Jordan, mon premier pédé - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
J’ai toujours méprisé les pédés. Pour moi, un mec ça baise, ça se fait pas niquer.
Un keum qui en suce un autre ou qui se fait enculer, c’est carrément contre nature.
Il est indigne de ce qu’il a entre les jambes.
Par contre, baiser une fiotte ça veut pas dire qu’on en est une.
Et il parait que ça suce bien, les tapettes.

J’ai eu l’occasion de le constater avec Jordan.

A l’époque, j’étais inscrit dans un club de basket. J’aime bien le sport, et le basket ça m’a toujours branché.
C’est à la fois collectif et super individuel. Et j'étais plutôt bon.
Après l’entrainement, avec mes potes, on parlait évidemment des meufs.
La plupart étaient encore puceaux alors que moi je baisais déjà comme un fou.
Et quand on comparait nos teubs sous la douche, j'étais parmi les mieux pourvus.

En cours d'année, on a vu se pointer un nouveau, Jordan qu’il s’appelait.
Il était plus âgé que nous, 19 ans, mais le genre grave timide.
Il était pas mauvais mais se mêlait pas à ma bande et restait dans son coin après l’entrainement.

En plus, même s’il était plutôt sportif et pas mal physiquement, il avait un côté efféminé, genre chochotte.

J’ai rapidement soupçonné que c’était une pédale.
Quand j’étais sous la douche, je l’avais souvent surpris à me mater.
Sur le moment, j’ai rien dit mais un soir, j’ai voulu en avoir le cœur net.
Après l’entraînement, quand mes potes ont proposé d’aller boire un coup, je leur ai dit que j’avais autre chose de prévu et je suis resté seul avec lui.

Il sortait à peine de la douche, avec une serviette autour du ventre.
Je me suis approché de lui et lui ai demandé pourquoi il me matait comme il le faisait.
Il est devenu tout rouge et a commencé à bredouiller que non, il me matait pas, c’est juste qu’il me trouvait sympa et qu’il venait d’arriver, qu’il connaissait personne, que visiblement j'étais le leader de ma bande et qu’il avait envie qu’on soit amis.

A sa tronche j’ai compris que j’avais raison, que c’était bien une fiotte.
Direct, je lui ai foutu la main au pacson. Il bandait grave !

« Pas la peine de raconter des craques. A part les tapettes, je connais pas de mecs qui bandent comme toi pour un autre mec. Ça me gêne pas. Je préfère les meufs mais il paraît que les pédés c’est super quand il s’agit de sucer. Et que contrairement aux filles, vous adorez qu’on vous encule. J’men suis jamais fait, mais j’essaierai bien. La seule chose qu’il faut que tu saches, c’est que moi pas question de sucer un mec et encore moins de me faire tringler. Mais si t’en as envie, je veux bien que tu me montres ce que tu sais faire. »
Là, il est devenu carrément écarlate.
« C’est pas ce que tu crois. Oui, c’est vrai que tu m’attires. Mais pas seulement pour le sexe. D’ailleurs, je suis encore puceau. J’aimerai simplement qu’on devienne amis, et ensuite peut être plus, si tu veux ».

J’avais évidemment pas envie de devenir ami avec une fiotte. J'imaginais la tête de mes potes.
Par contre, me le faire, j'étais pas contre. Je le lui ai dit carrément et lui ai ordonné de se foutre a poil et à genoux.
Il avait envie de ma bite, j’allais lui faire découvrir ce que c’était un Mâle.

Il s’est exécuté, le pd. Sans moufter.
Comme j’étais juste en slob, il a commencé par embrasser, lécher l’emplacement de mon zob. Ça m’a foutu la trique.
« On dirait que t’en as envie. Alors vas y. Montre ce que tu vaux »
Il m’a enlevé mon slob et a commencé à me lécher les couilles, la teub, le gland.
Je mouillais grave mais il avait l’air d'apprécier.
Visiblement c’était la première fois pour lui, mais il me faisait bander grave.
Je la lui ai fourrée dans la gueule et j’ai commencé à le ramoner.

Marie aussi elle me suce, et elle aime ça. Mais avec elle, j’y vais mollo.
C’est une meuf, et une meuf ça a droit à des égards.
Avec un pédé, pas la peine d’avoir ce type de scrupules.
Vu la taille de mon engin, il en bavait.
A un moment, comme j’avais sorti ma queue de sa tronche pour éviter de gicler trop vite, il m’a demandé si j’avais une capote.
Je la lui ai refourrée dans la gueule, en lui répondant que je baisais pas avec capote, que j’étais clean et que j’avais bien l’intention de le féconder.
Il l’a fermée et a continuer de sucer, comme une vraie pute.
Quand j’ai giclé, il en a pris plein la gueule.
Je lui ai permis de me décrasser le zob et me suis rhabillé, pendant qu’il restait à genoux, le regard encore plein du désir qu’il avait de moi.

« Pas mal pour une première fois. Maintenant que t’as fait ton taff, tu peux te casser.
La prochaine fois, c’est ton cul que j’essaierai ».

Il a voulu m’embrasser. Je l’ai évidemment repoussé. Pas question de faire des câlins à un pd.