Jeane, Paul, mon amant et sa femme
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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Jeane, Paul, mon amant et sa femme
suite de mon amantEnfin il l’a convaincue, sa femme veut bien baiser en trio une fois, seulement une fois pour juger des résultats: elle est délicate pour les plaisirs. Mon amant a tenu parole: ce soir nous baiserons avec sa femme. J’en suis toute chose, il me semble que je vais me faire mettre mieux que les autres fois avec sa bite dans le cul et la langue de sa femme sur mon bouton. Il y a plusieurs semaines que je n’ai pas fais l’amour avec une fille: ça me manque. Nous devons nous retrouver au même hôtel que les autres fois, la même chambre bien meublée, son grand lit, trop grand pour deux personnes qui s’aiment. Normalement il commence à me lécher quand je suis encore debout, il me couche pour me sucer en 69. Je prend sa bite comme un bonbon. Je lèche son gland, j’avale le plus possible sa bite, je mets deux doigts dans son cul , comme il me fait. Il arrête quand il sent que je jouis. Il vient sur moi, m’écrase un peu, met sa bite dans la chatte, sans que je l’aide, alors que l’aimerai tant le guider. Il réussit toujours à me la mettre comme j’aime. Je jouis de deux façon, d’abord mentalement en le sachant au fond de mon ventre et ensuite mécaniquement quand il arrive à mettre mes terminaisons nerveuses à point pour un orgasme que je ne retiens surtout pas. Je jouis deux ou trois fois grâce à sa bite dans le ventre. Enfin il me retourne sur le ventre, il écarte bien mes fesses, entre facilement dans mon cul. Dès qu’il met son gland je jouis, encore quand il est à fond que je sens ses poils sur mes fesses et enfin quand il me branle le bouton.
Je saurai ce soir s’il baise sa femme après m’avoir baisée, et comment. Je compte les heures puis les minutes. Je suis dans la chambre encore un peu habillée. Je porte toujours mon jean et mon t-shirt bien serré. Dans le fauteuil je suis les cuisses écartées; ma main est sur ma chatte: je mouille déjà.
Enfin entre une femme de 35 ans à peut près, grande, châtain clair, court vêtue, talons plat dans ses ballerines, sans apprêt: elle est nature. Elle me plait bien, je me lève pour me présenter:- Je suis Fab, la maitresse de votre mari.
- Je sais il m’a parlé de vous. Je m’appelle Jeanne, je suis là à sa demande et par curiosité: je n’ai jamais fais l’amour à trois. J’aimerai essayer. Vous êtes bien comme il vous a décrit: vous lui plaisait, vous me plaisez.
- Merci, il m’avait dit que vous étiez belle, il a menti vous êtes mieux que belle.
Vous me plaisez aussi pour faire l’amour. Vous verrez, c’est facile à faire et on jouit plus des fois qu’avec une bite. Sauf que Paul a une bonne bite pour envoyer en l’air.
C’est tout juste si je ne l’embrasse pas sur la bouche, j’attends quand même qu’il soit là. Paul enfin entre sans se presser, il devait avoir des doutes sur l’accueil que nous aurions les deux femmes qu’il baise en ce moment. Nous ne nous sommes pas choisies, nous nous plaisons pas mal. Je n’y tiens plus je la prends dans mes bras.
Nous sommes enlacées. Nous l’oublions totalement. Nos bouches s’embrassent nos langues font ce que font toutes les langues des futures amants ou amantes.
Je sens que je fond dans ses bras: ça doit venir de la famille puisque je suis toute molle dans le bras de son mari. Elle m’a dit qu’elle n’avait jamais fait l’amour avec une autre, j’ai peine à la croire quand elle me caresse les fesses, qu’elle pose son pubis sur ma cuisse pour se masturber un peu: ce que j’ai fait avec son époux notre première fois. Je pousse ma cuisse contre elle. Sa robe ample cache la moitié de ses trésors. Je voudrai le connaitre aussi. Je crois savoir qu’elle ne porte pas de culotte. Je commence à passer ma main sur sa poitrine, elle enlève mes main, ouvre sa robe, la laisse tomber: elle est nue dessous. Paul vint derrière moi, il est contre moi: je sens sa bite bandée entre mes fesses. Je ne sais plus de quoi j’ai envie de son sexe ou de celui de sa femme. J’ai une simple envie: jouir.
Paul sait m’enlever le t-shirt, mes seins sont libres. Il défait la ceinture du jean, il l’enlève en même temps que le léger string. Je me trouve aussi nue que Jeanne. Même si son mari est là, nous ne résistons pas à l’appel du corps féminin. Nous tombons ensemble sur le lit, nos lèvres toujours unies. Nous nous caressons partout, jusqu’à venir sur les chattes. Je crois me souvenir que c’est elle qui commence à fouiller mon sexe. Je me souviens avoir sursauté quand sa main a touché, effleuré mon clitoris.
Elle n’a rien fait d’extraordinaire. J’ai mouillé encore plus, sa main ne s’est pas contenté de mon bouton, elle est entré dans mon puits. Ses doigts réunis en trois me semblaient être la bite de son mari qui nous regardait en bandant simplement. A mon tour j’ai commencé à la branler. J’étais mal placée, sur le coté droit. Je suis malhabile de la main gauche, alors je me suis retournée. J’avais la tête au pied. Je ne voulais, au début que la branler, elle a mal compris, elle est venue sur moi, a prit ma chatte dans sa bouche. Sa langue s’y est mise aussi. J’avais son clitoris à porté: je l’ai sucé. Si je savais ce que c’était qu’un cunnilingus avec une fille, pour elle c’était sa première fois. Je l’ai faite jouir facilement. Quel goût remarquable mi salé, mi sucré avec un peu d’arrière gout de musc et sa texture à peine poisseuse.
Sans attendre plus, le pauvre Paul mourant d’envie d’un trou quelconque vient sur nous. Je vois sa bite venir sur le cul de sa femme. Je le mouille bien et je regarde très excitée ce qui se passe à quelque centimètres de mon visage. Je prend la bite pour la guider un fois au moins dans un cul. J’aurai pu tout aussi bien la faire venir dans ma bouche. L’excitation de ce que je vois m’emmène directement à un bel orgasme.
Jeanne heureusement n’arrête pas ses léchages, elle les accentue au contraire. C’est bien connu pour une fille, plus elle jouit, plus elle en a envie et plus elle jouit vite. C’est mon cas.
Maintenant que je vois que la bite de Paul dégorge son venin je pense qu’il va se calmer.
Il me donne la bite tout juste sortie du cul de sa femme: elle porte encore des traces de sperme. Je les enlève. Il bande encore plus fort.
Il se mets sur le dos, sur le lit, prend sa femme sur la bouche, la lèche partout dans sa chatte: elle ronronne. Il me fait venir sur lui, j’écarte les cuisses pour l’enjamber. Je me pose pour qu’il me la rentre dans le sexe. En me laissant tomber, je sens le plaisir venir doucement, je remonte pour retomber encore. Devant moi Jeanne a besoin que je la pelote. Nous nous caressons les seins, particulièrement les tétons.
Puis, juste avant de jouir encore nous nous embrassons. Elle embrasse bien mieux que son mari. Nous ne sommes reliées que par nos lèvres nous sentons quand même les orgasmes de l’autres.
Comme dans le Cid, la lutte cessa faute de combattant. Je ne pensais jamais jouir autant avec Jeanne. C’est elle qui me propose de venir chez elle quand j’ai envie de baiser, elle voudrait bien ne baiser qu’avec moi seules toutes les deux, comme des lesbiennes. Paul ne dit rien, il est dépassé: par contre il me demande de venir chez lui pour des trios chaque fois qu’il baise sa femme; presque tous les soirs.
Je sais ce n’est pas normal, il faut dire que sa femme pris goût à ma chatte comme j’ai aimé la sienne, et que ni l’une ni l’autre ne pourrions nous passer de sa queue.
Nous formons maintenant un ménage à trois
Je saurai ce soir s’il baise sa femme après m’avoir baisée, et comment. Je compte les heures puis les minutes. Je suis dans la chambre encore un peu habillée. Je porte toujours mon jean et mon t-shirt bien serré. Dans le fauteuil je suis les cuisses écartées; ma main est sur ma chatte: je mouille déjà.
Enfin entre une femme de 35 ans à peut près, grande, châtain clair, court vêtue, talons plat dans ses ballerines, sans apprêt: elle est nature. Elle me plait bien, je me lève pour me présenter:- Je suis Fab, la maitresse de votre mari.
- Je sais il m’a parlé de vous. Je m’appelle Jeanne, je suis là à sa demande et par curiosité: je n’ai jamais fais l’amour à trois. J’aimerai essayer. Vous êtes bien comme il vous a décrit: vous lui plaisait, vous me plaisez.
- Merci, il m’avait dit que vous étiez belle, il a menti vous êtes mieux que belle.
Vous me plaisez aussi pour faire l’amour. Vous verrez, c’est facile à faire et on jouit plus des fois qu’avec une bite. Sauf que Paul a une bonne bite pour envoyer en l’air.
C’est tout juste si je ne l’embrasse pas sur la bouche, j’attends quand même qu’il soit là. Paul enfin entre sans se presser, il devait avoir des doutes sur l’accueil que nous aurions les deux femmes qu’il baise en ce moment. Nous ne nous sommes pas choisies, nous nous plaisons pas mal. Je n’y tiens plus je la prends dans mes bras.
Nous sommes enlacées. Nous l’oublions totalement. Nos bouches s’embrassent nos langues font ce que font toutes les langues des futures amants ou amantes.
Je sens que je fond dans ses bras: ça doit venir de la famille puisque je suis toute molle dans le bras de son mari. Elle m’a dit qu’elle n’avait jamais fait l’amour avec une autre, j’ai peine à la croire quand elle me caresse les fesses, qu’elle pose son pubis sur ma cuisse pour se masturber un peu: ce que j’ai fait avec son époux notre première fois. Je pousse ma cuisse contre elle. Sa robe ample cache la moitié de ses trésors. Je voudrai le connaitre aussi. Je crois savoir qu’elle ne porte pas de culotte. Je commence à passer ma main sur sa poitrine, elle enlève mes main, ouvre sa robe, la laisse tomber: elle est nue dessous. Paul vint derrière moi, il est contre moi: je sens sa bite bandée entre mes fesses. Je ne sais plus de quoi j’ai envie de son sexe ou de celui de sa femme. J’ai une simple envie: jouir.
Paul sait m’enlever le t-shirt, mes seins sont libres. Il défait la ceinture du jean, il l’enlève en même temps que le léger string. Je me trouve aussi nue que Jeanne. Même si son mari est là, nous ne résistons pas à l’appel du corps féminin. Nous tombons ensemble sur le lit, nos lèvres toujours unies. Nous nous caressons partout, jusqu’à venir sur les chattes. Je crois me souvenir que c’est elle qui commence à fouiller mon sexe. Je me souviens avoir sursauté quand sa main a touché, effleuré mon clitoris.
Elle n’a rien fait d’extraordinaire. J’ai mouillé encore plus, sa main ne s’est pas contenté de mon bouton, elle est entré dans mon puits. Ses doigts réunis en trois me semblaient être la bite de son mari qui nous regardait en bandant simplement. A mon tour j’ai commencé à la branler. J’étais mal placée, sur le coté droit. Je suis malhabile de la main gauche, alors je me suis retournée. J’avais la tête au pied. Je ne voulais, au début que la branler, elle a mal compris, elle est venue sur moi, a prit ma chatte dans sa bouche. Sa langue s’y est mise aussi. J’avais son clitoris à porté: je l’ai sucé. Si je savais ce que c’était qu’un cunnilingus avec une fille, pour elle c’était sa première fois. Je l’ai faite jouir facilement. Quel goût remarquable mi salé, mi sucré avec un peu d’arrière gout de musc et sa texture à peine poisseuse.
Sans attendre plus, le pauvre Paul mourant d’envie d’un trou quelconque vient sur nous. Je vois sa bite venir sur le cul de sa femme. Je le mouille bien et je regarde très excitée ce qui se passe à quelque centimètres de mon visage. Je prend la bite pour la guider un fois au moins dans un cul. J’aurai pu tout aussi bien la faire venir dans ma bouche. L’excitation de ce que je vois m’emmène directement à un bel orgasme.
Jeanne heureusement n’arrête pas ses léchages, elle les accentue au contraire. C’est bien connu pour une fille, plus elle jouit, plus elle en a envie et plus elle jouit vite. C’est mon cas.
Maintenant que je vois que la bite de Paul dégorge son venin je pense qu’il va se calmer.
Il me donne la bite tout juste sortie du cul de sa femme: elle porte encore des traces de sperme. Je les enlève. Il bande encore plus fort.
Il se mets sur le dos, sur le lit, prend sa femme sur la bouche, la lèche partout dans sa chatte: elle ronronne. Il me fait venir sur lui, j’écarte les cuisses pour l’enjamber. Je me pose pour qu’il me la rentre dans le sexe. En me laissant tomber, je sens le plaisir venir doucement, je remonte pour retomber encore. Devant moi Jeanne a besoin que je la pelote. Nous nous caressons les seins, particulièrement les tétons.
Puis, juste avant de jouir encore nous nous embrassons. Elle embrasse bien mieux que son mari. Nous ne sommes reliées que par nos lèvres nous sentons quand même les orgasmes de l’autres.
Comme dans le Cid, la lutte cessa faute de combattant. Je ne pensais jamais jouir autant avec Jeanne. C’est elle qui me propose de venir chez elle quand j’ai envie de baiser, elle voudrait bien ne baiser qu’avec moi seules toutes les deux, comme des lesbiennes. Paul ne dit rien, il est dépassé: par contre il me demande de venir chez lui pour des trios chaque fois qu’il baise sa femme; presque tous les soirs.
Je sais ce n’est pas normal, il faut dire que sa femme pris goût à ma chatte comme j’ai aimé la sienne, et que ni l’une ni l’autre ne pourrions nous passer de sa queue.
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