Je parie que je me fais baiser dans l'heure !
Récit érotique écrit par Plumesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2008 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Je parie que je me fais baiser dans l'heure !
Ce soir là, j’ai vraiment mis la dose. Ma copie Magali m’avait dit qu’avec ce mini short blanc et rien en dessous, je faisais bander n’importe quel mec, rien qu’en ondulant du cul avec ma démarche chaloupée « chaude en rut »...
Du coup, j’ai mis la gomme : le mini-short blanc, un corsage échancré rouge avec un soutif push-up mettant mes formes en valeur, et mes chaussures à talons haut rouge.
Hum, avec ces fringues, c’est marqué sur mon front que je veux de la bite.
J’ai fait quelques essayages de démarche chaloupée devant la glace avant de partir, déjà humide en matant mon cul, ma cambrure et mes nichons, sûre de faire bander tous les mecs sur mon passage et de me faire fourrer dans les heures à venir.
Avec Magali, on a fait un concours : « tu pars de ton côté et moi du mien pour aller en boîte au Panama et la première qui s’est faite baiser appelle l’autre » !
Elle était sûre de se prendre une bonne queue la première, ma copine, avec son jean déchiré au cul et ses gros nichons sous un t-shirt ridiculement petit.
Moi j’étais sûre de la doubler avec ce mini short blanc qui dessine ma moule. C’est un truc à faire saliver n’importe quel mec !
J’ai pris la route du Panama à pied, avec mes talons hauts, en ondulant du cul dans mon short de plus en plus humide à l’entre jambe.
La route est longue, et je ne pensais qu’à l’envie que je devais déclencher avec mon cul cambré et roulant, et ma chatte moulée, gonflée et humide.
Les voitures ralentissaient, les mecs bandaient, c’est sûr !
Je m’appliquais pour que tous les mecs attrapent une furieuse envie de me baiser, rien qu’après m’avoir vue rien que quelques secondes. C’est mon côté altruiste, je fais plaisir à tout le monde en jouant la petite pute !
C’était sûr, j’allais bien me faire troncher ce soir !
Soudain, la pluie qui tombe en rafale ! Une averse tiède, mais des trombes !
Me voilà avec le short totalement transparent, mouillé, sur la peau... je ruisselle, je lève le pouce pour faire du stop, mes nichons ronds sont offerts en pâture, ils sortent de mon corsage trempé et désormais distendu. Ma moule apparaît en transparence sous le short trempé.
Une grosse Audi s’arrête, je sens des regards lubriques me caresser lentement tout le corps, de haut en bas : les nichons, ma chatte, le cul, les jambes. « Monte ma jolie ! Tu es toute mouillée hein ! On ne va pas laisser une jolie demoiselle toute mouillée toute seule » !
Je grimpe à l’arrière avec deux hommes de la cinquantaine.
En faisant mine d’attacher ma ceinture, ils commencent à me glisser leurs mains sur le corps : « Alors, mademoiselle, on va en boîte ? Apparemment, tu as mis ce qu’il faut pour qu’on te remarque, ma jolie ! Moi rien qu’en voyant ton cul, j’ai des idées bien pointues, et mon copain aussi, pas vrai ? Hum, t’es toute mouillée jusque dans le short... »...
« Oh, mais ma jolie, t’es sacrément bien foutue, tu sais ? On pourrait bien s’amuser avec toi là tous les trois, au lieu d’aller dans cette boîte pourrie ! Et d’ailleurs, tu allais bien là-bas pour te faire fourrer hein ma salope ? Alors pourquoi attendre puisqu’on est là ensemble ? »
« Regarde comme tu me fais bander, là, tu vois ? Tu mets ta bouche sur ma queue, pour voir l’effet que tu me fais ? Tu aimes ça hein ? T’as une bonne bouche de pute, toi ! Allez, ouiiiii, huuuum, je savais que tu aimes la bite ma jolie, on va bien te baiser... hummmm, encore, tu vas être notre petite pute, on fait te faire la fête, on va te baiser par tous les trous, haaaan »...
Plus tard, repue, j’appelais Magali pour lui annoncer ma victoire : je me suis faite baisé un quart d’heure après mon départ ! Qui dit mieux ?
Du coup, j’ai mis la gomme : le mini-short blanc, un corsage échancré rouge avec un soutif push-up mettant mes formes en valeur, et mes chaussures à talons haut rouge.
Hum, avec ces fringues, c’est marqué sur mon front que je veux de la bite.
J’ai fait quelques essayages de démarche chaloupée devant la glace avant de partir, déjà humide en matant mon cul, ma cambrure et mes nichons, sûre de faire bander tous les mecs sur mon passage et de me faire fourrer dans les heures à venir.
Avec Magali, on a fait un concours : « tu pars de ton côté et moi du mien pour aller en boîte au Panama et la première qui s’est faite baiser appelle l’autre » !
Elle était sûre de se prendre une bonne queue la première, ma copine, avec son jean déchiré au cul et ses gros nichons sous un t-shirt ridiculement petit.
Moi j’étais sûre de la doubler avec ce mini short blanc qui dessine ma moule. C’est un truc à faire saliver n’importe quel mec !
J’ai pris la route du Panama à pied, avec mes talons hauts, en ondulant du cul dans mon short de plus en plus humide à l’entre jambe.
La route est longue, et je ne pensais qu’à l’envie que je devais déclencher avec mon cul cambré et roulant, et ma chatte moulée, gonflée et humide.
Les voitures ralentissaient, les mecs bandaient, c’est sûr !
Je m’appliquais pour que tous les mecs attrapent une furieuse envie de me baiser, rien qu’après m’avoir vue rien que quelques secondes. C’est mon côté altruiste, je fais plaisir à tout le monde en jouant la petite pute !
C’était sûr, j’allais bien me faire troncher ce soir !
Soudain, la pluie qui tombe en rafale ! Une averse tiède, mais des trombes !
Me voilà avec le short totalement transparent, mouillé, sur la peau... je ruisselle, je lève le pouce pour faire du stop, mes nichons ronds sont offerts en pâture, ils sortent de mon corsage trempé et désormais distendu. Ma moule apparaît en transparence sous le short trempé.
Une grosse Audi s’arrête, je sens des regards lubriques me caresser lentement tout le corps, de haut en bas : les nichons, ma chatte, le cul, les jambes. « Monte ma jolie ! Tu es toute mouillée hein ! On ne va pas laisser une jolie demoiselle toute mouillée toute seule » !
Je grimpe à l’arrière avec deux hommes de la cinquantaine.
En faisant mine d’attacher ma ceinture, ils commencent à me glisser leurs mains sur le corps : « Alors, mademoiselle, on va en boîte ? Apparemment, tu as mis ce qu’il faut pour qu’on te remarque, ma jolie ! Moi rien qu’en voyant ton cul, j’ai des idées bien pointues, et mon copain aussi, pas vrai ? Hum, t’es toute mouillée jusque dans le short... »...
« Oh, mais ma jolie, t’es sacrément bien foutue, tu sais ? On pourrait bien s’amuser avec toi là tous les trois, au lieu d’aller dans cette boîte pourrie ! Et d’ailleurs, tu allais bien là-bas pour te faire fourrer hein ma salope ? Alors pourquoi attendre puisqu’on est là ensemble ? »
« Regarde comme tu me fais bander, là, tu vois ? Tu mets ta bouche sur ma queue, pour voir l’effet que tu me fais ? Tu aimes ça hein ? T’as une bonne bouche de pute, toi ! Allez, ouiiiii, huuuum, je savais que tu aimes la bite ma jolie, on va bien te baiser... hummmm, encore, tu vas être notre petite pute, on fait te faire la fête, on va te baiser par tous les trous, haaaan »...
Plus tard, repue, j’appelais Magali pour lui annoncer ma victoire : je me suis faite baisé un quart d’heure après mon départ ! Qui dit mieux ?
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