Je suis devenue un(e) autre (8) - histoire érotique

C'est la douleur qui me réveille. Il fait déjà nuit. Je me lève et met ma robe et mes talons. Je sors de la chambre et va vers la lumière de la terrasse. Patrick n'est pas seul, je t'entends discuter avec un homme. Deux rencontres dans la même journée cela fait beaucoup.
Je veux être présentable. Je retourne dans la chambre. Je passe par la salle de bain pour me laver. Je contrôle mon maquillage. J'ai bien fait, il a encore coulé. Je le rectifie. Je vérifie mes pansements. Je repositionne mes prothèses. Je vais dans mon dressing pour choisir une tenue pour la soirée.
Je choisis un body string avec du satin et de la dentelle. Il est sculptant ce qui resserre mon buste. Cela accentue ma taille et fait ressortir mes seins. Il est couleur chocolat. Cela maintient le pansement de mon nombril et laisse ma fesse libre.

J'enfile une paire de dim up de la même couleur. Je mets une robe portefeuille beige et une veste en laine. La température est moins clémente qu'à notre arrivée. Je vérifie ma perruque. Une paire d'escarpin nude et me voilà partie vers la terrasse.
A mon arrivée les deux hommes se lèvent. Patrick viens me chercher pour m'accompagner jusqu'à la table du salon de jardin. Il met sa main autour de la taille et me guide
-Aline voici Pierre, c'est un amis chirurgien. Nous étions en train de parler de toi.

Pierre me fait un baise main. Je suis très agréablement surprise. C'est un homme qui doit approcher des 70 ans, 1m80, cheveux grisonnant et mince. Il est bien conservé pour son âge.

-enchantée, j'espère que vous parliez de moi en bien.
-ravis de faire votre connaissance. Oui bien sûr, Patrick me racontait vos débuts et nous parlions du futur. Vous êtes ravissante.

Patrick me serre contre lui avec une main sur mes hanches.

-tu t'es fait belle pour moi ? tu n'as pas trop mal ?
-oui je voulais te faire plaisir et te faire honneur. La fesse ça va, le nombril c'est plus douloureux.

Asseyons-nous. Il me désigne une chaise entre eux. Je m'assois. Nouvelle découverte, une robe portefeuille c'est joli et sympa mais quand on croise les jambes il faut faire très attention. Les pants de la robe glissent de chaque côté de mes cuisses et les deux hommes découvrent la lisière de mes bas.
Je veux remonter le pant droit de ma robe mais Patrick m'attrape la main. Il me regarde, me souris et fait non de la tête. Il a décidé de m'exhiber et je m'aperçois que, au lieu de me mettre mal à l'aise, son mouvement de tête m'excite. Il a raison, à son contact, je deviens une salope.
Nous grignotons des verrines en buvant du champagne. Les hommes parlent bateau, politique et travail ; j'écoute et m'instruit. Ils m'ignorent complètement mis à part la main de Patrick qui me caresse les cuisses.

-alors Pierre que penses-tu de ma femelle ?

Je reçois une claque quand j'entends le mot qu'il utilise pour me présenter. Je lui jette un regard réprobateur.

-tu as fait un très bon choix. Depuis le temps que tu cherches. Pour son mental on en parlera plus tard. Pour le physique, elle a un corps qui est déjà très féminin et qui ne demande qu'à le devenir davantage.

Il prend ma main gauche.

-regarde comme ses attaches de poignet son fin. Elle a aussi un cou long et fin. Si tout le reste est comme cela, tu obtiendras ce que tu cherches.

Patrick me fait lever. Il passe dans mon dos et retire mon gilet. Il retire la ceinture de la robe et me l'enlève. Il m'exhibe
-tu as mis le body. Tu as bien fait, il te va super bien. Pierre tu peux compléter ton jugement maintenant.
-il se lève et tourne autour de moi.

Je suis devenue une chose, un objet. J'ai honte, mais cela m'excite. Je cambre mes reins et gonfle ma poitrine. Je n'ai pas froid. Il me touche les bras et les épaules, puis les cuisses et les mollets. Il s'attarde sur mes chevilles et finis par mes fesses. Il les soupèse et les caresses. C'est le deuxième homme dans la même journée qui me voie en lingerie et qui me touche le cul. A mon corps défendant je mouille.

-parfaite, elle est vraiment parfaite. Même sa grande taille n'est pas gênante. Tu as vu comme sa croupe est très féminine. On ne voie pas de muscle saillant sur ces jambes et ses bras. Son clitoris est vraiment minuscule cela permet de très bien le camoufler. A mon avis cela ne servira à rien de l'hormoner. Il suffira juste de faire quelque ajustement.
-tu pense à quoi ?

On dirait qu'ils ont oublié que j'étais là. Ils sont au musée ou en réunion de chantier et ils parlent des futurs travaux à envisager.

-alors pour commencer épilation au laser sur tous les corps et le visage. On lui laissera juste des poils sur le pubis.
-Pour l'épilation tu peux venir ici ?
-oui bien sur j'ai du matériel transportable.
-tu es dispo jeudi.
-très bien rendez-vous jeudi-ensuite un peu de cryolipolise, une nouvelle méthode pour faire fondre les graisses avec le froid. Cela rendra son ventre tout plat et réduira sa taille pour accentuer ses hanches. Puis un régime adéquate pour qu'elle perde environ 5 kilos.
-très bien on fera cela en janvier-enfin, on pourra lui mettre des implants mammaires. Avec sa taille elle pourrait porter des jolis bonnets C ou D.
-pour ça c'est elle qui fera le choix. Si un jour elle le veut, on le fera.
-pour les hormones, tu penses que ce n'est pas nécessaires ?
-non, il faut entre 1 et 3 ans pour voir de réels changements et puis elle va avoir des sauts d'humeur et surtout une libido en berne. Ce n'est pas ce que tu veux je suppose.
-oh non tu as raison.

Et pendant tout ce temps, je suis entre eux, en body et bas, percher sur mes talons à attendre que leur conversation finisse. L'excitation est en train de tomber et je commence à avoir froid. Patrick s'en aperçoit et me met le gilet sur les épaules.

-rentrons, je ne veux pas qu'elle attrape froid.

Il me prend la taille et je le suis comme une automate. On rentre dans la maison. Il m'aide à remettre la veste qui arrive au milieu de mes fesses.

-reste comme cela tu es super appétissante.

Et voici une nouvelle façon de me définir. Je suis devenue un aliment. On s'assoie dans le salon. Il me fait m'assoir à côté de lui et son invité en face sur un fauteuil. Je pose mes fesses nues sur le canapé en cuir. Je croise haut mes jambes. Patrick met sa main sur ma cuisse. Il la descend jusque sur ma peau au-dessus de la lisière du bas.

-alors dites-moi ma chère, vous êtes travestie depuis longtemps ?
-euh, non depuis 2 jours.
-on ne le dirais pas surtout à vous voir marcher avec des talons.
-je suis moi-même surprise de me débrouiller aussi bien, peut être que dans une ancienne vie j'en ai porté.
-comment vous sentez vous …. dans votre tête ?

Patrick prend ma cuisse croisée et la décroise en la mettant sur sa jambe. Je me retrouve avec les jambes écartées. Je ressers aussitôt l'autre jambe, mais il l'écarte. Il pose sa main chaude sur l'intérieur de ma cuisse. J'ai les cuisses ouvertes face à Pierre.

-dans ma tête c'est n'importe quoi. Pour être franche, et Patrick le sais, je suis incapable de dire si ce que je vis est un rêve ou un cauchemar. Je vie un paradoxe. Il y a des moments ou je suis sereine et heureuse. Il y en a d'autre ou je suis anxieuse et effrayée.

Patrick caresse l'intérieur de mes cuisses avec douceur. Il écarte d'avantage mes jambes. Il se tourne vers moi et glisse son autre main sous mes fesses. Ses doigts atteignent ma chatte. Je suis excitée et humide. Il me caresse devant un homme qui n'en perd pas une miette. Cela me trouble au plus haut point. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir.

-c'est normal ce que vous vivez. Mais je trouve que vous l'acceptez bien. Patrick je vais te laisser parce que vous avez mieux à faire je pense. Nous reprendrons cette conversation une autre foi si vous le voulez bien. Dans un gémissement je lui réponds.
-ouiiiiiiii
Mon homme se lève pour raccompagner le docteur.

-je te rejoins dans la chambre.

Je me lève. Pierre se rapproche de moi et me fait un nouveau baise main. Il part avec Patrick. Je pars dans la chambre. J'enlève le gilet et le pansement de ma fesses. Je serais plus jolie sans. Je ne sais pas quelle position prendre. J'ai envie d'être aguicheuse mais pas trop vulgaire. Je décide me mettre sur le ventre en regardant l'entrée. Le visage dans les mains et une jambe pliée.
Il rentre dans la chambre et tamise la lumière. Il s'approche du lit, se mets à côté de moi et me caresse le dos. Sa main descend sur mon cul. Hum que j'aime cette sensation. Il la pose entre mes cuisses ; je les écarte.
Il met son index dans ma bouche, je le suce comme sa bite. Il déplace le petit bout de tissus qui cache ma chatte. Il appuis son doigt, elle s'ouvre, il rentre.

-hum, j'avais envie de te sentir en moi
Je cambre ma croupe pour qu'il me pénètre plus profond.

-le tatouage est vraiment bien réussis. Il est encore rouge mais dans 5 jours ce sera bon. Tu aimes ?
-ouiiii-je parlait du tatouage cochonne-aussiiiiii
Il ouvre son pantalon et sors sa bite. Je me rapproche de lui et la mets dans ma bouche. Elle est douce et chaude. J'aime son goût, elle a un mélange de son parfum et de son odeur de male. Il met un deuxième doigt dans ma chatte. J'adore qu'il utilise mon corps.
Il retire sa bite de ma bouche et le lève. Il se déshabille complètement. Il m'attrape par les hanches et me tire au bord du lit. Je suis à quatre patte au bord du lit avec mes pieds dans le vide. Il écarte mes fesses, fait sauter les pressions du body et me bouche ma chatte. Je pousse mon cul contre sa bouche pour sentir plus fort sa langue.

-oui bouche moi la chatte, j'adore sentir ta langue, encore.

Il laisse ma chatte tranquille. Il met son gland à l'entrée de mon intimité. C'est moi qui pousse ma croupe en arrière pour recevoir son membre. Il me pénètre d'un coup. Il me tient par les hanches. Il attend. Il commence à me donner des coups de bassin. Sa bite presque en entier puis rentre d'un coup.

-c'est encore meilleur, défonce moi
Il me prend la taille et besogne ma chatte.

-prend ça salope. Tu m'as excité toute la journée. Tu aimes t'exhiber devant des hommes ?
-hum, j'aime te plaire et t'obéir-ouiii, mais dis-moi si ça t'excite-ouiii j'ai mouillé à chaque fois
Son bassin me donne des coups plus violents. Je ne peux plus accompagner ses mouvements. Je ne peux que subir ses assauts.

-je le sens ta chatte est toute ouverte, chaude et humide. Hum; ça t'excite d'imaginer appartenir à d'autre homme ?
-ouii, euhhh, je ne sais pas ; encore, oui, plus fort !

Des images traversent mon esprit, moi avec la bite de Pierre dans ma bouche et celle de Patrick dans la chatte. Une autre image où Franck me défonce pendant que je suis dans ses bras et Patrick me regarde en se branlant.

-alors SALOPE répond !
-ouiiii çà m'excite, je ferais ce que tu veux, ouiiii, je suis à toi.

Je deviens folle, je suis une vraie salope, ce n'est pas possible. Qu'es ce qu'il a fait de moi en peu de temps ? je me cambre, je le veux encore plus profond. Ces couilles tape sur mon périnée. Je l'entends ahaner. Il se cambre, me tire vers lui. Il se vide en moi. Les mouvements saccadés de sa bite me déclenchent un orgasme dévastateur. J'hurle mon plaisir dans une longue plainte. Il se retire. Je m'écroule sur le lit. Je constate que mon clito n'a pas éjaculé.
Il m'enlève mes escarpins et mes bas. Il m'aide à remettre les pressions du body. Je me glisse sous la couette. Il s'allonge à mes côtés. Je pose ma tête sur son torse
-tu as été génial, je n'ai jamais joui comme cela. Merci mon homme-toi aussi tu es géniale. Tu es faite pour moi. Tu viens d'avoir un orgasme grâce à ta prostate. Tu pourras avoir des jouissances sans ton clito maintenant. Dis-moi, tu n'aurais pas joui aussi fort à cause de ma question ?
-si je l'avoue, ça m'a excité. Tu veux me voir faire l'amour avec d'autre ?
-oui je l'avoue. Mais pas tout de suite. C'est moi qui choisira qui, quand et comment-comme tu voudras, moi je veux être à toi-dors ma belle, on a encore une grosse journée demain.

Je m'endors sur ses pectoraux. Je suis tellement bien.