Je ne suis pas malade - histoire érotique

Je simule un peu quand je dis que je ne peux pas me lever, étant très fatiguée. Ma mère fait venir le médecin qui bien sur ne trouve pas trace de maladie. Il comprend vite que je veux autre chose. Il demande à maman de nous laisser, ce qu'elle fait pour aller faire des courses. Il lève bien le drap, regarde mon ventre qu'il 'ausculte'. Ces mains sont douces sur moi. Il les descend doucement vers le pubis. Je l'y attendais pour me tendre en geste d'offrande.
Il comprend mon désir quand je sens deux doigt venir dans ma fente. Il s'y enfonce complètement, caressant au passage le petit bouton. Je sursaute un peu avant de me mettre en position de recevoir une masturbation. S'il savait que je me masturbe en pensant à lui, à ses main et à sa bite.
Il a senti ma réaction, il revient cette fois pour me faire du bien, la vache, il me branle comme un chef. Il va presque au bout. Quand ma mère revient il lui dit qu'il appelle une infirmière pour les soins.
Dommage j'aimais bien sa main, enfin je verrais bien comment fait l'infirmière.
C'est un peu ce que je pensais, cette fille de 25 ans a une expérience de celles de mon âge. Je suis donc nue, elle habillée, très court, l'air sensuel. En s’asseyant au bord du lit, je vois qu'elle ne porte pas de sous vêtement : je vois son sexe nu. Ses mains me paraissent chaudes. Elles passent sur mes seins qu'elle caresse bien mieux que mon copain. Tout doucement, lentement ses deux mains sont sur le ventre. Moi je sais que je mouille. C'est bien la première fille qui me fait cet effet. Je voudrais qu'elle soit dans ma fente, qu'elle me fasse du bien.
J'attends la suite, les yeux fermés, les lèvres entrouvertes somme si j'attendis un baiser de cette femme. Un baiser d'une autre fille, ça va pas…...
Elle passe ses doigts dans la fente, elle les enlève pour me mettre un doigt plein de ma mouille dans la bouche. J'ai envie qu'elle recommence, qu'elle me fasse…...plein de choses que les filles ne font pas d'habitude.
Elle sort un machin de son sac à malice : un joli gode. Elle ne me demande pas si je le veux, elle le pose sur ma chatte. C'est plus fort que moi, j'écarte les jambes : je me donne à une autre. Elle commence ce que je ne demandais pas, elle me masturbe, elle me fait du bien. Je me souviens avoir dodeliné la tête dans tous les sens, je me souviens avoir jouit de sa main.
La suite arrive, même si je ne la demandais pas, elle sort le gode de mon sexe pour l'enfoncer dans l'anus. Il y a un bon moment que je ne me suis pas faire sodomisée, j'ai perdu l'habitude.
Je ne sais exactement comment elle fait, je sens le gode quand il est profond dans mon ventre. Elle me lime lentement, s'arrête souvent. Il faut presque que je lui demande de me faire jouir. Qu'elle délivrance quand je sens enfin l'orgasme arriver. C'était long, c'était mieux que bon.
Je me rends compte que c'est une fille qui m'a donné cet orgasme, que je me suis faire. Je ne le dis pas, mais si elle veut, elle peut recommencer. Je pense même que je pourrais lui rendre ce plaisir.
Elle continue son expérience, mes soins. Le gode se repose à mes cotés quand elle m'embrasse le bas ventre. Et moi, je la laisse faire. Je sens pourtant sa langue dans la fente. Elle ne va pas lécher le con ?
Si c'est ce qu'elle fait : je jouis encore plus fort, plus longtemps que la dernière fois. Elle sent bien que je jouis sans cesse ? Alors pourquoi elle se tourne pour venir me donner son con à elle sur ma bouche qui ne sais pas faire du bien comme ça, sinon à une bite en avalant son jus fort masculin. Je vais faire pour la première fois un cunnilingus. Moi je vais lécher un autre con ! Sans doute j'oserais même lui passer le langue sur le cul, comme je voudrais qu'elle me fasse.
Son sexe a un goût plus fort que le mien. Au moins quand je suce une bite elle a déjà plongé dans mon sexe, j'en ai les deux goûts intimement liés. Mais avec une autre fille. Je suis incapable de savoir à quoi elle a goût, pas à un con. Mais elle est très douce, plus que moi, il me semble. Je trouve plein de choses nouvelles, un clitoris, et des machins de fille, même son cul me semble différent. Comme nous léchons le même endroit, peut importe, j'en retire du plaisir, presque comme quand je me fais enculer par une grosse bite.
Je suis sous elle, je lèche quand je me fait bousculer par une bite. Celle de son amant. J'ai des couilles sur le visage, elle a une bite dans le cul. Si je pouvais en avoir une moi aussi. Je suis idiote, le gode traîne à mes cotés sans que je m'en serve. Je l'ai en main sauf que je ne sais comment le mettre. C'est elle qui le prend, sans violence elle me le plante dans le cul. Je me laisse faire.
Nous finissons ensemble entre fille : lui ne peut que nous regarder nous faire des choses qui nous font jouir.
J'espère qu'elle reviendra souvent pour me faire jouir ainsi : c'était ma première fois avec une autre, c'était bon à recommencer souvent, comme me masturber.