Je suis une grosse salope - 18 et 19

- Par l'auteur HDS Streettriple77 -
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Récit libertin : Je suis une grosse salope - 18 et 19 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Je suis une grosse salope - 18 et 19
--- 18

Poursuite de mes rencontres avec mon mec ! Ce matin, après près de quinze jours
d'abstinence, je suis allé chez
lui. Pour rajouter à mon excitation et bien lui montrer que j'étais une vraie salope,
toujours prête à se faire
baiser, je suis allé chez lui vêtu simplement d'un blouson, d'un pantalon et de
chaussures, exit donc tout sousvêtement.

Arrivé dans son appartement, je me suis mis instantanément à poil et nous nous sommes
allongés sur le lit.

Je l'ai caressé partout et l'ai pris en bouche. C'est d'ailleurs le premier mec à qui
je fais des sucettes sans
capotes, celles-ci servant juste à la pénétration et à la jouissance en moi.

Pendant que je le suçais et lui caressais les couilles, il me doigtait, de plus en
plus profondément et de plus en
plus fort. A tel point que bien vite je lui ai demandé de me lubrifier pour mieux me
prendre.

Puis je me suis mis à califourchon au dessus de lui, plus clairement en 69, et il m'a
administré une feuille de
rose à hurler de plaisir, ce dont je ne me suis pas privé, pendant que je le pompais
de plus en plus rapidement, et
que sa queue devenait de plus en plus dure.

Une fois son membre à point, il m'a fait mettre en levrette et m'a enculé d'un coup.
Il m'a besogné pendant de
longues mais divines minutes, me donnant de temps en temps une bonne claque sur les
fesses. J'étais au
septième ciel tellement c'était bon. Il n'a pas une queue de taille extraordinaire
mais sait très bien s'en servir.
Quand il a joui dans mon ventre (et dans sa capote !), j'étais moi-même au bord de la
jouissance.

Puis il a commencé à me fister, assez brutalement comme d'habitude, mais j'aime cela
de plus en plus. Une fois
sa main rentrée dans mes fesses, il a commencé à me pistonner, doucement au début puis
en sortant et rentrant
sa main de mes fesses de plus en plus vite, à tel point que je sentais mon anus rester
ouvert entre chaque
pénétration.

Au début, je me branlais pendant qu'il me fistait, puis j'ai arrêté pour mieux
profiter de l'enculade. Jamais je
n’avais été autant dilaté et j'étais aux anges.

Au bout d'un temps hélas trop court, car un fist est toujours trop court, du moins à
mes yeux, il a ressorti sa
main, je devrais dire son bras car ainsi qu'il me l'a montré, il m'avait pénétré
jusqu'à plus de la moitié de son
avant bras.

Vivement la prochaine visite, je dois dire que si cela était possible, je le verrais
bien tous les jours.

De retour chez moi, je me suis fini avec mon gode géant, en pensant à mon amant.




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Reprenant mes habitudes, je suis allé voir mon mec à Meaux. Je n'avais pas profité de
sa queue depuis
novembre, inutile de dire que j'étais impatient.

Arrivé chez lui, effeuillage et direction la chambre et le lit, où il m'attend, nu
allongé sur le dos.

Je prends sa queue en bouche sans attendre et commence à la déguster. Elle est déjà de
belle taille au repos, le
gland légèrement apparent sous le prépuce et je me régale. Je la suce, je la lèche,
elle durcit, elle sent bon le
mâle, avec un petit fumet de pisse, bref un régal. Je lèche ses couilles, les gobe,
les fais rouler entre mes lèvres,
il apprécie.

Il apprécie mais ne reste pas inactif. Dès que je me suis couché près de lui, il a
commencé à me doigter le cul, à
sec d'abord, puis lubrifié par ma mouille. Il fait des va-et-vient et je grogne de
plaisir, je le suce de plus en fort,
tout excité par ce qu'il me fait.

J'arrête ma sucette et lui demande de me prendre mais pour toute réponse, il me
pénètre plus profondément la
rosette puis me fait mettre à califourchon au dessus de lui, dans un parfait 69 et se
met à me bouffer le cul.

Sa langue me transperce la rondelle, elle est dure et rentre en moi comme une queue,
il n'y a pas à dire, il sait y
faire et je ne peux m'empêcher d'arrêter ma pipe tellement ses caresses me font du
bien.

J'ai le trou du cul tout mouillé et il continue à me dévorer, tantôt rentrant sa
langue, tantôt tirant les bords de ma
chatte avec les lèvres. C'est insupportable et j'insiste en hurlant presque :

"Prends moi, défonce moi le cul, c'est trop bon, s'il te plaît encule moi !"

Il arrête de me lécher, se redresse et me fait mettre à quatre pattes.

Il enfile une capote, dépose une noix de lubrifiant sur ma raie, rien que cela
m'excite la sensation qu'on me
prépare pour la pénétration, comme une bonne salope que je suis.

Puis il me prend par les hanches, pose sa queue contre mon trou et me pénètre d'une
poussée énergique. Il est au
fond de mon cul d'un seul coup, son ventre claque contre mes fesses, je suis enfilé
jusqu'au coeur, comme un
poulet sur une broche, et j'avoue adorer faire le poulet !

Il commence à me baiser, lentement, puis il accélère ses mouvements, je suis aux
anges. De temps en temps, je
remue la croupe pour mieux m'empaler sur sa queue. Il m'agrippe les hanches, je grogne
de douleur mai il s'en
fout complètement, tout à la possession de ma chatte.

Il me défonce à présent de toute sa force, et il en a le bougre. Je ne suis plus qu'un
trou à sa disposition, je
gémis, je hurle presque, que c'est bon de se faire enculer, de jouer les femelles
salopes.

Il donne soudain un coup de reins plus brutal que les autres et je sens qu'il vient de
décharger en moi. Quel
dommage que nous soyons obligés de baiser "couverts", je suis sûr que de sentir son
sperme envahir mon
ventre doit être une sensation que je ne connaîtrais malheureusement jamais.

Il reste quelques secondes fichés dans mes fesses, je lui caresse la hanche d'une
main, le remercie de m'avoir
bien baisé, puis il se retire pour aller se laver.

J'en fait autant, nous discutons de choses et d'autres puis je le quitte, pensant déjà
au prochain rendez-vous avec
lui.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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