Je partage ma vie avec une femme
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Je partage ma vie avec une femme
Ma vie de lycéenne était calme, très calme. Juste après le bac j’ai un coup de foudre : mon grand amour. Il avait 25 ans.
J’habitais dans une ville universitaire, je devais aller faire des études de droit en vue de devenir notaire. Louis semblait être l’étudiant amateur, changeant de branche sans cesse. Peut m’importait : il était beau gosse. Il m’a branchée un soir au cour d’une soirée entre copains. J’étais un peu cruche, je me laissais embarquer dans une histoire sans fin.
Il me chauffait tellement que je me suis donné à lui, chez moi en plus. J’avais envie de lui de sa queue, de sa bouche, de sa langue. Il ne m’a pas déshabillée : il aurait été trop lent. Il m’a embrassée debout, je me serrais contre lui. Je sentais sa queue contre moi grossir sans cesse. Je la voulais n’importe où.
Je n’étais plus verge depuis longtemps, je connaissais le plaisir pour me masturber souvent. Je me suis arrangée pour que sa pine dure soit contre ma fente. Je sentais le corps de sa bite contre mon sexe. Ses couilles juste en haut de mes cuisses, Je n’en demandais pas plus. J’allais et venais pour mon seul plaisir. Louis s’est dégagé réussissait à poser son gland sur la chatte. Mon sexe s’écartait pour le laisser me perforer. Il entrait très lentement. Ses mains écartaient mes fesses. Mon pubis était contre le sien. Je sentais ses poils contre moi. C’était excitant pour nous deux.
Il rompait le charme en jouissant avant moi. Je le gardais en moi pendant qu’il débandait. Quand il sortait sa pine toute ridée, je le reprenais cette fois dans la bouche. Le gout bizarre de son sperme me mettait encore plus en demande. J’étais à genoux devant lui humiliée de cette position. Je caressais un peu les couilles, cherchait bien plus loin pour l’exciter ou tenter de le faire. Je gardais précieusement la bite dans la bouche, ma langue la léchant à peine. Mes mains trouvaient le trésor que je cherchais : l’anus. Il me semblait tout mignon, fripé comme il était. D’un seul doigt je le caressais, en m’attardant sur le bord. J’ai eu envie de lui faire comme pour moi quand je me touche à cet endroit. J’entrais lentement doucement, profondément. J’avais gagné quand je le sentais bander dans la bouche. J’aurais pu le branler une fois rien que pour voir son jus s’échapper du méat. Je préférais l’avoir en moi. Je venais de lui donner un certain plaisir avec ses fesses, alors je me mettais penchée, mes fesses vers lui. Je n’ai pas eu besoin de lui faire un dessin. Sa queue est venue écarter mes fesses. Il la posait sur l’anus prêt à ça. Je la lui tenais pour ne pas qu’il se perde. L’excitation sans doute l’a précipité. Il me faisait mal. Pour faire cesser cette mauvaise introduction mon instinct me guidait pour la suite. J’avançais quand il voulait entrer. Enfin il comprenait. Il venait encore une fois dans le cul. Cette fois il était doux. Je sentais le petit creux juste à la fin du gland Il m’enculait enfin royalement. Je pouvais ajouter du plaisir au plaisir en me branlant aussi.
Finalement notre première fois était fantastique. Nous sommes restés couchés, moi, lui tenant la queue, lui me caressant les seins. Notre relation a duré plusieurs mois ; même si de temps en temps nous passions une heure ensemble, comme de vieux amants.
Ma vie sexuelle continuait comme je le voulais. J’aime les expériences diverses. Mes études passaient avant tout : j’en avais pour 6 ans minimum. Mes soirée préférées étaient le samedi. La première fois que je cherchais un amant j’allais bêtement dans un bar. Je trouvais rapidement un homme assez quelconque qui voulait de moi. Il passait ses mains partout sur mon corps, devant tout le monde. Il m’excitait en me dégoutant et de moi et de lui. Je savais que je descendais vers la déchéance. Il me faisait du bien en me branlant. Je le laissais faire jusqu’à l’orgasme. Je sortais sa bite qui bandait, je l’ai vite branlé, juste pour le faire jouir. Je suis partie honteuse.
A la suite de cette mésaventure, j’en parlais à une copine de cours. Je m’y étais mal prise. Il fallait que j’essaye avec elle. Elle me proposait en coucher avec elle, comme ça, à la place d’un garçon. Je n’avais pas dit oui que le samedi suivant elle venait me chercher. Elle m’embrassait sur les joues, gentiment, puis de plus en plus près de la bouche. Quand nos bouches se sont jointent, j’acceptais le baiser. Elle m’embrassait comme le ferait un garçon, sauf qu’elle était très douce. Elle m’emmenait dans sa chambre. Je m’attendais à une chambre très masculine, un peu comme elle. J’y voyais des poupées, des poupons. Et un portrait de Lesbos peint par je ne sais qui.
Elle m’a gentiment déshabillée, en a fait autant. Quel corps que le sien. Une sculpture d’une déesse antique. Un corps fait pour l’amour. Malgré moi mes mains sont sur elles. Je caresse ses seins, ses fesses, son ventre. Je suis devenue folle. Ses mains en font autant sur moi. Je me laisse faire en étant excitée au possible, plus qu’avec un garçon. C’est bon ses caresses entre filles, j’en veux encore. Je suis comme une chatte que le maître caresser qui en redemande sans cesse. Je dois faire comme elle en ronronnant. Mon dos est contre elle, ses mains sont sur moi, descendent vers les seins, les enveloppent en les caressant. Elle réussi mieux que moi. Et une main, la droite descend vers la chatte. Je sens son bras sur ma poitrine, sa paume conte le pubis. Un doigt puis un second commencent une danse infernale dans la moule. Ce n’est pas une masturbation c’est un caresse prolongée qui fait du bien, beaucoup de bien, tellement de bien que je jouis comme jamais. J’ai des mouvements incontrôlables du pubis.
Je voudrais lui rendre ce quelle m’a fait. Je suis en face d’elle ma main sur sa taille. Je la descends doucement vers son bas ventre. Elle le tend vers moi. Je trouve sa chatte mouillée. Mes doigts filent vers son entrée, puis remontent en peu vers le clitoris. Je trouve un haricot assez gros bien bandé. Sa main est encore sur moi. Nous nous branlons avant qu’elle jouisse. Elle me fait coucher, s’allonge à mes cotés, recommence à caresser le sexe. Puis doucement elle vient sur moi, écarte mes jambes, se tourne pour me prendre dans la bouche. Je sens ses lèvres puis sa langue dans mon intimité. Elle me fait du bien, mieux qu’une bite. Je suis conquise quand elle lèche partout mon entrejambe. Elle passe ses mains sous mes cuisses pour les mettre contre ma chatte. Elle écarte les lèvres lentement, cherche d’autres endroits à caresser. Elle trouve surtout le petit trou. Jamais mon sexe n’a vécu pareille fête.
Elle ne demande rien quand elle enjambe ma tête. J’ai sa moule presque contre ma bouche. Je la veux aussi. Je lèche son abricot. Il est bon, juteux à souhait, juteux d’une mouille de j’aime qui me remplit la bouche. J’imite ce quelle me fait en touchant l’anus. Le sien est là proche de ma langue. Je l’y pose délicatement comme si j’avais peur de lui faire mal. I’ai mis deux doigts dans le trou principal et la langue dans le petit. Elle est heureuse je crois quand elle gémit avant de jouir d’un long jet de cyprine. J’en ai partout sur ma figure. C‘est bon au point que je lèche ce qu’il y a autour de mes lèvres et ramasse avec mes doigts ce que je ne peux laper. Depuis, je sais qu’il faut que ma bouche reste contre son sexe au moment de son orgasme. Je ne peux pas jouir comme elle en lâchant mas jouissance.
Nous vivons ensemble, nos études terminées. Nous devons être prudentes dans nos relations personnelles. Que penseraient les clients avec deux adeptes de Lesbos ?
Finalement ma vie est banale* sinon que je la partage avec une femme.
J’habitais dans une ville universitaire, je devais aller faire des études de droit en vue de devenir notaire. Louis semblait être l’étudiant amateur, changeant de branche sans cesse. Peut m’importait : il était beau gosse. Il m’a branchée un soir au cour d’une soirée entre copains. J’étais un peu cruche, je me laissais embarquer dans une histoire sans fin.
Il me chauffait tellement que je me suis donné à lui, chez moi en plus. J’avais envie de lui de sa queue, de sa bouche, de sa langue. Il ne m’a pas déshabillée : il aurait été trop lent. Il m’a embrassée debout, je me serrais contre lui. Je sentais sa queue contre moi grossir sans cesse. Je la voulais n’importe où.
Je n’étais plus verge depuis longtemps, je connaissais le plaisir pour me masturber souvent. Je me suis arrangée pour que sa pine dure soit contre ma fente. Je sentais le corps de sa bite contre mon sexe. Ses couilles juste en haut de mes cuisses, Je n’en demandais pas plus. J’allais et venais pour mon seul plaisir. Louis s’est dégagé réussissait à poser son gland sur la chatte. Mon sexe s’écartait pour le laisser me perforer. Il entrait très lentement. Ses mains écartaient mes fesses. Mon pubis était contre le sien. Je sentais ses poils contre moi. C’était excitant pour nous deux.
Il rompait le charme en jouissant avant moi. Je le gardais en moi pendant qu’il débandait. Quand il sortait sa pine toute ridée, je le reprenais cette fois dans la bouche. Le gout bizarre de son sperme me mettait encore plus en demande. J’étais à genoux devant lui humiliée de cette position. Je caressais un peu les couilles, cherchait bien plus loin pour l’exciter ou tenter de le faire. Je gardais précieusement la bite dans la bouche, ma langue la léchant à peine. Mes mains trouvaient le trésor que je cherchais : l’anus. Il me semblait tout mignon, fripé comme il était. D’un seul doigt je le caressais, en m’attardant sur le bord. J’ai eu envie de lui faire comme pour moi quand je me touche à cet endroit. J’entrais lentement doucement, profondément. J’avais gagné quand je le sentais bander dans la bouche. J’aurais pu le branler une fois rien que pour voir son jus s’échapper du méat. Je préférais l’avoir en moi. Je venais de lui donner un certain plaisir avec ses fesses, alors je me mettais penchée, mes fesses vers lui. Je n’ai pas eu besoin de lui faire un dessin. Sa queue est venue écarter mes fesses. Il la posait sur l’anus prêt à ça. Je la lui tenais pour ne pas qu’il se perde. L’excitation sans doute l’a précipité. Il me faisait mal. Pour faire cesser cette mauvaise introduction mon instinct me guidait pour la suite. J’avançais quand il voulait entrer. Enfin il comprenait. Il venait encore une fois dans le cul. Cette fois il était doux. Je sentais le petit creux juste à la fin du gland Il m’enculait enfin royalement. Je pouvais ajouter du plaisir au plaisir en me branlant aussi.
Finalement notre première fois était fantastique. Nous sommes restés couchés, moi, lui tenant la queue, lui me caressant les seins. Notre relation a duré plusieurs mois ; même si de temps en temps nous passions une heure ensemble, comme de vieux amants.
Ma vie sexuelle continuait comme je le voulais. J’aime les expériences diverses. Mes études passaient avant tout : j’en avais pour 6 ans minimum. Mes soirée préférées étaient le samedi. La première fois que je cherchais un amant j’allais bêtement dans un bar. Je trouvais rapidement un homme assez quelconque qui voulait de moi. Il passait ses mains partout sur mon corps, devant tout le monde. Il m’excitait en me dégoutant et de moi et de lui. Je savais que je descendais vers la déchéance. Il me faisait du bien en me branlant. Je le laissais faire jusqu’à l’orgasme. Je sortais sa bite qui bandait, je l’ai vite branlé, juste pour le faire jouir. Je suis partie honteuse.
A la suite de cette mésaventure, j’en parlais à une copine de cours. Je m’y étais mal prise. Il fallait que j’essaye avec elle. Elle me proposait en coucher avec elle, comme ça, à la place d’un garçon. Je n’avais pas dit oui que le samedi suivant elle venait me chercher. Elle m’embrassait sur les joues, gentiment, puis de plus en plus près de la bouche. Quand nos bouches se sont jointent, j’acceptais le baiser. Elle m’embrassait comme le ferait un garçon, sauf qu’elle était très douce. Elle m’emmenait dans sa chambre. Je m’attendais à une chambre très masculine, un peu comme elle. J’y voyais des poupées, des poupons. Et un portrait de Lesbos peint par je ne sais qui.
Elle m’a gentiment déshabillée, en a fait autant. Quel corps que le sien. Une sculpture d’une déesse antique. Un corps fait pour l’amour. Malgré moi mes mains sont sur elles. Je caresse ses seins, ses fesses, son ventre. Je suis devenue folle. Ses mains en font autant sur moi. Je me laisse faire en étant excitée au possible, plus qu’avec un garçon. C’est bon ses caresses entre filles, j’en veux encore. Je suis comme une chatte que le maître caresser qui en redemande sans cesse. Je dois faire comme elle en ronronnant. Mon dos est contre elle, ses mains sont sur moi, descendent vers les seins, les enveloppent en les caressant. Elle réussi mieux que moi. Et une main, la droite descend vers la chatte. Je sens son bras sur ma poitrine, sa paume conte le pubis. Un doigt puis un second commencent une danse infernale dans la moule. Ce n’est pas une masturbation c’est un caresse prolongée qui fait du bien, beaucoup de bien, tellement de bien que je jouis comme jamais. J’ai des mouvements incontrôlables du pubis.
Je voudrais lui rendre ce quelle m’a fait. Je suis en face d’elle ma main sur sa taille. Je la descends doucement vers son bas ventre. Elle le tend vers moi. Je trouve sa chatte mouillée. Mes doigts filent vers son entrée, puis remontent en peu vers le clitoris. Je trouve un haricot assez gros bien bandé. Sa main est encore sur moi. Nous nous branlons avant qu’elle jouisse. Elle me fait coucher, s’allonge à mes cotés, recommence à caresser le sexe. Puis doucement elle vient sur moi, écarte mes jambes, se tourne pour me prendre dans la bouche. Je sens ses lèvres puis sa langue dans mon intimité. Elle me fait du bien, mieux qu’une bite. Je suis conquise quand elle lèche partout mon entrejambe. Elle passe ses mains sous mes cuisses pour les mettre contre ma chatte. Elle écarte les lèvres lentement, cherche d’autres endroits à caresser. Elle trouve surtout le petit trou. Jamais mon sexe n’a vécu pareille fête.
Elle ne demande rien quand elle enjambe ma tête. J’ai sa moule presque contre ma bouche. Je la veux aussi. Je lèche son abricot. Il est bon, juteux à souhait, juteux d’une mouille de j’aime qui me remplit la bouche. J’imite ce quelle me fait en touchant l’anus. Le sien est là proche de ma langue. Je l’y pose délicatement comme si j’avais peur de lui faire mal. I’ai mis deux doigts dans le trou principal et la langue dans le petit. Elle est heureuse je crois quand elle gémit avant de jouir d’un long jet de cyprine. J’en ai partout sur ma figure. C‘est bon au point que je lèche ce qu’il y a autour de mes lèvres et ramasse avec mes doigts ce que je ne peux laper. Depuis, je sais qu’il faut que ma bouche reste contre son sexe au moment de son orgasme. Je ne peux pas jouir comme elle en lâchant mas jouissance.
Nous vivons ensemble, nos études terminées. Nous devons être prudentes dans nos relations personnelles. Que penseraient les clients avec deux adeptes de Lesbos ?
Finalement ma vie est banale* sinon que je la partage avec une femme.
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