Jour de chance - histoire érotique

Arrivé en vacances en Guadeloupe, j'me promenais de site touriste à d'autres, des plages plus belles les unes que les autres. J'avais bien choisi ma destination, beau temps et chaleur étaient au rdv.
J'avais déjà repéré plusieurs sorties grâce à internet : st Anne, chutes du carbet... pointe des châteaux... Sur la route une pancarte plage, peu lisible, d'un coup de volant je prends le chemin jusqu'au parking. Je me stationne, je prépare les palmes, le masque et le tuba pour une séance de plongée. Je débute le trajet sous les arbres, la végétation est dense, la chaleur est étouffante, quand soudain un point de vue de toute beauté sur une plage de sable blanc avec ses cocotiers, quelques personnes s'y trouvent déjà, elles sont nues...
Je me souviens maintenant que j'avais déjà entendu parler de cette plage naturiste sur internet. Étant gêné, je fais demi-tour et part en direction des rochers plus à l'écart. Motivé d'aller à l'eau pour me rafraichir je ne perds pas de temps à m'immerger. Après un bon moment dans l'eau à voir toute sorte de poissons je ressors me sécher et boire un coup. Quand un bruit dans les taillis attire mon attention, c'était un local qui venait se rafraichir à son tour. Courtois je le salut, il me rejoins pour discuter. Il me demande si je suis en vacances, car lui vient souvent ici pour faire des rencontres. Dans cet endroit isolé, c'était plutôt étrange. Pour rencontrer des beaux mecs comme toi me dit-il en se frottant la queue à travers son short. Si tu veux j'peux te sucer la bite, j'en ai tellement envie, j'en cherche une depuis longtemps sans trouver. Je le suis sous les arbres, je bande très fort, jamais je n'ai été aussi excité de ma vie. Il se retourne face à moi, prends appuis sur un arbre, et me regarde d'un air lubrique. Nullement effrayé je m'accroupis devant son short déformé, mes mains se dirigent vers la chose de tous mes désir. Je baisse son sort bleu et sa queue apparait, belle à demi-bandée. Je la saisi à la main, enfin mon rêve se réalise, je crois défaillir ma queue est trop gonflée prête à exploser. La douceur de sa queue et sa taille me rendent dingue. Je passe un coup de langue sur mes lèvres de gourmandise, et m'approche de sa queue, j'ouvre la bouche et l'avale complètement, sa bite prends de belles proportions, je la laisse ressortir en l'aspirant fort, puis je m'attarde sur le gland, ma langue explore au mieux son gland, j'émets un bruit de succion en me reculant et j'admire sa queue bandée. Un vrai bâton de chair : toute droite, un vrai manche à plaisir. Je le reprend en bouche, il émet des gémissements, et je m'applique à l'avaler le plus possible à chaque va et viens. Je tiens ses couilles d'une main, et ma queue de l'autre, je bave abondamment. C'est seulement à ce moment là que je réalise ce que je suis entrain de faire. J'empoigne son manche si dur et si chaud et le branle vigoureusement avant de le gober, lui téter le gland en le caressant fermement de la main. Ma langue tourne autour de son gland si doux, m'attarde régulièrement sur le frein, du liquide sucré en coule doucement. Hum elle est bonne ta queue, oh j'aime vraiment sucer ... il me saisi la tête de ses mains et me dit d'ouvrir ma bouche, il me baise avec vigueur. Les larmes au yeux, il arrive à m'enfiler ses bons 20cm, je manque d'air. Je ressent des soubresauts et vois arriver le moment où il allait décharger. Laisse moi te sucer, j'en veux encore. Je repris la tache pendant un long moment, mes lèvres me semblent enfler, le contact avec sa peau si douce en contraste avec sa vigueur était encore plus fabuleux que tous mes rêves. Sous les arbres, je me sentais observé, j'imaginais d'autre hommes non loin de là nous regarder. Et si seulement c'était vrai, je pourrais encore sucer et sucer. Perdu dans mes pensées je ne vis pas le moment où il me jouit partout sur le visage. Pour le remercier, je lui ai nettoyé avec soin son bâton magique avec fierté. Il fit vite de repartir me laissant dans un état d'excitation inouïe. Je repris le chemin pour me rincer et me rafraichir. Pourtant resté longtemps dans l'eau, je ne débandais pas. Ayant pris toutes mes affaires, je m'apprêtais à partir, je repasse sous les arbres pour rejoindre ma voiture de location. Arrivé au même endroit, je ne résistais pas à sortir ma queue pour me branler vivement et jouir fortement à même le sol. Arrivé à la voiture, je me sentais léger et heureux de cette expérience. Depuis je n'ai qu'une idée en tête, s'est d'y revenir.