilles avec ma langue, puis j’ai arrêté et je l’ai regardé dans les yeux. Il était complètement subjugué, excité et fébrile. Et il me dit : «Je t’en prie, ne t’arrêtes pas.» Je suis retourné sur son gland, je l’ai titillé un peu et je l’ai fait entrer progressivement dans ma bouche. Je salivais beaucoup, et ça dégoulinait sur mon menton. Hummmm, c’était bon ! Je le suçait lentement et avec beaucoup d’attention, mais quand j’ai pensé à aspirer plus fort pour que mes joues collent et frottent sur son gland, il a pris ma tête à deux mains et s’est mis à gémir en me donnant la cadence. Pour faire durer le plaisir, je me suis arrêté d’un coup sec et je me suis levé.
En lui massant les couilles, je l’ai embrassé pendant que lui me tripotait les fesses. Je n’ai pas eu le temps d’en faire plus avant qu’il ne m’appuie sur les épaules pour que je retourne à genoux. J’ai pris ses couilles dans une main et sa bite dans l’autre. Je suçais sa belle queue avec toute mon énergie tout en le masturbant et en lui massant les couilles.
Quand j’ai senti qu’il allait jouir, j’ai continué de le branler, j’ai ouvert la bouche et placé ma langue sous son gland. Il a explosé dans ma bouche, et un long jet a coulé le long de ma joue. Il y a passé sa queue pour ramasser son sperme et me l’a remise dans la bouche.
Je l’ai sucée jusqu’à ce qu’elle soit molle. Il m’a invité a dormir dans son lit, ce que j’ai accepté. Le lendemain, il est venu me porter à l’aréna avec mon équipement de hockey.
Je ne lui ai jamais dit que j’avais trouvé son numéro dans les toilettes…

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