Je suis une grosse salope - 28

- Par l'auteur HDS Streettriple77 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Je suis une grosse salope - 28 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Je suis une grosse salope - 28
Il y a quelques jours, je suis entré en contact avec un jeune mec intéressé par mon annonce « cherche fist ».

Vendredi matin, après avoir convenu d’un rendez-vous, nous nous sommes retrouvés devant le Campanile de Melun. Je vais réserver la chambre (paiement en liquide, bon pour la discrétion !) puis je retourne sur le parking.

Il m’attend devant sa voiture, c’est un jeune en effet, barbu, grand, très grand, ça promet question pointure de main…

Nous montons à l’étage et rentrons dans la chambre. Je ferme la fenêtre pour la discrétion, j’ai l’habitude de manifester bruyamment mon plaisir, puis je me déshabille.

Pendant ce temps il est allé dans la salle de bains pour se laver les mains. Quand je le rejoins, il est en train d’enfiler une paire de longs gants en latex noir.

Je l’interroge :

« Tu as déjà fisté quelqu’un ? »

« Oui, ma copine ».

« La chatte ou le petit trou ? »

« Les deux »

« Et elle a aimé ? »

« Par devant oui mais derrière, je n’ai pas pu la pénétrer complètement ».

Je me mets à quatre pattes sur le lit, un oreiller sous mon ventre pour bien me caler.

Il s’approche de moi et commence à me tartiner la raie avec un lubrifiant, c’est froid mais la caresse est tellement bonne que je commence à grogner.

Il continue à me caresser puis me met un doigt, avec une douceur incroyable, s’il me fiste pareil, je vais me régaler.

Un doigt, puis deux, ce type est une merveille de douceur, je gémis à présent sans arrêt tant c’est bon.

Je lui demande où il en est, il me répond :

« Quatre doigts, ça va ? »

Pour un peu je l’embrasserais ! Pour toute réponse je me cambre un peu plus et pousse pour mieux l’engloutir.

A un moment, il s’arrête, je sens que je suis ouvert au maxi, sa main va rentrer. Je lui demande de se retirer un peu puis de revenir à l’assaut.

Il obéit et d’un coup, ma poussée aidant, je sens sa main me pénétrer toute entière et me remplir le ventre. Ceux qui connaissent le fist comprendront mon bonheur et ce sentiment magnifique d’être rempli, d’avoir le ventre envahi.

Je crie de bonheur et lui demande de bouger, de me défoncer le cul, de se faire, de me faire du bien. Tous mes muscles sont relâchés, j’en pisse sur le lit sans pouvoir me contrôler. Heureusement que je me suis administré un bon lavement avant de venir, sur sa demande d’ailleurs, car on ne serait pas passé loin de la catastrophe.

Il tourne sa main, me fouille, fait des va et vient dans mon cul, je suis au bord de l’orgasme. Ce type est une affaire question fist !

Pendant de longues minutes, il me défonce doucement, me demandant sans arrêt si c’et bon, s’il ne me fait pas mal, au contraire je l’encourage à m’ouvrir davantage, à accélérer le mouvement, à me prendre comme il baiserait une fille.

Puis je commence à ressentir une gêne dans le ventre, comme un besoin d’aller à la selle, il faut dire qu’il a d’énormes mains et qu’elles me font l’effet d’un bon laxatif mécanique.

Je lui demande d’arrêter, il se retire doucement de ma chatte et je sens mon petit ( !) trou qui goûte sur le drap : Je suis tellement ouvert que le lubrifiant sort tout seul de mon ventre.

Pendant qu’il se nettoie dans la salle de bains, je reste immobile sur le lit, je sens mon anus qui palpite encore puis se referme peu à peu.

Il revient dans la chambre, je le remercie, lui demande s’il ne veut pas faire autre chose, dans mon esprit le sucer, lui bouffer le cul, tout ce qui lui ferait plaisir, mais il est satisfait et après une bonne poignée de mains, il s’en va retrouver sa copine, la veinarde, me laissant seul.

Après quelques instants de repos, je décide de me faire du bien car je n’ai pas encore joui.

Je sors mon gros gode de 8,5cm de diamètre, je le lubrifie bien, mon cul ce n’est pas nécessaire après une telle séance.

Je m’empale dessus en gémissant, je m’imagine que c’est mon jeune mec qui m’encule, allongé sous moi. Je m’escrime longuement mais il m’a tellement irrité le conduit que je renonce finalement à jouir et rentre chez moi après avoir nettoyé le drap et le sol maculés de lubrifiant et de ma mouille anale.

L’après-midi, dans ma douche, je recommence la séquence gode et finalement je jouis en hurlant, le cul complètement distendu et rempli de mon joujou. Ca ne vaut pas une belle queue mais c’est très bon quand même. Et puis trouver une queue d’un tel diamètre, ce n’est pas évident après tout.

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