Jocelyne et Gisèle
Récit érotique écrit par Emile Hubert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2008 dans la catégorie A dormir debout
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Jocelyne et Gisèle
<p>Je reviens à mon histoire.
Que vous dire ?... par quoi commencer ? Oui, peut être… vous dire combien j'étais heureuse… enfin !
La vie avec Monsieur Guy était un vrai bonheur. Notre principale activité était de faire l'amour tous les deux… et recommencer. Nous ne vivions que pour cela…faire l'amour et baiser avec d'autres. Mon petit mari adorait me voir me faire prendre par ses (nombreux) amis ou adorait savoir que je me faisais mettre par tous les orifices. Que de superbes soirées avec nos amies et amis avons-nous passées sans compter celles chez Charles ou nous nous sommes fait toutes défoncer par tous les bouts. Les statistiques sont là pour le confirmer… il y a des record à battre…. Le record du plus grand nombre d'orgasme avec une Isabelle survoltée ce soir la et ses vingt jouissances. Le record du plus grand nombre de mâles présents avec une femme pour dix-sept hommes… record détenu par Marie-Agnès. Mon score ?... comme Nathalie, proche, très proche, je vous raconterais… peut être. Le record de la bouteille… dans l'anus bien sûr… Nathalie et sa bouteille de champagne. La Deuxième est Annick et sa bouteille de bourgogne. Je ne fais partie du groupe des troisièmes avec la bouteille de bordeaux. Ah oui !... une précision… la bouteille… par le culot… aussi…. Mon record à moi… la plus grande quantité de foutre récupérée et ingérée…. Ce fut dans une assiette creuse que je laissais s'écouler le contenu de mes orifices et que je raclais mes propres doigts après qu'ils eurent été en recueillir un peu plus encore. Comme vous l'imaginez sans peine, le contenu de l'assiette fut mon repas ce soir là… jusqu'au bout et je dus, avec la langue faire disparaître toutes les traces (blanchâtre, jaunâtres et autres…) afin de rendre l'assiette propre comme un sou neuf. Malheureusement personne ne songea à la transvider dans un récipient pouvant servir à en évaluer le volume. Maintenant que j'y songe ils avait pourtant dit qu'un jour, ils auraient un verre gradué sous la main. Peut n'y pensent-il plus… il sera de mon devoir de leur en reparler… j'aime tant ! Et puis il y a celles qui sans détenir de records furent présentes, et bien présentes, dans toutes les disciplines chez Charles ou par la suite. Il y notamment Isabelle, Nadine et d'autre rencontrées à l'occasion, ou non, de parties de jambes en l'air….
Nos cochons d'hommes avaient eu une idée brillante. Celle constituer une société civile immobilière et de ce rendre propriétaire de locaux destinés uniquement à des activités… sexuelles. Loués ou non à des échangistes. Ils auraient bien voulu y adjoindre des d'hôtesses ou de temps à autres nous (mes amies et moi) aurions tenu ce rôle et ces cas nous aurions fait offices de participantes. Deux difficultés se rencontrèrent. D'abord trouver le local adéquat. Ensuite, difficile de faire la distinction entre leur fantasme et la réalité. Pas question d'employer de vraies hôtesses. D'un autre coté nous n'étions pas assez nombreuses ni assez disponibles pour assurer une ouverture quotidienne de ce genre d'endroit.
Le projet achoppait ici….
Une beau jour (enfin non, il pleuvait) Charles, Bertrand et Guy s'en allèrent visiter une ferme des environs qui serait à vendre. Ils partirent joyeux comme des larrons en goguette….
Le quotidien du lendemain titra :
GRAVE ACCIDENT SUR LA RN…
On pouvait lire plus après : pour une cause indéterminée le conducteur à perdu le contrôle de son véhicule percutant un poids lourd venant en sens inverse. Triste bilan de cet accident : un blessé léger, le conducteur du camion et trois victimes, les occupants de la voiture. Parmi ceux-ci on déplore la présence de M B. adjoint…..
Je vous l'ai déjà dit… la vie n'a pas toujours été marrante avec moi ….
Mon récent bonheur vola en mille morceaux. Je vous passe les détails de la suite, juste vous dire que je sombrais dans une déprime totale et longue. Pendant ce temps je pus constater que notre petit groupe éclata. A mon grand désespoir je vis que tout va bien : tout va bien… et que quand tout val : tout va mal… petit à petit, peu ou plus de nouvelle d'amis et (surtout) d'amies très chers. Je les vis s'éloigner de moi, peu encline aux galipettes, il est vrai. Marie-Agnès et son époux voguèrent vers des rivages ou l'on entendait plus le bruit des chaînes et les claquements de fouets que le doux bruissement du satin. Quand au quatuor Gilles, Isabelle, Fred et Annick (mon amie Annick !) ils s'accoquinèrent avec divers groupes échangistes du chef lieu, je crois. Il resta guère que Nathalie pour prendre de temps à autre de mes nouvelles et venir parfois me voir pour essayer de me tirer de mon désespoir. Quand au autres, je suppose que je disparus de leur monde ou bien ce furent eux qui disparurent du mien. Je sentais qu'une page s'était tournée.
Mes petits locataires (Laurent et Stéphanie) quittèrent mon pavillon pour aller emménager chez l'oncle disparu de Laurent. Je décidais donc de regagner mon petit chez-moi et de mettre la maison de Guy en vente. Je pus en disposer car, mon "Monsieur Guy" avait fait de moi son légataire universel. Financièrement, je me trouvais à l'abri pour le restant de mes jours. J'avais bien pensé changer de quartier, de ville, mais je ne pouvais pas m'y résoudre. Je vendis donc….
Mes acquéreurs… un couple, lui environ cinquante ans, elle, la quarantaine, ayant toujours habité la ville dans un autre quartier. C'est eux ou plutôt elle qui me sortit un beau jour de l'ornière….
Voila ce que je vais faire. Avant mes soucis, pendant ma déprime, Gisèle et Philippe (encore une fois rien à voir avec d'autres récits) avaient eu une vie. Alors je vais pour quelques temps leur laisser la plume. Je vous retrouverais quand notre histoire deviendra commune….
G. Bonjour, je suis Gisèle et vous installe dans la quarante quatrième année de ma vie (juste un an avant mon déménagement). Comme Jocelyne vous l'a dit, je suis mariée avec Philippe, une fille mariée depuis l'année dernière et je travaille comme employée administrative au lycée de la ville. Je m'occupe entre autre de la comptabilité de l'établissement. Me voila située au niveau social. Physiquement… je suis comme beaucoup de femmes peu satisfaite de moi-même… et mon époux dit que j'ai tort…. Je suis de taille moyenne, brune (avec quelques fils gris cachés par une petite coloration cuir, acajou ou prune, selon l'envie et la saison) aux yeux verts. Sans faire, ni de complexe, ni de fausse modestie, je dirais que comme certaines femmes, la quarantaine m'a plutôt réussit et m'a donné le charme de la femme mure encore séduisante. Il faut bien le reconnaître toute fois, je ne suis pas maigre. Allez disons un peu bien en chair… un peu…. Malgré être en délicatesse avec toute activité sportive, j'avoue que mon corps ne m'en tient pas rigueur. Je suis doté d'un visage régulier, avec une bouches bien ourlée, de jambes pas trop mal faites, d'un postérieur resté ferme et d'une poitrine, bien qu'ayant toujours été imposante (pour le grand plaisir de mes premiers flirts) reste très digne même si elle à perdu de son arrogance. En vérité je crois même que des gamines du lycée m'envie mon quatre vingt quinze de type E au seins lourds avec encore une belle tenue. Grosso modo me voilà moi !
P. Bonjour pour faire le pendant de notre histoire, je me présent à mon tour : Philippe, quarante neuf ans, un mètre soixante dix sept pour quatre vint un kilos et suis dessinateur projeteur dans un bureau d'études. Et c'est depuis que notre fille vole de ses propres ailes, nous cherchons à acquérir un pavillon pour y couler des jours paisibles. Paisibles… le mot m'attriste, c'est là que le bat blesse…. Gentille comme elle l'est, Gisèle ne vous à pas tout dit.
G C'est vrai tout n'est pas facile à raconter ….
P Nous avons plus de vingt ans de vie commune… commune comme un long fleuve tranquille. Tranquille… mais morne…. Je suis bien conscient de ne pas rendre ma femme heureuse. Heureuse n'est pas le mot. Je me rends bien compte, très bien compte d'ailleurs que je ne la satisfais pas. Je suis en effet doté d'un tout petit sexe qui m'a même fait, à l'adolescence arrêter le football à partir du moment ou il a fallut se doucher en commun. L surnom de "p'tit zob" commençait à circuler. P'tit zob n'a pas grandi …. Je ne m'en suis jamais caché auprès de Gisèle qui a tout de même voulu m'épouser. De plus si l'engin est petit, la façon de s'en servir est également nulle, complexé, éjaculateur rapide sinon précoce, je ne suis pas une affaire et loin s'en faut. Je ne peux intéresser aucune femme….
G Ce n'est pas tout à fait une question d'intérêt. Je l'aime, j'aime Philippe… c'est tout. C'est vrai il a pourtant toujours été franc avec moi au sujet du sexe. Il m'a même proposé le divorce pour que je puisse trouver le bonheur avec un autre. Mon bonheur est avec lui, j'en suis persuadée. Il m'a aussi proposé de prendre un amant qui me satisferait sexuellement… et puis quoi encore ! Pourtant de temps à autre j'aime, même si c'est court, qu'il me fasse l'amour. Je me sens femme… sa femme….
P Donc nous en sommes là de notre vie commune… tranquille mais morne physiquement, mais aussi très douillette. Un genre de cocon paisible…. Pourtant, Gisèle à du mérite car comme elle l'a dit la quarantaine passée lui vas bien, très bien même. Sans rajeunir, elle resplendit d'un charme nouveau. J'ai vu le regard des hommes sur elles quand nous faisons les courses… elle plait plus que jamais. Je m'en suis même aperçu lors de nos dernières vacances. Nous devions nous retrouver à l'hôtel ou nous logions après quelques courses faites séparément. J'eus la surprise, lorsque je revins, de la trouver assise à la terrasse en compagnie de deux hommes plutôt jeunes. Ils la quittèrent plutôt rapidement ; me voyant de retour. En rougissant elle m'avoua qu'ils lui avait fait des avances.
G Des avances… on peut appeler cela comme ça…. J'attendais Philippe à la terrasse de notre hôtel quand je fus abordée par deux jeunes hommes. Tout en s'asseyant sans la moindre gêne, il se mirent à me faire des propositions éhontées. D'après eux une "femme telle que moi" ne pouvait être qu'une grande amoureuse. En toute quiétude ils me proposèrent de poser un lapin à mon mari et de venir passer ce qui d'après eux serait un moment inoubliable qu'il se faisait fort de me faire passer ensemble ou l'un après l'autre. Au début gênée; outrée, j'avais fini sans savoir pourquoi par accepter une sorte de flirt verbal en rosissant vraisemblablement. L'arrivé de Philippe avait mis un terme à cette joute orale.
J'avais bien sûr tout dit à mon mari en cachant cependant ce qu'il y avait eu de plus scabreux. Une fois de plus et de surcroît comme nous étions en vacances Philippe réitéra ses propositions de m'accorder un instant de liberté. Je refusais en riant.
En riant mais pas tranquille tout de même. Ces deux types m'avaient bien troublée un peu. Philippe vous a dit que la quarantaine passée m'allait bien. J'avais pu le constater au lycée ou les regards non seulement des professeurs masculins mais aussi ceux des lycéens s'appesantissaient sur ma personne. S'appesantir… le mot est un peu faible…. Ce que je voyais dans certains yeux ne souffrait d'aucune équivoque. Certain d'entre eux s'arrangeaient pour me frôler quand il m'arrivait de franchir les couloirs. Certaines fois j'étais gênée de sentir leurs yeux rivés sur mes fesses et ma poitrine. Surtout que dans le lycée des bruits courraient.
Tel professeur d'Anglais donnait, parait-il, cours particuliers à de jeunes lycéennes. Il paraissait aussi que vu ce qu'elles avaient dans la bouche, le perfectionnement de l'accent britannique n'était pas au programme. Pourtant si on en jugeait d'après les notes certaines devait avoir fait des progrès…. Telle autre professeur d'Histoire Géo avait à tort ou à raison la réputation de délaisser l'étude de l'Etna, du Stromboli ou autre Soufrière pour prier des lycéens de venir étudier de près son volcan personnel…. Enfin telle autre professeur de Math avait la réputation d'avoir des théories très personnelles sur les ensembles, surtout si ceux-ci étaient composés de jeunes éléments mâles dont seul le volume le volume de leur cylindre permettait une sélection interclasse.
Tout cela m'amusait inconsciente que j'étais….
P Je suppose qu'au cours d'une vie la libido de la femme évolue. J'étais persuadé que celle de Gisèle n'y échappait pas. J'aurais voulu lui offrir…. Mais ne rêvons pas ! En fait, moi, je ne rêvais pas. Je la voyais bien devenir un peu plu coquette, un peu plus féminine. Je crus même qu'elle avait un amant. Bêtement je lui posais la question, d'abord courroucée elle me remit vertement en place, puis plus détendue elle s'amusa de mon imagination. Pourtant elle plaisait, témoin, ce mariage ou nous fûmes invités….
G Le début de mes soucis vint d'un mariage du fils d'un ami de Philippe. Tout se passa à merveille jusqu'à ce que le marié me présente son meilleur ami. D'ailleurs pourquoi me l'avait-il présenté ? Ce jeune homme commença à m'inviter à chaque fois que le rythme lui permettait de me prendre dans ses bras. Il me baratina aussi… bien sûr. Je fus obligé de prétexter la fatigue pour refuser ses invitations. Il persista et mon imbécile de mari de dire
"Mais amuses-toi ma chérie ! Pour une fois que tu peux danser ! Toi qui adores cela… et pour une fois tu as un cavalier qui danse bien"
Il est vrai que la danse n'était pas son fort (non plus). Mais l'autre, le cavalier, avait en tête un autre genre de chevauchée. En me serrant plus que convenable, il se permit des privautés. Je me faisais peloter comme une ado dans une boum… et il s'y prenait bien le bougre…. Tout en me révélant que c'est lui qui avait voulu que son ami nous présente, il me déclara qu'il me désirait (ça je m'en était aperçue à la bosse de son pantalon) et voulais me baiser. Il se mit même à me caresser les fesses sans vergogne et voulais m'entraîner vers les toilettes ou sa voiture. J'avoue que je dus faire un effort surhumain pour résister et le prier de cesser. Cette fois, je m'en étais bien rendue compte. Si Philippe n'avait pas été présent, j'aurais vraisemblable cédé à cet individu. De le sentir dans tout ces états m'avait affolée. J'en fus bouleversée, contrite, et si honteuse que "j'oubliais" de mentionner à Philippe que le jeune homme m'avait fait du gringue….
P C'est vrai je n'ai rien d'un Fred Astaire…. Avec ravissement, je voyais ma femme évoluer avec un jeune danseur que le marié nous avait présenté. Il semblait bien s'accorder avec Gisèle. J'étais content pour elle, elle avait l'occasion de s'amuser. Je l'encourageais même. Pourtant au fil du temps, sans être d'une jalousie excessive, il me sembla qu'il la serrait d'un peu près quand même. A un moment je crus même voir sa main posée sur les fesses de Gisèle. Non ! J'avais du rêver… connaissant Gisèle, s'il avait osé un tel geste, j'aurais immédiatement entendu retentir le bruit de la gifle qui s'en serait suivi. Voilà maintenant que j'avais la berlue et croyais que tous les hommes en voulaient à la vertu de ma femme. Après tout….
Peu après, je fus vraiment contrarié. Une amie de Gisèle gagna stupidement un séjour pour deux personnes dans un club de vacances d'un pays au sud de la méditerranée. Cette sotte que je n'appréciait pas au demeurant ne trouva rien de mieux, étant vielle fille, que de proposer à Gisèle de l'accompagner. Devant ma réaction elle commença par refuser. Puis je revins à la raison. D'abord cela aurait du être moi qui l'emmène en voyage…. Dès lors pourquoi ne pas lui faire ce plaisir que je savais être un rêve pour elle. Contre mauvaise fortune bon cœur… j'acceptais une séparation d'une semaine. Elle s'envola….
Je me pus m'empêcher d'être inquiet. Même hors saison ce genre de club devait fourmiller de dragueur en tout genre. A la réflexion, je me demandais quel était le pourquoi de cette inquiétude. Depuis longtemps et puisque je lui avais proposé moi-même je m'attendais un jour au l'autre à ce qu'elle veuille succomber à un vrai plaisir charnel que je n'étais pas capable d'offrir. Alors… était-ce le fait qu'elle soit loin de moi. Qu'est ce que cela changeais ? Rien à priori…. Me poussant tout seul dans mes derniers retranchements, je me demandais si je ne souhaitais pas être témoin de mon infortune… cocu ET voyeur…. Je ne parvins pas à trouver la réponse et ce que je souhaitais réellement : assister à mon cocufiage ou assister à son plaisir ?
G Hé oui ! Je partis avec ma copine Evelyne. J'avais une envie folle de farniente, de soleil de piscine dans un endroit un peu luxueux. Evelyne, elle peu adepte de la léthargie prévoyait des visites pittoresques. Je la mis un peu engarde contre les mauvaises rencontres. Elle me répondit :
"Ma pauvre que veux tu qu'il m'arrive ?"
Il est vrai que la nature ne l'avait pas trop gâtée. Malgré ses efforts elle était ronde (je dis cela car c'est une amie…) et forte. Malgré cela elle était d'une vitalité qui me faisait honte. Nous convîmes ensemble que, finalement puisque nos goûts différaient, nous ne nous occuperions pas l'une de l'autre et que nous vaquerions chacune de notre coté à nos occupations préférées. En riant nous nous conseillâmes de rester sage, moi la brune fidèle et elle la blonde célibataire. Avec humour elle me dit que j'aurais plus de mal à rester sage puisque ses rondeurs imposantes décourageaient les séducteurs. Dès mon arrivée je passais un petit coup de fil à mon mari, histoire de la rassurer sur mon installation, parfaite au demeurant. La première nuit ne fut pas bonne. Le changement de lit sans doute et puis… Philippe me manquait déjà. Le lendemain j'inaugurais les transats de la piscine. Je fus rassurée. Personne ne vint m'importuner. L'après midi non plus d'ailleurs. Ce qui me permit défaire un peu mon soutien gorge de maillot. Pourquoi m'étais-je fourrée dans la tête que j'allais devoir me défendre devant des hordes de galants en puissance… ridicule…. Le soir, comme le midi, je dînais au restaurant. La table y était raffinée et les mets succulents. Le maître d'hôtel en fin de repas, me conseilla d'aller boire un verre ou un thé au club. Il me vanta un décor somptueux. Il l'était… magnifique… palais des milles et une nuit. Connaissant ma faible tenue devant l'alcool je commandais un cocktail de fruits. Frais, rafraîchissant, raffiné… je me laissai aller…. Jusqu'à ce que quelqu'un m'invite à danser… un jeune animateur arabe du club.
Aussitôt, il me couvrit de folles paroles, mélangeant compliments, propositions indécentes, éloge sur ma personne, flatterie et… aussi de mots très crus…. Je perdais pied, qu'au bout de quelques slows sont bassin était rivé au mien et je sentais…. Oh que je sentais… je chavirais. Déjà ses mains avaient fait le tour de ma croupe, elles étaient passées entre nous, sur mes seins. Quand je sentis sa main glisser vers mon ventre, je le suppliais d'arrêter…. C'est ainsi qu'il m'arracha le consentement de venir me rejoindre dans ma chambre. Sans doute pour ne pas me laisser le temps de me reprendre, à peine avais-je eu le temps de me regarder dans le miroir qu'il toquait à la porte de ma chambre. Il était sur mes talons…. Dès la porte refermée, je fus dans ces bras et cette fois nous n'étions plus dans un lieu public…. Sa bouche prit la mienne, sa langue s'empara de la mienne, il me la suça, je lui rendis la pareille. Il m'entraîna vers le lit. Tout en happant mes lèvres avec les siennes, il déboutonna mon chemisier. Ses mains parcourent mon buste s'attardant sur ma peau nue au dessus des balconnets. Il dégagea mes épaules et tout en les embrassant, il fit glisser mes bretelles. Un geste expert… l'attache du soutien gorge ne résista pas. Il put tout à loisir s'occuper de mes seins. Il me dit qu'ils lui plaisaient beaucoup. Il me le prouva de ses mains, de ses doigts, de ses lèvres, des ses dents, de sa langue…. Je pense que jamais mes tétons n'avaient, jusqu'à présent été aussi raide. Ma grotte était en fusion, dois-je préciser…. Enfin, il se résolu à me défaire ma jupe et faire glisse mon slip. Pantelante, j'attendais…. Un doigt glissa dans ma toison, s'arrêta sur mon clitoris… je ne pus réprimer un soupir. Il continua sa progression, lissant les lèvres de ma vulve… je ne pus réprimer un gémissement. Alors que je m'attendant à… à quoi au fait ? Je ne sais trop ! Sa tête disparut de mon champ de vision pour réapparaître entre mes cuisses. Sa bouche et sa langue firent merveille et se partagèrent entre ma fente et mon bouton gorgé de sang. Je tanguais sur ce lit infernal jusqu'au moment ou le plaisir venant du plus profond de moi m'irradia le ventre d'abord puis me submergea. Je dois quand même dire que Philippe me faisait aussi ce genre de chose pour me donner du plaisir. Mais là ce fut différent avec mon mari, le cunnilingus était une fin avec Ahmed je pensais, je rêvais, je voulais que cela ne soit qu'un début. Il se mit debout. Tout en s'occupant de mon entrejambe, il s'était déshabillé. Je n'en avais rien vu…. Hypnotisée, je le vis… le vit…. Ce beau vit dressé vers moi, majestueux et plein de promesse. Il avait bien deux fois (et peut être davantage) la taille de ce que j'avais (si peu) l'habitude voir. D'accord, depuis j'ai vu plus gros, beaucoup plus gros. Mais ce jour la il me parut formidable. En fait Ahmed était très correctement monté. Pour le regarder, je m'étais relevée sur un coude. Il me tendis la main et me fit relever. Je me retrouvais assise au bord du lit, nez à nez (si l'on peut dire) avec son sexe. Il dut faire un léger mouvement de bassin. Je dus faire un léger mouvement de la tête. Son membre buta contre mes lèvres. Il pénétra dans bouche dont les lèvres s'arrondirent pour lui laisser le passage. Ça non plus je n'en avais pas l'habitude… Philippe au bout de quelques fraction de seconde perdait ses moyens et son sperme qu'il essuyait dans un mouchoir, puisqu'il ne voulait me souiller la bouche "pour si peu" (dixit lui-même). A défaut de pratique et j'y mis tout mon cœur. Avec ses directives, de la prendre bien à fond, de lui lécher le bout, d'aspirer le gland, de sucer ses testicules, j'arrivais, je pense à quelque chose de pas trop mal. Enfin, malgré mon peu d'habitude, il trouva que je faisais ça plutôt bien ce qui lui fit dire que toute les européenne étaient des salopes en puissance…. C'est tout naturellement que je le sentis tressauter sur ma langue, je le gardais serré entre mes lèvres. J'allais permette à cet inconnu de me jouir dans la bouche. La question ne se posait même pas. Pas plus que la suivante et lorsque je reçu sa semence chaude, épicée. Je l'ingérais sans hésiter (ou presque). Cela lui plut beaucoup…. Bien qu'il fût propre depuis un bout de temps, je continuais de la sucer. A ma surprise, il n'avait pratiquement pas débandé. Il me repoussa et me fit allonge sur le lit où il prit place à mes cotés. Me faisait basculer sur le dos, il ouvrit mes jambes et se glissa en leur milieu. Ça y était LE moment était arrivé…. Quelque chose de doux comme du velours mais brûlant frotta contre l'ouverture de mon ventre avant de s'y immiscer avec délicatesse. Je n'attendais pourtant que cela, j'en avais envie, c'est cela que je voulais. Mais l'impression fut sensationnelle. Je j'avais plus connu de pénétration si complète que peu de fois et avant mon mariage. Je m'étais… mon sexe s'était déshabituée d'un membre normal, enfin peut être un peu plus que normal, mais bon ! Il rentra loin, jusqu'à ce nos toisons pubiennes se mêlent. Un peu comme le faisaient les pistons des vieilles locomotives, il se mit en mouvements. Ces translations avaient une amplitude croissante qui me portait aux sens. Instinctivement, je croisais les jambes sur ses reins pour accompagner sa cadence. Il avait bien fait de se soulager d'abord dans ma bouche. De cette façon, il pouvait tenir majestueusement. Dans un mélange souffles et de râles ils m'enlaça fermement et me plaqua de tout son poids pour labourer ma féminité enflammée. Il m'arracha des gémissements de bonheur à grands coups de reins. Comme une folle je m'agrippais à lui, cuisses ouvertes pour qu'il me ruine le vagin. Totalement soumise ma bouche cherchait de l’air pendant qu'il me taraudais de plus en plus violemment. Soudain ce plus fort… trop fort l’orgasme me saisit, un ouragan de plaisir arrachant un cri rauque du fond de mon être. Je crois que dans cette tempête, je lui plantais mes ongles dans le dos…. Lui aussi se mis s'agiter de plus en plus frénétiquement. Je l'enserrais de partout. Au comble de la félicité, je le sentis s'abuter à fond, se raidir et se vider par saccade. Cet orgasme masculin sauvage m'en déclancha une deuxième… bref mais intense.
Trempés de sueur, nous nous affalâmes sur le lit ou il reprit ses caresses et ses compliments. En plus de mon physique j'avais droit à des éloges plus salaces sur mes capacités de "baiseuse". Bien que mes capacités fussent récentes et percevant que j'aurais beaucoup à progresser, je fus néanmoins très contente qu'il me trouve ces qualités. Petit à petit son mandrin se redressait. Pour le sublimer, je dus le sucer de nouveau. Ça aussi sucer un sexe qui venait de me fourbir l'intimité, c'était nouveau. Je lapais donc mes propres sécrétions. Quand il fut de nouveau en état, il me demanda de me mettre à quatre pattes et vint s'installer derrière moi. Cette fois la prise de possession fut plus vigoureuse. J'en déduis donc que touts à l'heure il m'avait ménagée. Je crois que je préférais cette seconde manière de faire. Son gourdin de chair bien enfoncé, son pubis venait percuter inexorablement mes fesses et ses bourses venaient s'échouer contre ma petite perle d’amour. En me retournant vers le miroir de la penderie, je vis que je pouvais le voir entrain de me faire l'amour. Il surprit mon regard et me fit placer de façon à faire face à la glace. Non seulement je voyais un jeune homme en pleine action, mais aussi une femme plus mure que lui se faisant… baiser copieusement… pas d'autres mots. Je n'extériorisais mon plaisir que par des gémissements étouffés. Emporté par sa fougue animale il faisait claque mon fessier ses cuisses nerveuses. Chaque coup de rein me provoquais des vibrations dans tout le corps, jusqu’au bout de mes seins qui balançaient sous moi. Tout en s’enfonçant profondément dans mon intimité ses mains quittèrent mes hanches pour se refermer sur mes seins auxquels il s'amarra. Cette brusque caresse me fit râler et oubliant toute retenue j'offrais ma fournaise à son phallus vigoureux. Négligeant mon self-contrôle habituel, je l'encourageais à me prendre plus fort. Ce qu'il fit en actionnant sa colonne au plus profond de moi. Je me mordis la main pour ne pas crier quand il juta en moi. ce fut encore, oui, encore plus fort que la première fois…. Sans doute parce que j'avais vaincu mes blocages.
Je me sentais épuisée, comme passée à la moulinette. Mon corps ne suivait plus ma libido exigeante. Je n'en pouvais plus et le dit à Ahmed qui regretta mais se montra compréhensif… à la condition que je sois à nouveau sienne le lendemain soir. Abandonnant tout amour propre j'acceptais avec chaleur tout en l'embrassant une dernière fois. Le lendemain me trouva déboussolée après une nuit entrecoupée de (merveilleux souvenirs). La fin de matinée… bulle au bord de la piscine. Après le repas… sieste réparatrice, puis … à nouveau piscine, enfin surtout les abords, la natation… pas question, l'eau… juste pour rafraîchir…. Avachie sur un transat, des sentiments divers m'assaillais. Un, celui me sentir divinement femme… deux celui de fierté d'avoir plut à un jeune homme… trois, un peu, un petit peu coupable vis-à-vis de Philippe… et quatre un sentiment étrange, celui de me sentir observée. Pourtant en regardant autour de moi je ne vis qui justifiait ce sentiment. Ce, avec quoi j'avais le plus de mal n'était pas un sentiment… mais une envie. Celle de recommencer la même soirée qu'hier… en mieux. Ahmed me l'avait promis, alors…. Cette promesse ce mua bientôt en réalité. En regagnant ma chambre pour me préparer pour le dîner, je croisais celui qui était devenu mon jeune amant et dont je souhaitais qu'il continue de l'être. Sagement, sans doute pour préserver ma dignité, il me murmura quand même qu'il avait très envie de moi, qu'il me trouvait belle et que j'avais des seins magnifiques. Il sut me convaincre, me promettant d'être dur comme jamais, de laisser ma poitrine libre de tout soutien gorge. Pour ne pas le décevoir, je voulus bien. Je me fis un peu plus belle ce soir là et dînais et vite. L'estomac était noué et tout mon être se concentrait beaucoup plus bas.
Dans la boite, mon regard fit le tour. Ahmed n'était pas là… pas encore là. Je commandais un verre et m'assis à une table. Il arriva peut après et tout de suite m'emmena danser. Enfin, je veux dire qu'il m'attira dans un coin plus tamisé ou ses mains vinrent immédiatement vérifier si j'avais tenu compte de sa demande. Il fut ravi de constater que c'était le cas et nous ne nous attardâmes pas trop. Je partis seule, discrétion obligeait…. Seule, je ne fus pas longtemps. Peut-être trois minutes plus tard il frappait à ma porte que je lui ouvris en tremblant. Comme par magie il fût nu et moi en slip qu'il me retira graduellement avec les dents…. Il s'assit au bord du lit et me mit fit s'agenouiller devant lui. Je compris qu'il désirait une fellation. Pas tout à fait car il se retira vite de ma bouche pour me demander de l'emprisonner entre mes globes mammaires. En fait je le prenais juste entre mes lèvres pour le mouiller de salive et permettre à sa verge de mieux coulisser entre mes seins. Je n'en pouvais plus de ce traitement. Il me demanda ce que je souhaitais. Comme je lui demandais de me prendre, il me le fit redemander de façon plus triviale en le suppliant de "me baiser à fond". Je suis certaine d'avoir rougi. Il s'allongea sur le lui et me demanda de venir au dessus de lui. Je m'agenouillais de part et d'autre de son bassin et il maintint sa verge bien droite pour que lentement je m'abaisse sur celle-ci. Je me mis à monter et descendre comme une forcenée tellement j'en avais envie. Je m’empalais avec d’énergie sur mon amant. Ma chevauchée devint délirante quand il fit rouler mes mamelons entre ses doigts avant me malaxer les seins ce qui déclenchait des frissons un peu douloureux mais excitant. Je geins de plaisir qui dressée sur le sexe d'Ahmed. Mes geignements se murent en une plainte sourde quand il m'amena à jouir et je le suppliais de se vider… je le voulais…. Je fus exaucée à longue saccade. Un élan irraisonné me fit m'arracher de ce pas de chair et me jeter avidement dessus comme si je voulais recueillir sur ma langue une dernière goutte de ses sucs. Continuant sur sa lancée, il me prit comme hier, en levrette et j'eus deux orgasmes. Je découvris alors (et je n'étais pas au bout de mes constatations) que j'aimais bien cette position qu'il me faisait prendre devant le miroir. Lui, préféra ce vider dans ma bouche qu'il aimait, parait-il beaucoup. Il en profita pour me faire dire que j'aimais bien "tailler des pipes". Allez donc lui obéis. Après maintes caresses et un soixante neuf bien émoustillant, il prit place sur la chaise. Croisant les mains derrière sa nuque, il me demanda de venir m'empaler de nouveau. Comme je voyais qu'il n'allait rien faire, je me vis obliger de me saisir de son membre et de me l'introduire moi-même dans mon intimité. Je n'avais jamais fait cela. Mes deux premiers partenaires puis mon mari c'étaient toujours chargé de la chose. Là, lui en voulait plus. Il voulait qu'en toute conscience je fasse cette démarche. Un peu tâtonnante quand même, je le fis et me mis à monter et descendre comme une folle sans tenir compte de l'ankylose qui gagnait les muscles de mes cuisses peu habituées à des efforts si répétés. Il recommença son manège avec mes "nichons" les pressant, les triturants, les léchant ou les suçant. Pour la quatrième fois de la soirée (bien avancée) je jouis. Après qu'il eut éjaculé, pour la première fois il me demanda "de lui nettoyer la bite" avec ma bouche. Encore une fois, sans savoir pourquoi j'obéis. Il décida que c'était fini pour ce soir. Qu'il nous fallais garder des force pour les jours à venir. Trop heureuse de l'entendre dire cela, je me gardais bien de lui reprocher de ne pas me demander mon avis. Quand il me dit
"On se retrouve demain après dîner au Club ?"
Je ne puis réponde que :
"Oui… oui Ahmed… oh oui !".
Ma nuit fut la même… tourmentée, et le matin me retrouva comme le précédent. Je résolu donc de passer une même journée… de récupération. Elle fut identique sauf que…. D'abord j'entrevis ma copine Évelyne. Elle avait les traits tirés et me croisa à toute vitesse en me lançant !
"C'est un pays magnifique… où les grosses ont le droit de vivre…. Je te raconterais !"
Je me trouvais une petite mine, avec un peu les yeux cernés. Question cernes, ce n'était pas des valises qu'Évelyne avait sous les yeux mais plutôt des malles, des cantines….
Ensuite je flânais devant les deux ou trois boutiques du club de vacances. Passant devant les vitrines, je remarquais une jolie petite robe, genre robe d'été, à bretelles, se boutonnant par devant. Ce fut une idée coquine qui me fit entrer dans la boutique. J'étais persuadée qu'Ahmed aimerait ce boutonnage par devant qui lui offrirait la vue de mes épaules nues et lui féliciterais l'accès à ma poitrine. J'essayais la robe et sorti de la cabine pour prendre du recul. Elle m'allait bien. Je l'achetais. En fait de surprise, c'est moi qui 'l'eut. Ahmed était là. Il me dit m'avoir vue dans le magasin et me complimenta sur ma nouvelle robe. Son regard s'alluma. Il me demanda pour le soir, de ne pas porter non plus de slip. Je refusais. Prétextant que cela l'exciterait beaucoup et qu'il me ferait en jouir davantage, il insista. Je lui fis une réponse de normand. Il s'en contenta. Toute la journée je fis semblant de m'interroger : avec ou sans ? Je dis fit semblant parce que je connaissais, bien entendu, la réponse depuis bien longtemps. En fait depuis qu'elle avait été formulée. La journée se déroula paisiblement, avec les mêmes sentiments que la veille et des sensations de désir que je ne me connaissais pas. L'heure s'avançant, je ressentis comme un mystérieux appel qui me poussa vers ma chambre. Je passais un peu plus de temps à me rendre désirable. L'appel de la chair… voilà, c'était ça ! Il aurait le dîner puis le club et… Ahmed, et…. Moi si prude habituellement, je restais nue jusqu'au dîner, ce qui ne fit rien pour améliorer les choses…. J'enfilais donc ma seule robe pour me rendre au restaurant ou j'eus l'impression que tout le SAVAIT. Je me tins le ventre collé à la table, bien droite pour empêcher que des plis fassent s'ouvrir des échancrures mal placées entre les boutons. Vite, vite je me rendis au club ou pour une fois je me commandais un cocktail alcoolisé. J'avais envie d'être gaie, euphorique, déchaînée…. Ahmed arrivait aussitôt et m'emmena m'asseoir dans un endroit sombre et isolé. Il me dit me trouver de plus en plus belle et qu'il avait bandé toute la journée en pensant à moi. Il voulu que j'en sois témoin et que je vérifie. Je n'avais jamais touché une braguette d'homme dans un endroit public. Cela me donna un coup de chaud… à moins que ce ne fût l'alcool… ou ce que je sentis sous l'étoffe. Il profita de mon trouble pour ouvrir deux boutons de ma robe et révéler généreusement mon sillon mammaire. Il voulu s'attaquer au bouton du bas. Je l'en empêchais cette fois. Il tint quand même à glisser un doigt entre deux boutons, histoire de vérifier si comme je le disais j'avais aussi envie de lui. Son doigt luisant le renseigna…. Le temps de finir le reste de mon verre, j'étais dans ma chambre, Ahmed sur mes talons une fois de plus. Nous nous assîmes sur le lit et il ouvrit mon devant de robe jusqu'au nombril. C'est alors… c'est alors que l'entendis me dire qu'il voulait me voir faire l'amour en groupe (en fait il dit "baiser en groupe"). Il m'informa que deux de ses amis employés aussi de l'hôtel m'avaient repérée et me trouvais désirable (en fait il dit "bandante"), et que si je voulais lui plaire il fallait que je leur cède également. En une fraction de seconde, je réalisais que je ne m'étais trompée en me sentant épiée. A sa proposition éhontée, j'opposais un non que j'aurais voulus plus ferme. Il insista en me dénudant la poitrine et en la caressant. Je suppose qu'il n'en était pas à son coup d'essai avec des touristes esseulées et qu'il avait bien tout manigancé car on frappa à la porte. En arabe c'est lui qui dit d'entrer…. Deux hommes firent leur apparition, un du même âge à peu près qu'Ahmed et un autre beaucoup plus jeune. Le premier s'assit de mon coté libre et le jeune sur la chaise. Je tentais de me défendre un peu, mais Ahmed réussit à m'embrasser. Je préfère avoir mis cela sur le compte du cocktail, c'est plus confortable que d'avouer ses faiblesses, mais toujours est-il que ce baiser annonça la fin de ma résistance. Je n'en offris pas la moindre quand mon amant dit à son ami de me toucher les seins cependant qu'il m'embrassait de nouveau. A la fin de ce baiser, Ahmed m'ordonna d'embrasser son ami Farid. Timidement, j'approchais mon visage du sien et posait mes lèvres sur les siennes. J'entendis un "la langue !" impérieux et je glissais la mienne dans la bouche de l'homme qui cette fois m'embrassa fiévreusement. Après avoir fait glisser mes bretelles et dénudé tout mon torse, les hommes me firent allonger sur le dos et firent de même de chaque coté. À tour de rôle, ils me roulèrent des patins avides en me caressant les seins. Parfois l'un ou l'autre, parfois les deux me les léchaient ou m'en suçaient les bouts. Bien entendu jamais deux hommes en même ne m'avaient sucé les seins…. Abandonnée, j'en étais presque venue à oublier le troisième larron qui se rappela à moi en posant ces mains sur chacune de mes cuisses. Le plus tranquillement du monde je le sentis achever de déboutonner ma robe et l'écarter selon son désir. Cette fois ce fut mes cuisses nues qu'il ouvrit et immédiatement je vis sa tête s'abaisser vers mon entrejambe. Après qu'il eut écartés ma toison sa langue se fraya un chemin et entama un ballet qui m'enfiévra complètement. Désormais j'étais le jouet de ces hommes, je leur appartenais. A tout seigneur, tout honneur et ce fut Ahmed qui le premier se déshabilla et ayant placé mes jambes sur ses épaules me cloua au lit avec ardeur. Je n'avais pas l'habitude de faire cela devant des spectateurs. C'est sans doute cela qui me retint… enfin au début. Soit dit en passant les "spectateur" s'étaient mis nus. Farid était du même calibre qu'Ahmed en revanche, Fouad, s'avéra plus membré que les autres. A grands coups de butoir Ahmed me bourra résolument la moule. C'était bon mais peut être contractée je ne parvins pas complètement à l'orgasme. Même quand il éjacula. En revanche, dès que Farid m'emmancha (pas d'autres termes), là, j'eus un orgasme foudroyant de femelle en chaleur… et un deuxième quand lui aussi prit son pied et se déversa dans ma fournaise. Toute étourdie, je fus relevée et assise sur le lit face à Fouad. On m'ordonna "Fais lui une pipe !". J'ouvris la bouche en grand pour accueillir le sexe du jeune homme. Effectivement, mes yeux ne m'avaient pas trompée, il était vraiment plus gros que les deux autres. Qu'est ce que je pouvais avoir envie qu'il me prenne. Je ne me connaissais pas cette fringale sexuelle…. Je mis en pratique les bons conseils d'Ahmed pour d'une part lui donner beaucoup de plaisir et d'autre part pour qu'il jouisse vite. Il serait disponible pour autre chose plus rapidement. Vu sa taille, il arrivait à me la mettre loin dans le gosier, me provoquant d'inévitables hauts le cœur. Cela les faisait rire. Apparemment il fallait que je m'y habitue. D'après Ahmed les hommes adoraient s'enfiler bien au fond de la bouche et au début des larynx féminins. Je ne savais pas…. Quoi qu'il en soit Fouad, ne mit pas (trop) longtemps pour m'expédier sa semence onctueuse. Je lui rendis son membre propre comme un sou neuf. Tout ce joli monde bandait de plus belle ce fut Ahmed qui me reprit, en levrette et cette fois il me fit somptueusement jouir, désireux de se racheter de tout à l'heure, bien que cela ne lui fut pas imputable. Je dus ensuite sucer Farid jusqu'au bout bien sûr. Ahmed demanda ensuite à Fouad de me baiser encore à quatre pattes pour que je sente bien sa bite. Il me planta son pieu ardent et me prenant par les hanches il me transforma en poupée de chair ballottée comme un coquille de noix sur la mer. Son gros sexe fouillait mes muqueuses enflammées à m'en faire crier de bonheur. On entendait que ses râles vaillants, mes gémissements et le floc, floc obscène du clapotis de sa trique plongeant dans mon vagin liquoreux. Tous trois parlaient, s'invectivaient, s'encourageaient ne arabe et riaient beaucoup. L’orgasme me traversa, explosant par tout mon être et me faisant perdre toute notion de réalité. Il continua ses assauts d'étalon fabuleux et abuté au fond de ma matrice m'amenant à jouir de nouveau puis il se retira et me noya la bouche de son flot épais. Après un peu de repos ils me reprirent tout à tout dans toute sorte de positions commandées par Ahmed. En fait en plus de me prendre, chacun d'eux me jouit deux fois dans la bouche. Ils m'abandonnèrent ensuite à la nuit et à mon sommeil sans omettre de préciser qu'ils reviendraient le lendemain. Il étaient infatigables… moi un peu moins….
La matinée bien avancée me vit émerger ma chambre baignant dans des odeurs et des effluves révélatrices des débordements de la veille. Avant de me consacrer à mes occupations, j'allais jusqu'en ville. D'abord pour acheter quelques souvenir, dont un magnifique poignard pour Philippe (c'est Farid qui m'avait donné l'adresse) mais surtout, comme me l'avait conseillé (enfin plutôt ordonné) Ahmed pour faire l'acquisition d'un porte-jarretelles et de bas que je devais exclusivement porter et que je devrais garder pendant nos ébats. Je le choisis bordeaux avec des bas gris à couture. Ce jour là, je ne descendis même pas à la piscine. Je restais à bronzer sur mon balcon, et j'y restais intégralement nue jusqu'au soir. Sitôt le dîner expédié je retrouvais Ahmed au club. En regardant mes jambes, il fut ravi de voir que j'avais accédé à sa demande. Dans le même petit coin que la veille il vérifia que bas et porte-jarretelles ne constituaient que mes seuls sous-vêtements. Cette fois, foin de ma réputation, il me prit par la taille et passant devant le barman que je supposais être un copain, il me mit la main aux fesses comme pour lui montrer sa bonne fortune. Fouad et Farid nous attendaient devant ma chambre ou je fus poussée et promptement dévêtue. Ils me firent agenouiller et s'était eux aussi mis nus, ils m'entourèrent pour se succéder dans ma bouche. Ensuite… je fus prise, reprise, retournée, léchée. Effectivement ma tenue les excitait follement. Je dus même à un moment donné sucer Fouad pendant qu'Ahmed me besognait et adapter ma succion au rythme des coups de reins de l'autre. Ce fut ma grande première de "m'occuper" ainsi de deux hommes en même temps. Ce ne fut pas si facile que l'on pourrait croire…. Ils m'abandonnèrent pantelante et usée et je me retrouvais le lendemain matin complètement hébétée de cette folle nuit ou ses trois hommes m'avaient prise dans toutes sortes de position se relayant pour m'arracher des cris de jouissance (et pour se procurer du plaisir également).
Comme la veille je ne bougeais pas de ma chambre tentant de me refaire une santé pour subir ma dernière nuit de plaisir ou Ahmed m'avait prédit un feu d'artifice. Je descendis vite dîner et remontais à toute vitesse me déshabiller et ne garder que bas et porte-jarretelles, puisqu'il avait été contenu que je les attende dans ma chambre dans cette tenue afin de les exciter encore un peu plus. Ils arrivèrent peu après et d'emblée Ahmed me dit que pour ma dernière nuit il fallait que je me laisse sodomiser comme ils l'avaient fait à toute les autres femmes avant moi. Je refusais ayant peur d'avoir mal et au surplus, je trouvais cela humiliant et dégradant. Ils me persuadèrent d'accepter, un peu par force d'ailleurs, me menaçant de téléphoner à mon mari en France pour lui raconter ma conduite. Ils amenèrent la petite table au centre de la pièce et me placèrent les chevilles de chaque coté des pieds de table. Ils me firent me pencher en avant, buste contre le plateau après m'avoir glissé un oreiller sous le ventre pour me surélever la croupe. Ahmed commença d'officier…. Les autres m'écartèrent les fesses et lui commença par me lécher la raie s'attardant de plus en plus sur mon petit trou puis finalement en y entrant la langue. Pour l'instant même si cela faisait bizarre, ce n'était pas désagréable. Cela ne le fut pas non plus quand une phalange s'immisça et entreprit un mouvement tournant. Avec délicatesse, il finit par m'y rentrer un doigt entier qu'il fit aller et venir. Me conseillant "de pousser" il m'en mit deux qu'il écartait pour étirer les parois. Pendant cette préparation les autres riaient et parlaient avec lui an arabe. Parfois ils passaient les mains sous mes jarretelles pour me caresser les cuisses, l'entrejambe et l'intérieur du vagin. Parfois aussi ils me prenaient la main pour la refermer sur leurs sexes que je devais masturber. Ahmed me proposa :
"Tu veux maintenant ?".
Comme dans un songe je m'entendis répondre :
"Vas-y je suis prête !"
C'était, de plus bien vrai… il avait finit par m'échauffer au delà du raisonnable et j'avoue que j'avais désormais envie d'être sodomisée quel qu'en soient les conséquences. Son gland fit pression sur mon anneaux écartelé et ils s'engagea… lentement mais sans marquer d'arrêt…. Mal, oui un peu sur la fin là ou ses doigts ne m'avaient pas dilaté le conduit. Mais pas non plus un mal atroce… d'ailleurs cette douleur s'estompa assez vite du fait qu'il resta abuté à moi un moment en me caressant les reins. Il fit un ou deux mouvements histoire de vérifier si ma gaine s'était adaptée à sa verge et me dit que maintenant "il allait vraiment m'enculer". Il ajouta "qu'après lui les autres prendraient sa place". J'eus beau supplier cela ne les fit que rire. Hé bien à ma grande surprise, j'y pris du plaisir…. Croyez-moi, du plaisir !... le sentir se rendre maître de mes reins, le sentir m'ouvrir l'anus, le sentir se faufiler dans mon rectum fut un régal…. Et en plus faire quelque chose de mal et de sale… hummmmm ! Tout alla si bien le fait de le sentir se déverser dans mes entrailles m'amena à la jouissance. Il se désengagea avec douceur et comme promis les autres étaient prêts d'abord Farid qui m'empala avec plus de force encore et enfin Fouad. Fouad dont je vous ai dit qu'il était le plus membré des trois et qu'il me faisait jouir à en crier dès qu'il me prenait, alors là…. J'ai cru qu'il allait me déchirer de son élan sauvage qui faisait écho à ma disponibilité de bourgeoise en chaleur. Sa verge coulissait frénétiquement dans mon boyau pendant que je l'encourageais à me posséder et à venir au plus profond de mon fondement. Je l'avais réclamé… je l'eus ce pistonnage bestial que j'endurais avec ravissement jusqu’à ce que je jouisse tétanisée en plein délire sexuel. Que dire du reste de la soirée… que je fus sodomisée ainsi six fois dans la nuit et qu'entre-temps nous faisions l'amour "normalement", sans omettre les fellations que je leur pratiquais généreusement.
C'est endolorie, amorphe, exsangue que dus faire mes bagages. Dans cet état oui, mais heureuse et fière d'avoir plut à des amants aussi jeunes. Ma fierté était peut être naïve et de nombreuses touristes devaient y passer mais enfin…. Je me mis à la recherche de ma copine Evelyne. Dès que je la vis je le sus. Elle allait quitter l'hôtel mais prolonger son séjour… En recherchant du pittoresque et du typique elle avait échoué dans un bar ou le patron l'avait séduite. En déficit d'homme, elle avait permis à d'autres clients pas mal de privautés. De fil en aiguille elle était, pour son plus grand bonheur, passé plusieurs fois à la casserole. En fait nuit et jour elle y passait et comme elle le disait avec humour "Et en plus, ils sont toujours plus nombreux !" Son amant (ou maquereau) de patron du bar lui avait fait promettre de rester encore un peu et de s'installer "pour plus de commodité" chez lui. Ce qui expliquait donc sa tenue du matin, minijupe vert pomme, top rouge scintillant et maquillage outrancier. En lui conseillant quand même la prudence je lui souhaitais bon séjour.
Je pris donc le chemin de l'aéroport sans avoir revu ni Ahmed, ni ses compagnons. Pour eux j'étais une affaire terminée sans doute. L'ultime chose que je fis avant de prendre l'avion fut de me débarrasser de mes bas et de mon porte-jarretelles….
Le voyage était court. Il me fallais d'une part me reprendre vite et enfouir ces moments merveilleux ou en cinq jours j'avais plus jouis qu'en une vie entière… ce ne serait pas facile. D'autre part quoi dire à Philippe. Avec tout ce qu'il m'avait déjà proposé, je pouvais me permettre d'avouer une infidélité. Cela faisait trop longtemps qu'il me le proposait. J'avais conscience d'avoir exagéré. Mais ils m'avaient rendu si heureuse. Alors je me décidais à en avouer un tiers… une soirée et un début de sodomie non achevée… plausible non ? L'avion se posa… aérogare…mari… retrouvailles… bisous… Comme tu as bonne mine !... bagages… voiture… trajet… maison… souvenirs… oh comme cela me fait plaisir… douche….
Alors parle moi de ton séjour ! L'heure de vérité était venue…. Je commençais par raconter l'hôtel, les repas, le farniente. Philippe était loin d'être un imbécile….
P Depuis tant d'année… je connaissais quand même bien ma Gisèle chérie… J'avais tout de suite vu que quelque chose clochait. Je me doutais un peu… même avant son départ…. Je lui avais laissé tout son temps. J'ajoutais simplement "Et…?".
G "Et… j'ai fait une bêtise…."
Je lui racontais tout… enfin toute ma version… édulcorée….
Je dus raconter une fois, deux fois… trois fois…. avec à chaque fois plus de détails. Loin d'être en colère, il ne cessait de répéter "que j'aurais voulu être là !... que j'aurais voulu être là". Finalement il me voulu et … trop pressé et trop excité… ce fut un échec...une fois de plus ! Nous en restâmes là pour cette fois et la vie reprit son cours….
Philippe avait avancé dans nos recherches. Je ne vous ai pas dit mais nous cherchions à nous loger autrement. Nous désirions acquérir un pavillon puisque nous avions économisé et puis, et puis… une fille mariée… peut être un jour des petits enfants qui pourraient jouer dans le jardin… image d'Épinal…. Donc il avait vu une annonce qu'il me montra. Nous allâmes voir la situation. Le quartier était sympa comme tout et nous plaisait. Comme nous admirions le pavillon, de l'autre coté de la rue une dame nous interpellas. En fait c'était l'ancienne propriétaire. Elle nous fit même visiter. Emballés nous nous décidâmes vite et l'affaire fut rapidement conclue. Nous emménageâmes et pendant un temps bien occupée j'oubliais mes frasques passées. Les voisins : à droite, bof des retraités peu communiquant, à gauche des gens sympa, un couple avec un grand garçon. Nous avions de cordiales relations avec eux et aussi avec la voisine d'en face, l'ancienne propriétaire. Elle était veuve, l'ai toujours un peu triste, pourtant elle dégageais quelque chose et j'aimais bien le compagnie de Jocelyne, puisque c'est ainsi qu'elle se prénommais. De temps à autre elle venait prendre le thé mais ne s'attardais jamais. Nous avions une connaissance commune. Comme je travaillais au lycée elle me demanda si je connaissais une certaine Nathalie, prof de math. Effectivement, je la connaissais, sans plus, puisqu'elle faisait partie de l'équipe des enseignant et moi de celle des administratifs. C'est d'elle dont je vous parlais un peu plus tôt qui avait, à tort ou à raison, un e réputation un peu sulfureuse. Bref des jours calmes s'annonçaient. Pourtant le souvenir d'Ahmed et de ses comparses ne s'estompait pas. Il paraissait même que mon humeur redevenait maussade….
P Oui franchement son humeur se dégradait. Une fois passé notre emménagement et la gaîté de la nouveauté, ma pauvre Gisèle semblait retomber dans la morosité. Je savais bien que cela était de ma faute ! Il fallait que nous ayons une conversation sérieuse. Un beau jour, je la "convoquais" pour une discussion à cœur ouvert. Elle ne la refusa pas. Je luis proposait à nouveau le divorce ou du moins la séparation. De nouveau, elle ne voulu rien entendre. Par ailleurs elle ne pouvait plus rester ainsi à s'étioler. Elle en convint. Je lui proposais donc qu'elle prenne un amant qui la satisferait. Cette fois elle n'opposa pas son veto habituel. Elle m'avait raconté qu'elle avait eu un amant plus jeune. Je lui proposais donc d'en "recruter" un par annonce, pour voir et ne pas trop s'attacher. Et là elle me dit….
G "Mais toi…. Je veux que tu soit là… avec moi… sinon j'aurais trop peur !" c'est qu'avec difficulté je parvint à articuler….
P J'eus du mal à encaisser…. Pourtant en analysant cela ma parut concevable et aussi un peu excitant. Je crois que je ne suis pas le seul à envisager avec angoisse et envie la vision de son épouse s'ébattant avec un autre… et finalement pourquoi pas…. L'envie l'emporta….
G Pourquoi avais-je été chercher cela ! Persuadée qu'il ne voudrait pas…. Raté… la chose parut lui plaire. Il n'était pas question que je me mette en quête de celui à qui j'accorderai mes faveurs. Mon époux, décidément très (trop) intentionné me dit qu'il passerait une annonce et que je n'aurais qu'à choisir parmi les postulants, si d'aventure l'un d'eux me tentait. Vu comme cela….
P Je passais donc une courte annonce disant qu'un mari souhaitait pour son épouse une expérience avec un homme jeune et viril. Il y eut plus d'une cinquantaine de réponse et pas seulement de jeunes. Il y eut même des groupes. Certaines étaient même accompagnées de photos. Un beau soir, je donnais le tout à Gisèle….
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Que vous dire ?... par quoi commencer ? Oui, peut être… vous dire combien j'étais heureuse… enfin !
La vie avec Monsieur Guy était un vrai bonheur. Notre principale activité était de faire l'amour tous les deux… et recommencer. Nous ne vivions que pour cela…faire l'amour et baiser avec d'autres. Mon petit mari adorait me voir me faire prendre par ses (nombreux) amis ou adorait savoir que je me faisais mettre par tous les orifices. Que de superbes soirées avec nos amies et amis avons-nous passées sans compter celles chez Charles ou nous nous sommes fait toutes défoncer par tous les bouts. Les statistiques sont là pour le confirmer… il y a des record à battre…. Le record du plus grand nombre d'orgasme avec une Isabelle survoltée ce soir la et ses vingt jouissances. Le record du plus grand nombre de mâles présents avec une femme pour dix-sept hommes… record détenu par Marie-Agnès. Mon score ?... comme Nathalie, proche, très proche, je vous raconterais… peut être. Le record de la bouteille… dans l'anus bien sûr… Nathalie et sa bouteille de champagne. La Deuxième est Annick et sa bouteille de bourgogne. Je ne fais partie du groupe des troisièmes avec la bouteille de bordeaux. Ah oui !... une précision… la bouteille… par le culot… aussi…. Mon record à moi… la plus grande quantité de foutre récupérée et ingérée…. Ce fut dans une assiette creuse que je laissais s'écouler le contenu de mes orifices et que je raclais mes propres doigts après qu'ils eurent été en recueillir un peu plus encore. Comme vous l'imaginez sans peine, le contenu de l'assiette fut mon repas ce soir là… jusqu'au bout et je dus, avec la langue faire disparaître toutes les traces (blanchâtre, jaunâtres et autres…) afin de rendre l'assiette propre comme un sou neuf. Malheureusement personne ne songea à la transvider dans un récipient pouvant servir à en évaluer le volume. Maintenant que j'y songe ils avait pourtant dit qu'un jour, ils auraient un verre gradué sous la main. Peut n'y pensent-il plus… il sera de mon devoir de leur en reparler… j'aime tant ! Et puis il y a celles qui sans détenir de records furent présentes, et bien présentes, dans toutes les disciplines chez Charles ou par la suite. Il y notamment Isabelle, Nadine et d'autre rencontrées à l'occasion, ou non, de parties de jambes en l'air….
Nos cochons d'hommes avaient eu une idée brillante. Celle constituer une société civile immobilière et de ce rendre propriétaire de locaux destinés uniquement à des activités… sexuelles. Loués ou non à des échangistes. Ils auraient bien voulu y adjoindre des d'hôtesses ou de temps à autres nous (mes amies et moi) aurions tenu ce rôle et ces cas nous aurions fait offices de participantes. Deux difficultés se rencontrèrent. D'abord trouver le local adéquat. Ensuite, difficile de faire la distinction entre leur fantasme et la réalité. Pas question d'employer de vraies hôtesses. D'un autre coté nous n'étions pas assez nombreuses ni assez disponibles pour assurer une ouverture quotidienne de ce genre d'endroit.
Le projet achoppait ici….
Une beau jour (enfin non, il pleuvait) Charles, Bertrand et Guy s'en allèrent visiter une ferme des environs qui serait à vendre. Ils partirent joyeux comme des larrons en goguette….
Le quotidien du lendemain titra :
GRAVE ACCIDENT SUR LA RN…
On pouvait lire plus après : pour une cause indéterminée le conducteur à perdu le contrôle de son véhicule percutant un poids lourd venant en sens inverse. Triste bilan de cet accident : un blessé léger, le conducteur du camion et trois victimes, les occupants de la voiture. Parmi ceux-ci on déplore la présence de M B. adjoint…..
Je vous l'ai déjà dit… la vie n'a pas toujours été marrante avec moi ….
Mon récent bonheur vola en mille morceaux. Je vous passe les détails de la suite, juste vous dire que je sombrais dans une déprime totale et longue. Pendant ce temps je pus constater que notre petit groupe éclata. A mon grand désespoir je vis que tout va bien : tout va bien… et que quand tout val : tout va mal… petit à petit, peu ou plus de nouvelle d'amis et (surtout) d'amies très chers. Je les vis s'éloigner de moi, peu encline aux galipettes, il est vrai. Marie-Agnès et son époux voguèrent vers des rivages ou l'on entendait plus le bruit des chaînes et les claquements de fouets que le doux bruissement du satin. Quand au quatuor Gilles, Isabelle, Fred et Annick (mon amie Annick !) ils s'accoquinèrent avec divers groupes échangistes du chef lieu, je crois. Il resta guère que Nathalie pour prendre de temps à autre de mes nouvelles et venir parfois me voir pour essayer de me tirer de mon désespoir. Quand au autres, je suppose que je disparus de leur monde ou bien ce furent eux qui disparurent du mien. Je sentais qu'une page s'était tournée.
Mes petits locataires (Laurent et Stéphanie) quittèrent mon pavillon pour aller emménager chez l'oncle disparu de Laurent. Je décidais donc de regagner mon petit chez-moi et de mettre la maison de Guy en vente. Je pus en disposer car, mon "Monsieur Guy" avait fait de moi son légataire universel. Financièrement, je me trouvais à l'abri pour le restant de mes jours. J'avais bien pensé changer de quartier, de ville, mais je ne pouvais pas m'y résoudre. Je vendis donc….
Mes acquéreurs… un couple, lui environ cinquante ans, elle, la quarantaine, ayant toujours habité la ville dans un autre quartier. C'est eux ou plutôt elle qui me sortit un beau jour de l'ornière….
Voila ce que je vais faire. Avant mes soucis, pendant ma déprime, Gisèle et Philippe (encore une fois rien à voir avec d'autres récits) avaient eu une vie. Alors je vais pour quelques temps leur laisser la plume. Je vous retrouverais quand notre histoire deviendra commune….
G. Bonjour, je suis Gisèle et vous installe dans la quarante quatrième année de ma vie (juste un an avant mon déménagement). Comme Jocelyne vous l'a dit, je suis mariée avec Philippe, une fille mariée depuis l'année dernière et je travaille comme employée administrative au lycée de la ville. Je m'occupe entre autre de la comptabilité de l'établissement. Me voila située au niveau social. Physiquement… je suis comme beaucoup de femmes peu satisfaite de moi-même… et mon époux dit que j'ai tort…. Je suis de taille moyenne, brune (avec quelques fils gris cachés par une petite coloration cuir, acajou ou prune, selon l'envie et la saison) aux yeux verts. Sans faire, ni de complexe, ni de fausse modestie, je dirais que comme certaines femmes, la quarantaine m'a plutôt réussit et m'a donné le charme de la femme mure encore séduisante. Il faut bien le reconnaître toute fois, je ne suis pas maigre. Allez disons un peu bien en chair… un peu…. Malgré être en délicatesse avec toute activité sportive, j'avoue que mon corps ne m'en tient pas rigueur. Je suis doté d'un visage régulier, avec une bouches bien ourlée, de jambes pas trop mal faites, d'un postérieur resté ferme et d'une poitrine, bien qu'ayant toujours été imposante (pour le grand plaisir de mes premiers flirts) reste très digne même si elle à perdu de son arrogance. En vérité je crois même que des gamines du lycée m'envie mon quatre vingt quinze de type E au seins lourds avec encore une belle tenue. Grosso modo me voilà moi !
P. Bonjour pour faire le pendant de notre histoire, je me présent à mon tour : Philippe, quarante neuf ans, un mètre soixante dix sept pour quatre vint un kilos et suis dessinateur projeteur dans un bureau d'études. Et c'est depuis que notre fille vole de ses propres ailes, nous cherchons à acquérir un pavillon pour y couler des jours paisibles. Paisibles… le mot m'attriste, c'est là que le bat blesse…. Gentille comme elle l'est, Gisèle ne vous à pas tout dit.
G C'est vrai tout n'est pas facile à raconter ….
P Nous avons plus de vingt ans de vie commune… commune comme un long fleuve tranquille. Tranquille… mais morne…. Je suis bien conscient de ne pas rendre ma femme heureuse. Heureuse n'est pas le mot. Je me rends bien compte, très bien compte d'ailleurs que je ne la satisfais pas. Je suis en effet doté d'un tout petit sexe qui m'a même fait, à l'adolescence arrêter le football à partir du moment ou il a fallut se doucher en commun. L surnom de "p'tit zob" commençait à circuler. P'tit zob n'a pas grandi …. Je ne m'en suis jamais caché auprès de Gisèle qui a tout de même voulu m'épouser. De plus si l'engin est petit, la façon de s'en servir est également nulle, complexé, éjaculateur rapide sinon précoce, je ne suis pas une affaire et loin s'en faut. Je ne peux intéresser aucune femme….
G Ce n'est pas tout à fait une question d'intérêt. Je l'aime, j'aime Philippe… c'est tout. C'est vrai il a pourtant toujours été franc avec moi au sujet du sexe. Il m'a même proposé le divorce pour que je puisse trouver le bonheur avec un autre. Mon bonheur est avec lui, j'en suis persuadée. Il m'a aussi proposé de prendre un amant qui me satisferait sexuellement… et puis quoi encore ! Pourtant de temps à autre j'aime, même si c'est court, qu'il me fasse l'amour. Je me sens femme… sa femme….
P Donc nous en sommes là de notre vie commune… tranquille mais morne physiquement, mais aussi très douillette. Un genre de cocon paisible…. Pourtant, Gisèle à du mérite car comme elle l'a dit la quarantaine passée lui vas bien, très bien même. Sans rajeunir, elle resplendit d'un charme nouveau. J'ai vu le regard des hommes sur elles quand nous faisons les courses… elle plait plus que jamais. Je m'en suis même aperçu lors de nos dernières vacances. Nous devions nous retrouver à l'hôtel ou nous logions après quelques courses faites séparément. J'eus la surprise, lorsque je revins, de la trouver assise à la terrasse en compagnie de deux hommes plutôt jeunes. Ils la quittèrent plutôt rapidement ; me voyant de retour. En rougissant elle m'avoua qu'ils lui avait fait des avances.
G Des avances… on peut appeler cela comme ça…. J'attendais Philippe à la terrasse de notre hôtel quand je fus abordée par deux jeunes hommes. Tout en s'asseyant sans la moindre gêne, il se mirent à me faire des propositions éhontées. D'après eux une "femme telle que moi" ne pouvait être qu'une grande amoureuse. En toute quiétude ils me proposèrent de poser un lapin à mon mari et de venir passer ce qui d'après eux serait un moment inoubliable qu'il se faisait fort de me faire passer ensemble ou l'un après l'autre. Au début gênée; outrée, j'avais fini sans savoir pourquoi par accepter une sorte de flirt verbal en rosissant vraisemblablement. L'arrivé de Philippe avait mis un terme à cette joute orale.
J'avais bien sûr tout dit à mon mari en cachant cependant ce qu'il y avait eu de plus scabreux. Une fois de plus et de surcroît comme nous étions en vacances Philippe réitéra ses propositions de m'accorder un instant de liberté. Je refusais en riant.
En riant mais pas tranquille tout de même. Ces deux types m'avaient bien troublée un peu. Philippe vous a dit que la quarantaine passée m'allait bien. J'avais pu le constater au lycée ou les regards non seulement des professeurs masculins mais aussi ceux des lycéens s'appesantissaient sur ma personne. S'appesantir… le mot est un peu faible…. Ce que je voyais dans certains yeux ne souffrait d'aucune équivoque. Certain d'entre eux s'arrangeaient pour me frôler quand il m'arrivait de franchir les couloirs. Certaines fois j'étais gênée de sentir leurs yeux rivés sur mes fesses et ma poitrine. Surtout que dans le lycée des bruits courraient.
Tel professeur d'Anglais donnait, parait-il, cours particuliers à de jeunes lycéennes. Il paraissait aussi que vu ce qu'elles avaient dans la bouche, le perfectionnement de l'accent britannique n'était pas au programme. Pourtant si on en jugeait d'après les notes certaines devait avoir fait des progrès…. Telle autre professeur d'Histoire Géo avait à tort ou à raison la réputation de délaisser l'étude de l'Etna, du Stromboli ou autre Soufrière pour prier des lycéens de venir étudier de près son volcan personnel…. Enfin telle autre professeur de Math avait la réputation d'avoir des théories très personnelles sur les ensembles, surtout si ceux-ci étaient composés de jeunes éléments mâles dont seul le volume le volume de leur cylindre permettait une sélection interclasse.
Tout cela m'amusait inconsciente que j'étais….
P Je suppose qu'au cours d'une vie la libido de la femme évolue. J'étais persuadé que celle de Gisèle n'y échappait pas. J'aurais voulu lui offrir…. Mais ne rêvons pas ! En fait, moi, je ne rêvais pas. Je la voyais bien devenir un peu plu coquette, un peu plus féminine. Je crus même qu'elle avait un amant. Bêtement je lui posais la question, d'abord courroucée elle me remit vertement en place, puis plus détendue elle s'amusa de mon imagination. Pourtant elle plaisait, témoin, ce mariage ou nous fûmes invités….
G Le début de mes soucis vint d'un mariage du fils d'un ami de Philippe. Tout se passa à merveille jusqu'à ce que le marié me présente son meilleur ami. D'ailleurs pourquoi me l'avait-il présenté ? Ce jeune homme commença à m'inviter à chaque fois que le rythme lui permettait de me prendre dans ses bras. Il me baratina aussi… bien sûr. Je fus obligé de prétexter la fatigue pour refuser ses invitations. Il persista et mon imbécile de mari de dire
"Mais amuses-toi ma chérie ! Pour une fois que tu peux danser ! Toi qui adores cela… et pour une fois tu as un cavalier qui danse bien"
Il est vrai que la danse n'était pas son fort (non plus). Mais l'autre, le cavalier, avait en tête un autre genre de chevauchée. En me serrant plus que convenable, il se permit des privautés. Je me faisais peloter comme une ado dans une boum… et il s'y prenait bien le bougre…. Tout en me révélant que c'est lui qui avait voulu que son ami nous présente, il me déclara qu'il me désirait (ça je m'en était aperçue à la bosse de son pantalon) et voulais me baiser. Il se mit même à me caresser les fesses sans vergogne et voulais m'entraîner vers les toilettes ou sa voiture. J'avoue que je dus faire un effort surhumain pour résister et le prier de cesser. Cette fois, je m'en étais bien rendue compte. Si Philippe n'avait pas été présent, j'aurais vraisemblable cédé à cet individu. De le sentir dans tout ces états m'avait affolée. J'en fus bouleversée, contrite, et si honteuse que "j'oubliais" de mentionner à Philippe que le jeune homme m'avait fait du gringue….
P C'est vrai je n'ai rien d'un Fred Astaire…. Avec ravissement, je voyais ma femme évoluer avec un jeune danseur que le marié nous avait présenté. Il semblait bien s'accorder avec Gisèle. J'étais content pour elle, elle avait l'occasion de s'amuser. Je l'encourageais même. Pourtant au fil du temps, sans être d'une jalousie excessive, il me sembla qu'il la serrait d'un peu près quand même. A un moment je crus même voir sa main posée sur les fesses de Gisèle. Non ! J'avais du rêver… connaissant Gisèle, s'il avait osé un tel geste, j'aurais immédiatement entendu retentir le bruit de la gifle qui s'en serait suivi. Voilà maintenant que j'avais la berlue et croyais que tous les hommes en voulaient à la vertu de ma femme. Après tout….
Peu après, je fus vraiment contrarié. Une amie de Gisèle gagna stupidement un séjour pour deux personnes dans un club de vacances d'un pays au sud de la méditerranée. Cette sotte que je n'appréciait pas au demeurant ne trouva rien de mieux, étant vielle fille, que de proposer à Gisèle de l'accompagner. Devant ma réaction elle commença par refuser. Puis je revins à la raison. D'abord cela aurait du être moi qui l'emmène en voyage…. Dès lors pourquoi ne pas lui faire ce plaisir que je savais être un rêve pour elle. Contre mauvaise fortune bon cœur… j'acceptais une séparation d'une semaine. Elle s'envola….
Je me pus m'empêcher d'être inquiet. Même hors saison ce genre de club devait fourmiller de dragueur en tout genre. A la réflexion, je me demandais quel était le pourquoi de cette inquiétude. Depuis longtemps et puisque je lui avais proposé moi-même je m'attendais un jour au l'autre à ce qu'elle veuille succomber à un vrai plaisir charnel que je n'étais pas capable d'offrir. Alors… était-ce le fait qu'elle soit loin de moi. Qu'est ce que cela changeais ? Rien à priori…. Me poussant tout seul dans mes derniers retranchements, je me demandais si je ne souhaitais pas être témoin de mon infortune… cocu ET voyeur…. Je ne parvins pas à trouver la réponse et ce que je souhaitais réellement : assister à mon cocufiage ou assister à son plaisir ?
G Hé oui ! Je partis avec ma copine Evelyne. J'avais une envie folle de farniente, de soleil de piscine dans un endroit un peu luxueux. Evelyne, elle peu adepte de la léthargie prévoyait des visites pittoresques. Je la mis un peu engarde contre les mauvaises rencontres. Elle me répondit :
"Ma pauvre que veux tu qu'il m'arrive ?"
Il est vrai que la nature ne l'avait pas trop gâtée. Malgré ses efforts elle était ronde (je dis cela car c'est une amie…) et forte. Malgré cela elle était d'une vitalité qui me faisait honte. Nous convîmes ensemble que, finalement puisque nos goûts différaient, nous ne nous occuperions pas l'une de l'autre et que nous vaquerions chacune de notre coté à nos occupations préférées. En riant nous nous conseillâmes de rester sage, moi la brune fidèle et elle la blonde célibataire. Avec humour elle me dit que j'aurais plus de mal à rester sage puisque ses rondeurs imposantes décourageaient les séducteurs. Dès mon arrivée je passais un petit coup de fil à mon mari, histoire de la rassurer sur mon installation, parfaite au demeurant. La première nuit ne fut pas bonne. Le changement de lit sans doute et puis… Philippe me manquait déjà. Le lendemain j'inaugurais les transats de la piscine. Je fus rassurée. Personne ne vint m'importuner. L'après midi non plus d'ailleurs. Ce qui me permit défaire un peu mon soutien gorge de maillot. Pourquoi m'étais-je fourrée dans la tête que j'allais devoir me défendre devant des hordes de galants en puissance… ridicule…. Le soir, comme le midi, je dînais au restaurant. La table y était raffinée et les mets succulents. Le maître d'hôtel en fin de repas, me conseilla d'aller boire un verre ou un thé au club. Il me vanta un décor somptueux. Il l'était… magnifique… palais des milles et une nuit. Connaissant ma faible tenue devant l'alcool je commandais un cocktail de fruits. Frais, rafraîchissant, raffiné… je me laissai aller…. Jusqu'à ce que quelqu'un m'invite à danser… un jeune animateur arabe du club.
Aussitôt, il me couvrit de folles paroles, mélangeant compliments, propositions indécentes, éloge sur ma personne, flatterie et… aussi de mots très crus…. Je perdais pied, qu'au bout de quelques slows sont bassin était rivé au mien et je sentais…. Oh que je sentais… je chavirais. Déjà ses mains avaient fait le tour de ma croupe, elles étaient passées entre nous, sur mes seins. Quand je sentis sa main glisser vers mon ventre, je le suppliais d'arrêter…. C'est ainsi qu'il m'arracha le consentement de venir me rejoindre dans ma chambre. Sans doute pour ne pas me laisser le temps de me reprendre, à peine avais-je eu le temps de me regarder dans le miroir qu'il toquait à la porte de ma chambre. Il était sur mes talons…. Dès la porte refermée, je fus dans ces bras et cette fois nous n'étions plus dans un lieu public…. Sa bouche prit la mienne, sa langue s'empara de la mienne, il me la suça, je lui rendis la pareille. Il m'entraîna vers le lit. Tout en happant mes lèvres avec les siennes, il déboutonna mon chemisier. Ses mains parcourent mon buste s'attardant sur ma peau nue au dessus des balconnets. Il dégagea mes épaules et tout en les embrassant, il fit glisser mes bretelles. Un geste expert… l'attache du soutien gorge ne résista pas. Il put tout à loisir s'occuper de mes seins. Il me dit qu'ils lui plaisaient beaucoup. Il me le prouva de ses mains, de ses doigts, de ses lèvres, des ses dents, de sa langue…. Je pense que jamais mes tétons n'avaient, jusqu'à présent été aussi raide. Ma grotte était en fusion, dois-je préciser…. Enfin, il se résolu à me défaire ma jupe et faire glisse mon slip. Pantelante, j'attendais…. Un doigt glissa dans ma toison, s'arrêta sur mon clitoris… je ne pus réprimer un soupir. Il continua sa progression, lissant les lèvres de ma vulve… je ne pus réprimer un gémissement. Alors que je m'attendant à… à quoi au fait ? Je ne sais trop ! Sa tête disparut de mon champ de vision pour réapparaître entre mes cuisses. Sa bouche et sa langue firent merveille et se partagèrent entre ma fente et mon bouton gorgé de sang. Je tanguais sur ce lit infernal jusqu'au moment ou le plaisir venant du plus profond de moi m'irradia le ventre d'abord puis me submergea. Je dois quand même dire que Philippe me faisait aussi ce genre de chose pour me donner du plaisir. Mais là ce fut différent avec mon mari, le cunnilingus était une fin avec Ahmed je pensais, je rêvais, je voulais que cela ne soit qu'un début. Il se mit debout. Tout en s'occupant de mon entrejambe, il s'était déshabillé. Je n'en avais rien vu…. Hypnotisée, je le vis… le vit…. Ce beau vit dressé vers moi, majestueux et plein de promesse. Il avait bien deux fois (et peut être davantage) la taille de ce que j'avais (si peu) l'habitude voir. D'accord, depuis j'ai vu plus gros, beaucoup plus gros. Mais ce jour la il me parut formidable. En fait Ahmed était très correctement monté. Pour le regarder, je m'étais relevée sur un coude. Il me tendis la main et me fit relever. Je me retrouvais assise au bord du lit, nez à nez (si l'on peut dire) avec son sexe. Il dut faire un léger mouvement de bassin. Je dus faire un léger mouvement de la tête. Son membre buta contre mes lèvres. Il pénétra dans bouche dont les lèvres s'arrondirent pour lui laisser le passage. Ça non plus je n'en avais pas l'habitude… Philippe au bout de quelques fraction de seconde perdait ses moyens et son sperme qu'il essuyait dans un mouchoir, puisqu'il ne voulait me souiller la bouche "pour si peu" (dixit lui-même). A défaut de pratique et j'y mis tout mon cœur. Avec ses directives, de la prendre bien à fond, de lui lécher le bout, d'aspirer le gland, de sucer ses testicules, j'arrivais, je pense à quelque chose de pas trop mal. Enfin, malgré mon peu d'habitude, il trouva que je faisais ça plutôt bien ce qui lui fit dire que toute les européenne étaient des salopes en puissance…. C'est tout naturellement que je le sentis tressauter sur ma langue, je le gardais serré entre mes lèvres. J'allais permette à cet inconnu de me jouir dans la bouche. La question ne se posait même pas. Pas plus que la suivante et lorsque je reçu sa semence chaude, épicée. Je l'ingérais sans hésiter (ou presque). Cela lui plut beaucoup…. Bien qu'il fût propre depuis un bout de temps, je continuais de la sucer. A ma surprise, il n'avait pratiquement pas débandé. Il me repoussa et me fit allonge sur le lit où il prit place à mes cotés. Me faisait basculer sur le dos, il ouvrit mes jambes et se glissa en leur milieu. Ça y était LE moment était arrivé…. Quelque chose de doux comme du velours mais brûlant frotta contre l'ouverture de mon ventre avant de s'y immiscer avec délicatesse. Je n'attendais pourtant que cela, j'en avais envie, c'est cela que je voulais. Mais l'impression fut sensationnelle. Je j'avais plus connu de pénétration si complète que peu de fois et avant mon mariage. Je m'étais… mon sexe s'était déshabituée d'un membre normal, enfin peut être un peu plus que normal, mais bon ! Il rentra loin, jusqu'à ce nos toisons pubiennes se mêlent. Un peu comme le faisaient les pistons des vieilles locomotives, il se mit en mouvements. Ces translations avaient une amplitude croissante qui me portait aux sens. Instinctivement, je croisais les jambes sur ses reins pour accompagner sa cadence. Il avait bien fait de se soulager d'abord dans ma bouche. De cette façon, il pouvait tenir majestueusement. Dans un mélange souffles et de râles ils m'enlaça fermement et me plaqua de tout son poids pour labourer ma féminité enflammée. Il m'arracha des gémissements de bonheur à grands coups de reins. Comme une folle je m'agrippais à lui, cuisses ouvertes pour qu'il me ruine le vagin. Totalement soumise ma bouche cherchait de l’air pendant qu'il me taraudais de plus en plus violemment. Soudain ce plus fort… trop fort l’orgasme me saisit, un ouragan de plaisir arrachant un cri rauque du fond de mon être. Je crois que dans cette tempête, je lui plantais mes ongles dans le dos…. Lui aussi se mis s'agiter de plus en plus frénétiquement. Je l'enserrais de partout. Au comble de la félicité, je le sentis s'abuter à fond, se raidir et se vider par saccade. Cet orgasme masculin sauvage m'en déclancha une deuxième… bref mais intense.
Trempés de sueur, nous nous affalâmes sur le lit ou il reprit ses caresses et ses compliments. En plus de mon physique j'avais droit à des éloges plus salaces sur mes capacités de "baiseuse". Bien que mes capacités fussent récentes et percevant que j'aurais beaucoup à progresser, je fus néanmoins très contente qu'il me trouve ces qualités. Petit à petit son mandrin se redressait. Pour le sublimer, je dus le sucer de nouveau. Ça aussi sucer un sexe qui venait de me fourbir l'intimité, c'était nouveau. Je lapais donc mes propres sécrétions. Quand il fut de nouveau en état, il me demanda de me mettre à quatre pattes et vint s'installer derrière moi. Cette fois la prise de possession fut plus vigoureuse. J'en déduis donc que touts à l'heure il m'avait ménagée. Je crois que je préférais cette seconde manière de faire. Son gourdin de chair bien enfoncé, son pubis venait percuter inexorablement mes fesses et ses bourses venaient s'échouer contre ma petite perle d’amour. En me retournant vers le miroir de la penderie, je vis que je pouvais le voir entrain de me faire l'amour. Il surprit mon regard et me fit placer de façon à faire face à la glace. Non seulement je voyais un jeune homme en pleine action, mais aussi une femme plus mure que lui se faisant… baiser copieusement… pas d'autres mots. Je n'extériorisais mon plaisir que par des gémissements étouffés. Emporté par sa fougue animale il faisait claque mon fessier ses cuisses nerveuses. Chaque coup de rein me provoquais des vibrations dans tout le corps, jusqu’au bout de mes seins qui balançaient sous moi. Tout en s’enfonçant profondément dans mon intimité ses mains quittèrent mes hanches pour se refermer sur mes seins auxquels il s'amarra. Cette brusque caresse me fit râler et oubliant toute retenue j'offrais ma fournaise à son phallus vigoureux. Négligeant mon self-contrôle habituel, je l'encourageais à me prendre plus fort. Ce qu'il fit en actionnant sa colonne au plus profond de moi. Je me mordis la main pour ne pas crier quand il juta en moi. ce fut encore, oui, encore plus fort que la première fois…. Sans doute parce que j'avais vaincu mes blocages.
Je me sentais épuisée, comme passée à la moulinette. Mon corps ne suivait plus ma libido exigeante. Je n'en pouvais plus et le dit à Ahmed qui regretta mais se montra compréhensif… à la condition que je sois à nouveau sienne le lendemain soir. Abandonnant tout amour propre j'acceptais avec chaleur tout en l'embrassant une dernière fois. Le lendemain me trouva déboussolée après une nuit entrecoupée de (merveilleux souvenirs). La fin de matinée… bulle au bord de la piscine. Après le repas… sieste réparatrice, puis … à nouveau piscine, enfin surtout les abords, la natation… pas question, l'eau… juste pour rafraîchir…. Avachie sur un transat, des sentiments divers m'assaillais. Un, celui me sentir divinement femme… deux celui de fierté d'avoir plut à un jeune homme… trois, un peu, un petit peu coupable vis-à-vis de Philippe… et quatre un sentiment étrange, celui de me sentir observée. Pourtant en regardant autour de moi je ne vis qui justifiait ce sentiment. Ce, avec quoi j'avais le plus de mal n'était pas un sentiment… mais une envie. Celle de recommencer la même soirée qu'hier… en mieux. Ahmed me l'avait promis, alors…. Cette promesse ce mua bientôt en réalité. En regagnant ma chambre pour me préparer pour le dîner, je croisais celui qui était devenu mon jeune amant et dont je souhaitais qu'il continue de l'être. Sagement, sans doute pour préserver ma dignité, il me murmura quand même qu'il avait très envie de moi, qu'il me trouvait belle et que j'avais des seins magnifiques. Il sut me convaincre, me promettant d'être dur comme jamais, de laisser ma poitrine libre de tout soutien gorge. Pour ne pas le décevoir, je voulus bien. Je me fis un peu plus belle ce soir là et dînais et vite. L'estomac était noué et tout mon être se concentrait beaucoup plus bas.
Dans la boite, mon regard fit le tour. Ahmed n'était pas là… pas encore là. Je commandais un verre et m'assis à une table. Il arriva peut après et tout de suite m'emmena danser. Enfin, je veux dire qu'il m'attira dans un coin plus tamisé ou ses mains vinrent immédiatement vérifier si j'avais tenu compte de sa demande. Il fut ravi de constater que c'était le cas et nous ne nous attardâmes pas trop. Je partis seule, discrétion obligeait…. Seule, je ne fus pas longtemps. Peut-être trois minutes plus tard il frappait à ma porte que je lui ouvris en tremblant. Comme par magie il fût nu et moi en slip qu'il me retira graduellement avec les dents…. Il s'assit au bord du lit et me mit fit s'agenouiller devant lui. Je compris qu'il désirait une fellation. Pas tout à fait car il se retira vite de ma bouche pour me demander de l'emprisonner entre mes globes mammaires. En fait je le prenais juste entre mes lèvres pour le mouiller de salive et permettre à sa verge de mieux coulisser entre mes seins. Je n'en pouvais plus de ce traitement. Il me demanda ce que je souhaitais. Comme je lui demandais de me prendre, il me le fit redemander de façon plus triviale en le suppliant de "me baiser à fond". Je suis certaine d'avoir rougi. Il s'allongea sur le lui et me demanda de venir au dessus de lui. Je m'agenouillais de part et d'autre de son bassin et il maintint sa verge bien droite pour que lentement je m'abaisse sur celle-ci. Je me mis à monter et descendre comme une forcenée tellement j'en avais envie. Je m’empalais avec d’énergie sur mon amant. Ma chevauchée devint délirante quand il fit rouler mes mamelons entre ses doigts avant me malaxer les seins ce qui déclenchait des frissons un peu douloureux mais excitant. Je geins de plaisir qui dressée sur le sexe d'Ahmed. Mes geignements se murent en une plainte sourde quand il m'amena à jouir et je le suppliais de se vider… je le voulais…. Je fus exaucée à longue saccade. Un élan irraisonné me fit m'arracher de ce pas de chair et me jeter avidement dessus comme si je voulais recueillir sur ma langue une dernière goutte de ses sucs. Continuant sur sa lancée, il me prit comme hier, en levrette et j'eus deux orgasmes. Je découvris alors (et je n'étais pas au bout de mes constatations) que j'aimais bien cette position qu'il me faisait prendre devant le miroir. Lui, préféra ce vider dans ma bouche qu'il aimait, parait-il beaucoup. Il en profita pour me faire dire que j'aimais bien "tailler des pipes". Allez donc lui obéis. Après maintes caresses et un soixante neuf bien émoustillant, il prit place sur la chaise. Croisant les mains derrière sa nuque, il me demanda de venir m'empaler de nouveau. Comme je voyais qu'il n'allait rien faire, je me vis obliger de me saisir de son membre et de me l'introduire moi-même dans mon intimité. Je n'avais jamais fait cela. Mes deux premiers partenaires puis mon mari c'étaient toujours chargé de la chose. Là, lui en voulait plus. Il voulait qu'en toute conscience je fasse cette démarche. Un peu tâtonnante quand même, je le fis et me mis à monter et descendre comme une folle sans tenir compte de l'ankylose qui gagnait les muscles de mes cuisses peu habituées à des efforts si répétés. Il recommença son manège avec mes "nichons" les pressant, les triturants, les léchant ou les suçant. Pour la quatrième fois de la soirée (bien avancée) je jouis. Après qu'il eut éjaculé, pour la première fois il me demanda "de lui nettoyer la bite" avec ma bouche. Encore une fois, sans savoir pourquoi j'obéis. Il décida que c'était fini pour ce soir. Qu'il nous fallais garder des force pour les jours à venir. Trop heureuse de l'entendre dire cela, je me gardais bien de lui reprocher de ne pas me demander mon avis. Quand il me dit
"On se retrouve demain après dîner au Club ?"
Je ne puis réponde que :
"Oui… oui Ahmed… oh oui !".
Ma nuit fut la même… tourmentée, et le matin me retrouva comme le précédent. Je résolu donc de passer une même journée… de récupération. Elle fut identique sauf que…. D'abord j'entrevis ma copine Évelyne. Elle avait les traits tirés et me croisa à toute vitesse en me lançant !
"C'est un pays magnifique… où les grosses ont le droit de vivre…. Je te raconterais !"
Je me trouvais une petite mine, avec un peu les yeux cernés. Question cernes, ce n'était pas des valises qu'Évelyne avait sous les yeux mais plutôt des malles, des cantines….
Ensuite je flânais devant les deux ou trois boutiques du club de vacances. Passant devant les vitrines, je remarquais une jolie petite robe, genre robe d'été, à bretelles, se boutonnant par devant. Ce fut une idée coquine qui me fit entrer dans la boutique. J'étais persuadée qu'Ahmed aimerait ce boutonnage par devant qui lui offrirait la vue de mes épaules nues et lui féliciterais l'accès à ma poitrine. J'essayais la robe et sorti de la cabine pour prendre du recul. Elle m'allait bien. Je l'achetais. En fait de surprise, c'est moi qui 'l'eut. Ahmed était là. Il me dit m'avoir vue dans le magasin et me complimenta sur ma nouvelle robe. Son regard s'alluma. Il me demanda pour le soir, de ne pas porter non plus de slip. Je refusais. Prétextant que cela l'exciterait beaucoup et qu'il me ferait en jouir davantage, il insista. Je lui fis une réponse de normand. Il s'en contenta. Toute la journée je fis semblant de m'interroger : avec ou sans ? Je dis fit semblant parce que je connaissais, bien entendu, la réponse depuis bien longtemps. En fait depuis qu'elle avait été formulée. La journée se déroula paisiblement, avec les mêmes sentiments que la veille et des sensations de désir que je ne me connaissais pas. L'heure s'avançant, je ressentis comme un mystérieux appel qui me poussa vers ma chambre. Je passais un peu plus de temps à me rendre désirable. L'appel de la chair… voilà, c'était ça ! Il aurait le dîner puis le club et… Ahmed, et…. Moi si prude habituellement, je restais nue jusqu'au dîner, ce qui ne fit rien pour améliorer les choses…. J'enfilais donc ma seule robe pour me rendre au restaurant ou j'eus l'impression que tout le SAVAIT. Je me tins le ventre collé à la table, bien droite pour empêcher que des plis fassent s'ouvrir des échancrures mal placées entre les boutons. Vite, vite je me rendis au club ou pour une fois je me commandais un cocktail alcoolisé. J'avais envie d'être gaie, euphorique, déchaînée…. Ahmed arrivait aussitôt et m'emmena m'asseoir dans un endroit sombre et isolé. Il me dit me trouver de plus en plus belle et qu'il avait bandé toute la journée en pensant à moi. Il voulu que j'en sois témoin et que je vérifie. Je n'avais jamais touché une braguette d'homme dans un endroit public. Cela me donna un coup de chaud… à moins que ce ne fût l'alcool… ou ce que je sentis sous l'étoffe. Il profita de mon trouble pour ouvrir deux boutons de ma robe et révéler généreusement mon sillon mammaire. Il voulu s'attaquer au bouton du bas. Je l'en empêchais cette fois. Il tint quand même à glisser un doigt entre deux boutons, histoire de vérifier si comme je le disais j'avais aussi envie de lui. Son doigt luisant le renseigna…. Le temps de finir le reste de mon verre, j'étais dans ma chambre, Ahmed sur mes talons une fois de plus. Nous nous assîmes sur le lit et il ouvrit mon devant de robe jusqu'au nombril. C'est alors… c'est alors que l'entendis me dire qu'il voulait me voir faire l'amour en groupe (en fait il dit "baiser en groupe"). Il m'informa que deux de ses amis employés aussi de l'hôtel m'avaient repérée et me trouvais désirable (en fait il dit "bandante"), et que si je voulais lui plaire il fallait que je leur cède également. En une fraction de seconde, je réalisais que je ne m'étais trompée en me sentant épiée. A sa proposition éhontée, j'opposais un non que j'aurais voulus plus ferme. Il insista en me dénudant la poitrine et en la caressant. Je suppose qu'il n'en était pas à son coup d'essai avec des touristes esseulées et qu'il avait bien tout manigancé car on frappa à la porte. En arabe c'est lui qui dit d'entrer…. Deux hommes firent leur apparition, un du même âge à peu près qu'Ahmed et un autre beaucoup plus jeune. Le premier s'assit de mon coté libre et le jeune sur la chaise. Je tentais de me défendre un peu, mais Ahmed réussit à m'embrasser. Je préfère avoir mis cela sur le compte du cocktail, c'est plus confortable que d'avouer ses faiblesses, mais toujours est-il que ce baiser annonça la fin de ma résistance. Je n'en offris pas la moindre quand mon amant dit à son ami de me toucher les seins cependant qu'il m'embrassait de nouveau. A la fin de ce baiser, Ahmed m'ordonna d'embrasser son ami Farid. Timidement, j'approchais mon visage du sien et posait mes lèvres sur les siennes. J'entendis un "la langue !" impérieux et je glissais la mienne dans la bouche de l'homme qui cette fois m'embrassa fiévreusement. Après avoir fait glisser mes bretelles et dénudé tout mon torse, les hommes me firent allonger sur le dos et firent de même de chaque coté. À tour de rôle, ils me roulèrent des patins avides en me caressant les seins. Parfois l'un ou l'autre, parfois les deux me les léchaient ou m'en suçaient les bouts. Bien entendu jamais deux hommes en même ne m'avaient sucé les seins…. Abandonnée, j'en étais presque venue à oublier le troisième larron qui se rappela à moi en posant ces mains sur chacune de mes cuisses. Le plus tranquillement du monde je le sentis achever de déboutonner ma robe et l'écarter selon son désir. Cette fois ce fut mes cuisses nues qu'il ouvrit et immédiatement je vis sa tête s'abaisser vers mon entrejambe. Après qu'il eut écartés ma toison sa langue se fraya un chemin et entama un ballet qui m'enfiévra complètement. Désormais j'étais le jouet de ces hommes, je leur appartenais. A tout seigneur, tout honneur et ce fut Ahmed qui le premier se déshabilla et ayant placé mes jambes sur ses épaules me cloua au lit avec ardeur. Je n'avais pas l'habitude de faire cela devant des spectateurs. C'est sans doute cela qui me retint… enfin au début. Soit dit en passant les "spectateur" s'étaient mis nus. Farid était du même calibre qu'Ahmed en revanche, Fouad, s'avéra plus membré que les autres. A grands coups de butoir Ahmed me bourra résolument la moule. C'était bon mais peut être contractée je ne parvins pas complètement à l'orgasme. Même quand il éjacula. En revanche, dès que Farid m'emmancha (pas d'autres termes), là, j'eus un orgasme foudroyant de femelle en chaleur… et un deuxième quand lui aussi prit son pied et se déversa dans ma fournaise. Toute étourdie, je fus relevée et assise sur le lit face à Fouad. On m'ordonna "Fais lui une pipe !". J'ouvris la bouche en grand pour accueillir le sexe du jeune homme. Effectivement, mes yeux ne m'avaient pas trompée, il était vraiment plus gros que les deux autres. Qu'est ce que je pouvais avoir envie qu'il me prenne. Je ne me connaissais pas cette fringale sexuelle…. Je mis en pratique les bons conseils d'Ahmed pour d'une part lui donner beaucoup de plaisir et d'autre part pour qu'il jouisse vite. Il serait disponible pour autre chose plus rapidement. Vu sa taille, il arrivait à me la mettre loin dans le gosier, me provoquant d'inévitables hauts le cœur. Cela les faisait rire. Apparemment il fallait que je m'y habitue. D'après Ahmed les hommes adoraient s'enfiler bien au fond de la bouche et au début des larynx féminins. Je ne savais pas…. Quoi qu'il en soit Fouad, ne mit pas (trop) longtemps pour m'expédier sa semence onctueuse. Je lui rendis son membre propre comme un sou neuf. Tout ce joli monde bandait de plus belle ce fut Ahmed qui me reprit, en levrette et cette fois il me fit somptueusement jouir, désireux de se racheter de tout à l'heure, bien que cela ne lui fut pas imputable. Je dus ensuite sucer Farid jusqu'au bout bien sûr. Ahmed demanda ensuite à Fouad de me baiser encore à quatre pattes pour que je sente bien sa bite. Il me planta son pieu ardent et me prenant par les hanches il me transforma en poupée de chair ballottée comme un coquille de noix sur la mer. Son gros sexe fouillait mes muqueuses enflammées à m'en faire crier de bonheur. On entendait que ses râles vaillants, mes gémissements et le floc, floc obscène du clapotis de sa trique plongeant dans mon vagin liquoreux. Tous trois parlaient, s'invectivaient, s'encourageaient ne arabe et riaient beaucoup. L’orgasme me traversa, explosant par tout mon être et me faisant perdre toute notion de réalité. Il continua ses assauts d'étalon fabuleux et abuté au fond de ma matrice m'amenant à jouir de nouveau puis il se retira et me noya la bouche de son flot épais. Après un peu de repos ils me reprirent tout à tout dans toute sorte de positions commandées par Ahmed. En fait en plus de me prendre, chacun d'eux me jouit deux fois dans la bouche. Ils m'abandonnèrent ensuite à la nuit et à mon sommeil sans omettre de préciser qu'ils reviendraient le lendemain. Il étaient infatigables… moi un peu moins….
La matinée bien avancée me vit émerger ma chambre baignant dans des odeurs et des effluves révélatrices des débordements de la veille. Avant de me consacrer à mes occupations, j'allais jusqu'en ville. D'abord pour acheter quelques souvenir, dont un magnifique poignard pour Philippe (c'est Farid qui m'avait donné l'adresse) mais surtout, comme me l'avait conseillé (enfin plutôt ordonné) Ahmed pour faire l'acquisition d'un porte-jarretelles et de bas que je devais exclusivement porter et que je devrais garder pendant nos ébats. Je le choisis bordeaux avec des bas gris à couture. Ce jour là, je ne descendis même pas à la piscine. Je restais à bronzer sur mon balcon, et j'y restais intégralement nue jusqu'au soir. Sitôt le dîner expédié je retrouvais Ahmed au club. En regardant mes jambes, il fut ravi de voir que j'avais accédé à sa demande. Dans le même petit coin que la veille il vérifia que bas et porte-jarretelles ne constituaient que mes seuls sous-vêtements. Cette fois, foin de ma réputation, il me prit par la taille et passant devant le barman que je supposais être un copain, il me mit la main aux fesses comme pour lui montrer sa bonne fortune. Fouad et Farid nous attendaient devant ma chambre ou je fus poussée et promptement dévêtue. Ils me firent agenouiller et s'était eux aussi mis nus, ils m'entourèrent pour se succéder dans ma bouche. Ensuite… je fus prise, reprise, retournée, léchée. Effectivement ma tenue les excitait follement. Je dus même à un moment donné sucer Fouad pendant qu'Ahmed me besognait et adapter ma succion au rythme des coups de reins de l'autre. Ce fut ma grande première de "m'occuper" ainsi de deux hommes en même temps. Ce ne fut pas si facile que l'on pourrait croire…. Ils m'abandonnèrent pantelante et usée et je me retrouvais le lendemain matin complètement hébétée de cette folle nuit ou ses trois hommes m'avaient prise dans toutes sortes de position se relayant pour m'arracher des cris de jouissance (et pour se procurer du plaisir également).
Comme la veille je ne bougeais pas de ma chambre tentant de me refaire une santé pour subir ma dernière nuit de plaisir ou Ahmed m'avait prédit un feu d'artifice. Je descendis vite dîner et remontais à toute vitesse me déshabiller et ne garder que bas et porte-jarretelles, puisqu'il avait été contenu que je les attende dans ma chambre dans cette tenue afin de les exciter encore un peu plus. Ils arrivèrent peu après et d'emblée Ahmed me dit que pour ma dernière nuit il fallait que je me laisse sodomiser comme ils l'avaient fait à toute les autres femmes avant moi. Je refusais ayant peur d'avoir mal et au surplus, je trouvais cela humiliant et dégradant. Ils me persuadèrent d'accepter, un peu par force d'ailleurs, me menaçant de téléphoner à mon mari en France pour lui raconter ma conduite. Ils amenèrent la petite table au centre de la pièce et me placèrent les chevilles de chaque coté des pieds de table. Ils me firent me pencher en avant, buste contre le plateau après m'avoir glissé un oreiller sous le ventre pour me surélever la croupe. Ahmed commença d'officier…. Les autres m'écartèrent les fesses et lui commença par me lécher la raie s'attardant de plus en plus sur mon petit trou puis finalement en y entrant la langue. Pour l'instant même si cela faisait bizarre, ce n'était pas désagréable. Cela ne le fut pas non plus quand une phalange s'immisça et entreprit un mouvement tournant. Avec délicatesse, il finit par m'y rentrer un doigt entier qu'il fit aller et venir. Me conseillant "de pousser" il m'en mit deux qu'il écartait pour étirer les parois. Pendant cette préparation les autres riaient et parlaient avec lui an arabe. Parfois ils passaient les mains sous mes jarretelles pour me caresser les cuisses, l'entrejambe et l'intérieur du vagin. Parfois aussi ils me prenaient la main pour la refermer sur leurs sexes que je devais masturber. Ahmed me proposa :
"Tu veux maintenant ?".
Comme dans un songe je m'entendis répondre :
"Vas-y je suis prête !"
C'était, de plus bien vrai… il avait finit par m'échauffer au delà du raisonnable et j'avoue que j'avais désormais envie d'être sodomisée quel qu'en soient les conséquences. Son gland fit pression sur mon anneaux écartelé et ils s'engagea… lentement mais sans marquer d'arrêt…. Mal, oui un peu sur la fin là ou ses doigts ne m'avaient pas dilaté le conduit. Mais pas non plus un mal atroce… d'ailleurs cette douleur s'estompa assez vite du fait qu'il resta abuté à moi un moment en me caressant les reins. Il fit un ou deux mouvements histoire de vérifier si ma gaine s'était adaptée à sa verge et me dit que maintenant "il allait vraiment m'enculer". Il ajouta "qu'après lui les autres prendraient sa place". J'eus beau supplier cela ne les fit que rire. Hé bien à ma grande surprise, j'y pris du plaisir…. Croyez-moi, du plaisir !... le sentir se rendre maître de mes reins, le sentir m'ouvrir l'anus, le sentir se faufiler dans mon rectum fut un régal…. Et en plus faire quelque chose de mal et de sale… hummmmm ! Tout alla si bien le fait de le sentir se déverser dans mes entrailles m'amena à la jouissance. Il se désengagea avec douceur et comme promis les autres étaient prêts d'abord Farid qui m'empala avec plus de force encore et enfin Fouad. Fouad dont je vous ai dit qu'il était le plus membré des trois et qu'il me faisait jouir à en crier dès qu'il me prenait, alors là…. J'ai cru qu'il allait me déchirer de son élan sauvage qui faisait écho à ma disponibilité de bourgeoise en chaleur. Sa verge coulissait frénétiquement dans mon boyau pendant que je l'encourageais à me posséder et à venir au plus profond de mon fondement. Je l'avais réclamé… je l'eus ce pistonnage bestial que j'endurais avec ravissement jusqu’à ce que je jouisse tétanisée en plein délire sexuel. Que dire du reste de la soirée… que je fus sodomisée ainsi six fois dans la nuit et qu'entre-temps nous faisions l'amour "normalement", sans omettre les fellations que je leur pratiquais généreusement.
C'est endolorie, amorphe, exsangue que dus faire mes bagages. Dans cet état oui, mais heureuse et fière d'avoir plut à des amants aussi jeunes. Ma fierté était peut être naïve et de nombreuses touristes devaient y passer mais enfin…. Je me mis à la recherche de ma copine Evelyne. Dès que je la vis je le sus. Elle allait quitter l'hôtel mais prolonger son séjour… En recherchant du pittoresque et du typique elle avait échoué dans un bar ou le patron l'avait séduite. En déficit d'homme, elle avait permis à d'autres clients pas mal de privautés. De fil en aiguille elle était, pour son plus grand bonheur, passé plusieurs fois à la casserole. En fait nuit et jour elle y passait et comme elle le disait avec humour "Et en plus, ils sont toujours plus nombreux !" Son amant (ou maquereau) de patron du bar lui avait fait promettre de rester encore un peu et de s'installer "pour plus de commodité" chez lui. Ce qui expliquait donc sa tenue du matin, minijupe vert pomme, top rouge scintillant et maquillage outrancier. En lui conseillant quand même la prudence je lui souhaitais bon séjour.
Je pris donc le chemin de l'aéroport sans avoir revu ni Ahmed, ni ses compagnons. Pour eux j'étais une affaire terminée sans doute. L'ultime chose que je fis avant de prendre l'avion fut de me débarrasser de mes bas et de mon porte-jarretelles….
Le voyage était court. Il me fallais d'une part me reprendre vite et enfouir ces moments merveilleux ou en cinq jours j'avais plus jouis qu'en une vie entière… ce ne serait pas facile. D'autre part quoi dire à Philippe. Avec tout ce qu'il m'avait déjà proposé, je pouvais me permettre d'avouer une infidélité. Cela faisait trop longtemps qu'il me le proposait. J'avais conscience d'avoir exagéré. Mais ils m'avaient rendu si heureuse. Alors je me décidais à en avouer un tiers… une soirée et un début de sodomie non achevée… plausible non ? L'avion se posa… aérogare…mari… retrouvailles… bisous… Comme tu as bonne mine !... bagages… voiture… trajet… maison… souvenirs… oh comme cela me fait plaisir… douche….
Alors parle moi de ton séjour ! L'heure de vérité était venue…. Je commençais par raconter l'hôtel, les repas, le farniente. Philippe était loin d'être un imbécile….
P Depuis tant d'année… je connaissais quand même bien ma Gisèle chérie… J'avais tout de suite vu que quelque chose clochait. Je me doutais un peu… même avant son départ…. Je lui avais laissé tout son temps. J'ajoutais simplement "Et…?".
G "Et… j'ai fait une bêtise…."
Je lui racontais tout… enfin toute ma version… édulcorée….
Je dus raconter une fois, deux fois… trois fois…. avec à chaque fois plus de détails. Loin d'être en colère, il ne cessait de répéter "que j'aurais voulu être là !... que j'aurais voulu être là". Finalement il me voulu et … trop pressé et trop excité… ce fut un échec...une fois de plus ! Nous en restâmes là pour cette fois et la vie reprit son cours….
Philippe avait avancé dans nos recherches. Je ne vous ai pas dit mais nous cherchions à nous loger autrement. Nous désirions acquérir un pavillon puisque nous avions économisé et puis, et puis… une fille mariée… peut être un jour des petits enfants qui pourraient jouer dans le jardin… image d'Épinal…. Donc il avait vu une annonce qu'il me montra. Nous allâmes voir la situation. Le quartier était sympa comme tout et nous plaisait. Comme nous admirions le pavillon, de l'autre coté de la rue une dame nous interpellas. En fait c'était l'ancienne propriétaire. Elle nous fit même visiter. Emballés nous nous décidâmes vite et l'affaire fut rapidement conclue. Nous emménageâmes et pendant un temps bien occupée j'oubliais mes frasques passées. Les voisins : à droite, bof des retraités peu communiquant, à gauche des gens sympa, un couple avec un grand garçon. Nous avions de cordiales relations avec eux et aussi avec la voisine d'en face, l'ancienne propriétaire. Elle était veuve, l'ai toujours un peu triste, pourtant elle dégageais quelque chose et j'aimais bien le compagnie de Jocelyne, puisque c'est ainsi qu'elle se prénommais. De temps à autre elle venait prendre le thé mais ne s'attardais jamais. Nous avions une connaissance commune. Comme je travaillais au lycée elle me demanda si je connaissais une certaine Nathalie, prof de math. Effectivement, je la connaissais, sans plus, puisqu'elle faisait partie de l'équipe des enseignant et moi de celle des administratifs. C'est d'elle dont je vous parlais un peu plus tôt qui avait, à tort ou à raison, un e réputation un peu sulfureuse. Bref des jours calmes s'annonçaient. Pourtant le souvenir d'Ahmed et de ses comparses ne s'estompait pas. Il paraissait même que mon humeur redevenait maussade….
P Oui franchement son humeur se dégradait. Une fois passé notre emménagement et la gaîté de la nouveauté, ma pauvre Gisèle semblait retomber dans la morosité. Je savais bien que cela était de ma faute ! Il fallait que nous ayons une conversation sérieuse. Un beau jour, je la "convoquais" pour une discussion à cœur ouvert. Elle ne la refusa pas. Je luis proposait à nouveau le divorce ou du moins la séparation. De nouveau, elle ne voulu rien entendre. Par ailleurs elle ne pouvait plus rester ainsi à s'étioler. Elle en convint. Je lui proposais donc qu'elle prenne un amant qui la satisferait. Cette fois elle n'opposa pas son veto habituel. Elle m'avait raconté qu'elle avait eu un amant plus jeune. Je lui proposais donc d'en "recruter" un par annonce, pour voir et ne pas trop s'attacher. Et là elle me dit….
G "Mais toi…. Je veux que tu soit là… avec moi… sinon j'aurais trop peur !" c'est qu'avec difficulté je parvint à articuler….
P J'eus du mal à encaisser…. Pourtant en analysant cela ma parut concevable et aussi un peu excitant. Je crois que je ne suis pas le seul à envisager avec angoisse et envie la vision de son épouse s'ébattant avec un autre… et finalement pourquoi pas…. L'envie l'emporta….
G Pourquoi avais-je été chercher cela ! Persuadée qu'il ne voudrait pas…. Raté… la chose parut lui plaire. Il n'était pas question que je me mette en quête de celui à qui j'accorderai mes faveurs. Mon époux, décidément très (trop) intentionné me dit qu'il passerait une annonce et que je n'aurais qu'à choisir parmi les postulants, si d'aventure l'un d'eux me tentait. Vu comme cela….
P Je passais donc une courte annonce disant qu'un mari souhaitait pour son épouse une expérience avec un homme jeune et viril. Il y eut plus d'une cinquantaine de réponse et pas seulement de jeunes. Il y eut même des groupes. Certaines étaient même accompagnées de photos. Un beau soir, je donnais le tout à Gisèle….
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