Jocelyne raconte Annick (suite)
Récit érotique écrit par Emile Hubert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2008 dans la catégorie Plus on est
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Jocelyne raconte Annick (suite)
Et en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire ou l'écrire, je me retrouvais sur le pallier. La porte se refermant derrière moi me fit presque sursauter. Les bras ballants je me retrouvais comme… comme une conne…. On ne pas dire moins. Je dévalais l'étage et rentrais dans mon appartement en me maudissant et me traitant de tous les noms. Dire que je l'avais pris pour un ange…ce…ce petit salaud ! Il avait bien profité de la situation, ah oui !... il s'était bien fait sucer le salopard !... et moi… pauvre idiote je m'attendais à quoi ? Qu'il me prenne dans ses bras, qu'il prenne une vieille dans ses bras pour… pour quoi lui faire ? Hein je vous le demande ? Ah la bécasse ! Je n'aurais rien pu dire de la taille de son sexe…et de plus je ne savais même pas son prénom ! Remarquez, cette fois en me caressant et en imaginant des choses mon désir avait un visage… et mon vibromasseur servit… beaucoup….
Le lendemain, je repris pied. Ma pauvre Annick !... à ton âge… à quoi t'attendais-tu ? Le jeune homme avait bien profité de la situation, il fallait éviter de rencontre les jours prochains et tourner la page. N'empêche….
J'arrivais assez bien à n'avoir aucun regret, prenant cela comme un incident de parcours et finalement pas trop mécontente d'avoir pu constater que je n'avais pas trop "perdu la main". Peut être quinze jour passèrent et un lundi (d'une tristesse épouvantable) le téléphone sonna dans la soirée. Je décrochais.
"Allo… c'est Frank ! J'ai envie de tirer un coup ! Monte ! " et il raccrocha
Comment vous dire ? C'est comme si j'avais reçu un coup de poing à l'estomac. Un coup de poing à l'estomac qui m'aurais rendu muette, sonnée, mais qui aurait déclanché une sensation dans mon bas ventre. Cette sensation s'appelait l'envie et immédiatement je me mis à mouiller. Vous allez me dire que j'aurais pu ignorer cette invitation grossière, que j'aurais pu monter et gifler ce petit crétin. J'aurais pu… au lieu de cela, je me précipitais comme une adolescence à sa première boum ! Sans réfléchir je montais l'escalier et sonnais. J'avais à peine terminé mon geste que je le regrettais aussitôt. Trop tard la porte s'ouvrit. Il me fit signe d'entrer. Toute intimidée devant ce gamin je fermais la porte derrière moi. Il me regardait et au lieu de faire un geste vers moi il se recula dans l'entrée. Il me fixa et dit :
"Drôle de tenue pour venir baiser ! Allez désapes-toi… vite !"
Subjuguée par cette autoritarisme je restais encore sans voix et commençait à déboutonner mon chemisier. Il me fit me dépêcher. Comme j'étais très soigneuse, du regard je cherchais un endroit pour poser mon vêtement. D'un geste de la tête il me désigna le sol de l'entrée et iniquement il me dit :
"Laisses tout par terre, on ne te volera rien ! Pressons…. Pressons !"
Je dégrafais mon soutien gorge. Mes seins étaient gonflés de désir, je le sentais…et leurs pointes me trahissaient. Il commenta :
"Pas mal ! Y a de quoi tripoter ! Allez le bas, vite !"
Ma jupe alla rejoindre le reste sur le tapis et devant ses yeux juvéniles et pourtant très lubriques je retirais mon slip et attendis. Il fit la moitié du chemin et baissa son jogging pour en sortir son membre. En fait il n'était pas mal monté du tout, enfin mieux du mon ex-mari. Il avança vers moi en se masturbant d'une main pendant que l'autre il me faisait reculer jusqu'à la porte. Lorsque j'y fus adossée, il posa une main sur mon ventre et descendit. Il se fraya un chemin dans ma toison pubienne. Instinctivement j'écartais les jambes. Il eut un drôle de petit rire qui devait signifier "je le savais". Le bout d'un doigt toucha mes grandes lèvres. Je soupirais. Que j'avais envie qu'il me le rentre… et en même temps je le redoutais. Il allait constater mon état. Il constata… de deux doigts…. Mmmmmm !
"Je savais bien qu'il ne fallait pas t'en promettre !"
Dit-il en retirant ses doigts et les humant. Je sentis sa main descendre sur ma cuisse, puis à l'arrière de celle-ci jusqu'à la pliure de mon genou. Il y fit glisser son avant-bras et me releva la jambe. J'étais en équilibre sur un pied. Je m'accrochais à ses épaules. De sa main libre il prit son sexe et le guida vers l'ouverture de mon ventre. Il allait me prendre debout ! Drôle de préliminaire ! Il caressa un instant ma vulve de son gland qui me parut brûlant. Il fléchit ensuite un peu les genoux pour se mettre à bonne hauteur et… et le soleil brilla dans ma tête… et je sentis son sexe s'enfoncer en moi. Décidément il était assez long et le bélier repoussa mes muqueuses qui n'avaient pas été à la fête depuis si longtemps. Que c'était bon ! Lui aussi semblait trouver l'accueil confortable. Plusieurs fois il plia encore les genoux comme pour m'enfiler le plus loin possible comme pour me faire sentir toute la longueur de sa trique. Il se mit à me pilonner contre la porte parfois son bras libre passé autour de mes reins, parfois me pétrissant un sein. Sa bouche m'embrassait dans le cou, sur les joues, les yeux, partout… sa bouche prenait voracement la mienne, sa langue me léchait le visage, s'enfonçait dans ma bouche pour s'enrouler autour de la mienne, sa salive coulait dans ma bouche, sur mon menton. J'avais passé mes bras autour de son cou et répondait à ses baisers enflammés. Mon dos ou mes fesses ébranlaient la porte de coups sourds. Pourvu que personne ne sorte sur le palier …. Il me demanda :
"Tu as ce que est venue chercher, hein !"
Je ne pouvais répondre que des "oui… oui … encore …encore…" de toute façon sa bouche recommençais aussitôt à manger la mienne. Je ruisselais comme un fontaine, ivre de bonheur. Il remarqua :
"Qu'est ce que tu mouille ma salope !"
J'allais avec lui aussi avoir droit à ce terme. Tant pis je m'en moquais et puis oui, je mouillais, et puis oui, comme une salope et de plus j'allais jouir, jouiiiiir, jouiiiiiiiiir. En amant attentionné et appliqué il attendit que je sois placé sur la voie de l'orgasme pour se lâcher lui aussi à grand coup de reins. Me secouant comme un prunier il fit durer ma jouissance longtemps, j'eu l'impression qu'il n'arrêtait pas de se vider en moi. Complètement essoufflés nous demeurâmes dans cette position pour reprendre nos esprits. Me guidant par la taille, il m'emmena dans sa salle à manger. Je me retrouvais sur sa table entrain de me faire dévorer l'entre jambe. J'étais dans tous mes états et je lui demandais de me prendre à nouveau. Il me fit passer au salon et chose curieuse alluma toute les lumières et ouvrit les rideaux de la porte-fenêtre donnant sur la loggia. Il s'assit ensuite sur le grand canapé faisant face à cette porte-fenêtre et me dit :
"Viens sur moi !".
Je me précipitais et m'agenouillais de part et d'autre de lui. Pointant son sexe contre le mien, je me laissais glisser avec exaltation et entamais ma cavalcade. Il me rejoignit dans mon emballement, ses mains, sa bouche me parcoururent. Mes seins ne quittaient sa bouche et sa langue que quand elles prenaient ou s'enfonçaient dans la mienne. Au bout d'un moment, je sentais les frissons d'un plaisir proche. Il me crucifia… en disant :
"Tu sais pourquoi j'ai ouvert les rideaux et allumé ? Souvent il y a des gens en face qui matent. C'est pour qu'ils voient que je me tape une salope. La prochaine fois, tu te mettra dans l'autre sens pour qu'il puissent te reconnaître en te croisant dans la rue !"
L'horrible petit monstre… la seule chose que je puis répondre à cet instant fut :
"Ouiiii… oui si tu veux ! Ouiiiiiii je paaaaars…. Frannnnnnnnnk "
Une fois calmé les derniers spasmes de mon orgasme, je m'aperçut qu'il était toujours raide en moi. Je me dégageais et me jetais à ses pieds. J'allais lui faire voir, cette fois, de quoi j'étais vraiment capable. Je fus assez contente de moi. Il juta copieusement en gémissant sérieusement. Après nous être un peu cajolé encore, je décidais de regagner mon appartement. Avant un dernier baiser j'eus le courage de lui demander :
"Est ce que… est ce que …nous nous reverrons ?"
"Je te fais signe !" me répondit-il laconiquement "
Il me fit signe deux jours plus tard par l'intermédiaire du téléphone qui me prévint :
"Annick, je descends ! Tu as cinq minute pour être à poil !"
Vite, vite je quittais le tout. Déjà il sonnait. Je n'eus même pas le temps de me jeter un coup d'œil dans la glace. Il était là, toujours aussi beau comme un ange… beau comme un dieu. Ironiquement il me demanda :
"J'espère que tu es en forme ? J'ai les couilles pleines ! Tu me fais visiter ?"
Un peu surprise j'allais lui montrer mon appartement. Il me fit arrêter en expliquant:
"Pas comme ça… attends !"
Il me fit lui tourner le dos, puis il me fit courber vers l'avant les mains sur les genoux. Je le sentis derrière moi et sans crier gare, ni coup férir il m'enfila de toute sa longueur. De surprise sous la vivacité du coup de harpon, je laissais échapper un cri. C'est ainsi qu'il me guida de pièce en pièce pour effectuer sa visite, moi toujours pliée en deux et lui me bourrant de plus belle pour continuer sa promenade. Il m'acheva sur mon lit… en levrette. Je me rendis compte que moi aussi, tout comme toi, Nathalie ou Marie-Agnès plus le temps passait plus je raffolais de cette position. Nous passâmes ensuite au salon où je lui offrais à boire. Tout en nous rafraîchissant et nous pelotant mutuellement je me permis une question qui me taraudais.
"Cela ne te gêne pas, je veux dire… notre différence d'âge…. A peu de chose près il me semble que je pourrais avoir l'âge d'être ta mère… et nous… enfin tu me… tu me fais l'amour comme à une jeune…."
Il éclata de rire et dit en se moquant :
"Je préfère les vieilles !"
Devant mon air ahuri, il précisa :
"Attends, ne soit pas fâchée, vieille c'est exagéré. Disons que j'adore les femmes mures."
Je dus avoir l'air interloquée puisqu'il précisa :
"Oui, je préfère… au moins avec des femmes mures, pas besoins de simagrées, c'est direct ! Et puis, ce n'est pas comme avec les nanas de mon âge, les vieilles, qu'elles aient de l'expérience ou qu'elles aient des regrets sont beaucoup plus salope…. Et j'aime ça ! Plus tu seras dissipée et mieux je te baiserais !""
Comme je lui demandais comment lui était venu ce goût, il me raconta un petit bout de sa vie. Il fut déniaisé par une amie de sa mère, donc une femme mure, à l'âge de quinze ans. Elle lui enseigna tout et lui fit s'épanouir une sexualité riche. Cette liaison dura quelque temps. Elle ne stoppa pas mais s'orienta différemment le jour ou il surprit cette femme et sa mère faisant l'amour ensemble. Elles insistèrent un peu pour qu'il vienne se joindre à leur jeu. Selon lui n'eurent pas à beaucoup à réclamer, il avait toujours trouvé sa mère assez "canon". De ce jour là il devint l'amant de sa propre mère et eurent de nombreuses séances à trois et plus. Désireux de faire ses propres armes il tenta sa chance avec des filles de son âge pour appliquer les leçons reçues. Il fut perçu comme un abominable pervers par beaucoup. C'est de cette façon qu'il se spécialisa dans "les vieilles"… comme moi. Comme il ne trouvait pas cela très, très sain de toujours résider chez sa mère, ils décidèrent de concert de lui trouver un appartement. Il emménagea à l'étage du dessus….
Tu penses bien que son histoire et les détails qu'il en avait donnés nous avaient tous les deux un peu allumés. Je me précipitais sur sa queue pour le sucer. En fait nous commençâmes un soixante neuf sur mon canapé, puis toujours dans cette pièce, et toujours sur le canapé il me baisa hardiment mes jambes passées sur ses épaules. Il me fit crier….
Finalement à cette période j'étais heureuse un bel amant, jeune, vigoureux et surtout qui baisait bien….
Quelques jours plus tard, c'était un samedi je coup de téléphone que j'attendais impatiemment retentit.
"Allo Annick ! Tu fais quelque chose ce soir, je peux venir te rendre une petite visite ?"
"Évidemment oui ! Viens vite !"
"Tu sais dans quelle tenue tu dois être ?"
"Oui, je vais me mettre toute nue pour toi…."
"Non on ne dis pas 'toute nue'".
"… Oui je sais…. Je vais me mettre à poil pour toi mon chéri…."
"J'arrive !"
"Non pas tout de suite, laisses moi le temps de m'arranger un peu !"
"Tu as raison, fait toi belle… je suis là dans un quart d'heure, j'ai la queue qui me brûle !"
Vite fait je passais à la salle bain où prestement je me déshabillais. Je fis vite pour me coiffer, me maquiller un peu les yeux et les lèvres. Au coup de sonnette j'était prête, haletante impatiente….En même temps que j'ouvris, j'entendis un "salut ma vieille" qui me fit mouiller, je te jure, il était en imperméable qu'il écarta comme le font les exhibitionnistes. Il ne portait rien en dessous…. Je tendis la main attrapais sa pine et le fit entrer. Voracement je me jetais à genoux devant lui pour lui tailler une belle pipe et lui gober les couilles. Il me laissa faire un moment puis me fit relever en disant "qu'il allait me sauter dans toutes les pièces de mon appartement", il me poussa en avant décidant "qu'il allait commencer par les chiottes". Un genou sur la cuvette et hop il m'enfila. Me bourrant efficacement et m'arrachant un premier orgasme. Comme il était toujours vaillant il m'en octroya un deuxième dans la chambre d'amis. Cette fois il éjacula. Nous passâmes ensuite dans la pièce principale ou il me fit "inaugurer" ma table de salon.
Je fus très surprise de ce qu'il me demanda ensuite. Pratiquement avec timidité, il me demanda la permission de passer la nuit avec moi. Inutile de te dire que j'en fus ravie. Il me demanda aussi si cela ne me gênait pas qu'il passe le dimanche avec moi. Je lui promis de lui mijoter un bon petit plat. Il me répondit qu'il préférait une bonne partie de jambes en l'air. Je rétorquais que cela était aussi possible. Quoiqu'il en soit nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre. Mais au beau milieu de la nuit, je fus réveillée par des caresses intimes… et je ne rêvais pas. Mais en quoi était-il fait ? En quelque chose de dur, incontestablement… puisqu'il me fit l'amour lentement dans le noir et dans la position la plus classique qui soit jusqu'à ce que nous prenions notre pied. Nous nous rendormîmes ensuite. A notre réveil, je lui proposais un petit déjeuner au lit. Il accepta et je courus le préparer pendant que mon petit prince restait paresseusement et insolemment nu sur le lit. Sitôt qu'il eut fini il souhaita "commencer cette belle journée par une pipe". Donc à peine mon café avalé, je me retrouvais avec un croissant de tout autre taille et de tout autre saveur entre les lèvres. Je crois que j'y mis tout mon savoir faire (de l'époque) et des jets épais me récompensèrent. Je me levais et lui annonçais que j'allais confectionner notre repas du midi après être passé à la douche. Pendant que je cuisinais, je l'entendais aller et venir, farfouiller. Je me demandais ce qu'il fabriquait. Au bout d'un bon moment il vint dans la cuisine et se colla derrière moi. Je ne portais qu'un tablier pour me protéger. Je sentis sa pine dressée contre le haut de mes reins. Il passa ses mains en coupe sous le tablier pour me prendre les seins. Il m'embrassa la nuque, le cou, les épaules faisant diaboliquement renaître le désir au creux de mon ventre. Il me murmura à l'oreille :
"Tu as vraiment des gros nichons… ils me plaisent, je veux toujours les voir nus… et que tu me branle avec !"
"Tout de suite si tu veux !"
"Non, nous verrons cela tout à l'heure, pendant la sieste….."
Elle allait inévitablement être crapuleuse…. Il continua
"J'ai fais le tour de tes placards, tu as une garde-robe nulle…. Tu n'as même pas de string !"
"J'en achèterais pour te faire plaisir si tu veux ?"
"Oui, bonne idée…. Mais tu les porteras dans la journée, moi je te veux sans… la chatte à l'air, d'accord ?"
"Oui, oui comme tu voudras."
"Et puis je n'ai pas non plus trouvé ni bas, ni porte-jarretelles ?"
"Cela fait un moment que je n'en ai pas mis, c'est vrai ! Tu veux ?"
"Ouais bien sûr ! Et tu les gardera pendant que je te baiserai ?"
"Oui, oui mon chéri si tu veux…."
"Pareil ! Tu n'as pas de minijupe ?"
"Et puis quoi encore ! A mon âge ! Je n'ai pas envie de passer pour une vieille pute !"
"Moi si….!"
"Hein ?"
"Oui tu m'a bien comprise… je veux que désormais tu ressemble à une vieille pute, comme tu dis ! Plus tu vas faire pute plus je te niquerais. Tu regardera ton ordinateur, j'ai fais des liens vers des sites ou tu pourra prendre des notes… c'est plein d'actrice de porno et pleins de femmes matures qui en prennent plein le fion. D'ailleurs à ce propos, quand tu auras trouvé une tenue "descente" tu me passeras un coup de fil et tu monteras me voir, je t'enculerais pour te récompenser. Tu dois aimer ça aussi dans la rondelle, tu verras je te la défoncerais, je te casserais le cul…. Si je te trouve à mon goût…."
Me parler ainsi, à son âge, vraiment ses "initiatrices" avait fait merveilles…. J'étais emportée par son tourbillon libidineux. Je n'arrivais plus qu'à balbutier des "oui, oui si tu veux", des "comme tu voudras" ou des "je ferais tout e que tu demandera". Tout ceci je le faisais consciemment, oui, en toute conscience j'allais être sa chose… je voulais être sa chose. J'avais raté un premier amant, je n'allais pas recommencer. Et puis j'étais libre…. Tout en me débitant ses propos graveleux, il me fit accouder à l'évier et me prit jusqu'à l'orgasme. Après quoi, il me retourna, me fit asseoir sur le rebord et me tringla a nouveau. Je n'arrêtai pas de jouir….
Le repas nous fut salutaire et réconfortant… pour la suite… pour la sieste…. Il se laissa tomber dans le fauteuil de ma chambre en réclamant:
"Allez la branlette !"
A nouveau je me mis devant lui à genoux et le plaçait entre mes lolos. De temps à autre, je le libérais de cette étreinte pour le sucer ou le lécher ainsi que ses bourses. A un moment, même, il leva une jambe et m'ordonna de lui "lécher le cul". Je n'avais jamais fait cela. J'avais honte de me laisser imposer cela mais timidement j'écartais ses fesses un peu poilues et lui léchais d'abord le périnée avant d'atteindre son anneau que ma langue détendit. Il poussa un peu du bassin pour se faire comprendre. Ignominieusement, ma langue soumise se glissa dans son anus…. Il me fit stopper et nous passâmes au lit, enfin sur le lit. Il s'y allongea et me pria de m'asseoir sur lui. Je le chevauchais lascivement prenant même l'initiative de me caresser les seins devant lui. Cela lui fit dire d'ailleurs "que si j'aimais me branler devant quelqu'un, il faudrait qu'il y pense la prochaine fois". Il en profita pour une demande supplémentaire… les poils… plus de poils…. Cette fois je cédais… sans rechigner…..C'est de cette époque que je suis épilée…. C'est dans une jouissance inouïe que finit ce dimanche… un de mes plus beau depuis longtemps
A l'instant de nous quitter il me rappela :
"A bientôt c'est toi qui me téléphone… quand tu penses que tu es ok !"
Je fis signe que oui….
Une fois seule, j'eus des regrets. Oh, pas de m'être conduite comme je l'avais fait, ni d'avoir accepté ce qu'il m'avait prescrit. Non, en vérité tu peux me croire, ce que je regrettais c'est qu'il ne m'ait pas sodomisée pendant la sieste… pour clore somptueusement le dimanche. J'en étais là. Une pauvre chose agitée de fièvre érotique, j'en voulais, j'en voulais, j'en voulais…. Pour un peu je l'aurais supplié de revenir. Je ne le fis pas, il avait conclu un marché. Pour être sur d'obtenir ce qu'il voulait il ne ferais pas machine arrière. Pour la première fois de ma vie, et pas la dernière tu le sais, j'allais endosser mon habit de pute… de vieille pute comme il avait dit !
Dans la réalité ce n'était pas si facile. Pour les chaussures, pas de problème des grandes surfaces en zone industrielle me permirent de trouver… chaussure à mon pied et à talons aiguille, évidemment. String, bas porte-jarretelles, aucun problème non plus, un petit magasin du centre recelait tout ce qu'il me fallait.
Je crois que tu connais…maintenant nous y sommes de bonnes cliente, non ?
Pour le reste c'était plus difficile…. D'abord l'épilation, je n'arrivais pas à me décider. Et les vêtements… je ne pouvais pas aller dans un magasin faire ce genre d'essayage, je n'osais pas. Je me rendis donc dans une boutique pour minette où prétextant une nièce je fis l'acquisition d'une mini en daim fauve et d'un haut blanc, limite attentat à la pudeur. Pas étonnant que des gamines aient des problèmes avec ce genre de trucs. J'emportais le tout. Je ferais l'essayage à la maison. J'aurais toujours la ressource de l'échange. Bon !...je prévus donc une soirée essayage. En ce qui concerne, les bas, le porte-jarretelles et les talons hauts… il n'y eu aucun problème. Je me trouvais même pas mal "sexe". Tant mieux, il était certain que je finirais dans cette tenue pour…huuummmm ! Pour la jupe, j'avais pris au jugé une taille inférieure à la mienne pour accentuer le coté moulant de l'affaire. Non seulement, je l'avais souligné, mais il serait plus exact de dire que je l'avais exagéré. La jupe m'arrivait à mi-cuisse et me moulait comme une seconde peau. Quand au top, ce n'était pas trop, que là aussi, j'avais voulu quelque chose de moulant. C'était pire et il faut bien le dire carrément indécent. J'avais choisi un haut blanc, dos nu et ouvert jusque sous les seins. Mon dos et mes épaules étaient nus et le coté moulant du fin tissu renforçait le coté transparent du fin tissu synthétique et on voyait en transparence le dessin de mes auréoles. Déjà pour une jeune c'était assez coquin, mais pour moi… ce n'était pas la seule façon pour que l'on puisse admirer mes tétons. Le top était fait pour une poitrine de jeune et mon volume ouvrait l'échancrure d'une façon…. On voyait nettement dépasser une partie des aréoles et en penchant un peu la tête on apercevait mes tétons. Je me fit plusieurs réflexions, d'abord qu'il était pratiquement impossible que je puisse m'asseoir, le tissu tellement tendu ne me permettrait pas de cacher quelque chose et ensuite qu'au moindre mouvement, mes seins seraient à l'air au vu et au su de tous le monde. En poussant la réflexion, une fois bien maquillée je ressemblerais à ce que Franck voulait… une putain… sa putain. A cet instant je sus tout de suite qu'une esthéticienne allait recevoir ma visite rapidement pour qu'en fin de semaine, je sois prête. Et tout ça pourquoi ? Pour qu'un gamin me sodomise…. J'en avait tellement envie !
Dès le lendemain j'obtins un rendez-vous pour le soir même chez N. Je prétextais un voyage dans des contrées éloignées et insalubres pour tenter de justifier ma demande d'épilation intégrale par une peur de bactéries et autres microbes. L'alibi devait être classique, car l'esthéticienne obtempéra d'un air entendu. Le soir même en revenant, je téléphonais à Franck pour lui demander si je pourrais venir le voir en fin de semaine. Il ironisa sur mon empressement et fit semblant de douter de ma transformation. Devant mes dénégations, il insista pour que je lui dise "que j'avais mis le paquet" et voulu que je réponde si c'était à cause de ce qu'il avait promis de me faire subir que je m'étais soumise à ses penchants. Je dus bien lui avouer que c'était vrai. Il en rigola. Tous le reste de la semaine, j'observais les photos des star de porno et fit des essais de maquillage pour trouver ce qui serait le plus adéquat. Ce n'est pas le seul essai que je fis. Je n'allais travailler qu'avec des bas et des strings sur ma chatte épilée. Je trouvais cela très, très sympa. Je t'avouerais même que j'avais ais deux ou trois fois l'essai sans culotte, pour voir… et j'ai vu…. Le soir je fis encore des essais ou plutôt un genre d'excerce. Sachant ce qui m'attendait, à l'aide de mon vibromasseur, je pris la peine d'entraîner mon anus à s'ouvrir et d'autoriser un accès facile à mes reins impatients.
Le samedi une heure avant le rendez-vous j'étais prête et dans un état indescriptible. Ultra maquillée, mascara noir, rouge à lèvres, ma tenue enfilée, sans sous-vêtement j'avais le genre de l'emploi, je te jure… enfin tu sais à quoi je peux ressembler… tout comme toi ma chérie ! Pour tromper le temps j'arpentais mon appartement façon pute sur le trottoir, retouchais mon maquillage, changeait de bijoux (pour en choisir des biens voyants), faisait des essais pour m'asseoir (là, mission impossible, on voyait tout, le haut et le bas)…enfin le temps me parut bien long. À l'heure dite, mon ventre se crispa. Je devais monter chez lui en tenue de pute (juste avec mon sac à main contenant de quoi me refaire une beauté le cas échéant). Pourvu que je ne rencontre aucun autre voisin. Les cieux me furent cléments, personne dans l'immeuble. Je sonnais. Il mit un temps fou pour m'ouvrir ce méchant garçon. Enfin la porte tourna sur ces gonds. J'entrais et me soumis à son examen. Me détaillant avec une moue à peine convaincue, il laissa tomber avec une mauvaise foi complice :
"Ouais !... pas trop mal ! Pas trop mal…. Pas sûr que je fasse fortune avec toi sur le trottoir… m'enfin, pour aujourd'hui, disons… que ça peut aller…. Tu seras récompensée… tout à l'heure ! Mais pour l'instant… les putes, mêmes les vieilles putes sucent… alors… la pipe !".
Je me propulsais à genoux devant lui et le débraguettais pour l'emboucher voracement. Je mis tout mon art léchant son frein, titillant son méat du bout de la langue, agaçant son anus d'un majeur curieux, manipulant ses couilles, serrant mes joues autour de sa bite, salivant sur cette belle pine pour qu'elle coulisse encore mieux. Il en profita pour me l'enfoncer loin, dans la gorge. Il fut content, je n'avais pas trop de haut le cœur et les contractions de mon larynx l'excitaient. Il me fit stopper après en avoir un peu profité et me fit diriger vers le salon. Il me suivait les yeux braqués sur mon postérieur que je me mis à balancer en vraie salope. Son salon était tout allumé et les rideaux tirés. Il me fit aller devant la porte-fenêtre et pencher en avant. Il releva ma jupe comme s'il souhaitait offrir la vue de mes fesses à tout l'immeuble d'en face puis il parvint malgré son étroitesse à la remonter au dessus de mes hanches. Il s'assit ensuite sur le canapé et me dit :
"Allez, viens sur moi, dans l'autre sens que l'autre fois…. Chose promises choses dues !... et en parlant de promesses, je m'occuperais en détail de ton cul plus tard… ce sera meilleur… et plus long".
J'écartais les jambes et me reculais de façon à ce que je puisse m'asseoir sur lui. Passant la main entre mes jambes j'attrapais sa trique, la frottait un peu contre ma chatte, elle était trempée, puis je me la suis mise… doucement… lentement… savoureusement…. Je me laissais aller bien à fond puis prenant appui de mes mains sur les cuisses, je me mis à monter et descendre. Il m'arrêta bientôt :
"Allez !... vire tes fringues !"
Je m'arrachais de mon pieu et retirais à toute vitesse ma jupe et mon haut et reprit ma place, cette fois uniquement en porte-jarretelles. Il me fit reprendre mes activités avec quelques ajouts : me caresser le clitoris et les nibards pour que tout le monde voit bien que j'étais une belle vicieuse. A la fin ce fut lui qui s'empara (presque à m'en faire crier) de mes roberts pour m'attirer contre lui et me pilonner comme un fou en me faisant dire que j'étais une " baiseuse affamée de bite" et une "femelle en chaleur".
Tu sais aussi bien que moi que cela les excite… alors, je répétais… et en plus c'était la vérité.
Il jouit bruyamment en moi, presque aussi bruyamment que moi…. cela nous laissa un peu indolent tous les deux. Oh pas longtemps, juste le temps de reboire un verre après quoi il repris le contrôle des opérations.
"Comme j'ai vu que tu aimais ça, tu vas te branler devant moi ! Mais avant, si tu te rendais plus… potable !"
Je raflais mon sac et me remaquillais devant lui, sous son air goguenard. Il me fit mettre ensuite sur un fauteuil et voulu que je passe mes jambes sur les accoudoirs. Impossible ! Leur écartement était trop important pour moi ce qui le fit rouspéter.
"Va falloir que tu fasse de la gym ma vieille pour assouplir tout ça ! La prochaine fois je veux voir l'intérieur de ta chatte, je ne vais quand même pas changer de salon… non mais des fois !"
Je passais donc une jambe par-dessus et levais l'autre bien haut. Il voulu que je commence par les seins, me faisant me les peloter, me les presser l'un contre l'autre, m'en titiller les bouts, me les étirer, me les pincer puis me les lécher. Je dus ensuite passer au reste et m'enfoncer jusqu'à quatre doigts dans le con. A ce stade, il vint s'asseoir sur le bras du fauteuil et me proposa sa pine à sucer. Inutile de dire que l'engouffrais avec bonheur cependant que je continuais à me manualiser. Lorsqu'il fut bien, bien raide il me fit tout arrêter et me pria d'aller dans sa chambre et de me mettre en position. J'y allais et… dans quelle position voulait-il que je me mette ?... et pour quoi faire. Je pensais à cet instant devoir m'installer pour qu'il puisse effectuer ce qu'il mijotait, je me mis donc à en levrette, les reins bien cambrés, cuisses écartées et fesses hautes et j'attendis…. Quand il arriva dans la chambre, il ricana et posant uniquement juste un doigt sur mon anneau froncé, dit :
"Ah c'est ça que tu as envie ! Vous êtes vraiment des truies. Dès qu'on vous parle de prendre du rond, hop c'est bon ! Tu es vraiment comme les autre ma petite pute, il ne faut pas t'en promettre….".
Le doigt posé insista et s'immisça puis se retira et revint humide. Cette fois il s'engagea plus avant puis beaucoup plus avant…. Je ne pus réprimer un gémissement.
Tu vois je me souviens de tout, comme si c'était hier.
Après sont doigt se mit à aller et venir puis il entama des mouvement rotatifs comme pour distendre mes muqueuses. J'étais sûre… j'étais sûre de ce qui arriva… deux doigts bien préalablement trempée dans ma chatte pour y recueillir foutre et mouille me pénétrèrent pour parachever l'agrandissement e mon rectum. J'entendis un "allez on y va" et son gland vint contre mon anus ouvert. Il n'avait plus qu'à pousser un petit peu. Il prit bien son temps, demandant :
"C'est ça que veux vieille salope hein ! Je veux te l'entendre dire !".
Ça m'était égal qui me traite de vieille, de salope ou de vieille salope. Les mots crus, j'adorais qu'il les emploie à mon encontre et je savais qu'il ajoutait "vieille" juste histoire de m'embêter et peut être aussi pour m'humilier un peu davantage.
"Ouiii fourres-la moi !".C'est ce que je hoquetais.
Avec une toute relative lenteur et beaucoup de fermeté sa queue se fraya un chemin dans mon boyau. Ah le délicieux moment ou l'on sent des baloches frotter contre sa vulve une fois que l'on est bien emmanchée par derrière....
Pas besoin de te faire un dessin je suppose ? (Elle supposait bien !)
Machine arrière, un peu, puis en avant toutes… machine arrière, un peu plus , puis en avant toutes plus rapidement… machine arrière jusqu'au gland, puis… han !...à fonds… visiblement il n'en était pas à sa première sodomie, loin de là ! Ce fut bon, très bon, extraordinaire, il m'enculais comme un dieu. Toute réserve balayée je me laissais aller à l'encourager en râlant. Il me fit jouir trois fois dont la dernière quand de véritables jets tapissèrent le fond de mon cul de sa semence. Plus tard, une fois souffle retrouvé et ardeur calmée, il m'affirma qu'il adorait positivement mon cul et qu'il s'en servirait à chacune de nos rencontres. Il tint parole.
En langage fleuri, à l'entendre je deviendrai bientôt "une folle du cul"… (comme nous le sommes toutes plus ou moins.).
Je connu à cette période une phase de félicité comme je n'en avais pas connue depuis longtemps. J'avais un amant, jeune et beau que je voyais environ de fois par semaine, plus bien sûr, les week-ends. Nous passions notre temps à forniquer intensément. Il me prit dans un tas de positions partout dans tout nos deux appartement et aussi bien par devant que par derrière. Il était jeune, viril, il m'épuisait. Sa bite passait à chaque fois par tous mes orifices pour se vider dans ses réceptacles de prédilection : bouche ou cul. Trois ou quatre fois, il m'emmena boire un verre en ville "en tenue". J'avais honte tous les gens me prenaient pour une prostituée. Une fois même je dus rentrer à l'immeuble à pied. Lui me suivait. Je fus accostée cinq ou six fois par des hommes me demandant mes tarifs. Il me laissait un peu mariner puis intervenait pour éloigner le fâcheux. Cela l'amusait…. Ce qui l'amusa beaucoup aussi ce fut lorsqu'un de ses voisin d'en face lui demanda si c'était une professionnelle avec qui il faisait, copieusement, l'amour tout rideaux ouverts. Dans l'affirmative il lui demanda s'il pouvait lui donner mes coordonnées. Il me dit avoir hésité, le salaud ! Il fit semblant de garder cette menace comme moyen de chantage pour exiger encore plus de bonne volonté de ma part. je fis semblant d'y croire.
…………………………..….A bientôt pour la suite de son histoire………………..…………..
Le lendemain, je repris pied. Ma pauvre Annick !... à ton âge… à quoi t'attendais-tu ? Le jeune homme avait bien profité de la situation, il fallait éviter de rencontre les jours prochains et tourner la page. N'empêche….
J'arrivais assez bien à n'avoir aucun regret, prenant cela comme un incident de parcours et finalement pas trop mécontente d'avoir pu constater que je n'avais pas trop "perdu la main". Peut être quinze jour passèrent et un lundi (d'une tristesse épouvantable) le téléphone sonna dans la soirée. Je décrochais.
"Allo… c'est Frank ! J'ai envie de tirer un coup ! Monte ! " et il raccrocha
Comment vous dire ? C'est comme si j'avais reçu un coup de poing à l'estomac. Un coup de poing à l'estomac qui m'aurais rendu muette, sonnée, mais qui aurait déclanché une sensation dans mon bas ventre. Cette sensation s'appelait l'envie et immédiatement je me mis à mouiller. Vous allez me dire que j'aurais pu ignorer cette invitation grossière, que j'aurais pu monter et gifler ce petit crétin. J'aurais pu… au lieu de cela, je me précipitais comme une adolescence à sa première boum ! Sans réfléchir je montais l'escalier et sonnais. J'avais à peine terminé mon geste que je le regrettais aussitôt. Trop tard la porte s'ouvrit. Il me fit signe d'entrer. Toute intimidée devant ce gamin je fermais la porte derrière moi. Il me regardait et au lieu de faire un geste vers moi il se recula dans l'entrée. Il me fixa et dit :
"Drôle de tenue pour venir baiser ! Allez désapes-toi… vite !"
Subjuguée par cette autoritarisme je restais encore sans voix et commençait à déboutonner mon chemisier. Il me fit me dépêcher. Comme j'étais très soigneuse, du regard je cherchais un endroit pour poser mon vêtement. D'un geste de la tête il me désigna le sol de l'entrée et iniquement il me dit :
"Laisses tout par terre, on ne te volera rien ! Pressons…. Pressons !"
Je dégrafais mon soutien gorge. Mes seins étaient gonflés de désir, je le sentais…et leurs pointes me trahissaient. Il commenta :
"Pas mal ! Y a de quoi tripoter ! Allez le bas, vite !"
Ma jupe alla rejoindre le reste sur le tapis et devant ses yeux juvéniles et pourtant très lubriques je retirais mon slip et attendis. Il fit la moitié du chemin et baissa son jogging pour en sortir son membre. En fait il n'était pas mal monté du tout, enfin mieux du mon ex-mari. Il avança vers moi en se masturbant d'une main pendant que l'autre il me faisait reculer jusqu'à la porte. Lorsque j'y fus adossée, il posa une main sur mon ventre et descendit. Il se fraya un chemin dans ma toison pubienne. Instinctivement j'écartais les jambes. Il eut un drôle de petit rire qui devait signifier "je le savais". Le bout d'un doigt toucha mes grandes lèvres. Je soupirais. Que j'avais envie qu'il me le rentre… et en même temps je le redoutais. Il allait constater mon état. Il constata… de deux doigts…. Mmmmmm !
"Je savais bien qu'il ne fallait pas t'en promettre !"
Dit-il en retirant ses doigts et les humant. Je sentis sa main descendre sur ma cuisse, puis à l'arrière de celle-ci jusqu'à la pliure de mon genou. Il y fit glisser son avant-bras et me releva la jambe. J'étais en équilibre sur un pied. Je m'accrochais à ses épaules. De sa main libre il prit son sexe et le guida vers l'ouverture de mon ventre. Il allait me prendre debout ! Drôle de préliminaire ! Il caressa un instant ma vulve de son gland qui me parut brûlant. Il fléchit ensuite un peu les genoux pour se mettre à bonne hauteur et… et le soleil brilla dans ma tête… et je sentis son sexe s'enfoncer en moi. Décidément il était assez long et le bélier repoussa mes muqueuses qui n'avaient pas été à la fête depuis si longtemps. Que c'était bon ! Lui aussi semblait trouver l'accueil confortable. Plusieurs fois il plia encore les genoux comme pour m'enfiler le plus loin possible comme pour me faire sentir toute la longueur de sa trique. Il se mit à me pilonner contre la porte parfois son bras libre passé autour de mes reins, parfois me pétrissant un sein. Sa bouche m'embrassait dans le cou, sur les joues, les yeux, partout… sa bouche prenait voracement la mienne, sa langue me léchait le visage, s'enfonçait dans ma bouche pour s'enrouler autour de la mienne, sa salive coulait dans ma bouche, sur mon menton. J'avais passé mes bras autour de son cou et répondait à ses baisers enflammés. Mon dos ou mes fesses ébranlaient la porte de coups sourds. Pourvu que personne ne sorte sur le palier …. Il me demanda :
"Tu as ce que est venue chercher, hein !"
Je ne pouvais répondre que des "oui… oui … encore …encore…" de toute façon sa bouche recommençais aussitôt à manger la mienne. Je ruisselais comme un fontaine, ivre de bonheur. Il remarqua :
"Qu'est ce que tu mouille ma salope !"
J'allais avec lui aussi avoir droit à ce terme. Tant pis je m'en moquais et puis oui, je mouillais, et puis oui, comme une salope et de plus j'allais jouir, jouiiiiir, jouiiiiiiiiir. En amant attentionné et appliqué il attendit que je sois placé sur la voie de l'orgasme pour se lâcher lui aussi à grand coup de reins. Me secouant comme un prunier il fit durer ma jouissance longtemps, j'eu l'impression qu'il n'arrêtait pas de se vider en moi. Complètement essoufflés nous demeurâmes dans cette position pour reprendre nos esprits. Me guidant par la taille, il m'emmena dans sa salle à manger. Je me retrouvais sur sa table entrain de me faire dévorer l'entre jambe. J'étais dans tous mes états et je lui demandais de me prendre à nouveau. Il me fit passer au salon et chose curieuse alluma toute les lumières et ouvrit les rideaux de la porte-fenêtre donnant sur la loggia. Il s'assit ensuite sur le grand canapé faisant face à cette porte-fenêtre et me dit :
"Viens sur moi !".
Je me précipitais et m'agenouillais de part et d'autre de lui. Pointant son sexe contre le mien, je me laissais glisser avec exaltation et entamais ma cavalcade. Il me rejoignit dans mon emballement, ses mains, sa bouche me parcoururent. Mes seins ne quittaient sa bouche et sa langue que quand elles prenaient ou s'enfonçaient dans la mienne. Au bout d'un moment, je sentais les frissons d'un plaisir proche. Il me crucifia… en disant :
"Tu sais pourquoi j'ai ouvert les rideaux et allumé ? Souvent il y a des gens en face qui matent. C'est pour qu'ils voient que je me tape une salope. La prochaine fois, tu te mettra dans l'autre sens pour qu'il puissent te reconnaître en te croisant dans la rue !"
L'horrible petit monstre… la seule chose que je puis répondre à cet instant fut :
"Ouiiii… oui si tu veux ! Ouiiiiiii je paaaaars…. Frannnnnnnnnk "
Une fois calmé les derniers spasmes de mon orgasme, je m'aperçut qu'il était toujours raide en moi. Je me dégageais et me jetais à ses pieds. J'allais lui faire voir, cette fois, de quoi j'étais vraiment capable. Je fus assez contente de moi. Il juta copieusement en gémissant sérieusement. Après nous être un peu cajolé encore, je décidais de regagner mon appartement. Avant un dernier baiser j'eus le courage de lui demander :
"Est ce que… est ce que …nous nous reverrons ?"
"Je te fais signe !" me répondit-il laconiquement "
Il me fit signe deux jours plus tard par l'intermédiaire du téléphone qui me prévint :
"Annick, je descends ! Tu as cinq minute pour être à poil !"
Vite, vite je quittais le tout. Déjà il sonnait. Je n'eus même pas le temps de me jeter un coup d'œil dans la glace. Il était là, toujours aussi beau comme un ange… beau comme un dieu. Ironiquement il me demanda :
"J'espère que tu es en forme ? J'ai les couilles pleines ! Tu me fais visiter ?"
Un peu surprise j'allais lui montrer mon appartement. Il me fit arrêter en expliquant:
"Pas comme ça… attends !"
Il me fit lui tourner le dos, puis il me fit courber vers l'avant les mains sur les genoux. Je le sentis derrière moi et sans crier gare, ni coup férir il m'enfila de toute sa longueur. De surprise sous la vivacité du coup de harpon, je laissais échapper un cri. C'est ainsi qu'il me guida de pièce en pièce pour effectuer sa visite, moi toujours pliée en deux et lui me bourrant de plus belle pour continuer sa promenade. Il m'acheva sur mon lit… en levrette. Je me rendis compte que moi aussi, tout comme toi, Nathalie ou Marie-Agnès plus le temps passait plus je raffolais de cette position. Nous passâmes ensuite au salon où je lui offrais à boire. Tout en nous rafraîchissant et nous pelotant mutuellement je me permis une question qui me taraudais.
"Cela ne te gêne pas, je veux dire… notre différence d'âge…. A peu de chose près il me semble que je pourrais avoir l'âge d'être ta mère… et nous… enfin tu me… tu me fais l'amour comme à une jeune…."
Il éclata de rire et dit en se moquant :
"Je préfère les vieilles !"
Devant mon air ahuri, il précisa :
"Attends, ne soit pas fâchée, vieille c'est exagéré. Disons que j'adore les femmes mures."
Je dus avoir l'air interloquée puisqu'il précisa :
"Oui, je préfère… au moins avec des femmes mures, pas besoins de simagrées, c'est direct ! Et puis, ce n'est pas comme avec les nanas de mon âge, les vieilles, qu'elles aient de l'expérience ou qu'elles aient des regrets sont beaucoup plus salope…. Et j'aime ça ! Plus tu seras dissipée et mieux je te baiserais !""
Comme je lui demandais comment lui était venu ce goût, il me raconta un petit bout de sa vie. Il fut déniaisé par une amie de sa mère, donc une femme mure, à l'âge de quinze ans. Elle lui enseigna tout et lui fit s'épanouir une sexualité riche. Cette liaison dura quelque temps. Elle ne stoppa pas mais s'orienta différemment le jour ou il surprit cette femme et sa mère faisant l'amour ensemble. Elles insistèrent un peu pour qu'il vienne se joindre à leur jeu. Selon lui n'eurent pas à beaucoup à réclamer, il avait toujours trouvé sa mère assez "canon". De ce jour là il devint l'amant de sa propre mère et eurent de nombreuses séances à trois et plus. Désireux de faire ses propres armes il tenta sa chance avec des filles de son âge pour appliquer les leçons reçues. Il fut perçu comme un abominable pervers par beaucoup. C'est de cette façon qu'il se spécialisa dans "les vieilles"… comme moi. Comme il ne trouvait pas cela très, très sain de toujours résider chez sa mère, ils décidèrent de concert de lui trouver un appartement. Il emménagea à l'étage du dessus….
Tu penses bien que son histoire et les détails qu'il en avait donnés nous avaient tous les deux un peu allumés. Je me précipitais sur sa queue pour le sucer. En fait nous commençâmes un soixante neuf sur mon canapé, puis toujours dans cette pièce, et toujours sur le canapé il me baisa hardiment mes jambes passées sur ses épaules. Il me fit crier….
Finalement à cette période j'étais heureuse un bel amant, jeune, vigoureux et surtout qui baisait bien….
Quelques jours plus tard, c'était un samedi je coup de téléphone que j'attendais impatiemment retentit.
"Allo Annick ! Tu fais quelque chose ce soir, je peux venir te rendre une petite visite ?"
"Évidemment oui ! Viens vite !"
"Tu sais dans quelle tenue tu dois être ?"
"Oui, je vais me mettre toute nue pour toi…."
"Non on ne dis pas 'toute nue'".
"… Oui je sais…. Je vais me mettre à poil pour toi mon chéri…."
"J'arrive !"
"Non pas tout de suite, laisses moi le temps de m'arranger un peu !"
"Tu as raison, fait toi belle… je suis là dans un quart d'heure, j'ai la queue qui me brûle !"
Vite fait je passais à la salle bain où prestement je me déshabillais. Je fis vite pour me coiffer, me maquiller un peu les yeux et les lèvres. Au coup de sonnette j'était prête, haletante impatiente….En même temps que j'ouvris, j'entendis un "salut ma vieille" qui me fit mouiller, je te jure, il était en imperméable qu'il écarta comme le font les exhibitionnistes. Il ne portait rien en dessous…. Je tendis la main attrapais sa pine et le fit entrer. Voracement je me jetais à genoux devant lui pour lui tailler une belle pipe et lui gober les couilles. Il me laissa faire un moment puis me fit relever en disant "qu'il allait me sauter dans toutes les pièces de mon appartement", il me poussa en avant décidant "qu'il allait commencer par les chiottes". Un genou sur la cuvette et hop il m'enfila. Me bourrant efficacement et m'arrachant un premier orgasme. Comme il était toujours vaillant il m'en octroya un deuxième dans la chambre d'amis. Cette fois il éjacula. Nous passâmes ensuite dans la pièce principale ou il me fit "inaugurer" ma table de salon.
Je fus très surprise de ce qu'il me demanda ensuite. Pratiquement avec timidité, il me demanda la permission de passer la nuit avec moi. Inutile de te dire que j'en fus ravie. Il me demanda aussi si cela ne me gênait pas qu'il passe le dimanche avec moi. Je lui promis de lui mijoter un bon petit plat. Il me répondit qu'il préférait une bonne partie de jambes en l'air. Je rétorquais que cela était aussi possible. Quoiqu'il en soit nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre. Mais au beau milieu de la nuit, je fus réveillée par des caresses intimes… et je ne rêvais pas. Mais en quoi était-il fait ? En quelque chose de dur, incontestablement… puisqu'il me fit l'amour lentement dans le noir et dans la position la plus classique qui soit jusqu'à ce que nous prenions notre pied. Nous nous rendormîmes ensuite. A notre réveil, je lui proposais un petit déjeuner au lit. Il accepta et je courus le préparer pendant que mon petit prince restait paresseusement et insolemment nu sur le lit. Sitôt qu'il eut fini il souhaita "commencer cette belle journée par une pipe". Donc à peine mon café avalé, je me retrouvais avec un croissant de tout autre taille et de tout autre saveur entre les lèvres. Je crois que j'y mis tout mon savoir faire (de l'époque) et des jets épais me récompensèrent. Je me levais et lui annonçais que j'allais confectionner notre repas du midi après être passé à la douche. Pendant que je cuisinais, je l'entendais aller et venir, farfouiller. Je me demandais ce qu'il fabriquait. Au bout d'un bon moment il vint dans la cuisine et se colla derrière moi. Je ne portais qu'un tablier pour me protéger. Je sentis sa pine dressée contre le haut de mes reins. Il passa ses mains en coupe sous le tablier pour me prendre les seins. Il m'embrassa la nuque, le cou, les épaules faisant diaboliquement renaître le désir au creux de mon ventre. Il me murmura à l'oreille :
"Tu as vraiment des gros nichons… ils me plaisent, je veux toujours les voir nus… et que tu me branle avec !"
"Tout de suite si tu veux !"
"Non, nous verrons cela tout à l'heure, pendant la sieste….."
Elle allait inévitablement être crapuleuse…. Il continua
"J'ai fais le tour de tes placards, tu as une garde-robe nulle…. Tu n'as même pas de string !"
"J'en achèterais pour te faire plaisir si tu veux ?"
"Oui, bonne idée…. Mais tu les porteras dans la journée, moi je te veux sans… la chatte à l'air, d'accord ?"
"Oui, oui comme tu voudras."
"Et puis je n'ai pas non plus trouvé ni bas, ni porte-jarretelles ?"
"Cela fait un moment que je n'en ai pas mis, c'est vrai ! Tu veux ?"
"Ouais bien sûr ! Et tu les gardera pendant que je te baiserai ?"
"Oui, oui mon chéri si tu veux…."
"Pareil ! Tu n'as pas de minijupe ?"
"Et puis quoi encore ! A mon âge ! Je n'ai pas envie de passer pour une vieille pute !"
"Moi si….!"
"Hein ?"
"Oui tu m'a bien comprise… je veux que désormais tu ressemble à une vieille pute, comme tu dis ! Plus tu vas faire pute plus je te niquerais. Tu regardera ton ordinateur, j'ai fais des liens vers des sites ou tu pourra prendre des notes… c'est plein d'actrice de porno et pleins de femmes matures qui en prennent plein le fion. D'ailleurs à ce propos, quand tu auras trouvé une tenue "descente" tu me passeras un coup de fil et tu monteras me voir, je t'enculerais pour te récompenser. Tu dois aimer ça aussi dans la rondelle, tu verras je te la défoncerais, je te casserais le cul…. Si je te trouve à mon goût…."
Me parler ainsi, à son âge, vraiment ses "initiatrices" avait fait merveilles…. J'étais emportée par son tourbillon libidineux. Je n'arrivais plus qu'à balbutier des "oui, oui si tu veux", des "comme tu voudras" ou des "je ferais tout e que tu demandera". Tout ceci je le faisais consciemment, oui, en toute conscience j'allais être sa chose… je voulais être sa chose. J'avais raté un premier amant, je n'allais pas recommencer. Et puis j'étais libre…. Tout en me débitant ses propos graveleux, il me fit accouder à l'évier et me prit jusqu'à l'orgasme. Après quoi, il me retourna, me fit asseoir sur le rebord et me tringla a nouveau. Je n'arrêtai pas de jouir….
Le repas nous fut salutaire et réconfortant… pour la suite… pour la sieste…. Il se laissa tomber dans le fauteuil de ma chambre en réclamant:
"Allez la branlette !"
A nouveau je me mis devant lui à genoux et le plaçait entre mes lolos. De temps à autre, je le libérais de cette étreinte pour le sucer ou le lécher ainsi que ses bourses. A un moment, même, il leva une jambe et m'ordonna de lui "lécher le cul". Je n'avais jamais fait cela. J'avais honte de me laisser imposer cela mais timidement j'écartais ses fesses un peu poilues et lui léchais d'abord le périnée avant d'atteindre son anneau que ma langue détendit. Il poussa un peu du bassin pour se faire comprendre. Ignominieusement, ma langue soumise se glissa dans son anus…. Il me fit stopper et nous passâmes au lit, enfin sur le lit. Il s'y allongea et me pria de m'asseoir sur lui. Je le chevauchais lascivement prenant même l'initiative de me caresser les seins devant lui. Cela lui fit dire d'ailleurs "que si j'aimais me branler devant quelqu'un, il faudrait qu'il y pense la prochaine fois". Il en profita pour une demande supplémentaire… les poils… plus de poils…. Cette fois je cédais… sans rechigner…..C'est de cette époque que je suis épilée…. C'est dans une jouissance inouïe que finit ce dimanche… un de mes plus beau depuis longtemps
A l'instant de nous quitter il me rappela :
"A bientôt c'est toi qui me téléphone… quand tu penses que tu es ok !"
Je fis signe que oui….
Une fois seule, j'eus des regrets. Oh, pas de m'être conduite comme je l'avais fait, ni d'avoir accepté ce qu'il m'avait prescrit. Non, en vérité tu peux me croire, ce que je regrettais c'est qu'il ne m'ait pas sodomisée pendant la sieste… pour clore somptueusement le dimanche. J'en étais là. Une pauvre chose agitée de fièvre érotique, j'en voulais, j'en voulais, j'en voulais…. Pour un peu je l'aurais supplié de revenir. Je ne le fis pas, il avait conclu un marché. Pour être sur d'obtenir ce qu'il voulait il ne ferais pas machine arrière. Pour la première fois de ma vie, et pas la dernière tu le sais, j'allais endosser mon habit de pute… de vieille pute comme il avait dit !
Dans la réalité ce n'était pas si facile. Pour les chaussures, pas de problème des grandes surfaces en zone industrielle me permirent de trouver… chaussure à mon pied et à talons aiguille, évidemment. String, bas porte-jarretelles, aucun problème non plus, un petit magasin du centre recelait tout ce qu'il me fallait.
Je crois que tu connais…maintenant nous y sommes de bonnes cliente, non ?
Pour le reste c'était plus difficile…. D'abord l'épilation, je n'arrivais pas à me décider. Et les vêtements… je ne pouvais pas aller dans un magasin faire ce genre d'essayage, je n'osais pas. Je me rendis donc dans une boutique pour minette où prétextant une nièce je fis l'acquisition d'une mini en daim fauve et d'un haut blanc, limite attentat à la pudeur. Pas étonnant que des gamines aient des problèmes avec ce genre de trucs. J'emportais le tout. Je ferais l'essayage à la maison. J'aurais toujours la ressource de l'échange. Bon !...je prévus donc une soirée essayage. En ce qui concerne, les bas, le porte-jarretelles et les talons hauts… il n'y eu aucun problème. Je me trouvais même pas mal "sexe". Tant mieux, il était certain que je finirais dans cette tenue pour…huuummmm ! Pour la jupe, j'avais pris au jugé une taille inférieure à la mienne pour accentuer le coté moulant de l'affaire. Non seulement, je l'avais souligné, mais il serait plus exact de dire que je l'avais exagéré. La jupe m'arrivait à mi-cuisse et me moulait comme une seconde peau. Quand au top, ce n'était pas trop, que là aussi, j'avais voulu quelque chose de moulant. C'était pire et il faut bien le dire carrément indécent. J'avais choisi un haut blanc, dos nu et ouvert jusque sous les seins. Mon dos et mes épaules étaient nus et le coté moulant du fin tissu renforçait le coté transparent du fin tissu synthétique et on voyait en transparence le dessin de mes auréoles. Déjà pour une jeune c'était assez coquin, mais pour moi… ce n'était pas la seule façon pour que l'on puisse admirer mes tétons. Le top était fait pour une poitrine de jeune et mon volume ouvrait l'échancrure d'une façon…. On voyait nettement dépasser une partie des aréoles et en penchant un peu la tête on apercevait mes tétons. Je me fit plusieurs réflexions, d'abord qu'il était pratiquement impossible que je puisse m'asseoir, le tissu tellement tendu ne me permettrait pas de cacher quelque chose et ensuite qu'au moindre mouvement, mes seins seraient à l'air au vu et au su de tous le monde. En poussant la réflexion, une fois bien maquillée je ressemblerais à ce que Franck voulait… une putain… sa putain. A cet instant je sus tout de suite qu'une esthéticienne allait recevoir ma visite rapidement pour qu'en fin de semaine, je sois prête. Et tout ça pourquoi ? Pour qu'un gamin me sodomise…. J'en avait tellement envie !
Dès le lendemain j'obtins un rendez-vous pour le soir même chez N. Je prétextais un voyage dans des contrées éloignées et insalubres pour tenter de justifier ma demande d'épilation intégrale par une peur de bactéries et autres microbes. L'alibi devait être classique, car l'esthéticienne obtempéra d'un air entendu. Le soir même en revenant, je téléphonais à Franck pour lui demander si je pourrais venir le voir en fin de semaine. Il ironisa sur mon empressement et fit semblant de douter de ma transformation. Devant mes dénégations, il insista pour que je lui dise "que j'avais mis le paquet" et voulu que je réponde si c'était à cause de ce qu'il avait promis de me faire subir que je m'étais soumise à ses penchants. Je dus bien lui avouer que c'était vrai. Il en rigola. Tous le reste de la semaine, j'observais les photos des star de porno et fit des essais de maquillage pour trouver ce qui serait le plus adéquat. Ce n'est pas le seul essai que je fis. Je n'allais travailler qu'avec des bas et des strings sur ma chatte épilée. Je trouvais cela très, très sympa. Je t'avouerais même que j'avais ais deux ou trois fois l'essai sans culotte, pour voir… et j'ai vu…. Le soir je fis encore des essais ou plutôt un genre d'excerce. Sachant ce qui m'attendait, à l'aide de mon vibromasseur, je pris la peine d'entraîner mon anus à s'ouvrir et d'autoriser un accès facile à mes reins impatients.
Le samedi une heure avant le rendez-vous j'étais prête et dans un état indescriptible. Ultra maquillée, mascara noir, rouge à lèvres, ma tenue enfilée, sans sous-vêtement j'avais le genre de l'emploi, je te jure… enfin tu sais à quoi je peux ressembler… tout comme toi ma chérie ! Pour tromper le temps j'arpentais mon appartement façon pute sur le trottoir, retouchais mon maquillage, changeait de bijoux (pour en choisir des biens voyants), faisait des essais pour m'asseoir (là, mission impossible, on voyait tout, le haut et le bas)…enfin le temps me parut bien long. À l'heure dite, mon ventre se crispa. Je devais monter chez lui en tenue de pute (juste avec mon sac à main contenant de quoi me refaire une beauté le cas échéant). Pourvu que je ne rencontre aucun autre voisin. Les cieux me furent cléments, personne dans l'immeuble. Je sonnais. Il mit un temps fou pour m'ouvrir ce méchant garçon. Enfin la porte tourna sur ces gonds. J'entrais et me soumis à son examen. Me détaillant avec une moue à peine convaincue, il laissa tomber avec une mauvaise foi complice :
"Ouais !... pas trop mal ! Pas trop mal…. Pas sûr que je fasse fortune avec toi sur le trottoir… m'enfin, pour aujourd'hui, disons… que ça peut aller…. Tu seras récompensée… tout à l'heure ! Mais pour l'instant… les putes, mêmes les vieilles putes sucent… alors… la pipe !".
Je me propulsais à genoux devant lui et le débraguettais pour l'emboucher voracement. Je mis tout mon art léchant son frein, titillant son méat du bout de la langue, agaçant son anus d'un majeur curieux, manipulant ses couilles, serrant mes joues autour de sa bite, salivant sur cette belle pine pour qu'elle coulisse encore mieux. Il en profita pour me l'enfoncer loin, dans la gorge. Il fut content, je n'avais pas trop de haut le cœur et les contractions de mon larynx l'excitaient. Il me fit stopper après en avoir un peu profité et me fit diriger vers le salon. Il me suivait les yeux braqués sur mon postérieur que je me mis à balancer en vraie salope. Son salon était tout allumé et les rideaux tirés. Il me fit aller devant la porte-fenêtre et pencher en avant. Il releva ma jupe comme s'il souhaitait offrir la vue de mes fesses à tout l'immeuble d'en face puis il parvint malgré son étroitesse à la remonter au dessus de mes hanches. Il s'assit ensuite sur le canapé et me dit :
"Allez, viens sur moi, dans l'autre sens que l'autre fois…. Chose promises choses dues !... et en parlant de promesses, je m'occuperais en détail de ton cul plus tard… ce sera meilleur… et plus long".
J'écartais les jambes et me reculais de façon à ce que je puisse m'asseoir sur lui. Passant la main entre mes jambes j'attrapais sa trique, la frottait un peu contre ma chatte, elle était trempée, puis je me la suis mise… doucement… lentement… savoureusement…. Je me laissais aller bien à fond puis prenant appui de mes mains sur les cuisses, je me mis à monter et descendre. Il m'arrêta bientôt :
"Allez !... vire tes fringues !"
Je m'arrachais de mon pieu et retirais à toute vitesse ma jupe et mon haut et reprit ma place, cette fois uniquement en porte-jarretelles. Il me fit reprendre mes activités avec quelques ajouts : me caresser le clitoris et les nibards pour que tout le monde voit bien que j'étais une belle vicieuse. A la fin ce fut lui qui s'empara (presque à m'en faire crier) de mes roberts pour m'attirer contre lui et me pilonner comme un fou en me faisant dire que j'étais une " baiseuse affamée de bite" et une "femelle en chaleur".
Tu sais aussi bien que moi que cela les excite… alors, je répétais… et en plus c'était la vérité.
Il jouit bruyamment en moi, presque aussi bruyamment que moi…. cela nous laissa un peu indolent tous les deux. Oh pas longtemps, juste le temps de reboire un verre après quoi il repris le contrôle des opérations.
"Comme j'ai vu que tu aimais ça, tu vas te branler devant moi ! Mais avant, si tu te rendais plus… potable !"
Je raflais mon sac et me remaquillais devant lui, sous son air goguenard. Il me fit mettre ensuite sur un fauteuil et voulu que je passe mes jambes sur les accoudoirs. Impossible ! Leur écartement était trop important pour moi ce qui le fit rouspéter.
"Va falloir que tu fasse de la gym ma vieille pour assouplir tout ça ! La prochaine fois je veux voir l'intérieur de ta chatte, je ne vais quand même pas changer de salon… non mais des fois !"
Je passais donc une jambe par-dessus et levais l'autre bien haut. Il voulu que je commence par les seins, me faisant me les peloter, me les presser l'un contre l'autre, m'en titiller les bouts, me les étirer, me les pincer puis me les lécher. Je dus ensuite passer au reste et m'enfoncer jusqu'à quatre doigts dans le con. A ce stade, il vint s'asseoir sur le bras du fauteuil et me proposa sa pine à sucer. Inutile de dire que l'engouffrais avec bonheur cependant que je continuais à me manualiser. Lorsqu'il fut bien, bien raide il me fit tout arrêter et me pria d'aller dans sa chambre et de me mettre en position. J'y allais et… dans quelle position voulait-il que je me mette ?... et pour quoi faire. Je pensais à cet instant devoir m'installer pour qu'il puisse effectuer ce qu'il mijotait, je me mis donc à en levrette, les reins bien cambrés, cuisses écartées et fesses hautes et j'attendis…. Quand il arriva dans la chambre, il ricana et posant uniquement juste un doigt sur mon anneau froncé, dit :
"Ah c'est ça que tu as envie ! Vous êtes vraiment des truies. Dès qu'on vous parle de prendre du rond, hop c'est bon ! Tu es vraiment comme les autre ma petite pute, il ne faut pas t'en promettre….".
Le doigt posé insista et s'immisça puis se retira et revint humide. Cette fois il s'engagea plus avant puis beaucoup plus avant…. Je ne pus réprimer un gémissement.
Tu vois je me souviens de tout, comme si c'était hier.
Après sont doigt se mit à aller et venir puis il entama des mouvement rotatifs comme pour distendre mes muqueuses. J'étais sûre… j'étais sûre de ce qui arriva… deux doigts bien préalablement trempée dans ma chatte pour y recueillir foutre et mouille me pénétrèrent pour parachever l'agrandissement e mon rectum. J'entendis un "allez on y va" et son gland vint contre mon anus ouvert. Il n'avait plus qu'à pousser un petit peu. Il prit bien son temps, demandant :
"C'est ça que veux vieille salope hein ! Je veux te l'entendre dire !".
Ça m'était égal qui me traite de vieille, de salope ou de vieille salope. Les mots crus, j'adorais qu'il les emploie à mon encontre et je savais qu'il ajoutait "vieille" juste histoire de m'embêter et peut être aussi pour m'humilier un peu davantage.
"Ouiii fourres-la moi !".C'est ce que je hoquetais.
Avec une toute relative lenteur et beaucoup de fermeté sa queue se fraya un chemin dans mon boyau. Ah le délicieux moment ou l'on sent des baloches frotter contre sa vulve une fois que l'on est bien emmanchée par derrière....
Pas besoin de te faire un dessin je suppose ? (Elle supposait bien !)
Machine arrière, un peu, puis en avant toutes… machine arrière, un peu plus , puis en avant toutes plus rapidement… machine arrière jusqu'au gland, puis… han !...à fonds… visiblement il n'en était pas à sa première sodomie, loin de là ! Ce fut bon, très bon, extraordinaire, il m'enculais comme un dieu. Toute réserve balayée je me laissais aller à l'encourager en râlant. Il me fit jouir trois fois dont la dernière quand de véritables jets tapissèrent le fond de mon cul de sa semence. Plus tard, une fois souffle retrouvé et ardeur calmée, il m'affirma qu'il adorait positivement mon cul et qu'il s'en servirait à chacune de nos rencontres. Il tint parole.
En langage fleuri, à l'entendre je deviendrai bientôt "une folle du cul"… (comme nous le sommes toutes plus ou moins.).
Je connu à cette période une phase de félicité comme je n'en avais pas connue depuis longtemps. J'avais un amant, jeune et beau que je voyais environ de fois par semaine, plus bien sûr, les week-ends. Nous passions notre temps à forniquer intensément. Il me prit dans un tas de positions partout dans tout nos deux appartement et aussi bien par devant que par derrière. Il était jeune, viril, il m'épuisait. Sa bite passait à chaque fois par tous mes orifices pour se vider dans ses réceptacles de prédilection : bouche ou cul. Trois ou quatre fois, il m'emmena boire un verre en ville "en tenue". J'avais honte tous les gens me prenaient pour une prostituée. Une fois même je dus rentrer à l'immeuble à pied. Lui me suivait. Je fus accostée cinq ou six fois par des hommes me demandant mes tarifs. Il me laissait un peu mariner puis intervenait pour éloigner le fâcheux. Cela l'amusait…. Ce qui l'amusa beaucoup aussi ce fut lorsqu'un de ses voisin d'en face lui demanda si c'était une professionnelle avec qui il faisait, copieusement, l'amour tout rideaux ouverts. Dans l'affirmative il lui demanda s'il pouvait lui donner mes coordonnées. Il me dit avoir hésité, le salaud ! Il fit semblant de garder cette menace comme moyen de chantage pour exiger encore plus de bonne volonté de ma part. je fis semblant d'y croire.
…………………………..….A bientôt pour la suite de son histoire………………..…………..
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