Je suis bisexuelle ?
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je suis bisexuelle ?
J’hésite entre un homme ou une femme. Je sais comment obtenir du plaisir depuis 5 ans passé. Je sais que tous les gens se mettent au moins à deux pour faire l’amour. Moi, je me contente seule, mes doigts me suffisent, mes doigts et un gode. Ca paraît sans doute bizarre que j’ai un gode: quand j’ai eu 16 ans, je décidais de me rendre femme toute seule. Il est certains légumes, même si on ne les aiment pas pour manger qui servent souvent. Je me suis servi d’un concombre: j’avais les jambes bien écartées: j’étais toute mouillée à l’idée de ce que j’allais faire. Quand j’ai posé le bout du légume sur l’entrée de du vagin, j’ai hésité longtemps pour finalement me le mettre en entier. J’ai eu mal quand il entrait pour ensuite ressentir un plaisir différent, sans arriver à jouir.
J’était libérée d’un poids: j’étais devenue une femme. Plus tard, j’ai eu des contacts nombreux avec une copine, au prénom un peu ridicule, d‘Albertine. Au début nous ne faisions que parler, parler de nos jouissances solitaires nous excitaient tant qu’il a fallut qu’un jours nous échangions nos caresses.
Je me souviens encore de notre première fois, dans sa chambre, un après midi d’été. Nous étions peu vêtues. Elle s’étais assise en tailleur sur le lit, la jupe relevée, sans culotte. Elle me montrait tout son sexe, - Regardes bien comment je fais.
- Tu veux que je te montre comment je fais aussi ?
- Non, tout à l’heure.
Elle posait sa main sur son clitoris, avec deux doigts, le majeur et l’index, elle frottait son petit bouton. Je la voyais se pencher en arrière et ses doigts s’agitaient de plus en plus vite jusqu’au moment de sa délivrance. Elle me semblait sonnée, jusqu’au moment où moi aussi je portais mes doigts dans mon intimité. C’était différent de ce quelle se faisait: je me servais et me sert toujours de l’index, du majeur et de l’annuaire réunis pour que le bouton soit caressé plus longtemps. Elle attendait que je jouisse pour me proposer de partager avec elle. Encore dans la brume de l’orgasme j’acquiesçais. De ce jour nous avons commencer une relation que certains qualifient d’amoureuse, alors que l’amour sinon physique nous est totalement étranger.
C’est moi qui l’ai dépucelée. Nous avons fait tout ce qui est possible entre filles, surtout ce qui donne du plaisir. Un jour, en plein délire sexuel elle m’a faite jouir avec notre gode légume. Je lui demandais de me le mettre aussi dans le cul. Albertine y arrivait et je trouvais aucun plaisir à avoir de sacré concombre dans le cul.
Le temps passant, je suis allée en vacance chez une tante à la campagne. J’ai passé les premiers jours à m’e…..er copieusement, jusqu’à l’arrivé de mon cousin. Il avait 5 ans de plus que moi, il était bien bâti, en plus beau comme une statue.
Entre nous est passé un brin d’attirance. Comme ça d’un coup j’ai eu envie de lui. Comme une imbécile je le lui disais. Je soir il est entré dans ma chambre pendant que je me déshabillais.
Il n’a pas attendu, il est venu m’embrasser. J’appréciais sa langue dans ma bouche, comme ses mains sur mes seins. Je pensait qu’il allais me mettre son sexe dans le mien. J’en étais déçue, sauf que c’est sa bouche qui est venue me soulager et de quelle façon. Il me léchait bien mieux qu’Albertine.
Disons que sa façon de faire était tellement différente qu’il me faisait jouir facilement. Il poussait le vice jusqu’à mettre sa langue sur mon anus. Jusque là, c’était agréable. Je craignait un suite négative. Qu’elle surprise quand sa langue est entré dans le cul. Il l’enfonçait de la moitié au moins, la faisait aller et venir. Je sentais ce nouveau plaisir monter en moi de mon ventre à ma tête: je jouissais.
Il est venu sur moi ensuite, je savais où il voulait aller, j’écartais les cuisses. Avant d’entrer il a caressé l’intérieur des cuisses, moins bien qu’Albertine, et sa bite est venu remplacer le concombre.
Qu’elle différence, j’avais un organe chaud dans le ventre, un organe qui me semblait vivre sa vie seul. En plus qu’elle plaisir il me donnait. Je le sentait en moi quand il allait et venait. Je l’ai senti encore mieux quand son sperme a giclé dans mon ventre. J’ai jouis quand j’ai senti ses spasme dans sa queue.
Pensant que c’était fin, j’étais sur point de me détacher de lui. Il n’a pas voulu. Il m’a mise sur le dos d’abord, puis en levrette. J’ai eu encore peur tant je craignais qu’il m’oblige à me faire sodomiser. C’est pourtant ce qu’il a fait: avec tant de gentillesse et de persuasion je lui ai laissé mes fesses. Il m’a demandé de mouiller l’anus avec la cyprine en me caressant avec. J’ai fait comme il, demandait, sauf que j’étais en train de me masturber le cul avec deux doigts dedans, ce qui n’étais pas désagréable du tout et que je fais régulièrement.
Ensuite il est venu sur moi. Il a tout d’abord pris les seins dans ses mains, puis le clitoris où il rencontrait ma main. Ainsi mon clitoris était branlé à deux mains, d’un homme et d’une femme.
J’ai pris sa bite pour la placer sur le cul. Qu’elle bonne impressions que de tenir une bite qui va vous transpercer un nouvel endroit.
Je sais que j’ai mal quand son gland est passé et qu’en suite j’ai éprouvé du plaisir, mieux qu’avec sa langue. Tellement mieux que j’ai joui 3 ou 4 fois.
Chaque soir nous passions au moins deux heures dans ma chambre: il me racontait des histoires où la dame aimait le preux chevalier, autrement dit nous baisions.
Il est parti avant moi. J’étais seule et je me posais des questions sur mes tendances sexuelles: Est-ce que je préfère les filles ou le hommes. Aujourd’hui encore, je n’ai pas la réponse: je suis bisexuelle, simplement.
J’était libérée d’un poids: j’étais devenue une femme. Plus tard, j’ai eu des contacts nombreux avec une copine, au prénom un peu ridicule, d‘Albertine. Au début nous ne faisions que parler, parler de nos jouissances solitaires nous excitaient tant qu’il a fallut qu’un jours nous échangions nos caresses.
Je me souviens encore de notre première fois, dans sa chambre, un après midi d’été. Nous étions peu vêtues. Elle s’étais assise en tailleur sur le lit, la jupe relevée, sans culotte. Elle me montrait tout son sexe, - Regardes bien comment je fais.
- Tu veux que je te montre comment je fais aussi ?
- Non, tout à l’heure.
Elle posait sa main sur son clitoris, avec deux doigts, le majeur et l’index, elle frottait son petit bouton. Je la voyais se pencher en arrière et ses doigts s’agitaient de plus en plus vite jusqu’au moment de sa délivrance. Elle me semblait sonnée, jusqu’au moment où moi aussi je portais mes doigts dans mon intimité. C’était différent de ce quelle se faisait: je me servais et me sert toujours de l’index, du majeur et de l’annuaire réunis pour que le bouton soit caressé plus longtemps. Elle attendait que je jouisse pour me proposer de partager avec elle. Encore dans la brume de l’orgasme j’acquiesçais. De ce jour nous avons commencer une relation que certains qualifient d’amoureuse, alors que l’amour sinon physique nous est totalement étranger.
C’est moi qui l’ai dépucelée. Nous avons fait tout ce qui est possible entre filles, surtout ce qui donne du plaisir. Un jour, en plein délire sexuel elle m’a faite jouir avec notre gode légume. Je lui demandais de me le mettre aussi dans le cul. Albertine y arrivait et je trouvais aucun plaisir à avoir de sacré concombre dans le cul.
Le temps passant, je suis allée en vacance chez une tante à la campagne. J’ai passé les premiers jours à m’e…..er copieusement, jusqu’à l’arrivé de mon cousin. Il avait 5 ans de plus que moi, il était bien bâti, en plus beau comme une statue.
Entre nous est passé un brin d’attirance. Comme ça d’un coup j’ai eu envie de lui. Comme une imbécile je le lui disais. Je soir il est entré dans ma chambre pendant que je me déshabillais.
Il n’a pas attendu, il est venu m’embrasser. J’appréciais sa langue dans ma bouche, comme ses mains sur mes seins. Je pensait qu’il allais me mettre son sexe dans le mien. J’en étais déçue, sauf que c’est sa bouche qui est venue me soulager et de quelle façon. Il me léchait bien mieux qu’Albertine.
Disons que sa façon de faire était tellement différente qu’il me faisait jouir facilement. Il poussait le vice jusqu’à mettre sa langue sur mon anus. Jusque là, c’était agréable. Je craignait un suite négative. Qu’elle surprise quand sa langue est entré dans le cul. Il l’enfonçait de la moitié au moins, la faisait aller et venir. Je sentais ce nouveau plaisir monter en moi de mon ventre à ma tête: je jouissais.
Il est venu sur moi ensuite, je savais où il voulait aller, j’écartais les cuisses. Avant d’entrer il a caressé l’intérieur des cuisses, moins bien qu’Albertine, et sa bite est venu remplacer le concombre.
Qu’elle différence, j’avais un organe chaud dans le ventre, un organe qui me semblait vivre sa vie seul. En plus qu’elle plaisir il me donnait. Je le sentait en moi quand il allait et venait. Je l’ai senti encore mieux quand son sperme a giclé dans mon ventre. J’ai jouis quand j’ai senti ses spasme dans sa queue.
Pensant que c’était fin, j’étais sur point de me détacher de lui. Il n’a pas voulu. Il m’a mise sur le dos d’abord, puis en levrette. J’ai eu encore peur tant je craignais qu’il m’oblige à me faire sodomiser. C’est pourtant ce qu’il a fait: avec tant de gentillesse et de persuasion je lui ai laissé mes fesses. Il m’a demandé de mouiller l’anus avec la cyprine en me caressant avec. J’ai fait comme il, demandait, sauf que j’étais en train de me masturber le cul avec deux doigts dedans, ce qui n’étais pas désagréable du tout et que je fais régulièrement.
Ensuite il est venu sur moi. Il a tout d’abord pris les seins dans ses mains, puis le clitoris où il rencontrait ma main. Ainsi mon clitoris était branlé à deux mains, d’un homme et d’une femme.
J’ai pris sa bite pour la placer sur le cul. Qu’elle bonne impressions que de tenir une bite qui va vous transpercer un nouvel endroit.
Je sais que j’ai mal quand son gland est passé et qu’en suite j’ai éprouvé du plaisir, mieux qu’avec sa langue. Tellement mieux que j’ai joui 3 ou 4 fois.
Chaque soir nous passions au moins deux heures dans ma chambre: il me racontait des histoires où la dame aimait le preux chevalier, autrement dit nous baisions.
Il est parti avant moi. J’étais seule et je me posais des questions sur mes tendances sexuelles: Est-ce que je préfère les filles ou le hommes. Aujourd’hui encore, je n’ai pas la réponse: je suis bisexuelle, simplement.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire tres excitante merci pour ce moment de plaisir ;)
Tu as raison, il faut prendre son plaisir quand l'envie vient, qu'importe le sexe du partenaire