Je suis une salope
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Je suis une salope
Il m’a quitté pour une gourde blonde, jeune, jolie qui devrait baiser comme un fer à repasser. Tant pis pour lui et pour elle. Je vais me venger à ma façon. Je ne rumine pas longtemps. Quand je décide une chose, je la fait : je suis d’origine corse. La vendetta me connait.
Pour moi la meilleure façon de faire payer par un autre est de commencer par le sexe. Je ne suis pas mal faite puisque je donne envie à des jeunots. Alors je ne vais pas leur faire de mal.
Avant d’aller plus loin je paie les services d’une escorte-girl pour apprendre comme il faut les rudiments du saphisme. Depuis longtemps je suis attirée par les filles, sans jamais pouvoir satisfaire ce penchant. Libre je fais ce que je veux, même si j’aime bien avoir une bite en moi ou déguster une bonne dose de sperme.
Je cherche donc l’accompagnatrice féminine, ce qui est assez dur. Finalement j’ai enfin rendez vous dans un café vers 22 heures. La fille jeune encore, à peine 25 ans, me parait forts belle et sexy, même si c’est la première fois que je vois une véritable lesbienne ou au moins déclarée telle. Je pensais trouver une femme aux chevaux courts à l’allure masculine. C’est une véritable poupée qui vient vers moi. Deux baisers sur les joues pour faire connaissance. Je glisse le chèque dans son sac.
- Que veux tu qu’on fasse, chérie ?
- Tout ce que te sais faire.
Elle me tutoie, pourquoi je vais me gêner. Nous allons chez elle, un petit chez soi bien confortable, avec un grand séjour, une chambre, une cuisine et certainement des toilettes et une salle de bain.
Nous sommes à peine entrée qu’elle m’embrasse sur la bouche d’un baiser qui ma laisse pantoise de surprise tellement elle me fait du bien. Elle embrasse bien mieux que beaucoup d’homme.
Après avoir cherché mes seins, elle commence à me déshabiller lentement en caressant au fur et à mesure. Finalement elle fait comme un homme sauf que ses mains sont bien plus tendres et douces.
- Viens avec moi te laver.
- Je peux le faire seule.
- Non, je dois me laver aussi.
Je la suis ans la salle de bains ou devant moi elle est nue. Je regarde ce corps magnifique consacré aux plaisirs des femmes.
Elle me fait assoir sur le bidet, passe ses mains rapidement sur mon sexe ; le savonne juste ce qu’il faut. Je pense que si elle pouvait me masturber maintenant ce serait bien. Elle me rince les fesses avant de me faire lever pour m’essuyer. Elle prend ma place, m’attire vers elle pour passer sa langue vite fait sur le peu de lèvres qui dépassent. Elle m’excite totalement.
Nous sortons nues pour aller dans la chambre. Je remarque qu’elle a une belle collection de godes. J’en suis étonnée. Elle m’embrasse à nouveau me colle contre son corps. C’est agréable de sentir ses seins presque contre les miens. Elle s’assoit au bord du lit, me fait venir sur ses genoux pour me caresser les cuisses, surtout la partie interne. Très doucement elle monte vers mon paradis. Sa main connait parfaitement tous les arcanes d’un sexe de femme.
- Je vais te branler. C’est ta première fois ?
- Oui, tu es la première fille à me faire l’amour.
- Ce n’est pas l’amour encore. Jouis bien.
Sa bouche se colle encore à la mienne, nos langues jouent un moment pendant que les doigts fouillent. Mon clitoris devient sa cible préférée. Elle me branle à sa façon, sans que je sache exactement ce qu’elle fait. Elle me fait du bien comme rarement. Je m’abandonne dans ses bras. C’est bon. Je jouis trop vite.
Je cherche à mon tour son sexe qu’elle semble me cacher. Elle me fait assoir à coté d’elle et là, elle recommence à me branler. Je peux à mon tour la masturber. Je pars encore une fois : elle aussi jouit, je le sens bien. Elle est là pour mon plaisir et le sien aussi. Elle s’accroupi devant mes jambes écartées. Sa tête passe chercher son coin entre mes cuisses. Sa langue est douce sur ma chatte pendant qu’un doigt se faufile vers mon anus. Pendant qu’elle lèche, elle entre son doigt totalement dans le cul. Je n’ai jamais connue cette façon de faire. J’ai eu raison de venir avec cette grue.
Elle propose d’arrêter un moment. Elle se lève pour prendre une bouteille de champagne. Elle me le propose sans coupe, je dois boire directement à la bouteille comme une ivrogne. Elle en fait autant avant de verser presque tout sur moi. Le champagne coule sur moi. Elle sort sa langue pour le boire sur moi, entre mes seins, jusque sur ma chatte. C’est bizarre cette sensation de liquide froid et sa langue qui me réchauffe.
Nous sommes couchées toujours enlacées. Elle me laisse sur le dos, pendant qu’elle est sur le ventre. Je vois ses fesses rebondies qui me donnent des envies de les lui caresser. Elle prend un téton dans sa bouche, me caresse l’autre sein avant de mettre sa main sur ma touffe. Elle la peigne juste avant de mettre encore une fois ces doigts sur le clitoris. Je peux juste caresser son dos.
Quand elle arrive totalement en bas, elle m’enjambe pur me donner son con à sucer. Je suis surprise quand je m’aperçois qu’elle mouille. Sans crainte aucune ma langue découvre sa chatte en entier, je vais même sur le cul. Là je force à peine pour entrer. Elle m’en fait autant. Nous arrivons à un orgasme partagé. Pour mon premier cunnilingus, je suis agréablement surprise de vois comment un vagin fait en jouissant.
Nous passons une nuit entière à nous faire l’amour en diverses positions. J’ai beaucoup aimé jouir contre son con. Nous remuions sans cesses nos chattes contre celle de l’autre/ Elle a joint, je crois avoir jouit plus qu’elle.
Le matin en partant de chez elle je savais il me semble pouvoir contenter une femme.
La journée s’est passée en dormant à moitié pour récupérer de ma nuit. Le soir, je me suis masturbée en pensant à ce que j’avais fait. Je n’ai qu’à trouver ma cible. Je n’ai qu’à savoir où mon mari va retrouver sa blonde. C’est plus simple que je le croyais. Par relation je connais et son nom et son adresse.
Mlle Claire D……., avenue du général Leclerc à …….. Donc à deux pas de chez moi. Je me transforme en détective tout en me laissant le temps de faire l’amour avec un jeune de tout juste 22 ans, qui bande comme un âne et qui a une résistance à toute épreuve. Il aime baiser une « vielle » comme moi de 39 ans, bien conservée parce qu’il apprend toujours comment bien baiser avec l’expérience que j’ai. Il adore me baiser quand je suis debout. Il est obligé de plier ses jambes pour que sa queue soit à la bonne hauteur. C’est toujours sa façon de commencer. La seconde fois il fait comme je veux/. Je suis en levrette, sa queue dans le cul. C’est mon pécher mignon de me faire sodomiser depuis la première fois que mon mari (que Dieu le damne) m’a enculer. J’aime sentir une grosse bite dans mon anus qui va et vient longuement. Je me branle ainsi obtenant ce plaisir ignorée hélas de beaucoup de femme.
Une fois il est venu avec un copain, pensant que j’allais les mettre à la porte. Pensez, deux bites rien que pour moi. Je me suis faite baisée par le nouveau venu en suçant l’autre. Après une petite demi-heure j’ai donné mon con au nouveau pendant que l’autre m’enculait. Je n’avais fait une fois il y a longtemps une fois que je trompais mon mari, avec deux proches amis, un jour d’ivresse sexuelle. Mais là, avec deux pines bien jeunes, résistantes je prenais un pied pas possible.
Je surveillais souvent le domicile de cette Claire, en me cachant pour ne pas être repérée. Finalement elle était bien faite, sexy et tout et tout. Son seul tord était d’avoir pris mon mari qui s’étais jeté sur elle comme un pauvre type sevré de baise alors que, moi je le…..
Je remarque surtout qu’elle prend toujours son café matinal dans le même bistrot, assise toujours à la même place. Donc je vais l’approcher et la faire tomber en la baisant plus tard. Je suis devenue une belle garce.
Je l’approche en allant prendre moi aussi un café à la même table qu’elle plusieurs jours de suite. Nous finissons par lier connaissance et bavarder. Je fais glisse souvent la conversation sur le sexe. Elle avoue qu’elle fréquente un type sans grand intérêt sexuel qui la baise assez mal. Mais il a un bon compte en banque, toujours utile pour elle. J’ai compris qu’elle se fout de lui. Mais tant pis pour elle.
Petit à petit je la drague comme pourrait le faire un homme normal. Elle est belle, elle est sexy, sa poitrine me plait beaucoup, comme ses fesses. Au début elle me regarde bizarrement. Puis mes compliments font de l’effet quand je l’invite au restaurant un soir. Je viens, habillée très court, je lui déclare ma flamme en plein milieu du repas en l’invitant à venir avec moi dans un endroit tranquille que je connais.
Je sais que c’est un lieu de rendez vous lesbien. J’aperçois même mon initiatrice qui est avec une fille splendide. Je l’invite à danser sur un slow. Je me tiens comme une vraie fille amoureuse, désireuse de lui faire l’amour. J’arrive assez facilement à l’embrasser sur la bouche. Ma partie est gagnée.
Nous allons dans un hôtel où se rencontre les couples illégitimes. Elle a compris depuis un moment que nous allons nous amuser au papa et la maman. Je l’embrasse encore en commençant à la déshabiller. Elle me laisse faire, mes mains lui caressent tout ce qui apparait. A un moment donné, sans doute bien chaude, elle commence elle aussi à me caresser et me déshabiller. Nous sommes nues presque en même temps. Nous passons sur le bidet. Je tiens à lui laver moi-même la chatte. Elle me le rendra plus tard. Après l’avoir essuyée, je m’aperçois qu’elle mouille plus que moi la première fois avec l’escorte-girl. Tant mieux. Nous allons prendre un bon plaisir.
C’est moi qui mène la danse en lui suçant la chatte quand elle est encore assise sur le lit. Elle ne résiste pas longtemps, Claire est une rapide. Je lui demande de m’en faire autant. Elle commence à la faire avec un peu d’inexpérience.
Je passe sur elle pour lui donner toute ma fente à lécher. Notre 69 est impeccablement fait. Nous jouissons toutes les deux. Nous nous retournons complètement, elle dessus. Elle a vite compris pour sucer. Quand j’entre deux doigts dans son anus, elle en sursaute d’abord avant d’ouvrir son cul. En murmurant elle me dit qu’elle refuse que son amant (mon mari) l’encule. Lui qui aimait bien cette intrusion dans mon ventre en est pour ses frais, tant mieux. Quand je lui demande de m’en faire autant, elle n’hésite pas une seule seconde, je reçois deux doigts là où j’aime. Il manque juste du sperme pour faire mon affaire.
Quand je lui apprend à mettre son sexe contre le mien, à nous caresser les clitoris pas celui de l’autre, elle est comme moi au début. Puis une fois la bonne position trouvée, elle ne veut plus arrêter. La suite m’étonne n peu. Elle veut me mettre sa main dans le con, toute sa main. Je veux bien essayer, au point où j’en suis. Je suis bien couchée sur le dos, les jambes relevées, sa main entière entourant ma chatte. Elle entre un doigt dans le vagin. Puis un autre et enfin tous les autres. C’est légèrement douloureux, plutôt surprenant. Elle arrive en forçant u peu à tout me mettre. Je regarde ce qu’elle fait. Elle enfonce presque tout son poignet dans le con.
C’est bizarre au début puis le plaisir arrive. Un plaisir étrangement dégoutant, mais jouissif. Je ne peux plus retenir mes orgasmes qu’elle me donne. Je me retiens tant que je peux pour ne plus jouir.
Elle me laisse un vide dans le ventre. A mon tour de lui faire pareil. Si j’ai joui comme jamais, elle aussi jouit mais en hurlant son bonheur.
Je ne sais si c’est le plaisir partagé, je commence à m’attacher à ma rivale. Je songe même à la garder pour moi. Pour cela je connais un moyen infaillible. Nous allons dans un studio de photographe qui accepte de nous prendre en photo pendant que nous faisons l’amour. Son prix est le notre : nous baiser l’une et l’autre. La série qu’il fait nous montre nues, enlacées en 69 ou simplement quand nous nous branlons ou nous faisons des fists particuliers. Cette série outre le fait qu’elle nous a fait baiser encore ensemble, nous faite mettre par le photographe qui finalement nous donnait plus qu’il pensait avec sa semence.
Une simple lettre envoyée à mon ex a suffit pour le faire rompre avec Claire. Nous vivons ensemble sans homme, sauf une ou deux fois par mois pour l’hygiène de nos culs.
Il n’empêche que si j’ai trouvé une compagne, même vis à vis de Claire je me suis conduite en véritable salope.
Pour moi la meilleure façon de faire payer par un autre est de commencer par le sexe. Je ne suis pas mal faite puisque je donne envie à des jeunots. Alors je ne vais pas leur faire de mal.
Avant d’aller plus loin je paie les services d’une escorte-girl pour apprendre comme il faut les rudiments du saphisme. Depuis longtemps je suis attirée par les filles, sans jamais pouvoir satisfaire ce penchant. Libre je fais ce que je veux, même si j’aime bien avoir une bite en moi ou déguster une bonne dose de sperme.
Je cherche donc l’accompagnatrice féminine, ce qui est assez dur. Finalement j’ai enfin rendez vous dans un café vers 22 heures. La fille jeune encore, à peine 25 ans, me parait forts belle et sexy, même si c’est la première fois que je vois une véritable lesbienne ou au moins déclarée telle. Je pensais trouver une femme aux chevaux courts à l’allure masculine. C’est une véritable poupée qui vient vers moi. Deux baisers sur les joues pour faire connaissance. Je glisse le chèque dans son sac.
- Que veux tu qu’on fasse, chérie ?
- Tout ce que te sais faire.
Elle me tutoie, pourquoi je vais me gêner. Nous allons chez elle, un petit chez soi bien confortable, avec un grand séjour, une chambre, une cuisine et certainement des toilettes et une salle de bain.
Nous sommes à peine entrée qu’elle m’embrasse sur la bouche d’un baiser qui ma laisse pantoise de surprise tellement elle me fait du bien. Elle embrasse bien mieux que beaucoup d’homme.
Après avoir cherché mes seins, elle commence à me déshabiller lentement en caressant au fur et à mesure. Finalement elle fait comme un homme sauf que ses mains sont bien plus tendres et douces.
- Viens avec moi te laver.
- Je peux le faire seule.
- Non, je dois me laver aussi.
Je la suis ans la salle de bains ou devant moi elle est nue. Je regarde ce corps magnifique consacré aux plaisirs des femmes.
Elle me fait assoir sur le bidet, passe ses mains rapidement sur mon sexe ; le savonne juste ce qu’il faut. Je pense que si elle pouvait me masturber maintenant ce serait bien. Elle me rince les fesses avant de me faire lever pour m’essuyer. Elle prend ma place, m’attire vers elle pour passer sa langue vite fait sur le peu de lèvres qui dépassent. Elle m’excite totalement.
Nous sortons nues pour aller dans la chambre. Je remarque qu’elle a une belle collection de godes. J’en suis étonnée. Elle m’embrasse à nouveau me colle contre son corps. C’est agréable de sentir ses seins presque contre les miens. Elle s’assoit au bord du lit, me fait venir sur ses genoux pour me caresser les cuisses, surtout la partie interne. Très doucement elle monte vers mon paradis. Sa main connait parfaitement tous les arcanes d’un sexe de femme.
- Je vais te branler. C’est ta première fois ?
- Oui, tu es la première fille à me faire l’amour.
- Ce n’est pas l’amour encore. Jouis bien.
Sa bouche se colle encore à la mienne, nos langues jouent un moment pendant que les doigts fouillent. Mon clitoris devient sa cible préférée. Elle me branle à sa façon, sans que je sache exactement ce qu’elle fait. Elle me fait du bien comme rarement. Je m’abandonne dans ses bras. C’est bon. Je jouis trop vite.
Je cherche à mon tour son sexe qu’elle semble me cacher. Elle me fait assoir à coté d’elle et là, elle recommence à me branler. Je peux à mon tour la masturber. Je pars encore une fois : elle aussi jouit, je le sens bien. Elle est là pour mon plaisir et le sien aussi. Elle s’accroupi devant mes jambes écartées. Sa tête passe chercher son coin entre mes cuisses. Sa langue est douce sur ma chatte pendant qu’un doigt se faufile vers mon anus. Pendant qu’elle lèche, elle entre son doigt totalement dans le cul. Je n’ai jamais connue cette façon de faire. J’ai eu raison de venir avec cette grue.
Elle propose d’arrêter un moment. Elle se lève pour prendre une bouteille de champagne. Elle me le propose sans coupe, je dois boire directement à la bouteille comme une ivrogne. Elle en fait autant avant de verser presque tout sur moi. Le champagne coule sur moi. Elle sort sa langue pour le boire sur moi, entre mes seins, jusque sur ma chatte. C’est bizarre cette sensation de liquide froid et sa langue qui me réchauffe.
Nous sommes couchées toujours enlacées. Elle me laisse sur le dos, pendant qu’elle est sur le ventre. Je vois ses fesses rebondies qui me donnent des envies de les lui caresser. Elle prend un téton dans sa bouche, me caresse l’autre sein avant de mettre sa main sur ma touffe. Elle la peigne juste avant de mettre encore une fois ces doigts sur le clitoris. Je peux juste caresser son dos.
Quand elle arrive totalement en bas, elle m’enjambe pur me donner son con à sucer. Je suis surprise quand je m’aperçois qu’elle mouille. Sans crainte aucune ma langue découvre sa chatte en entier, je vais même sur le cul. Là je force à peine pour entrer. Elle m’en fait autant. Nous arrivons à un orgasme partagé. Pour mon premier cunnilingus, je suis agréablement surprise de vois comment un vagin fait en jouissant.
Nous passons une nuit entière à nous faire l’amour en diverses positions. J’ai beaucoup aimé jouir contre son con. Nous remuions sans cesses nos chattes contre celle de l’autre/ Elle a joint, je crois avoir jouit plus qu’elle.
Le matin en partant de chez elle je savais il me semble pouvoir contenter une femme.
La journée s’est passée en dormant à moitié pour récupérer de ma nuit. Le soir, je me suis masturbée en pensant à ce que j’avais fait. Je n’ai qu’à trouver ma cible. Je n’ai qu’à savoir où mon mari va retrouver sa blonde. C’est plus simple que je le croyais. Par relation je connais et son nom et son adresse.
Mlle Claire D……., avenue du général Leclerc à …….. Donc à deux pas de chez moi. Je me transforme en détective tout en me laissant le temps de faire l’amour avec un jeune de tout juste 22 ans, qui bande comme un âne et qui a une résistance à toute épreuve. Il aime baiser une « vielle » comme moi de 39 ans, bien conservée parce qu’il apprend toujours comment bien baiser avec l’expérience que j’ai. Il adore me baiser quand je suis debout. Il est obligé de plier ses jambes pour que sa queue soit à la bonne hauteur. C’est toujours sa façon de commencer. La seconde fois il fait comme je veux/. Je suis en levrette, sa queue dans le cul. C’est mon pécher mignon de me faire sodomiser depuis la première fois que mon mari (que Dieu le damne) m’a enculer. J’aime sentir une grosse bite dans mon anus qui va et vient longuement. Je me branle ainsi obtenant ce plaisir ignorée hélas de beaucoup de femme.
Une fois il est venu avec un copain, pensant que j’allais les mettre à la porte. Pensez, deux bites rien que pour moi. Je me suis faite baisée par le nouveau venu en suçant l’autre. Après une petite demi-heure j’ai donné mon con au nouveau pendant que l’autre m’enculait. Je n’avais fait une fois il y a longtemps une fois que je trompais mon mari, avec deux proches amis, un jour d’ivresse sexuelle. Mais là, avec deux pines bien jeunes, résistantes je prenais un pied pas possible.
Je surveillais souvent le domicile de cette Claire, en me cachant pour ne pas être repérée. Finalement elle était bien faite, sexy et tout et tout. Son seul tord était d’avoir pris mon mari qui s’étais jeté sur elle comme un pauvre type sevré de baise alors que, moi je le…..
Je remarque surtout qu’elle prend toujours son café matinal dans le même bistrot, assise toujours à la même place. Donc je vais l’approcher et la faire tomber en la baisant plus tard. Je suis devenue une belle garce.
Je l’approche en allant prendre moi aussi un café à la même table qu’elle plusieurs jours de suite. Nous finissons par lier connaissance et bavarder. Je fais glisse souvent la conversation sur le sexe. Elle avoue qu’elle fréquente un type sans grand intérêt sexuel qui la baise assez mal. Mais il a un bon compte en banque, toujours utile pour elle. J’ai compris qu’elle se fout de lui. Mais tant pis pour elle.
Petit à petit je la drague comme pourrait le faire un homme normal. Elle est belle, elle est sexy, sa poitrine me plait beaucoup, comme ses fesses. Au début elle me regarde bizarrement. Puis mes compliments font de l’effet quand je l’invite au restaurant un soir. Je viens, habillée très court, je lui déclare ma flamme en plein milieu du repas en l’invitant à venir avec moi dans un endroit tranquille que je connais.
Je sais que c’est un lieu de rendez vous lesbien. J’aperçois même mon initiatrice qui est avec une fille splendide. Je l’invite à danser sur un slow. Je me tiens comme une vraie fille amoureuse, désireuse de lui faire l’amour. J’arrive assez facilement à l’embrasser sur la bouche. Ma partie est gagnée.
Nous allons dans un hôtel où se rencontre les couples illégitimes. Elle a compris depuis un moment que nous allons nous amuser au papa et la maman. Je l’embrasse encore en commençant à la déshabiller. Elle me laisse faire, mes mains lui caressent tout ce qui apparait. A un moment donné, sans doute bien chaude, elle commence elle aussi à me caresser et me déshabiller. Nous sommes nues presque en même temps. Nous passons sur le bidet. Je tiens à lui laver moi-même la chatte. Elle me le rendra plus tard. Après l’avoir essuyée, je m’aperçois qu’elle mouille plus que moi la première fois avec l’escorte-girl. Tant mieux. Nous allons prendre un bon plaisir.
C’est moi qui mène la danse en lui suçant la chatte quand elle est encore assise sur le lit. Elle ne résiste pas longtemps, Claire est une rapide. Je lui demande de m’en faire autant. Elle commence à la faire avec un peu d’inexpérience.
Je passe sur elle pour lui donner toute ma fente à lécher. Notre 69 est impeccablement fait. Nous jouissons toutes les deux. Nous nous retournons complètement, elle dessus. Elle a vite compris pour sucer. Quand j’entre deux doigts dans son anus, elle en sursaute d’abord avant d’ouvrir son cul. En murmurant elle me dit qu’elle refuse que son amant (mon mari) l’encule. Lui qui aimait bien cette intrusion dans mon ventre en est pour ses frais, tant mieux. Quand je lui demande de m’en faire autant, elle n’hésite pas une seule seconde, je reçois deux doigts là où j’aime. Il manque juste du sperme pour faire mon affaire.
Quand je lui apprend à mettre son sexe contre le mien, à nous caresser les clitoris pas celui de l’autre, elle est comme moi au début. Puis une fois la bonne position trouvée, elle ne veut plus arrêter. La suite m’étonne n peu. Elle veut me mettre sa main dans le con, toute sa main. Je veux bien essayer, au point où j’en suis. Je suis bien couchée sur le dos, les jambes relevées, sa main entière entourant ma chatte. Elle entre un doigt dans le vagin. Puis un autre et enfin tous les autres. C’est légèrement douloureux, plutôt surprenant. Elle arrive en forçant u peu à tout me mettre. Je regarde ce qu’elle fait. Elle enfonce presque tout son poignet dans le con.
C’est bizarre au début puis le plaisir arrive. Un plaisir étrangement dégoutant, mais jouissif. Je ne peux plus retenir mes orgasmes qu’elle me donne. Je me retiens tant que je peux pour ne plus jouir.
Elle me laisse un vide dans le ventre. A mon tour de lui faire pareil. Si j’ai joui comme jamais, elle aussi jouit mais en hurlant son bonheur.
Je ne sais si c’est le plaisir partagé, je commence à m’attacher à ma rivale. Je songe même à la garder pour moi. Pour cela je connais un moyen infaillible. Nous allons dans un studio de photographe qui accepte de nous prendre en photo pendant que nous faisons l’amour. Son prix est le notre : nous baiser l’une et l’autre. La série qu’il fait nous montre nues, enlacées en 69 ou simplement quand nous nous branlons ou nous faisons des fists particuliers. Cette série outre le fait qu’elle nous a fait baiser encore ensemble, nous faite mettre par le photographe qui finalement nous donnait plus qu’il pensait avec sa semence.
Une simple lettre envoyée à mon ex a suffit pour le faire rompre avec Claire. Nous vivons ensemble sans homme, sauf une ou deux fois par mois pour l’hygiène de nos culs.
Il n’empêche que si j’ai trouvé une compagne, même vis à vis de Claire je me suis conduite en véritable salope.
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