Je veux lui avouer

- Par l'auteur HDS Penny17 -
Récit érotique écrit par Penny17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Je veux lui avouer Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2016 dans la catégorie Fétichisme
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Je veux lui avouer
Bonjour, je suis nouveau ici et je suis entre autre candauliste. Je suis en relation depuis 3 ans avec ma compagne. Je lui ai avoué certains fétichismes mais pas ce dernier qui est apparu et a grandi durant cette dernière année.
J'ai préparé dans ma tête le scénario de ce que pourrait être ma "demande".
Je l'ai fait ici pour le rendre plus attractif sous forme d'histoire. Je suis à l'écoute de tout conseils quant à ma démarche. J'ai conscience que cela ne se fera pas en un claquement de doigts mais j'aimerai savoir si je suis sur la bonne et voie et vos avis sur comment continuer l'histoire qui deviendra je l'espère réalité. Merci et bonne lecture !!!


C'est après lui avoir fait l'amour que je lui ai avoué, tout...
C'est après lui avoir fait l'amour que je lui ai avoué tout mes penchants sexuels.
- As-tu des fétichismes ?
-on en a déjà parlé, pas vraiment, pour moi c'est plus le contexte qui m'importe plus que la pratique. Tu en as d'autres à m'avouer ?
-bien, je n'ai pas été honnête jusqu'au bout quand je t'ai avoué le fait que j'aimais te voir fumer, que j'aimais le style bcbg que tu pouvais avoir avec tes tenues de working girl, je n'ai pas été honnête jusqu'au bout puisque j'ai volontairement omis de te parler d'un autre fétichisme, beaucoup plus complexe que de juste fumer pendant un rapport ou de porter une tenue spécifique.
- Ok..et...?

Son regard inquisiteur me mettais encore plus de pression que je ne pouvais déjà en avoir, c'est fébrile, le cœur battant, les nerfs vibrant d'angoisse que je me suis lancé:

-Je t'ai expliqué que j'avais peut être beaucoup plus de plaisir à te voir prendre ton pied pendant nos ébats que de plaisir à simplement aller et venir en toi ?
-oui...?
-et tu me le rend magnifiquement bien. Je veux dire, tu es merveilleuse à prendre un tel plaisir à exécuter avec grand amour mes fétichismes, qui, de mon avis te rendent extrêmement puissante aux yeux d'un homme, tant ton attitude dégage un pouvoir féminin envoûtant !
-c'est gentil me dit elle en riant
-c'est la vérité !
-oui et donc où veux tu en venir ?

Très intelligente, ce qui, dit en passant lui ajoute une certaine puissance mais qui ne l'a fait jamais perdre le nord.
L'instant fatidique était arrivé !
Une ou deux secondes de silence qui paru éternité, la bouche entrouverte ne sachant pas par où commencer.
Elle, silencieuse, nue, à mes côtés, le corps tourné vers moi, le mien vers le plafond sans doute par peur de son regard, peur du moment qui va suivre, peur de tout détruire...

-j'aimerai...
-oui...?
-te voir prendre du plaisir avec un autre homme que moi, devant moi, sans que je participe mais devant moi, je veux voir ton plaisir et le plaisir que tu peux apporté d'un autre point de vue

Elle est étonnée, ses yeux son grand ouvert
-tu veux que je te trompe ? C'est bizarre...
-pour moi ce n'est pas tromper étant donné que je serai là, complice de ton plaisir, je ne veux en aucun cas nous mettre en situation d'humiliation ou de te traiter comme une vulgaire prostitué.
Je vois plus la l'occasion de t'offrir du plaisir et une certaine liberté sexuel qui rejette tout comportement d'appartenance possessive pouvant flatter mon ego... Je pense que c'est aussi une manière intelligente de voir le sexe. Je ne te demande pas une réponse tout de suite, je te demande juste d'y réfléchir, d'essayer de comprendre quel plaisir je peux en retirer.
Aussi, c'est un fétichisme qui n'inclut que toi, ce n'est pas un prétexte pour que tu me rendes l'appareil et m'autorise à coucher avec d'autres femmes.

-c'est bizarre

Comme toujours quand elle est dubitatif, elle sort une cigarette de son paquet et l'allume, nu dans notre lit, cigarette bloquée entre ses lèvres alors qu'elle se penche afin de récupérer le cendrier situé sur la table de nuit, elle inhale profondément les yeux dans le vide.
Elle exhale silencieuse, seul le souffle de la fumée sortant de sa bouche vient rompre celui-ci.

Ne tenant déjà plus face à ce spectacle érotique sans nom et sans doute par besoin de décompresser suite à l'annonce terriblement stressante que je venais de faire, j'ai risqué une main vers son doux entrejambe qui n'est pas sec mais pas non plus des plus humide que j'ai connu.
Toujours le regard dans le vide sans réaction, je la connais, cette femme est capable de me rebuter à tout moment, madame est caractérielle...
Je l'observe, peut-être en train de se poser la question "ai-je envie" ?
Parfois je sais que madame doit être convainc, en effet parfois à mon grand regret elle n'est pas une férue de sexe.
Ainsi je l'exécute caressant maintenant son petit abricot et risquant un doigt en son antre.
Elle adore les doigts, parfois je pense même plus que mon pénis !
Elle est humide, le constat est fait, j'estime qu'il m'ouvre une possibilité.
C'est entre caresses et introduction que les doigts dansent sur et en elle, ses yeux fermés, le bassin relevé, je peux m'exécuter plus "apaiser"

Gémissements, soupirs, nous sommes sur l'autoroute, j'accélère, l'oxygène lui manque parfois, je ne résiste plus, je veux l'embrasser ! L'observer prendre autant de plaisir... Indescriptible !
Elle profite que je la libère afin de prendre un préservatif ( madame préfère être prévoyante ) pour alléger sa cigarette consumée de moitié sans qu'elle ne put tirer plus de deux fois dessus tant je ne l'ai laisser respirer !

Nos regards passionné l'un dans l'autre, nos corps l'un contre l'autre, nos bouches l'une contre l'autre et nous voici connectés l'un dans l'autre.
C'est avec délicatesse que je rentre en elle, guettant maintenant chaque expression faciale exprimant son ressenti face à chaque centimètre de mon penis coulissant doucement en elle.

Elle ne peut résister lors de ces moments et écourté tout le temps la distance pour m'embrasser passionnément m'empêchant d'une certaine manière de la contempler.

Le rythme s'accélère les seins de madame dansent au rythme des coups de reins prodiguaient, elle porte une dernière fois sa cigarette entre ses lèvres, creusent les joues, plisse les yeux et n'inhalent pas la fumée me laissant la joie de venir rejoindre ses lèvres maintenant occupés à me chercher lorsque nos langues sont en train de s'accoupler.
Je suis à la limite et heureusement qu'elle doit écraser sa cigarette dans le cendrier qu'elle repose sur la table de nuit.

A quatre pattes je la vois déposer le cendrier, sans réellement penser ou contrôler quelque chose, tel une bête je me suis jeté sur elle, tel un lapin en période de reproduction, à la vitesse d'un lévrier en sprint, je l'ai pénétré !
Je l'ai entendu gémir, j'ai entendu le bruit de nos corps s'entre choquaient, serré un de ses seins, l'autre témoignait de la violence de notre ébat tant il définissait la puissance des coups de reins que je prodiguais a ma femme.

Elle gémissait comme jamais, proche de l'orgasme je du m'arrêter, ralentissant je le crois aussi son orgasme à son grand regret.
Lentement elle vient me chercher, reculant ses fesses afin de m'attraper.

Finalement libérer de l'emprise de sa vulve je m'affale sur le lit lui laissant le gouverneur. Peu lui faut pour qu'elle s'empare sur moi ondulant au rythme des vagues, vagues tourbillonnantes, chaudes et confortable, le calme avant la tempête !

Les mains sur mon torse, une rapide chorégraphie buccale et la tempête se présente sous formes de gémissements, d'ondulations de hanches' de va et vient puissants !
Quelle divinité est-ce dont ! Elle saute comme jamais, se fatigue, l'orgasme et proche pour elle comme pour moi, la fin est proche et c'est moi qui ai l'honneur de nous prodiguer l'orgasme via des coups de reins rapide alors qu'elle prenait plus grand appui sur moi afin de me permettre une amplitude de mouvement plus grande.
Ses lèvres suintent le plaisir chaud, ses lèvres m'étranglent par à coups, ma queue crie au feu, nos visages se crispent, je me force de ne pas fermer les yeux pour observer son plaisir à son paroxysme.

Les yeux clos, les mains sur mon ventre le dos voûté, la bouche ouverte laissant gémissements éclore aux oreilles des voisins, la peau frissonnante, les hanches non contrôlés, titubantes, je libère moi aussi sous gémissements les puissants jets préparés par les tressautements de mon penis en son corps !

Elle s'est écroulée sur moi, essoufflée.

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