Je suis une grose salope - 12
Récit érotique écrit par Streettriple77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Je suis une grose salope - 12
Le lendemain de la rencontre avec mon enculeur des environs d’Orléans, je prenais la
route pour le Maine-et-
Loire à la rencontre d’un autre mec désireux de me faire connaître les plaisirs de
Sodome. Le ton de nos
échanges en messagerie était très différent, c’était un dialogue entre deux amoureux,
il était en manque de
tendresse en plus de la recherche d’une femelle, et cela m’avait séduit. A dire la
vérité, j’ai eu du mal à
m’endormir les nuits précédant notre rencontre et seule une bonne branlette en pensant
à lui m’a permis de me
calmer.
Une fois le trajet effectué (300 km, il faut vraiment que j’aime me faire enculer),
j’arrive chez lui et après un
guidage par portable, je trouve enfin sa maison.
Sa description était fidèle, je me trouve face à un colosse de près d’un mètre quatre-
vingt-dix et il ne doit pas
faire beaucoup moins des cent kilos annoncés. Ses mains sont de vrais battoirs, je
m’imagine déjà blotti entre
ses bras, je me régale à l’avance de ses mains sur mon corps.
Nous nous embrassons, d’abord amicalement, puis bien vite, les bisous amicaux se
transforment en pelles
amoureuses. Je lui suce les lobes des oreilles, il m’embrasse dans le cou, nous nous
serrons l’un contre l’autre,
je deviens complètement folle de désir, je me frotte contre lui en lui murmurant des
mots d’amour, j’ai vraiment
envie de me donner à lui, de lui donner mon corps, d’être sa femme, sa chienne.
Nous passons dans sa chambre et très vite, nous sommes tous les deux nus comme des
vers, prêts à l’action.
Nous nous étendons sur le lit et recommençons à nous caresser, follement,
amoureusement, comme deux
amants, ce que nous sommes vraiment à cet instant. Je ne me contrôle plus, je me
lâche, je le supplie de me
prendre, de jouir en moi.
Je le caresse, je lui suce les tétons, j’embrasse son cou, ses bras, j’hume ses
aisselles, je les lèche, j’embrasse
son ventre, je titille son nombril, ma langue descend plus bas, je lèche sa queue,
déjà très dure, je vais me
régaler !
Ses couilles sentent assez fort mais cela m’excite plutôt et je les lèche
furieusement, je les gobe, je les malaxe
avec ma langue, je le branle avec une main pendant que l’autre le caresse, je lui
lèche les couilles, elles ont bien
pleines, sa queue me fascine, je le supplie à nouveau de me pénétrer, de me prendre,
de jouir dans mon ventre,
de me bourrer la chatte.
Il ne reste pas inactif et me caresse partout lui aussi. IL me doigte l’anus, je
grogne de plaisir, il insiste et me
met un deuxième doigt.
Il entreprend de va-et-vient dans mon anus, je suis aux anges.
Je lui demande comment il souhaite me prendre, il me répond que la levrette lui plaît
bien, je m’exécute et me
mets à quatre pattes, les fesses bien cambrées, la tête sur l’oreiller.
Il me pénètre presque brutalement, sa queue tient toutes ses promesses, elle est bien
dure, il me remplit bien et
ses mouvements rapides, ponctués de grognements, m’excitent particulièrement. Il me
besogne longuement, ses
cuisses claquent contre mes fesses, j’ai le cul en feu mais c’est divin. Cette
enculade est la meilleure que j’ai
jamais endurée et j’en redemande, je le supplie de me défoncer, de cracher son foutre
dans mon ventre, de me
traiter comme une salope. Je suis déchaîné, lui aussi et il me défonce vraiment mais
c’est incroyablement bon.
Il pèse sur mon dos de tout son poids et bientôt, je m’affale sur le ventre pendant
qu’il continue ses
mouvements entre mes fesses. Au bout d’un temps qui me semble à la foi interminable et
à la fois trop court
tant j’aime ce qu’il me fait, il jouit bruyamment en moi et nous restons quelques
minutes sans bouger, sa queue
toujours enfouie en moi.
Quand il se retire, doucement, j’en redemande tellement il m’a fait du bien.
Une fois la capote retirée, il revient se coucher à mes côtés et recommence ses
caresses ; je ne suis pas en reste
mais comme j’ai envie de jouir à mon tour, je lui demande de me caresser la rosette, «
ma chatte », pour me
faire du bien.
Il ne se fait pas prier et m’introduit un doigt dans l’anus. Il s’en sert comme d’une
queue et je lui demande de
lubrifier un peu mon orifice car son doigt est à l’image de sa queue, dure et large.
Il me tartine l’anus de
lubrifiant et me doigte à nouveau. En bonne salope que je suis, je lui dis «mets m’en
un deuxième, s’il te plaît».
Puis je réclame un troisième doigt, puis un quatrième. Il faut dire que je suis très
dilaté et que le fist est ma
caresse préférée, alors seulement quatre doigts, c’est à peine un hors d’oeuvre !
Je l’interroge quand même :
« Tu aimes me mettre tes doigts dans le cul ? »
« Oui, beaucoup ».
« Tu veux bien me mettre ta main dans le cul ? »
« Je ne l’ai jamais fait »
« S’il te plaît, mets la moi…. »
Il commence à m’introduire un cinquième doigt mais sa main est tellement grosse
qu’elle butte à l’entrée de ma
chatte.
« Mets du lubrifiant mon chéri, j’en ai tellement envie… »
Il s’exécute et reprend son intromission.
Je pousse comme pour aller à la selle, il pousse de son côté, je me branle en même
temps, tous nos effort
conjugués portent enfin leurs fruits, sa main rentre d’un coup dans mon anus, je la
sens en moi, je suis
complètement distendu, il me remplit le ventre.
C’est tellement bon que je n’ai pas besoin de me caresser longtemps la queue pour
éjaculer en hurlant. La
jouissance est tellement forte que le jet de sperme m’arrive jusqu’au menton.
Après quelques minutes, il retire sa main de mon derrière, doucement, le laissant
béant ouvert et va se laver.
Quand il revient, ma corolle s’est refermée, elle est très élastique, heureusement
pour moi.
Nous nous quittons enfin après nous être encore câlinés un bon moment sous les draps,
comme deux amoureux.
Sûr que nous nous reverrons, sûr que je me donnerais encore à lui, sûr qu’il me
donnera encore plus de plaisir.
route pour le Maine-et-
Loire à la rencontre d’un autre mec désireux de me faire connaître les plaisirs de
Sodome. Le ton de nos
échanges en messagerie était très différent, c’était un dialogue entre deux amoureux,
il était en manque de
tendresse en plus de la recherche d’une femelle, et cela m’avait séduit. A dire la
vérité, j’ai eu du mal à
m’endormir les nuits précédant notre rencontre et seule une bonne branlette en pensant
à lui m’a permis de me
calmer.
Une fois le trajet effectué (300 km, il faut vraiment que j’aime me faire enculer),
j’arrive chez lui et après un
guidage par portable, je trouve enfin sa maison.
Sa description était fidèle, je me trouve face à un colosse de près d’un mètre quatre-
vingt-dix et il ne doit pas
faire beaucoup moins des cent kilos annoncés. Ses mains sont de vrais battoirs, je
m’imagine déjà blotti entre
ses bras, je me régale à l’avance de ses mains sur mon corps.
Nous nous embrassons, d’abord amicalement, puis bien vite, les bisous amicaux se
transforment en pelles
amoureuses. Je lui suce les lobes des oreilles, il m’embrasse dans le cou, nous nous
serrons l’un contre l’autre,
je deviens complètement folle de désir, je me frotte contre lui en lui murmurant des
mots d’amour, j’ai vraiment
envie de me donner à lui, de lui donner mon corps, d’être sa femme, sa chienne.
Nous passons dans sa chambre et très vite, nous sommes tous les deux nus comme des
vers, prêts à l’action.
Nous nous étendons sur le lit et recommençons à nous caresser, follement,
amoureusement, comme deux
amants, ce que nous sommes vraiment à cet instant. Je ne me contrôle plus, je me
lâche, je le supplie de me
prendre, de jouir en moi.
Je le caresse, je lui suce les tétons, j’embrasse son cou, ses bras, j’hume ses
aisselles, je les lèche, j’embrasse
son ventre, je titille son nombril, ma langue descend plus bas, je lèche sa queue,
déjà très dure, je vais me
régaler !
Ses couilles sentent assez fort mais cela m’excite plutôt et je les lèche
furieusement, je les gobe, je les malaxe
avec ma langue, je le branle avec une main pendant que l’autre le caresse, je lui
lèche les couilles, elles ont bien
pleines, sa queue me fascine, je le supplie à nouveau de me pénétrer, de me prendre,
de jouir dans mon ventre,
de me bourrer la chatte.
Il ne reste pas inactif et me caresse partout lui aussi. IL me doigte l’anus, je
grogne de plaisir, il insiste et me
met un deuxième doigt.
Il entreprend de va-et-vient dans mon anus, je suis aux anges.
Je lui demande comment il souhaite me prendre, il me répond que la levrette lui plaît
bien, je m’exécute et me
mets à quatre pattes, les fesses bien cambrées, la tête sur l’oreiller.
Il me pénètre presque brutalement, sa queue tient toutes ses promesses, elle est bien
dure, il me remplit bien et
ses mouvements rapides, ponctués de grognements, m’excitent particulièrement. Il me
besogne longuement, ses
cuisses claquent contre mes fesses, j’ai le cul en feu mais c’est divin. Cette
enculade est la meilleure que j’ai
jamais endurée et j’en redemande, je le supplie de me défoncer, de cracher son foutre
dans mon ventre, de me
traiter comme une salope. Je suis déchaîné, lui aussi et il me défonce vraiment mais
c’est incroyablement bon.
Il pèse sur mon dos de tout son poids et bientôt, je m’affale sur le ventre pendant
qu’il continue ses
mouvements entre mes fesses. Au bout d’un temps qui me semble à la foi interminable et
à la fois trop court
tant j’aime ce qu’il me fait, il jouit bruyamment en moi et nous restons quelques
minutes sans bouger, sa queue
toujours enfouie en moi.
Quand il se retire, doucement, j’en redemande tellement il m’a fait du bien.
Une fois la capote retirée, il revient se coucher à mes côtés et recommence ses
caresses ; je ne suis pas en reste
mais comme j’ai envie de jouir à mon tour, je lui demande de me caresser la rosette, «
ma chatte », pour me
faire du bien.
Il ne se fait pas prier et m’introduit un doigt dans l’anus. Il s’en sert comme d’une
queue et je lui demande de
lubrifier un peu mon orifice car son doigt est à l’image de sa queue, dure et large.
Il me tartine l’anus de
lubrifiant et me doigte à nouveau. En bonne salope que je suis, je lui dis «mets m’en
un deuxième, s’il te plaît».
Puis je réclame un troisième doigt, puis un quatrième. Il faut dire que je suis très
dilaté et que le fist est ma
caresse préférée, alors seulement quatre doigts, c’est à peine un hors d’oeuvre !
Je l’interroge quand même :
« Tu aimes me mettre tes doigts dans le cul ? »
« Oui, beaucoup ».
« Tu veux bien me mettre ta main dans le cul ? »
« Je ne l’ai jamais fait »
« S’il te plaît, mets la moi…. »
Il commence à m’introduire un cinquième doigt mais sa main est tellement grosse
qu’elle butte à l’entrée de ma
chatte.
« Mets du lubrifiant mon chéri, j’en ai tellement envie… »
Il s’exécute et reprend son intromission.
Je pousse comme pour aller à la selle, il pousse de son côté, je me branle en même
temps, tous nos effort
conjugués portent enfin leurs fruits, sa main rentre d’un coup dans mon anus, je la
sens en moi, je suis
complètement distendu, il me remplit le ventre.
C’est tellement bon que je n’ai pas besoin de me caresser longtemps la queue pour
éjaculer en hurlant. La
jouissance est tellement forte que le jet de sperme m’arrive jusqu’au menton.
Après quelques minutes, il retire sa main de mon derrière, doucement, le laissant
béant ouvert et va se laver.
Quand il revient, ma corolle s’est refermée, elle est très élastique, heureusement
pour moi.
Nous nous quittons enfin après nous être encore câlinés un bon moment sous les draps,
comme deux amoureux.
Sûr que nous nous reverrons, sûr que je me donnerais encore à lui, sûr qu’il me
donnera encore plus de plaisir.
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