Jour de neige
Récit érotique écrit par Ced33 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Jour de neige
Je m’appelle Cédric, j’ai 32 ans, je suis marié et m’offre de temps en temps de petites escapades, dès que j’en ai l’occasion. C’est d’ailleurs l’une d’elle que je souhaite vous raconter.
La neige tombait depuis le milieu de la nuit sur l’Hérault et mon boulot m’avait téléphoné pour me conseiller de rester chez moi. Une journée de libre, seul. Sur Montpellier, la neige était fine et ne tenait même pas au sol. Les températures étaient fraîches et pourtant moi j’étais plutôt chaud bouillant. Avec cet après-midi de libre, des envies de bites raides et robustes envahissaient mon esprit. N’y tenant plus et n’ayant pas envie de me palucher devant un écran, je décidais de tenter ma chance dans un coin de drague assez fréquenté de Montpellier. Enfin assez fréquenté quand il fait beau et là, évidemment, il fallait vraiment être en manque pour se retrouver sur ce parking, même si les flocons n’étaient pas violents.
Au moment de repartir, une voiture se gare en face de moi. Un mec en sort, la trentaine, un visage viril, brun, carré d’épaules, un cul bien rebondi dans un fute moulant laissant espérer, de par l’avant, bien des promesses. Il regarde dans ma direction en enfilant sa veste, remonte sa capuche et disparait dans les taillis. Mon sang ne fait qu’un tour ou plutôt un détour pour se concentrer dans mon entrejambe. J’attrape mon blouson et prends la direction de mon futur quatre heures. L’air frais me remet les idées en place, mais ma queue crie au sexe contre le tissu de mon boxer.
J’entre sous l’abri de quelques arbres bas, personne. Déception. Soudain, le voilà, adossé à un tronc, mains dans les poches, de la buée autour des lèvres, ses yeux noirs fixés sur moi. Rien que ce visage me fait mouiller de partout. Je m’approche, il m’attrape la tête et me bouffe littéralement le visage. Sa langue enroule la mienne, la mordille, m’aspire. Je fonds. Mes doigts froids glissent sous son sweater, entrent en contact avec sa peau chaude et poilue, caressent son nombril, s’accrochent à un téton qu’ils pincent. Mon beau brun gémit mais continue de m’embrasser. Je me détache, soulève le pull, aspire ces pointes dressées par le froid et l’excitation. Je reviens à sa bouche si vorace. Ma main empoigne son entrejambe, la promesse semble tenue, une barre épaisse se profile sous mes pressions. Il me murmure son prénom, Esteban. Tellement sexy. Ses mains s’insinuent dans mon jean, le descendent et pelotent mes fesses exposées. Je suis tellement excité que le froid ne m’atteint même pas. Je ne tiens plus, m’agenouille, entrainant son pantalon. Je me retrouve face à un slip bleu gonflé et légèrement humide. Ma bouche se colle au tissu, mes lèvres goûtent la forme de son engin, mon nez respire l’odeur d’excitation au niveau du gland. Le slip vibre, je me lance, le baisse doucement, sa bite se présente à moi, fière. Une belle queue, épaisse, de taille moyenne, avec un joli gland rose et brillant. Dans un élan, je l’enfonce dans ma bouche. Esteban emet un petit cri de surprise, me traite de petite salope. J’aime ça, j’aime la queue. Je remonte le long de sa tige, entourant de ma langue chaque centimètre, aspirant le gland avant de replonger. Esteban pose ses mains sur on crâne, accompagnant ma tétée. J’arrête ma pipe, sort entièrement sa bite de ma bouche et plante mon regard dans le sien. Puis je suçote juste son gland. Il frémit. Il me dit que je suis une sacrée gourmande, qu’il va m’en donner de la bite. Electrisé par ses mots, je prends son membre profondément, ma langue collée à son gland, le nez dans sa toison. J’étouffe presque, mais quel pied !
Pas le temps de respirer, mon brun ténébreux me chope la tête et commence à me bourrer la bouche comme un forcené. J’encaisse, je savoure, je mouille. Je me branle à mort, ma salive dégouline sur mon menton. Je sens monter la pression, je décroche. Je redresse mes fesses, entreprend l’exploration de ses couilles volumineuses. Puis je recommence à lui avaler la tige, goulûment. Un de ses doigts s’insinue alors entre mes fesses et crochète ma rondelle. Une vague de plaisir m’inonde. Je veux plus, je veux sa queue en moi…Je suis une vraie salope, j’ai envie qu’il me tringle, ça fait longtemps mais avec lui, j’ai envie…Mais hélas, des halètements rauques me font comprendre que mon vœu ne sera pas exaucé. Impossible à canaliser à ce niveau. Alors, au moins, je lui soutirerais son foutre, je le regarde, il me murmure qu’il est clean, qu’il aimerait bien … Message reçu, je retourne à l’ouvrage et attends guère avant de recevoir plusieurs décharges de son nectar. Le sperme déborde au coin de mes lèvres, je savoure cet instant, son foutre est un peu sucré, délicieux. Le mien a giclé sur mes chaussures au moment de son éjac. Je nettoie amoureusement son gland qui tressaute pendant qu’il se remet, appuyé à l’arbre, sa main caressant mes cheveux.
Le froid se refait sentir maintenant sur nos corps transpirants, on se rhabille en discutant. Il m’avoue qu’il ne s’attendait pas à trouver un plan aussi chaud par ce temps. Moi non plus. Il me complimente et me remercie. C’était franchement un bon plan suce, endurant, performant. On se sépare sur le parking, peut être se reverra-t-on. J’ai le gland reposé, mais le cul trempé, dommage…
Un coupé arrive sur le parking. Second tour ??
Voilà, c’est terminé. C’est la première fois que je raconte un de mes plans, alors n’hésitez pas à me contacter !
La neige tombait depuis le milieu de la nuit sur l’Hérault et mon boulot m’avait téléphoné pour me conseiller de rester chez moi. Une journée de libre, seul. Sur Montpellier, la neige était fine et ne tenait même pas au sol. Les températures étaient fraîches et pourtant moi j’étais plutôt chaud bouillant. Avec cet après-midi de libre, des envies de bites raides et robustes envahissaient mon esprit. N’y tenant plus et n’ayant pas envie de me palucher devant un écran, je décidais de tenter ma chance dans un coin de drague assez fréquenté de Montpellier. Enfin assez fréquenté quand il fait beau et là, évidemment, il fallait vraiment être en manque pour se retrouver sur ce parking, même si les flocons n’étaient pas violents.
Au moment de repartir, une voiture se gare en face de moi. Un mec en sort, la trentaine, un visage viril, brun, carré d’épaules, un cul bien rebondi dans un fute moulant laissant espérer, de par l’avant, bien des promesses. Il regarde dans ma direction en enfilant sa veste, remonte sa capuche et disparait dans les taillis. Mon sang ne fait qu’un tour ou plutôt un détour pour se concentrer dans mon entrejambe. J’attrape mon blouson et prends la direction de mon futur quatre heures. L’air frais me remet les idées en place, mais ma queue crie au sexe contre le tissu de mon boxer.
J’entre sous l’abri de quelques arbres bas, personne. Déception. Soudain, le voilà, adossé à un tronc, mains dans les poches, de la buée autour des lèvres, ses yeux noirs fixés sur moi. Rien que ce visage me fait mouiller de partout. Je m’approche, il m’attrape la tête et me bouffe littéralement le visage. Sa langue enroule la mienne, la mordille, m’aspire. Je fonds. Mes doigts froids glissent sous son sweater, entrent en contact avec sa peau chaude et poilue, caressent son nombril, s’accrochent à un téton qu’ils pincent. Mon beau brun gémit mais continue de m’embrasser. Je me détache, soulève le pull, aspire ces pointes dressées par le froid et l’excitation. Je reviens à sa bouche si vorace. Ma main empoigne son entrejambe, la promesse semble tenue, une barre épaisse se profile sous mes pressions. Il me murmure son prénom, Esteban. Tellement sexy. Ses mains s’insinuent dans mon jean, le descendent et pelotent mes fesses exposées. Je suis tellement excité que le froid ne m’atteint même pas. Je ne tiens plus, m’agenouille, entrainant son pantalon. Je me retrouve face à un slip bleu gonflé et légèrement humide. Ma bouche se colle au tissu, mes lèvres goûtent la forme de son engin, mon nez respire l’odeur d’excitation au niveau du gland. Le slip vibre, je me lance, le baisse doucement, sa bite se présente à moi, fière. Une belle queue, épaisse, de taille moyenne, avec un joli gland rose et brillant. Dans un élan, je l’enfonce dans ma bouche. Esteban emet un petit cri de surprise, me traite de petite salope. J’aime ça, j’aime la queue. Je remonte le long de sa tige, entourant de ma langue chaque centimètre, aspirant le gland avant de replonger. Esteban pose ses mains sur on crâne, accompagnant ma tétée. J’arrête ma pipe, sort entièrement sa bite de ma bouche et plante mon regard dans le sien. Puis je suçote juste son gland. Il frémit. Il me dit que je suis une sacrée gourmande, qu’il va m’en donner de la bite. Electrisé par ses mots, je prends son membre profondément, ma langue collée à son gland, le nez dans sa toison. J’étouffe presque, mais quel pied !
Pas le temps de respirer, mon brun ténébreux me chope la tête et commence à me bourrer la bouche comme un forcené. J’encaisse, je savoure, je mouille. Je me branle à mort, ma salive dégouline sur mon menton. Je sens monter la pression, je décroche. Je redresse mes fesses, entreprend l’exploration de ses couilles volumineuses. Puis je recommence à lui avaler la tige, goulûment. Un de ses doigts s’insinue alors entre mes fesses et crochète ma rondelle. Une vague de plaisir m’inonde. Je veux plus, je veux sa queue en moi…Je suis une vraie salope, j’ai envie qu’il me tringle, ça fait longtemps mais avec lui, j’ai envie…Mais hélas, des halètements rauques me font comprendre que mon vœu ne sera pas exaucé. Impossible à canaliser à ce niveau. Alors, au moins, je lui soutirerais son foutre, je le regarde, il me murmure qu’il est clean, qu’il aimerait bien … Message reçu, je retourne à l’ouvrage et attends guère avant de recevoir plusieurs décharges de son nectar. Le sperme déborde au coin de mes lèvres, je savoure cet instant, son foutre est un peu sucré, délicieux. Le mien a giclé sur mes chaussures au moment de son éjac. Je nettoie amoureusement son gland qui tressaute pendant qu’il se remet, appuyé à l’arbre, sa main caressant mes cheveux.
Le froid se refait sentir maintenant sur nos corps transpirants, on se rhabille en discutant. Il m’avoue qu’il ne s’attendait pas à trouver un plan aussi chaud par ce temps. Moi non plus. Il me complimente et me remercie. C’était franchement un bon plan suce, endurant, performant. On se sépare sur le parking, peut être se reverra-t-on. J’ai le gland reposé, mais le cul trempé, dommage…
Un coupé arrive sur le parking. Second tour ??
Voilà, c’est terminé. C’est la première fois que je raconte un de mes plans, alors n’hésitez pas à me contacter !
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