Josée et Brigitte suite - histoire érotique

Suite de Josée et Brigitte
Comme je suis une femme très discrète et aussi une confidente pour certaine personne comme Josée. Josée entra au bureau le lundi matin, se dirigeant à son bureau prit quelques papiers et dossiers et parti faire sa tourner des concessionnaires automobile de la région comme a touts les mois.
A son retour en fin de P.m, elle s’arrêta à mon bureau pour me parler que nous aurions de nouveaux clients. Elle était joyeuse et resplendissante de je ne sais quoi. La semaine se déroulait rapidement. Le vendredi soir nous sommes allées prendre une bière dans une brasserie. Nous sommes trois car j’avais rejoint ma compagne de vie. Elle nous conta que Brigitte devrait passer chez elle en fin de semaine pour l’aider à faire le jardin samedi dit-elle. Je lui posai une question ?¨Qu’attends- tu de cette journée? Rien si ce n’est une belle journée dit-elle.
La journée arriva et Brigitte s’était habillée avec de vieux jeans et de vieille espadrille. Il est 11hrs quand Brigitte se dirigea vers l’extérieur de la ville. Il faut dire que Josée demeure à 20 minutes de la ville. Elle prit l’autoroute pour s’y rendre et prit la sortie indiquée pour entrer dans les terres. Elle vit, en prenant le rang, qu’il y avait de superbes maisons. Le numéro civique étant indiqué sur les boites aux lettres cela ne lui facilitait pas la tâche. Elle ralentit et vit le numéro civique, elle a eu la surprise de sa vie c’est laquelle, une maison très grande et une l’autre coté aussi grande. Elle regarde et voit un jeune garçon sortie de la maison, puis de l’autre coté Josée qui lui fait un signe. Elle recule et elle se dirige dans l’entrée ou je l’attends me dit elle.
Toute une maison lui dit-elle. Josée fit l’accolade et Brigitte ne recula pas. Je te la ferai visitée avant le souper, si tu veux bien rester à souper! Brigitte dit oui avec un grand sourire. Brigitte sortie de sa voiture arrière un petit sac de rechange. Josée l’accompagna jusqu'à la maison pour y déposer son sac. Ici, lui dit elle il y a une chambre pour invité et je vais y déposer ton sac. Elles prirent un grand ver d’eau et elles sortirent de la maison. Le ciel est nuageux depuis la matinée, et il devrait y avoir des précipitations en moitié d’après-midi. Elles commencèrent à tracer une ligne avec une corde pour que les rangs soit bien droit. Les graines sont semées à une bonne distance. Rang par rang tout est fini en 5 heures. Le jardin est immense et il est 16heures 40 et le tonnerre gronde et Brigitte reçoit des gouttelettes et nous nous précipitâmes pour ramasser les instruments et les placer dans la remise.
Nous entrons dans la maison et nous enlevons nos chaussures me dit-elle. Brigitte alla dans son sac et y ressortit une bouteille de vin de très bon gout. Je l’ai déposé au frigo pour que nous puissions la prendre ensemble au souper. Je regardai, me dit-elle, Brigitte qui semblait heureuse d’être là et j’en profitai, me dit-elle, de faire visiter ma maison. Je l’invitai à faire le tour du propriétaire. Elle fût surprise de la grandeur des pièces. Je lui montrai la chambre des invitées, et une autre chambre celle ou je travaille parfois et enfin ma chambre à coucher avec un lit King dit Brigitte, il y a de quoi se perdre. Je lui montrai la salle de bain, il y a une douche et un bain pour deux. Elle descendit avec moi au sous-sol ou il y a un grand espace libre, une cave froide ou son entassé les condiments. Elle se dirigea avec Brigitte dit-elle, elle lui rappela la phrase lors de le rencontre au café. La porte est barré et elle l’ouvre pour elle, elle fut stupéfaite de ce qu’il y avait comme instrument. Elle s’avança et regarda éberlué et elle toucha à un instrument puis deux, trois et me regarda dit-elle. Josée la regardait et était heureuse de la voir contempler les fouets de différentes sortes. Elles quittèrent la salle pour se diriger et revenir vers le premier étage.
Brigitte chemin faisant posa une question qui la chicotait ?¨le quel de ces instruments tu préfères demanda-t-elle? Je préfère chacun d’eux en autant qu’ils sont bien appliqués. Arrivé au premier palier, Josée prit place sur un fauteuil 2 places et Brigitte prit place dans un fauteuil non loin de Josée. Celle-ci se leva et demanda à Brigitte si elle voulait un apéro et elle accepta. Une fois l’apéro servi Josée invita Brigitte à s’approcher pour trinquer. Brigitte donna son impression sur l’emplacement, sur la décoration et son minutie du détail. Josée remercia son invité et demanda de l’aide pour préparer le souper ce qui permettrait un certain rapprochement.
Josée met au four un rosbif et Brigitte prépare une salade. Deux pommes de terre sont mises au four. Josée passe en arrière de Brigitte pour prendre un couteau pour couper des légumes, en faite, c’était pour sentir son odeur après un travail, cela donne une bonne idée de sa transpiration après un effort. Quelques instants plus tard Brigitte se décide à prendre la main de Josée qui fût surprise. Brigitte tira légèrement Josée et celle-ci ne résista pas. La première étreinte fût de mise puis suivi d’ un bisou sur le bout des lèvres de la part de Brigitte qui gouta pour la première fois a des lèvres d’une Dame.
J’ai regardai Brigitte avec tendresse me dit-elle. Celle-ci me sembla désemparer de son geste, Je pris le temps de la rassurer sur son geste qu’elle vient de poser dit-elle. Puis nous avons laissé le temps à notre souper de cuire et nous en avons profité pour nous assoir au salon et nous avons discuté de ce qui venait de se passer. Brigitte s’avança et vient me rejoindre sur le fauteuil deux places. Je remarque sa timidité ou une peur de poser un autre geste. Elle a ses deux mains entre ses deux cuisses. J’opte pour de la timidité. Je mis une main le long de ma cuisse et j’espère qu’elle va la prendre. Elle me regarde avec son regard plein de timidité et elle me dit simplement !¨je voudrais te prendre dans mes bras!¨ je me tourne vers elle me dit-elle, nous nous regardons et je me lève et je prends sa main pour l’amener vers moi. Elle ne veut pas se lever et je me rapproche d’elle et nous nous étreignons. Mon visage est collé contre le sien et ne bouge pas. J’attends juste un geste de sa par pour gouter à ses lèvre plus longuement.
Je sens son corps se blottir plus fort. Elle se retire de mon visage et nous nous regardons sans mot dire. Je fais un geste de rapprochement de nos visages. Elle se rapproche et je sens son hésitation, je rapproche encore plus mon visage. Mes lèvres sont toutes proches des siennes me dit-elle. Puis elle me regarde à nouveau nos yeux sont ensembles, je touche ses lèvres et nous nous embrassons tendrement. Le baisé est bien réel, nos lèvres sont soudées, soudain je tente une autre approche ma langue a le gout d’elle. J’ouvre ma bouche légèrement pour voir sa réaction et délicatement je mes ma langue sur ses lèvres puis elle ouvre la sienne et nous nous embrassons avec passion. Nous fûmes interrompues par la sonnette du poêle nous indiquant que notre repas était prêt. Nous nous levâmes toutes les deux nous tenant par la main.
Durant le souper me dit-elle, Brigitte lui conta sa vie de femme et ses relations avec les hommes, me dit-elle, Je lui ai posé un tas de questions et comment elle a rencontré son marie. Elle me donna de multiples détails à partir de sa jeunesse et sa rencontre dans une université et puis une séparation car son travail à lui l’avait amené au loin. Ils se revoient un an après lors d’un souper entre confrère de classe puis se fût le coup de foudre. Mariage et les enfants sont arrivés me conta-t-elle. Lui enseignant et moi travaillant dans une institution financière pendant 5ans me dit-elle, je quitte pour travailler pour un concessionnaire automobile dans le crédit, Son patron a 5 garages et je deviens directrice du crédit et supervise le personnel du crédit ce qu’elle fait toujours me dit-elle. Le divorce fut prononcé il y a 5ans. Moi je lui parlai de ma vie me dit-elle. Elle était toute attentive, et réceptive à ce que j’avais vécu. Le souper se termina vers 23 hrs.
Je te conte cela mais je sais que tu le garderas pour toi. Oui soit en sure si tu le veux tu pourras le conter à Andréanne. Donc après le souper, nous défaisons la table, et Brigitte me dit¨j’aimerais prendre une douche ! Oui la salle de bain est à ta disposition. Je lui sortis une grande serviette pour qu’elle s’essuie. Elle va dans la chambre d’invité et en ramène un peignoir beige et une chemisette de nuit. Elle prend une douche et sort de la salle de bain une quinzaine de minutes après, toute rafraîchie. Elle sent bonne. Nous jasons encore un peu et vers minuit je sens que le sommeil me gagne, et je lui dis je crois que je vais aller au lit et elle aussi me dit-elle. Je lui donne un petit bisou sur une joue et nous allons chacune dans nos chambres.
Je m’étends mais le sommeil ne vient pas. Je décide d’aller au salon et mettre la télévision au son bas afin de ne pas réveiller Brigitte. A peine une dizaine de minutes plus tard Brigitte arrive avec son peignoir car elle aussi ne dormait pas. Elle s’assoie près de moi et nous regardons un peu de télé, et nous faisons jasette. Il est 1 heure du matin et je lui dis : ¨je crois que c’est le temps du dodo¨ oui je pense aussi. Nous nous levons ensemble et nous nous dirigeons vers nos chambres respectives, et nous nous embrassons. Je ne sens réellement pas bonne me dit-elle.
Je l’attire vers ma chambre tout en prenant une chance. Elle ne résiste pas. Brigitte et moi sommes l’une devant l’autre. Je la regarde et je défais son ceinturon et son peignoir s’ouvre. Je vois un corps magnifique de femme devant moi. Ses bras sont le long de son peignoir et d’un geste je le fais tomber et je monte mes deux mains vers les bretelles de sa chemise de nuit et les bougent et la chemise tombe. Elle est nue. Dans ma tête tout tourne, ma tête me dit¨ tu ne mérites pas ce beau corps¨. Elle me regarde dans sa timidité et je vois qu’elle ne sait pas quoi faire. Son instinct la guide. Elle fait les mêmes gestes que j’avais posés à son égard. Je me trouve moi aussi nue. Nous nous regardons puis je lui demande si elle veut une lumière tamisé ou une lampe de chevet. Elle préfère le deuxième choix.
Je repousse les couvertes plus loin. Nous nous assoyions sur le bord du lit et je ressens une certaine pudeur de sa part. Nous nous regardons mais elle baisse la tête comme pour elle une certaine gêne et aussi humiliation tout comme moi la première fois me dit-elle. Je lui relève le menton et lui donne un petit baisé plein de tendresse. Je vois sur ses joues deux larmes et je lui demande ce qu’il y avait¨ Elle me dit :¨c’est la première fois que j’ai de l’attention et cela me rend heureuse¨. Me dit-elle. J’ai léché ses deux larmes, Francine, tu peux imaginer sa réaction. Nos bouches se rejoignent et long baisé s’en suivit. Nous sommes tombés sur le dos dans mon lit. Nous sommes étendues une à coté de l’autre. Je me retourne et je lui prend la tête et la dépose sur mon ventre.
Je remonte plus haut dans le lit afin d’être plus confortable et elle aussi. Nous voilà couché dans le lit et nos têtes sur chacune des oreillés. Nos bouches sont proche l’une de l’autre, et elle pose le geste qui déclencha le tout. Nous embrassons avec passion nos corps répondent bien aux caresses. Je touche à ces parties les plus intimes, je pousse plus loin mon exploration. Je touche son clito avec ma langue, je le suce, le mordille, j’en trouve ses lèvres sexuelles qui son épaisse et qui respire la propreté j’entre dans sa caverne un doigt puis 2 et je rejoins son petit point, elle râle de plaisir et cri très fort j’entend qu’elle a eu un orgasme puissant Je vois que ses seins sont en érection et ses mamelons beaux. Je m’approche de ceux-ci et je les suce lentement. Elle me rend folle, me dit-elle, car elle prend de l’assurance en elle, et me caresse bien et me fait même crier de bonheur elle hume mon corps qui ne sent pas bon mais elle me dit J’aime ton odeur de transpirationPour elle, une première fois, elle a découvert ce qu’est être une vraie femme dans toute sa splendeur. Elle a comprise que son corps pouvait être aimé à sa juste valeur et aussi de pouvoir s’exprimer me dit-elle. Après quelque minutes de repos me dit-elle, nous avions encore faim l’une de l’autre. Je fis un geste que je n’ai jamais faite à une femme sans savoir si elle le voudrait. Je la pris dans mes bras je la retournai sur son ventre et lui caressai son dos, ses hanches, ses fesses et son clito pour la mettre en train. Elle répondait à mes caresses. J’introduisis 2 doigta dans son intimité et toucher son point G. Mes doigts étaient gluants et tranquillement je caressé avec ma langue son anus.
Je lui demandai si cela la gênait que je fasse cela. Elle répondit non me dit-elle et que pour elle pour la première fois elle trouvait cela bon ce qui m’encourageait. Je léchais son anus tranquillement et j’introduisis ma langue et je lavai son anus intérieur. Elle se mit sur ses avants bras, son cul près de ma bouche. Elle avait porté ses 2 mains sur ses fesses pour pouvoir écarter son anus pour me donner un plus grand accès. Elle râlait de plus en plus fort, je comprenais qu’elle aimait cela. Je remis mes 2 doigts dans son intimité mes doigts sont très gluants. J’introduis dans son anus un doigt et le second suivra. Je fis comme si je lui faisais l’amour. Elle hurla de plaisir je lui fis cela pendant un bon 5 minutes . Puis j’arrêtai son anus était ouverte et je léchai son intérieur.
Elle s’étendit sur moi, me dit-elle et se fut a mon tour de me caresser, tout y a passé comme elle j’ai crié hurler et nous continuons à nous aimer. Sur les dernier milles car l’épuisement venant, je commençai un massage érotic. Je massai ses fesses avec précision je touchai les points sensibles de Brigitte elle me disait souvent que c’était bon, Je touchais à ses parties intimes et immédiatement son corps répondait. J’introduisis mes deux doigts et je rejoignis son point G me dit-elle. Elle constata me dit-elle qu’il était gonflé et elle commença à le caresser. Un jet sorti de l’intimité de Brigitte et je le bus avec avidité et gourmandise. Brigitte me lécha à son tour mon clito et mon anus ma senteur la stimulait au plus au point. Je continuai à transpirer et elle aussi. Je dégageais une odeur pas trop agréable mais ne semblait pas sans plaindre. Elle toucha dans mes parties intimes à mon point et instantanément un jet sorti de mes parties intimes. Elle aussi se délecta et je criai de plaisir. Mon lit était inondé de nos jus et nous nous couchâmes dans celui-ci morte d’épuisement.
Nous nous réveillâmes tard le lendemain matin par un dimanche plus vieux. Nous étions enlacées. Je me levai et j’allai préparer un café. Elle me regarda et me dit :¨que j’étais une belle femme et je lui relançai le compliment. Nous étions toutes les deux en broussaille. Nous nous levâmes et allâmes déguster notre café en tenu d’Ève car elle me l’avoua que chez-elle, elle est toujours nue le matin dans son condo, me dit-elle.
Tu sais Francine, je ne m’attendais pas du tout à cela. Ce matin quand elle est partie de chez moi pour se changer chez elle, je lui ai demandé si nous allions nous revoir, elle me dit d’après toi me dit elle, puis nous nous sommes embrassées avec passion et dans son auto elle m’envoya un baisé et le souffla. Donc vous allez vous revoir. Je te dis un secret et je veux que tu le gardes pour toi. Elle me demanda que je la domine. Tu vas le faire OUIIIIIIIIIIIII.
Suite Francine, Josée, Andréanne et Brigitte plus tard