Je suis devenue voyeuse : 3 - histoire érotique

À partir de ce chapitre trois, les événements que je raconte sont fantasmés que dans les deux premiers qui eux étaient assez proche de la réalité. Je laisse aux lectrices et lecteurs la recherche du vrai et de ce que j’ai inventé. D’ailleurs ces inventions m’ont créées quelques satisfactions. Écrire m’a provoqué de réelles excitations.
Ma quasi-obsession de regarder des sexes d’hommes m’interroge : est-ce normal docteur ? Et puis lorsque j’allume mon ordi pour aller sur un site, je n’ai plus de retenue mais que de l’excitation. Et depuis que Jules vient s’exhiber devant moi, je suis comblée. J’ai des orgasmes très fréquents, très variés et très forts. J’allume mon ordi et je ne peux pas m’empêcher d’aller sur un des grands sites de vidéos x. En tapant Solo male par exemple, je vois beaucoup de bites : c’est pas mal mais on ne voit pas toujours les visages. Les bites c’est bien mais le mec en entier, c’est mieux. Surtout lorsque leur visage se déforme quand ils jouissent. Le grand classique, c’est la bouche ouverte. Et puis il y a les gueulards. Ça m’impressionne d’entendre le mec gueuler alors que je regarde sa queue envoyer une belle giclée en l’air. Je regarde une vidéo ou l’homme se masturbe dans sa voiture. Il a placé sa caméra (plutôt qu’un portable car les images sont de très bonne qualité) au niveau des pédales. Je vois en premier plan sa bite de belle taille, pas longue mais très trapue avec des veines très saillantes. Derrière je peux observer sa tête. C’est un homme dans la force de l’âge, aux cheveux et à la moustache grisonnants. Lorsqu’il commence à être près de la fin, il s’anime. Il branle, il s’arrête … Il fait durer. À un moment donné, je vois sa respiration se bloquer de temps en temps ; des pensées excitantes commencent à me traverse l’esprit : « il va jouir dans sa voiture le cochon ! Il a des belles couilles ! Elles doivent être dures et bien pleines !» J’ai la main dans ma culotte. J’enlève mon pantalon et vire sa culotte. Je suis beaucoup plus à l’aise. L’homme commence à parler de plus en plus fort en anglais : « Yes ! Yes ! I come ! Spunk ! spunk ! » Je vais faire des progrès en Anglais ! Je regarde une belle giclée partir à la verticale et atterrir sur son tee-shirt. Il crie fort un son bizarre du genre ; « Euh AAAAAAHH ! EUH ! Euh ! » Une autre giclée arrive sur son siège. Excitée comme je suis-je me dis que j’aurais bien nettoyé son siège de voiture ; il doit être bien taché car il doit se branler souvent en voiture. « Je suis cochonne. » Je conclus juste avant de jouir en voyant sa bite continuer envoyer le sperme qui coule le long de sa queue avant de s’étaler sur ses couilles.
Vendredi matin, je me prépare à une belle journée de farniente quand Jules m’appelle. « Est-ce-que je peux aller profiter de ta piscine ?
-Viens en fin de matinée. Apporte un pique-nique, on mangera ensemble.
-J’aurai une petite surprise.
Tout de suite je comprends le domaine de la surprise. « Il ne va quand même pas venir avec un copain à lui ! » Je ne dis pas non mais je n’en mène pas large lorsque j’entends la sonnette du portail.
-On vient se baigner avec toi. Je te présente Clément, un ami de longue date.
Jules me met la main au cul ; ça ne me plaît pas. Mais je suis curieuse de ce qui va se passer. Nous échangeons des banalités. Clément a un sac de piscine t une jolie petite valise sans doute pour son repas. C’est un homme costaud. En tout cas une chose est certaine ; je marche derrière lui et je vois qu'il a des fesses bien rondes qui ont l'air bien musclées. Ça me plaît. Il a aussi un assez gros ventre.
-Je suis venu avec Clément ; il met toujours de la bonne humeur partout où il va. Dès que je lui ai parlé du plaisir que tu as à regarder des sexes d'homme il a tout de suite été intéressé. Pas vrai Clément ?
Nous nous mettons tous les trois en maillot de bain et Jules et Clément se débrouillent pour se placer juste en face de moi. Évidemment tous les deux portent des maillots de bain très moulants. J'ai un deux pièces.
-On fait du naturisme ? demande Jules.
-Pourquoi pas.
Immédiatement, Clément baisse son maillot. Je le fixe ; il a le maillot plein.
-attendez Madame, me dit Clément. Vous permettez que je vous aide ?
il s'avance à vers moi sans attendre ma réponse et me dégrafe le soutien-gorge. Ensuite il s'accroupit devant moi. Sa tête est au niveau de mon ventre. il passe deux doigts dans l'élastique de mon maillot et le baisse lentement. Me faire baisser la culotte par un homme que je ne connais pas il y a quinze minutes me fait très bizarre ; mais ce n'est pas désagréable. Il a le nez tout près de mon entrejambe. Et c'est un bavard.
-Ah j'aime ça, c'est super agréable surtout de découvrir une belle touffe noire comme vous en avez. Vous me faites bander madame.
-Elle s’appelle Isabelle fait remarquer Jules puis, s’adressant à moi. Isabelle, tu vas pouvoir mater tant que tu veux en te faisant plaisir ; on est là pour ça.
-oui, surtout qu'on est en état de satisfaire votre fantasme.
j'observe surtout Clément. il en a une pas très longue, un peu recourbée et épaisse. Lorsqu'il s'allonge sa queue est presque au repos. je remarque qu’il a les couilles très poilues : beau spectacle ! Je préfère les hommes nature, avec leurs poils, comme moi. J’ai en face de moi ce que je regarde d’habitude sur les sites pornos en direct. Ils me regardent. Je n'hésite pas longtemps avant de mettre ma main entre mes jambes. tout de suite ils font la même chose et mon excitation monte d’un cran.
-Vous ne me connaissez pas Madame mais je peux vous dire quelque chose qui va vous intéresser. dans la vie il y a des sportifs lanceur de poids lanceur de disques où lanceur de marteau. moi dans mon genre je suis aussi un lanceur mais je suis un lanceur de sperme. Vous allez voir ça tout à l'heureIl a de l'humour le Clément mais ce n’est pas ce qui m'intéresse. les deux hommes me fixent ; je les fixe. Jules se branle lentement et sûrement, un peu comme moi. Je vois Clément fouiller dans son sac et sortir …