Jo et Allan 2
Récit érotique écrit par Kevoreo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jo et Allan 2
J'étais resté toute la journée de samedi à planer dans mon lit comme un qui aurait
fumé du shit, sauf que moi, je n'étais pas shooté à l'herbe, mais à l'amour... J'avais
directement eu le coup de foudre pour mon prof d'anglais, mais jamais je n'aurai pensé
qu'on en arriverait là tout les deux. Il est si...
Allan, j'ai un sermon à préparer, je vais chez le père André pour demander deux-trois
conseils, je reviendrai sans doute très tard, je compte sur toi pour que ton frère
soit au lit au plus tard à 22h, je vous ai laissé de l'argent pour des pizzas. Et
étudie, je te rappel que tu as une qualification à passer fin d'année. Bonne soirée
fiston. Oh dit-il en rouvrant la porte de ma chambre, si tu veux tu peux inviter Giusy
pour te tenir compagnie tant que tu ne te couches pas trop tard.
Mon père sait mit dans la tête que je formerai un très beau couple avec Giusy ma
meilleure amie depuis maintenant 5ans. C'est une fille très belle, long cheveux bruns
bouclés, un sourire éclatant, des ongles toujours vernis, une vraie bimbo.
Je téléphona à Giusy qui ce proposa d'aller chercher les pizzas en venant, quand elle
arriva, mon frère ce rua comme un mal poli sur les pizzas, prit la sienne et parti
dans sa chambre continuer son jeu vidéo. On prit place dans le salon, j’installai deux
coussins au sol devant la table basse où étaient posées les pizzas et on s'assit pour
manger.
Ton père il est où au fait ? Me demanda-t-elle entre deux bouchées de pizza aux
ananas.
Il est parti chez le père André pour son sermon à la con.
Si il t'entendait dire ça, il serait fâché.
Je m'en fou, tout ce qui l'intéresse c'est son église et Dieu, contrairement aux
apparences, il ce fou pas mal de ses gosses.
J'avoue que ton père n'est pas souvent là et que quand il est là, il est pas très
cool.
Il m'empêche de vivre dis-je.
Comment ça ? Dit-elle en léchant la sauce tomate qui avait coulé sur ses doigts
Il m'en veut énormément que je vienne pas à la messe le dimanche, puis s'il savait...
S'il savait que tu étais gay ? Tu sais c'est pas une honte, puis tu pourras toujours
compté sur moi.
Merci Giusy dis-je. Tu dirais quoi si j'étais amoureux ?
Je dirais que je suis super heureuse pour toi et je te demanderai qui c'est, quel âge
il a, ce qu'il fait dans la vie, où il va à l'école.
Jonathan 27ans professeur d'anglais à mon école.
Nooon ?
Siii
Tu te tapes ton prof d'anglais ? Toi ? Tu me fais marché c'est pas possible dit-elle
en lâchant sa pizza.
Non, j'avais cours d'anglais chez lui et on a couché ensemble dans son salon.
Jure le !
Je le jure.
Elle n'en croyait pas ses oreilles, elle me demanda de lui raconter les détails, pas
sexuel car elle n'était pas trop friande de la sexualité des couples homos, mais me
demanda mes impressions, si mes sentiments étaient bien fondé, si lui même il en avait
pour moi. Alors je lui expliqua toute l'histoire, le fait qu'il soit déjà en couple
depuis quelques années avec un certain Jérôme, le fait qu'il soit professeur, le fait
qu'il soit plus mûre que moi...
Notre conversation ce termina dans les alentours de minuit, elle devait rentrer chez
elle car elle travaillait le lendemain, je lui dis bonsoir et la remercia de m'avoir
écouté, rangea un peu la maison et parti prendre une douche avant d'aller dormir.
Le lendemain matin, pour une fois, je fus levé avant que mon réveil ne sonne, j'étais
trop excité à l'idée de revoir Jo. J'avais envie de toucher son corps semi musclé, de
sentir son odeur d'homme virile, sentir la chaleur de son corps contre ma peau... Bon
Allan calme-toi, aussi non j'en connais un qui va ce redresser...
Je pris soin de bien choisir mes vêtements, me coiffa en relevant mes cheveux, me
parfuma et descendis prendre mon petit déjeuner.
Une fois arrivé à l'école, je chercha Jonathan du regard, mais il y avait tellement de
monde que je n'aurai pas su le retrouver, je me dirigea vers ma petite bande composée
de Jeffrey et sa copine Margaux, Nabil, Xavier et Daphné, sa jumelle.
La journée fût longue... très longue, je m'étais décidé à passer à la salle des profs
afin de parler à Jo et lui demander pourquoi est-ce que je n'avais pas eu de nouvelles
de lui de tous le week-end, il avait pourtant mon numéro dans son carnet des
présences, pourquoi est-ce qu'il n'avait pas donner de nouvelle, juste un « salut »
m'aurait fait sauté au plafond... Avait-il été déçu de mes performances ? Je n'avais
peut-être pas été à la hauteur de ses espérances, Jérôme avait peut-être tout appris
et donc il n'avait pas pu me prévenir par message.
La pause de midi sonna enfin, je me ruai vers la salle des profs en prétextant auprès
de mes potes que la prof de math avait oublié de compter des points sur mon
interrogation.
Devant la porte brune de la salle des profs, j’hésitai longuement à toquer, j'avais
peur qu'en me voyant, il me remballe ou que je ne puisse pas me retenir de lui sauter
dessus.
C'est pourquoi ? Me demanda ma prof d'éducation à la santé de l'année dernière.
Je voudrai parlé à M. Becker, c'est pour heu... des fiches techniques que je n'ai pas
comprises.
Un instant je vais voir après lui.
Les quelques secondes qui passèrent me parurent durer une éternité, je m'attendais à
voir la tête de Jo d'une seconde à l'autre...
M. Becker est noté comme professeur absent, il n'est pas mis jusque quand je suis
désolée, mais si tu veux je peux appelé madame Shiffer l'autre professeur d'anglais.
Non merci ça peut attendre, merci dis-je déçu.
Jo n'était pas venu travailler aujourd'hui, mais pourquoi ? Je sentais que c'était à
cause de moi, m'évitait-il ? Sans doute... Ou alors Jérôme avait tout découvert et
l'avait interdit de sortir de chez lui. Non... Je pense plutôt qu'il cherchait à
m'éviter, mais pourquoi ? C'était si nul que ça l'autre jour ?
Je ne cessais de me poser toutes ses questions, et en fin de journée, je décida de me
rendre chez lui, j'avoue que j'avais assez peur de tomber sur Jérôme, mais tant pis,
s'il essayait de m'éviter, il fallait que je sache pourquoi et que l'on mette les
choses au clair.
Ah c'est toi dit-il en m'ouvrant.
Je peux entrer ?
Il s'écarta de la porte et me fis entrer, il me proposa une tasse de café que je
refusa.
Tu n'es pas venu travailler ?
Tu vas pas jouer les pères non ? Me dit-il sur un ton moins chaleureux.
Désolé dis-je, je voulais juste savoir si c'était de ma faute.
Non, c'est pas ta faute mais c'est la mienne, je n'aurai jamais du céder à mes
pulsions, je suis le plus vieux et c'est moi qui doit arriver à mettre des barrières.
Pourquoi tu veux mettre des barrières ?
Parce que ce qui sait passé est mal sain !
Pourquoi ?
Parce que je suis 8ans plus vieux que toi, parce que j'ai un mec et surtout parce que
je suis ton professeur et toi tu es mon élève, je peux perdre mon boulot à cause de
ça !
A cause de ça... Donc ça ne représentait rien pour toi, j'étais un bête plan cul...
Arrête Allan, je n'ai jamais dis ça, mais c'est compliqué, je ne peux pas risquer de
perdre mon boulot !
Tu ne m'aimes pas ?
Ce n'est pas la question dit-il en ce tournant dos à moi.
Répond, j'ai besoin de savoir, je suis quelqu'un à fleur de peau, donc si je dois me
prendre un râteau, que je le prenne maintenant, ça fera beaucoup moins mal que dans un
mois.
Je peux juste te dire que tu n'es pas qu'un bête plan cul, mais je ne veux pas perdre
ma place d'enseignant dit-il.
Je m'avança derrière lui et me colla à lui en le serrant dans mes bras, je n'avais de
toute manière plus rien à perdre.
Contre toute attente, il ce retourna, me pris le visage entre les mains et m'embrassa
langoureusement. Je sentis mon entre-jambe réagir fasse à ce baisé, et lui aussi le
remarqua à ma plus grande gène.
Je vois que monsieur en demande dit-il en poussant sur mes fesses afin de ce coller à
moi.
On s'embrassa, ce caressa, ce toucha.
Suis-moi me glissa-t-il au creux de l'oreille.
Il me prit par la main et m'emmena vers sa chambre. Elle était petite mais bien
rangée, enfin... excepté les draps qui étaient à terre, sans doute le résultat de ses
ébats amoureux avec Jérôme. Cette idée ne me fis ni chaud ni froid, car pour l'instant
Jonathan était à moi...
On ce mis en boxer et ce ruèrent vers le lit afin de reprendre là où nous nous étions
arrêter l'instant d'avant. Il enlaça ses bras autour de ma taille tandis que
j'enlaçais les miens autour de son coups, nos langues étaient entrée dans une danse
douce et sensuelle, ses mains tâtaient mes fesses, son bassin faisait de légers petits
mouvements ce qui avait le dont de m'exciter encore plus.
Je lâcha son cou afin de me plonger vers le centre de mes envies... Je senti son
trésor comme on sent une rose, je lécha le tissu comme on léche une crème glacée et
j’ôtai son boxer, comme on ôte une feuille d'une enveloppe... Sa queue était là, ce
dressant fièrement devant mon nez, Jonathan était debout sur ses genoux, je revins
l'embrasser puis redescendu pour engloutir sa pine. Je la mouilla en y mettant
beaucoup de salive, je donna quelques coups de langues sur le gland, ce qui eu dont de
lui faire sortir deux-trois petits râles, je tâta ses bourses, les pris en bouche une
par une.
Tu me fais un de ces effet me dit-il en me regardant à l’œuvre.
Après cette déclaration très appréciée, je décida d'accélérer les choses et me mis à
le pomper comme un agneau assoiffé au pi de sa mère. Il tenait ma tête entre ses mains
et imposait un rythme plus soutenu en essayant de me faire quelques gorges profonde.
Eeen oui c'est bon ça dit-il en gémissant.
Sa queue devenait de plus en plus grosse, je m'arrêta avant qu'il n'explose dans ma
bouche et remonta l'embrasser. C'était à présent à son tour de s'occuper de moi, il
m'abaissa mon boxer blanc et commença à me masturber frénétiquement, mon pouls
s'accélérait au fiel de ses vas et vient puis me poussa en arrière, je tomba sur le
dos et il venu ce mettre à côté de moi en sens inverse afin d'entamer un 69 sur le
côté.
Je senti une langue chaude, douce et humide titiller mon gland et descendre jusqu'à la
garde, je lâcha un petit gémissement et senti ma pine avalée par sa bouche. Il
commença des vas et viens, plus il allait vite, plus il serrait ses lèvres autour de
ma queue et meilleur s'était. Il mouilla un de ses doigts et venu chatouiller mon
entrée avant de l'y engouffrer et de faire quelques vas et vient tout en me pompant.
Eeen c'est bon ça. Dis-je en fermant les yeux pour mieux savourer cet instant.
Il inséra un deuxième doigt puis un troisième et fis de longs va et vient rapides, je
ne pouvais m'empêcher de râler de joie.
Il ce redressa, chercha un préservatif dans sa table de nuit, prit une petite
bouteille de lubrifiant, sûrement l'avait-il utilisée avec Jérôme, et en tartina sur
sa bite bien droite et sur ses doigts afin d'en tapisser au fond de mon orifice.
Il me releva les jambes sur ses épaules et présenta son gourdin à mon entrée.
Détends-toi loulou me dit-il avant de s'enfoncer sans s'arrêter malgré mes cris de
douleurs.
Il s'arrêta une fois le fond de mes entrailles touché. Il m'embrassa sensuellement en
attendant que la douleur passe.
Tu m'aimes ? Demandais-je.
Mais il ne me répondit pas et commença ses vas et viens doux et lent. Chaque
mouvements me faisait faire une grimace de douleur, mais il continua tout de même en
me masturbant.
La souffrance fit vite place au plaisir et je commença à gémir au rythme de ses
mouvements.
Je vois que monsieur commence à y prendre goût me glissa-t-il à l'oreille avant de me
mordre celle-ci.
Ses mouvements de bassins ce firent de plus en plus rapide, nous gémissions tous les
deux, je m'abandonnais totalement à lui, j'étais au paradis.
Il me retourna sur le côté et vint ce coucher derrière moi, me leva une jambe et vint
s’emboîter en moi, cette position me fit beaucoup d'effets. Il accélérait les
mouvements, il me labourait de plus en plus vite, je me sentais comme un objet pour
lui, mais un objet auquel il tenait beaucoup et qu'il respectait. Je lassa aller ma
tête en arrière et m'abandonna une nouvelle fois à ce plaisir intense. Il m'embrassa
gouluement tout en continuant ses vas et viens de plus en plus rapides. Ses baisés
étouffaient mes cris de plaisir.
Eeeen ouiii c'est bon eeeeen plus vite dis-je.
T'aimes ça hein coquin.
Ouiiii...
Je sentais une chaleur ce former dans mon anus, le plaisir montait de plus en plus,
ses assauts étaient de plus en plus violant. Soudain, je sentis mon corps ce crisper,
il attrapa ma pine et commença une masturbation intense.
Eeeen aaaaah ouiii.
Je sentais son souffle dans mon cou, je cherchais sa bouche de mes lèvres, mon anus ce
crispa, ma queue gonfla et j'atteignis le 7e ciel... J’éjaculai dans sa main, il
arrêta ses mouvements pour me laisser un peu de répits mais resta néanmoins planté au
fond de moi. Il me fit goûter à ma semence, et m'embrassa tout en me caressant.
Il sorti de moi délicatement, mon cul était élargit, un camion aurait pu s'y garer
sans problème ! Enleva la capote et ce mit assit sur moi, devant mon visage et
j’entamai une fellation dans les règles de l'art. Suçage du gland, langue qui glisse
du haut vers la garde, prise des boules en bouche une par une et enfin engloutissement
de ce trésor qui me donne du plaisir. Il mit ses mains sur le mur et commença à faire
quelques mouvements de vas et viens afin de me pénétré la bouche.
Eeeen tu as une bouche à queue toi... Eeeen Eeeeen Ouiiiiiiiii....
Il accélérait ses mouvements, je l'encourageais en pinçant ses fesses, il ne tarda pas
à venir ce déverser dans ma bouche et encore une fois, j’avalai tout...
Il ce retira de ma bouche, repris son souffle et venu ce coucher prêt de moi et
m'invita à me blottir contre lui. Plus rien n'existait à ce moment précis, j'étais
bien, j'étais aux anges, j'étais heureux tout simplement...
Jo ?
Oui ?
Tu n'as pas répondu à ma question, tu m'aimes ?
Oui je crois.
Je peux considérer que nous sommes amants ?
J'ai peur que tout le monde le découvre, c'est compliqué.
Nous sommes assez grand pour pouvoir garder ça secret dis-je.
Tu as peut-être raison...
Donc je peux considérer que nous formons un couple ?
Oui
Tu m'aimes ?
Oui je t'aime...
Nous nous embrassâmes à pleine bouche, puis il décida qu'il était temps que je rentre
chez moi avant que Jérôme ne rentre du travail et ne me voie là. Avant de le quitter,
je l'embrassa une dernière fois et lui rappela de ne pas s'inquiéter, que personne ne
saura jamais rien et que le principal dans cette histoire c'est qu'on s'aimait et que
nous étions heureux ensemble...
Si ça pouvait être si simple que ça...
fumé du shit, sauf que moi, je n'étais pas shooté à l'herbe, mais à l'amour... J'avais
directement eu le coup de foudre pour mon prof d'anglais, mais jamais je n'aurai pensé
qu'on en arriverait là tout les deux. Il est si...
Allan, j'ai un sermon à préparer, je vais chez le père André pour demander deux-trois
conseils, je reviendrai sans doute très tard, je compte sur toi pour que ton frère
soit au lit au plus tard à 22h, je vous ai laissé de l'argent pour des pizzas. Et
étudie, je te rappel que tu as une qualification à passer fin d'année. Bonne soirée
fiston. Oh dit-il en rouvrant la porte de ma chambre, si tu veux tu peux inviter Giusy
pour te tenir compagnie tant que tu ne te couches pas trop tard.
Mon père sait mit dans la tête que je formerai un très beau couple avec Giusy ma
meilleure amie depuis maintenant 5ans. C'est une fille très belle, long cheveux bruns
bouclés, un sourire éclatant, des ongles toujours vernis, une vraie bimbo.
Je téléphona à Giusy qui ce proposa d'aller chercher les pizzas en venant, quand elle
arriva, mon frère ce rua comme un mal poli sur les pizzas, prit la sienne et parti
dans sa chambre continuer son jeu vidéo. On prit place dans le salon, j’installai deux
coussins au sol devant la table basse où étaient posées les pizzas et on s'assit pour
manger.
Ton père il est où au fait ? Me demanda-t-elle entre deux bouchées de pizza aux
ananas.
Il est parti chez le père André pour son sermon à la con.
Si il t'entendait dire ça, il serait fâché.
Je m'en fou, tout ce qui l'intéresse c'est son église et Dieu, contrairement aux
apparences, il ce fou pas mal de ses gosses.
J'avoue que ton père n'est pas souvent là et que quand il est là, il est pas très
cool.
Il m'empêche de vivre dis-je.
Comment ça ? Dit-elle en léchant la sauce tomate qui avait coulé sur ses doigts
Il m'en veut énormément que je vienne pas à la messe le dimanche, puis s'il savait...
S'il savait que tu étais gay ? Tu sais c'est pas une honte, puis tu pourras toujours
compté sur moi.
Merci Giusy dis-je. Tu dirais quoi si j'étais amoureux ?
Je dirais que je suis super heureuse pour toi et je te demanderai qui c'est, quel âge
il a, ce qu'il fait dans la vie, où il va à l'école.
Jonathan 27ans professeur d'anglais à mon école.
Nooon ?
Siii
Tu te tapes ton prof d'anglais ? Toi ? Tu me fais marché c'est pas possible dit-elle
en lâchant sa pizza.
Non, j'avais cours d'anglais chez lui et on a couché ensemble dans son salon.
Jure le !
Je le jure.
Elle n'en croyait pas ses oreilles, elle me demanda de lui raconter les détails, pas
sexuel car elle n'était pas trop friande de la sexualité des couples homos, mais me
demanda mes impressions, si mes sentiments étaient bien fondé, si lui même il en avait
pour moi. Alors je lui expliqua toute l'histoire, le fait qu'il soit déjà en couple
depuis quelques années avec un certain Jérôme, le fait qu'il soit professeur, le fait
qu'il soit plus mûre que moi...
Notre conversation ce termina dans les alentours de minuit, elle devait rentrer chez
elle car elle travaillait le lendemain, je lui dis bonsoir et la remercia de m'avoir
écouté, rangea un peu la maison et parti prendre une douche avant d'aller dormir.
Le lendemain matin, pour une fois, je fus levé avant que mon réveil ne sonne, j'étais
trop excité à l'idée de revoir Jo. J'avais envie de toucher son corps semi musclé, de
sentir son odeur d'homme virile, sentir la chaleur de son corps contre ma peau... Bon
Allan calme-toi, aussi non j'en connais un qui va ce redresser...
Je pris soin de bien choisir mes vêtements, me coiffa en relevant mes cheveux, me
parfuma et descendis prendre mon petit déjeuner.
Une fois arrivé à l'école, je chercha Jonathan du regard, mais il y avait tellement de
monde que je n'aurai pas su le retrouver, je me dirigea vers ma petite bande composée
de Jeffrey et sa copine Margaux, Nabil, Xavier et Daphné, sa jumelle.
La journée fût longue... très longue, je m'étais décidé à passer à la salle des profs
afin de parler à Jo et lui demander pourquoi est-ce que je n'avais pas eu de nouvelles
de lui de tous le week-end, il avait pourtant mon numéro dans son carnet des
présences, pourquoi est-ce qu'il n'avait pas donner de nouvelle, juste un « salut »
m'aurait fait sauté au plafond... Avait-il été déçu de mes performances ? Je n'avais
peut-être pas été à la hauteur de ses espérances, Jérôme avait peut-être tout appris
et donc il n'avait pas pu me prévenir par message.
La pause de midi sonna enfin, je me ruai vers la salle des profs en prétextant auprès
de mes potes que la prof de math avait oublié de compter des points sur mon
interrogation.
Devant la porte brune de la salle des profs, j’hésitai longuement à toquer, j'avais
peur qu'en me voyant, il me remballe ou que je ne puisse pas me retenir de lui sauter
dessus.
C'est pourquoi ? Me demanda ma prof d'éducation à la santé de l'année dernière.
Je voudrai parlé à M. Becker, c'est pour heu... des fiches techniques que je n'ai pas
comprises.
Un instant je vais voir après lui.
Les quelques secondes qui passèrent me parurent durer une éternité, je m'attendais à
voir la tête de Jo d'une seconde à l'autre...
M. Becker est noté comme professeur absent, il n'est pas mis jusque quand je suis
désolée, mais si tu veux je peux appelé madame Shiffer l'autre professeur d'anglais.
Non merci ça peut attendre, merci dis-je déçu.
Jo n'était pas venu travailler aujourd'hui, mais pourquoi ? Je sentais que c'était à
cause de moi, m'évitait-il ? Sans doute... Ou alors Jérôme avait tout découvert et
l'avait interdit de sortir de chez lui. Non... Je pense plutôt qu'il cherchait à
m'éviter, mais pourquoi ? C'était si nul que ça l'autre jour ?
Je ne cessais de me poser toutes ses questions, et en fin de journée, je décida de me
rendre chez lui, j'avoue que j'avais assez peur de tomber sur Jérôme, mais tant pis,
s'il essayait de m'éviter, il fallait que je sache pourquoi et que l'on mette les
choses au clair.
Ah c'est toi dit-il en m'ouvrant.
Je peux entrer ?
Il s'écarta de la porte et me fis entrer, il me proposa une tasse de café que je
refusa.
Tu n'es pas venu travailler ?
Tu vas pas jouer les pères non ? Me dit-il sur un ton moins chaleureux.
Désolé dis-je, je voulais juste savoir si c'était de ma faute.
Non, c'est pas ta faute mais c'est la mienne, je n'aurai jamais du céder à mes
pulsions, je suis le plus vieux et c'est moi qui doit arriver à mettre des barrières.
Pourquoi tu veux mettre des barrières ?
Parce que ce qui sait passé est mal sain !
Pourquoi ?
Parce que je suis 8ans plus vieux que toi, parce que j'ai un mec et surtout parce que
je suis ton professeur et toi tu es mon élève, je peux perdre mon boulot à cause de
ça !
A cause de ça... Donc ça ne représentait rien pour toi, j'étais un bête plan cul...
Arrête Allan, je n'ai jamais dis ça, mais c'est compliqué, je ne peux pas risquer de
perdre mon boulot !
Tu ne m'aimes pas ?
Ce n'est pas la question dit-il en ce tournant dos à moi.
Répond, j'ai besoin de savoir, je suis quelqu'un à fleur de peau, donc si je dois me
prendre un râteau, que je le prenne maintenant, ça fera beaucoup moins mal que dans un
mois.
Je peux juste te dire que tu n'es pas qu'un bête plan cul, mais je ne veux pas perdre
ma place d'enseignant dit-il.
Je m'avança derrière lui et me colla à lui en le serrant dans mes bras, je n'avais de
toute manière plus rien à perdre.
Contre toute attente, il ce retourna, me pris le visage entre les mains et m'embrassa
langoureusement. Je sentis mon entre-jambe réagir fasse à ce baisé, et lui aussi le
remarqua à ma plus grande gène.
Je vois que monsieur en demande dit-il en poussant sur mes fesses afin de ce coller à
moi.
On s'embrassa, ce caressa, ce toucha.
Suis-moi me glissa-t-il au creux de l'oreille.
Il me prit par la main et m'emmena vers sa chambre. Elle était petite mais bien
rangée, enfin... excepté les draps qui étaient à terre, sans doute le résultat de ses
ébats amoureux avec Jérôme. Cette idée ne me fis ni chaud ni froid, car pour l'instant
Jonathan était à moi...
On ce mis en boxer et ce ruèrent vers le lit afin de reprendre là où nous nous étions
arrêter l'instant d'avant. Il enlaça ses bras autour de ma taille tandis que
j'enlaçais les miens autour de son coups, nos langues étaient entrée dans une danse
douce et sensuelle, ses mains tâtaient mes fesses, son bassin faisait de légers petits
mouvements ce qui avait le dont de m'exciter encore plus.
Je lâcha son cou afin de me plonger vers le centre de mes envies... Je senti son
trésor comme on sent une rose, je lécha le tissu comme on léche une crème glacée et
j’ôtai son boxer, comme on ôte une feuille d'une enveloppe... Sa queue était là, ce
dressant fièrement devant mon nez, Jonathan était debout sur ses genoux, je revins
l'embrasser puis redescendu pour engloutir sa pine. Je la mouilla en y mettant
beaucoup de salive, je donna quelques coups de langues sur le gland, ce qui eu dont de
lui faire sortir deux-trois petits râles, je tâta ses bourses, les pris en bouche une
par une.
Tu me fais un de ces effet me dit-il en me regardant à l’œuvre.
Après cette déclaration très appréciée, je décida d'accélérer les choses et me mis à
le pomper comme un agneau assoiffé au pi de sa mère. Il tenait ma tête entre ses mains
et imposait un rythme plus soutenu en essayant de me faire quelques gorges profonde.
Eeen oui c'est bon ça dit-il en gémissant.
Sa queue devenait de plus en plus grosse, je m'arrêta avant qu'il n'explose dans ma
bouche et remonta l'embrasser. C'était à présent à son tour de s'occuper de moi, il
m'abaissa mon boxer blanc et commença à me masturber frénétiquement, mon pouls
s'accélérait au fiel de ses vas et vient puis me poussa en arrière, je tomba sur le
dos et il venu ce mettre à côté de moi en sens inverse afin d'entamer un 69 sur le
côté.
Je senti une langue chaude, douce et humide titiller mon gland et descendre jusqu'à la
garde, je lâcha un petit gémissement et senti ma pine avalée par sa bouche. Il
commença des vas et viens, plus il allait vite, plus il serrait ses lèvres autour de
ma queue et meilleur s'était. Il mouilla un de ses doigts et venu chatouiller mon
entrée avant de l'y engouffrer et de faire quelques vas et vient tout en me pompant.
Eeen c'est bon ça. Dis-je en fermant les yeux pour mieux savourer cet instant.
Il inséra un deuxième doigt puis un troisième et fis de longs va et vient rapides, je
ne pouvais m'empêcher de râler de joie.
Il ce redressa, chercha un préservatif dans sa table de nuit, prit une petite
bouteille de lubrifiant, sûrement l'avait-il utilisée avec Jérôme, et en tartina sur
sa bite bien droite et sur ses doigts afin d'en tapisser au fond de mon orifice.
Il me releva les jambes sur ses épaules et présenta son gourdin à mon entrée.
Détends-toi loulou me dit-il avant de s'enfoncer sans s'arrêter malgré mes cris de
douleurs.
Il s'arrêta une fois le fond de mes entrailles touché. Il m'embrassa sensuellement en
attendant que la douleur passe.
Tu m'aimes ? Demandais-je.
Mais il ne me répondit pas et commença ses vas et viens doux et lent. Chaque
mouvements me faisait faire une grimace de douleur, mais il continua tout de même en
me masturbant.
La souffrance fit vite place au plaisir et je commença à gémir au rythme de ses
mouvements.
Je vois que monsieur commence à y prendre goût me glissa-t-il à l'oreille avant de me
mordre celle-ci.
Ses mouvements de bassins ce firent de plus en plus rapide, nous gémissions tous les
deux, je m'abandonnais totalement à lui, j'étais au paradis.
Il me retourna sur le côté et vint ce coucher derrière moi, me leva une jambe et vint
s’emboîter en moi, cette position me fit beaucoup d'effets. Il accélérait les
mouvements, il me labourait de plus en plus vite, je me sentais comme un objet pour
lui, mais un objet auquel il tenait beaucoup et qu'il respectait. Je lassa aller ma
tête en arrière et m'abandonna une nouvelle fois à ce plaisir intense. Il m'embrassa
gouluement tout en continuant ses vas et viens de plus en plus rapides. Ses baisés
étouffaient mes cris de plaisir.
Eeeen ouiii c'est bon eeeeen plus vite dis-je.
T'aimes ça hein coquin.
Ouiiii...
Je sentais une chaleur ce former dans mon anus, le plaisir montait de plus en plus,
ses assauts étaient de plus en plus violant. Soudain, je sentis mon corps ce crisper,
il attrapa ma pine et commença une masturbation intense.
Eeeen aaaaah ouiii.
Je sentais son souffle dans mon cou, je cherchais sa bouche de mes lèvres, mon anus ce
crispa, ma queue gonfla et j'atteignis le 7e ciel... J’éjaculai dans sa main, il
arrêta ses mouvements pour me laisser un peu de répits mais resta néanmoins planté au
fond de moi. Il me fit goûter à ma semence, et m'embrassa tout en me caressant.
Il sorti de moi délicatement, mon cul était élargit, un camion aurait pu s'y garer
sans problème ! Enleva la capote et ce mit assit sur moi, devant mon visage et
j’entamai une fellation dans les règles de l'art. Suçage du gland, langue qui glisse
du haut vers la garde, prise des boules en bouche une par une et enfin engloutissement
de ce trésor qui me donne du plaisir. Il mit ses mains sur le mur et commença à faire
quelques mouvements de vas et viens afin de me pénétré la bouche.
Eeeen tu as une bouche à queue toi... Eeeen Eeeeen Ouiiiiiiiii....
Il accélérait ses mouvements, je l'encourageais en pinçant ses fesses, il ne tarda pas
à venir ce déverser dans ma bouche et encore une fois, j’avalai tout...
Il ce retira de ma bouche, repris son souffle et venu ce coucher prêt de moi et
m'invita à me blottir contre lui. Plus rien n'existait à ce moment précis, j'étais
bien, j'étais aux anges, j'étais heureux tout simplement...
Jo ?
Oui ?
Tu n'as pas répondu à ma question, tu m'aimes ?
Oui je crois.
Je peux considérer que nous sommes amants ?
J'ai peur que tout le monde le découvre, c'est compliqué.
Nous sommes assez grand pour pouvoir garder ça secret dis-je.
Tu as peut-être raison...
Donc je peux considérer que nous formons un couple ?
Oui
Tu m'aimes ?
Oui je t'aime...
Nous nous embrassâmes à pleine bouche, puis il décida qu'il était temps que je rentre
chez moi avant que Jérôme ne rentre du travail et ne me voie là. Avant de le quitter,
je l'embrassa une dernière fois et lui rappela de ne pas s'inquiéter, que personne ne
saura jamais rien et que le principal dans cette histoire c'est qu'on s'aimait et que
nous étions heureux ensemble...
Si ça pouvait être si simple que ça...
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