Jessica sous hypnose 4
Récit érotique écrit par Ervid [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jessica sous hypnose 4
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Au milieu de la nuit je décidais de m’amuser, je lui envoyais un message lui enjoignant de me retrouver dans un café, vêtue comme d’habitude extrêmement sexy.
Un haut qui ne cachait quasiment pas ses sein, un mini short sans culotte, tellement mini que les lèvres de son sexe étaient visible.
J’avais choisi une table au centre du café, elle s’assit en face de moi.
Le serveur vint prendre la commande, je pris un whisky et demandais pour elle une écuelle avec de l’eau, le serveur me regarda et partit.
Il apporta la commande, et attendit pour voir, sans un mot Jessica se mit à quatre pattes, et commença à boire son écuelle.
Quand ce fut fini, elle se rassit et j’exigeais qu’elle déchire ses vêtements et puis se masturbe sans jouir tant que je ne donne pas mon accord. Elle se leva et demanda des ciseaux pour ses vêtements ce que le serveur lui apporta rapidement.
Un coup de ciseaux dans le haut, puis elle attrapa les deux bouts et tira, le bruit de déchirure se fit entendre dans tout le café, le haut était maintenant complètement déchiré laissant sortir ses gros nichons.
Même chose avec son short, elle était maintenant quasi nue au milieu du café, se mit alors à se masturber, on entendait maintenant ses petits cris, elle me demanda l’autorisation de jouir, je dis plus fort je n’entends pas, elle demanda plus fort, je recommençais le même jeu, elle se mit à crier dans le café pitié laissez-moi jouir, je dis redemande le encore un fois elle cria la même demande, tout le monde la regardais, j’étais au anges et lui donnais la permission de jouir ce qu’elle fit bruyamment.
Je demandai au serveur une assiette, ce qu’il fit.
Je donnais l’assiette à Jessica toujours nue, et lui donnais comme ordre de faire le tour du café de demander aux gens présent de cracher dans l’assiette, puis de pincer ses seins et de donner une petite claque sur ses fesses. Presque tous les clients firent, à chaque client qui ne le ferait pas, la punition suivrait et elle le savait.
Après avoir fait le tour du café, cinq clients n’ont pas accédé à sa demande. Pour la punition je verrais plus tard.
Je mis l’assiette par terre et elle but tous les crachats au milieu de la pièce.
On m’apporta alors un grand carton et un marqueur, et elle écrivit en panne merci d’utiliser l’urinoir de remplacement, je la pris par les cheveux et l’amenai aux toilettes, sur l’urinoir elle posa le panneau et je lui attachai mains à l’urinoir, et lui dit maintenant et jusqu’à ce que je vienne te chercher tu es l’urinoir de remplacement, elle cria très fort, oui maitre je suis l’urinoir de remplacement.
Je la laissai là 1 heure, le temps de compter 5 personnes, voilà sa punition.
Vu qu’elle avait déchiré ses vêtements, j’en avais prévu d’autres.
Une blouse en mailles laissant voir ses nichons et sortir ses bouts, en érection à cause du froid, une culotte ouverte sur la chatte et une jupette tellement courte qu’elle ne cachait rien.
Une fois rentrée, elle se changea, sortit de sa transe et partit travailler.
À suivre
Au milieu de la nuit je décidais de m’amuser, je lui envoyais un message lui enjoignant de me retrouver dans un café, vêtue comme d’habitude extrêmement sexy.
Un haut qui ne cachait quasiment pas ses sein, un mini short sans culotte, tellement mini que les lèvres de son sexe étaient visible.
J’avais choisi une table au centre du café, elle s’assit en face de moi.
Le serveur vint prendre la commande, je pris un whisky et demandais pour elle une écuelle avec de l’eau, le serveur me regarda et partit.
Il apporta la commande, et attendit pour voir, sans un mot Jessica se mit à quatre pattes, et commença à boire son écuelle.
Quand ce fut fini, elle se rassit et j’exigeais qu’elle déchire ses vêtements et puis se masturbe sans jouir tant que je ne donne pas mon accord. Elle se leva et demanda des ciseaux pour ses vêtements ce que le serveur lui apporta rapidement.
Un coup de ciseaux dans le haut, puis elle attrapa les deux bouts et tira, le bruit de déchirure se fit entendre dans tout le café, le haut était maintenant complètement déchiré laissant sortir ses gros nichons.
Même chose avec son short, elle était maintenant quasi nue au milieu du café, se mit alors à se masturber, on entendait maintenant ses petits cris, elle me demanda l’autorisation de jouir, je dis plus fort je n’entends pas, elle demanda plus fort, je recommençais le même jeu, elle se mit à crier dans le café pitié laissez-moi jouir, je dis redemande le encore un fois elle cria la même demande, tout le monde la regardais, j’étais au anges et lui donnais la permission de jouir ce qu’elle fit bruyamment.
Je demandai au serveur une assiette, ce qu’il fit.
Je donnais l’assiette à Jessica toujours nue, et lui donnais comme ordre de faire le tour du café de demander aux gens présent de cracher dans l’assiette, puis de pincer ses seins et de donner une petite claque sur ses fesses. Presque tous les clients firent, à chaque client qui ne le ferait pas, la punition suivrait et elle le savait.
Après avoir fait le tour du café, cinq clients n’ont pas accédé à sa demande. Pour la punition je verrais plus tard.
Je mis l’assiette par terre et elle but tous les crachats au milieu de la pièce.
On m’apporta alors un grand carton et un marqueur, et elle écrivit en panne merci d’utiliser l’urinoir de remplacement, je la pris par les cheveux et l’amenai aux toilettes, sur l’urinoir elle posa le panneau et je lui attachai mains à l’urinoir, et lui dit maintenant et jusqu’à ce que je vienne te chercher tu es l’urinoir de remplacement, elle cria très fort, oui maitre je suis l’urinoir de remplacement.
Je la laissai là 1 heure, le temps de compter 5 personnes, voilà sa punition.
Vu qu’elle avait déchiré ses vêtements, j’en avais prévu d’autres.
Une blouse en mailles laissant voir ses nichons et sortir ses bouts, en érection à cause du froid, une culotte ouverte sur la chatte et une jupette tellement courte qu’elle ne cachait rien.
Une fois rentrée, elle se changea, sortit de sa transe et partit travailler.
À suivre
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