Jeanne et les

- Par l'auteur HDS Norbert -
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Jeanne et les Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Jeanne et les
Nous sommes vendredi soir, et alors que je rentre du boulot Flo me téléphone pour me demander si nous sommes partants pour une soirée masquée dans la boite spéciale ou nous avions fini la soirée l'autre soir.
Je fais signe à Jeanne d'approcher et lui fait part de l'invitation, ne pouvant accepter sans son accord, elle avait eu du mal a s'asseoir pendant 2 ou 3 jours suite à la fameuse soirée.
Cette cochonne me dit qu'elle est OK mais que nous n'avons pas de déguisement pour ce genre de soirée.
Flo me dit alors qu'elle va nous donner une adresse, et qu'elle nous recommandera auprès du gérant.
Le samedi matin, nous nous rendons à l'adresse, nous sommes reçu par individu au sexe incertain mais très aimable, nous nous recommandons de Flo et ce dernier nous dit qu'il a préparé pour nous des tenues parmi lesquelles nous pourrons choisir.
Jeanne après avoir hésité jette son dévolu sur une tenue de soubrette dans lequel j'aime à l'imaginer. Pour moi une tenue de vampire me semble sympa et pratique.
Les essayages faits, nous regagnons notre domicile.
La fin d'après-midi est consacrée aux préparatifs en attendant 21h, heure a laquelle Flo et Claude doivent passer nous chercher. Comme à son habitude Jeanne a particulièrement apporté le plus grand soin à son sexe et son anus, en les épilant afin d'en laisser le passage libre de toute entrave.
Elle est vêtue d'une courte jupe noire, sur des bas auto-fixant, et d'un string blanc en dentelle, ceci pour le bas, pour le haut elle a enfilé un chemisier blanc transparent qui laisse deviner ses aréoles foncées, un court tablier par dessus, et une petite coiffe en dentelle complètent le déguisement.
Pour moi, j'ai choisi d'être un sanguinaire vampire, revêtu d'une grande cape noire sous laquelle je porte un collant noir ouvert devant laissant libre accès à mon sexe. Un masque d'une blancheur cadavérique avec de longues canines font de moi un être peu avenant.
A 21h pile, Claude et Flo sonnent à l'interphone, nous descendons et nous engouffrons dans la M......s après avoir salué nos amis, qui ont un sifflement admiratif à notre vue.
Flo est en Colombine et Claude en Pierrot, étant assis je ne peut voir les particularité de leurs tenues.
Nous arrivons à la propriété ou nous sommes reçus par le même maître d'hôtel qui nous conduit vers la grande salle ou une quinzaines de personnes boivent et discutent en attendant l'heure des festivités. Tous sont déguisés avec recherche et tous ont pour particularité de porter des déguisements qui laissent leur organes génitaux libres devant pour les hommes et des deux cotés pour les femmes.
Je remarque dans un coin, trois personnes, deux hommes et une femme déguisés en martien. Ils sont en vert bien sur, mais portent un masque d'où émerge un genre de trompe dont la forme phallique ne peut échapper à un oeil avisé comme le mien.
Je les désigne à Jeanne qui me dit, tu as vu il ne leur manque rien pour faire jouir les pauvres terriens que nous sommes.
Après quelques instants et l'arrivée de quelques autres invités, le maître des lieux se dirige vers la martienne et la désigne comme la reine de la soirée.
Il vient ensuite vers Jeanne, trousse sa courte jupe, découvrant son sublime cul et son appetissante chatte rasée, que le string révèle plus qu'il ne cache. Il lui demande de retirer ce morceau de tissus inutile et lui dit qu'ayant été la reine de la dernière soirée, rôle qu'elle a parfaitement tenu, elle a l'honneur d'être la première à chauffer la martienne, il lui donne un martinet pour remplir sa tache.
Jeanne, s'approche donc de la femme dont le sexe rasé et le cul rebondi sont mis en valeur par sa tenue au combien érotique, invitant la main, le martinet, la langue, à leur rendre hommage.
La femme comme Jeanne la dernière fois a été attachée sur une table basse, qui par un coussin glissé sous son ventre tend ses fesses vers le châtiment.
Jeanne commence par promener les lanières sur les globes laiteux, puis dans la raie, de temps à autre elle donne de légers coups faisant légèrement rosir le fessier. L'un des martiens se dirige alors vers les lieux du supplice et prenant le martinet des mains de Jeanne il en porte deux violents coups sur le cul offert, disant à Jeanne qui si elle ne frappe pas assez fort, c'est elle qui sera punie de la façon dont une "boniche " peut l'être par son maître insatisfait. Et avant de lui rendre le martinet il lui en applique deux coups cinglant sur le haut des cuisses.
Jeanne reprend alors le chatiment, faisant gemir de douleur et de plaisir sa victime venue d'un autre monde.
Le maître de cérémonie donne alors le signal pour que commence l'orgie, les hommes commencent alors à entreprendre les femmes présentes, de même que ces dernières prennent certains hommes en main ou en bouche.
La martienne elle est honorée par moi, j'use de son anus que j'ai lubrifié de sa mouille que le martinet de Jeanne a fait copieusement coulé entre ses cuisses.
Son trou est étroit et semble peu ou pas habitué au sexe de l'homme, l'un des deux martiens s'approche de moi et me dit, "encule moi cette chienne" elle est pucelle du cul et je l'ai amené pour ça. C'est ma jeune maîtresse et elle m'a refusé son cul hier se déclarant vierge de ce coté. Désormais cette voie me sera offerte.
Il se tourne ensite vers Jeanne et lui dit sans détours, " toi ma salope tu as du mouiller en fouetant mon amie, maintenant tu vas jouir par la bite de deux extra-terrestres, et si ils viennet de Mars, c'est de ta lune qu'ils vont s'occuper.
Joignant le geste à la paroles les deux E.T. présentèrent leurs sexes à la bouche de Jeanne, lui enjoignant de bien les sucer pour être bien enculée.
Jeanne, obéissante et soumise allait d'un sexe long et fin à l'autre épais et noueux dont les grosses veines saillantes lui donnait une allure monstrueuse.
Jeanne la bouche remplie par l'un ou investie à fond par l'autre s'appliquait à faire durcir et a saliver copieusement sur les deux sexes qui allaient l'investir au plus intime.
On lui ordonna ensuite de se mettre à quatre pattes, de retrousser sa jupette afin d'offrir son cul à la convoitise de ses sodomites.
Je vous conterais la suite de cette soirée dans une prochaine HDS.

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Texte coquin : Jeanne et les
Histoire sexe : Une rose rouge
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