Jour de pluie
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jour de pluie
Est-ce que histoire est vraie ? Oui … et non …
La zone de tchat de MSN est une mine … beaucoup s’y racontent … Ils disent le vrai, ils édulcorent, parfois fabulent, mais tout ce qui suit, ils me l’ont raconté, et j’ai collé ensemble plusieurs de leurs histoires, j’ai rajouté quelques points et quelques virgules.
Je l’ai appelé Nicolas, mais ç’aurait tout aussi bien pu être Jo, Jérémy, Phil72 …
Encore une journée pourrie ! Trois jours qu’il pleut ! Trois jours que j’arrive au boulot complètement trempé ! Ma première paye, je l’ai donnée à mes parents pour rembourser tout l’argent qu’ils m’avaient prêté : téléphone portable, fringues, argent de poche pour sortir ma copine … j’ai gardé que cent euros : le mois a été long … Le second mois, il a fallu que je m’achète des outils : « … chez nous, chacun sa caisse, chacun ses outils ! … », j’ai eu une réduction, mais ça fait cher quand même, et puis j’ai payé un acompte pour le scooter ! En bus et à pied, il me fallait plus d’une heure pour aller au boulot ! Ce mois-ci, entre la mensualité du scooter et la caisse que je vais fixer dessus pour transporter mes outils, il ne restera pas grand-chose ; alors les fringues pour la pluie … ce n’est pas pour tout de suite !
Le patron m’a dit de venir directement ici à huit heures, sans passer par l’atelier. Ça m’arrange, j’ai gagné du temps ! Le gardien de l’immeuble m’a reconnu et m’a dit que je pouvais laisser le scoot sous le porche, que ça risquait moins que sur le trottoir. Il m’a dit que mon patron n’était pas encore arrivé, mais je n’ai pas voulu l’attendre en bas, et je suis monté directement à l’appartement où on travaillait depuis deux jours : on refait toute l’installation électrique et le matos est déjà sur place … je peux me mettre au travail sans lui.
- Bonjour jeune homme ! Entrez !
Le type qui m’a ouvert nous a enquiquinés pendant deux jours ! Toujours dans nos jambes à surveiller, à poser tout un tas de questions, un chiant quoi ! Sa femme est vachement plus sympa, mais on la voit pas beaucoup, juste quand elle nous amène du café !
- Vous êtes seul ? Votre patron n’est pas là ?
- Je suis venu directement, en scooter. Il ne va pas tarder …
- Bon ! Aujourd’hui, vous ne m’aurez pas dans vos jambes ! Faut bien que je travaille aussi, moi ! Et restez pas là ! Vous mettez de l’eau partout !
Au moins, il le reconnaît qu’il est toujours dans nos pattes ! Et puis l’eau, j’y peux rien ! Mon jeans est trempé et le blouson aussi !
Je reste debout sur le paillasson pendant qu’il enfile son imper en bloquant le couloir :
- Allez ! À ce soir, jeune homme ! Travaillez bien !
C’est ça, casse-toi ! La journée sans lui sera plus calme !
- Avancez ! Ne faites pas attention ! J’essuierai derrière vous !
Je vais directement dans la chambre du fond ou est stocké tout notre matériel en marchant sur la pointe des pieds. Je me retourne en arrivant au bout du couloir : elle est à quatre pattes par terre pour essuyer l’entrée avec une serpillère. Les fesses moulées dans sa robe de chambre se balancent pendant qu’elle frotte le sol et je vois le dessin des coutures de sa culotte en bas des fesses sous le nylon beige. Je reste là à regarder son joli derrière, même quand elle tourne la tête vers moi en arrêtant de frotter. Elle me sourit, et recommence à frotter en reculant pour effacer la trace de mes pas. Encore deux ou trois fois elle se retourne pour voir si je la regarde toujours … en arrivant près de moi, elle tend sa main pour que je l’aide à se relever :
- Vous devriez vous changer, vous allez attraper un rhume !
Le téléphone sonne et elle lâche ma main pour aller répondre.
J’enlève mon blouson, mon gros pull et mes chaussures pour enfiler ma cote de travail et comme mon jeans est tout mouillé, je l’enlève aussi. Je défais ma ceinture et les boutons de la braguette et je me baisse pour l’enlever … une main sur mon épaule. Je remonte mon pantalon vite fait en me retournant. Elle me tend le téléphone :
- C’est votre patron …
- Allo ?
Elle repart et puis à peine sortie de la pièce, elle revient vers moi et me dit à l’autre oreille en parlant doucement :
- Je fais le mettre à sécher …
Elle s’agenouille à côté de moi et tire mon jean vers le bas …
- Oui, oui, j’écoute … bon, d’accord … ok, a plus.
Mon boxer est un peu descendu quand elle a descendu le jeans et elle le remonte à deux mains, sur les hanches et derrière, en glissant les pouces sous l’élastique, et s’applique, la langue entre les lèvres, à le tirer sur les jambes :
- Voilà jeune homme … il sera sec à midi … vous m’aidez ?
Elle me tend la main pour se relever … et moi j’ai un sacré coup de chaud … scotché …
Elle attend, sourcils levés … je tends la main :
- Excusez-moi … vous m’avez surpris …
- … votre patron a un problème ?
- Euh … il doit passer à l’atelier … il sera en retard …
- Beaucoup ?
Elle se tient juste devant moi, le jeans à la main et me détaille, sans gêne, des pieds à la tête. Elle fronce les sourcils et se penche en passant sa main sur la balafre sur ma cuisse :
- Qu’est-ce que c’est ?
- … au foot … les crampons …
- Eh ben ! Il ne t’a pas raté, celui-là !
… et elle caresse ma cuisse … et bien sûr …
- Oh oh !
… rire de gorge … le dos de sa main qui frôle (et plus que ça !) la bosse qui gonfle mon boxer …
- Je te mets mal à l’aise ?
- Euh … non … mais …
- Mais ?
… elle se marre carrément maintenant … et à nouveau le dos de sa main … et elle se barre en riant … et moi je reste comme un con avec ma bite qui déforme mon boxer ! Mais quel con ! Elle me tripote et moi je bégaye et je reste planté là le téléphone à la main … quel con ! Je suis sûr qu’elle attendait que ça ! MERDE ! Et la voilà qui revient … elle prend le téléphone de ma main et repart en faisant voler sa robe de chambre … et merde …
Hier j’ai passé la soirée avec Cathy, et pour une fois, on était seul chez elle, ses parents mangeaient au resto. On s’est embrassés sur le canapé en regardant la télé et je lui caressais ses gros seins en passant la main dans le chemisier ; les boutons se sont ouverts tous seuls ; j’arrivais pas à mettre la main dans le soutif et elle a pas voulu que je le dégrafe … une seule fois elle m’a laissé le lui enlever … faut dire qu’elle avait un peu trop bu, enfin … pas assez quand même, parce que quand j’ai posé sa main sur mon sexe au-dessus du pantalon, elle l’a serré dans sa main et puis elle m’a traité de gros dégueulasse et elle s’est rhabillée ; elle a déconné avec ses copines tout le reste de la soirée !
Hier soir elle voulait juste m’embrasser et se faire peloter la poitrine. Moi, ça me fait bander, mais elle ne veut pas me toucher ! J’en ai marre de me branler en rentrant chez moi ! Je tombe toujours sur des nanas comme ça, moi !
Et là, je me retrouve presque à poil devant une femme, elle me touche, et je reste comme un con à bégayer !
J’enfile ma cote et mes baskets et je me mets au boulot. Il faut que j’installe les disjoncteurs sur le tableau dans la cuisine et que je les raccorde, mais faut couper le jus … où elle est, la dame ? faut que je la prévienne … dans la cuisine, justement … oh ! La vache ! Elle a plus son peignoir ! Elle est en chemise de nuit toute légère et elle lave sa vaisselle dans l’évier … on voit son slip à travers la chemise … quel cul !
- Madame ? Va falloir que je coupe l’électricité bientôt …
- Ooh ! On va être dans le noir alors ?
C’est vrai qu’il fait sombre … la petite fenêtre donne sur l’arrière cour et avec ce temps …
- J’ai une lampe.
- Ah ! Il a une lampe ! Le chauffe-eau ne marchera plus ?
- Non, il va s’éteindre …
- Je ne peux donc pas me doucher ! Tu ne devrais pas attendre ton patron ?
- Ben … c’est-à-dire qu’il ne va pas arriver tout de suite s’il a un problème à l’atelier …
Elle essuie le dernier bol les fesses appuyées à l’évier et sa chemise est toute mouillée :
- Et « pas tout de suite », ça fait combien de temps, à peu près ?
- … je ne sais pas …
Je vois la pointe de ses seins qui soulève le nylon de la chemise …
- Il ne sait pas ! Bon ! Mais ce n’est plus près d’une demi-heure ou de deux heures ?
- Euh … peut-être plutôt deux …
- Bien ! Parce que ça change beaucoup, jeune homme ! Et deux heures, c’est mieux !
Mais qu’est-ce qu’elle raconte ? C’est une barge ou quoi ?
- Par exemple, on a le temps de prendre un café ! Tu aimes le café ?
Elle pose une main sur mon épaule et me pousse vers une chaise :
- Je peux te tutoyer, ça ne te gêne pas ? Et ton prénom ? Quel est ton prénom ?
- Nicolas … et vous ?
- Mon mari m’appelle tantôt Chérie et tantôt Bébé, mais je préfère que tu t’abstiennes d’en faire autant devant lui ! Il n’aimerait pas !
Elle a servi deux tasses et s’est assise en croisant les jambes ; la chemise de nuit est remontée assez haut sur les cuisses et je mate en douce en buvant mon café.
- Ça te plaît ?
- Oui, il est bon …
- Nicolas, Nicolas, s’il te plaît ! Je parle de mes cuisses, voyons ! Est-ce que tu aimes mes cuisses ? Tu les regardes depuis un moment, tu as bien un avis ?
- …
- Tu es adorable quand tu rougis ! Nicolas l’électricien timide !
Elle approche sa chaise de la mienne et ses genoux touchent les miens. Elle se penche un peu et pose ses avant-bras sur mes jambes. Avec un doigt, elle joue avec la languette de la fermeture éclair qui ferme la cote par en bas :
- Ça te plaît ? Et là, je parle de mes seins, Nicolas !
L’encolure de sa chemise est grande ouverte. Entre ses deux seins qui pendent en se balançant doucement je vois même la taille en dentelle de sa culotte.
- Pose donc cette tasse ! Tu vas en renverser partout !
Elle prend la cote sous la fermeture éclair entre deux doigt d’une main, et de l’autre, elle tire sur la languette … clic, clic, clic … et la remonte tout doucement, cran par cran, jusqu’à hauteur du nombril. Je bande comme un malade … j’ai la gorge sèche …
Elle glisse la main dans l’ouverture, effleure ma queue au passage, et caresse mon ventre au-dessus du boxer, remonte jusqu’aux pectoraux et redescend doucement en me griffant un peu, frôle encore ma queue en sortant sa main.
Elle se redresse, soupire et baisse la fermeture éclair depuis en haut en me regardant dans les yeux, fait glisser ma cote sur mes épaules. Je dégage mes bras et me soulève pour qu’elle la tire sous mes jambes. Je me rassois, la cote roulée en boule autour de mes chevilles. Elle me regarde toujours, son petit sourire au coin des lèvres. Elle glisse les deux index sous l’élastique du boxer, sous le nombril, les fait glisser lentement vers les hanches ; son index gauche griffe un peu en passant mon gland coincé contre l’élastique. Elle soulève l’élastique et ma bite se redresse tout d’un coup :
- Oooh ! Très belle surprise, Nicolas !
Elle abaisse mon boxer ; je me soulève encore ; elle le fait descendre jusqu’aux chevilles et elle roule mon polo vers le haut jusque sous mes bras, se recule contre le dossier de sa chaise. La tête un peu penchée sur le côté, la langue entre les dents, elle regarde mon sexe tellement bandé qu’il se tient dressé et touche même pas mon ventre. Elle écarte mes jambes avec ses deux mains :
- Eh bien ! Eh bien ! Qui l’aurait cru ! Nicolas ! Sais-tu que tu es … étonnant !
Elle pose la main gauche sur la chaise, sous mes couilles, et prend la peau avec le pouce au-dessus, entre les deux testicules et les autres doigts en dessous ; elle mouille son index de salive dans sa bouche et le pose tout en haut de ma queue pour caresser le filet de peau tendue en tournant tout doucement … des fois avec l’ongle elle agaçe le trou de ma bite … et puis recommençe à tourner doucement son doigt sous mon gland. Elle fait rouler la peau de mes couilles avec l’autre main. Même pas deux minutes comme ça et je gicle sans qu’elle arrête de tourner avec son doigt.
Putain c’est bon ! Personne ne m’a fait jouir comme ça, presque sans me toucher. J’ai envie qu’elle me la prenne à pleine main, qu’elle me branle, fort … si elle le fait pas, je le fais moi tellement j’ai envie ! J’ai giclé jusque sur ma joue ; elle passe son doigt dessus et prend une goutte dans sa bouche … putain j’en peux plus ! Je prends ma bite dans ma main et je me branle fort à grands coups de poignets, pas pour jouir encore, juste parce que c’est bon ! Elle reprend du sperme sur son doigt et me le met dans la bouche en riant :
- Oui, Nicolas ! Oui ! Branle-toi !
J’arrête, j’ai envie de me rhabiller et de m’essuyer, j’ai du sperme sur la joue, sur mon polo, plein le ventre, ça coule et ça fait froid.
- Ne bouge pas ! Reste comme ça !
Elle m’essuie avec des feuilles d’essuie-tout, même mon polo.
- C’est pour ta petite amie que tu te rases ?
- … oui …
- Tu as raison, c’est plus joli !
- Tu la baises souvent ?
- …
- Tu ne la baises pas ?
- … non …
- Quelle idiote !
Elle jette les papiers dans la poubelle et recule sa chaise. Debout devant moi elle soulève sa chemise de nuit et la jette sur la table. Elle a de grandes aréoles très foncées et de gros tétons tout durs qui sortent d’au moins un centimètre, mais des seins pas très gros. Elle baisse sa culotte et la jette aussi sur la table ; elle a des poils noirs qui montent haut sur son ventre. Elle vient au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma chaise mais sans s’asseoir sur mes genoux et elle appuie ses seins contre mon visage. Elle les soulève avec ses mains et me donne le bout à sucer, l’un après l’autre, les frotte sur ma bouche :
- Je ne suis pas fragile, tu peux mordre !
Je n’ose pas trop fort, mais je la mords, toute l’aréole brune et le téton ; je le serre un peu entre mes dents et elle se recule lentement en étirant le sein qui glisse entre mes dents ; elle le remet sur ma bouche et se recule encore, plusieurs fois, jusqu’à ce que je serre plus fort les dents et elle rit en gémissant.
Elle s’assoit sur la chaise et pose une jambe sur la table, les jambes ouvertes sur sa fente rose et brun et le pli de ses fesses au bord de la chaise :
- Viens me lécher, Nicolas ! Lèches-moi bien !
Je suis à genoux entre ses jambes. Elle me prend par les cheveux et appuie ma bouche sur sa fente, appuie fort ma tête contre elle. Elle a une odeur assez forte, un peu piquante, et sa chatte est toute trempée de mouille jusqu’à la raie des fesses :
- Rentre ta langue, Nicolas, plus profond que ça !
Elle appuie toujours sur ma tête et j’ai du mal à respirer, le nez enfoncé contre sa chatte qui coule, et elle bouge ma tête en me tenant par les cheveux.
Elle me repousse et me regarde en poussant un soupir :
- T’as jamais léché une femme, toi, n’est-ce pas ?
- … non …
- Tant pis ! Tu as d’autres arguments ! Debout jeune homme !
Elle a prend ma queue dans sa main et me branle. Je me remets à bien bander et elle lève la main vers ma bouche :
- Crache dans ma main ! … encore !
Et elle recommence à me branler la queue avec la salive, en me tenant serré sous le gland avec l’autre main. Elle me tourne le dos et s’appuie sur la table sans me lâcher la queue et elle la met entre ses jambes en pliant un peu les genoux :
- Baise-moi !
Je suis rentré sans forcer en me tenant à ses fesses et elle a enlevé sa main pour se tenir à la table :
- Baise-moi ! Allez !
Pendant que je la baise, elle met une main entre ses jambes et de temps en temps elle touche ma queue avec ses doigts.
Je sens que je vais jouir encore et je serre plus fort ses fesses et juste comme je sens que ça vient, elle se redresse et me force à sortir la queue de sa chatte. Elle reprend ma queue dans sa main avec le bras dans son dos et en posant un pied sur la chaise à côté d’elle, elle tire ma queue entre ses fesses en plein sur son cul et se rallonge sur la table :
- Vas-y fort Nicolas, pousse fort, d’un coup ! Encule-moi !
Je rapproche un peu mes pieds et je me cramponne à ses hanches, je sens son cul sur mon gland, elle enlève sa main, et tend son cul vers moi et j’y vais d’un grand coup. Je sens que ma queue se plie un peu et que son cul résiste et je rentre d’un coup et j’y vais à fond :
- OUUUUUI ! OUUUI !
Et je lime tant que je peux en grands coups de reins et de toute la longueur de ma queue. J’ai jamais enculé de femme avant et ça me fait un effet terrible ! Je gicle dans son cul en serrant ses fesses dans mes mains et ça glisse encore mieux, et je gicle pendant longtemps en l’entendant crier et gémir.
Elle me sort de son cul, se retourne et se met à genoux, elle prend ma queue qui débande dans sa bouche en serrant mes couilles, elle me suce en me branlant, et ma queue se raidit encore un peu dans sa bouche.
Au bout d’un moment, quand ma queue ramollit dans sa bouche, elle se relève et s’essuie le cul et la chatte avec du papier essuie-tout :
- Rhabille-toi ! Et ne coupe pas le courant tout de suite, je prends ma douche !
Je me suis rhabillé, les couilles vides … c’est sûr … et jamais j’avais baisé comme ça … c’est sûr … ni enculé une femme non plus … mais je n’étais pas content quand même … c’était elle qui m’avait baisé … j’étais un peu en colère, après elle et après moi … le résultat était le même, mais bon … en colère après elle !
Elle prenait sa douche quand Patrick est arrivé. Le patron était retenu au bureau et il l’avait envoyé à sa place. J’avais déjà fait un chantier avec lui, il était sympa :
- Ça sent bizarre, ici ! … bon qu’est-ce que t’as fait depuis ce matin ?
- Rien !
- Tu déconnes, là ? T’as rien foutu ? T’as de la chance qu’il m’ait envoyé à sa place ! t’en aurais pris une bonne !
- Je me suis fait baiser …
- Quoi ?
Et je lui ai raconté pendant qu’on finissait le café resté au chaud.
- Eh bien ne vous gênez pas !
Elle était à l’entrée de la cuisine, le peignoir tenu fermé avec ses mains, une serviette enroulée sur les cheveux.
Patrick s’est retourné et l’a regardée, un coude sur la table, l’autre sur le dossier de la chaise :
- Nicolas me racontait ce qu’il a fait ce matin … tu en étais où, déjà, Nico ?
- Ça suffit ! Mettez-vous au travail !
Patrick s’est levé et s’est approché d’elle, a enlevé la serviette de ses cheveux, et a écarté les mains qui retenaient son peignoir. Elle était à poil dessous :
- Arrêtez tout de suite !
Sa voix était moins autoritaire, moins sûre d’elle, et quand Patrick a lâché ses poignets, elle n’a pas bougé, les pans du peignoir encadrant ses seins et son ventre nus. Pour la première fois je l’ai regardée en détail : 30 ou 35 ans, brune avec les yeux noisette, joli visage, et vraiment bien roulée. J’étais tellement abasourdi et bousculé que je ne l’avais pas vraiment regardé avant ce moment.
… et puis elle avait l’air un peu perdue …
Patrick l’a prise par la main et elle l’a suivie dans le couloir, marchant derrière lui. Il est rentré dans la chambre sans fermer la porte, en me faisant un clin d’œil, et a lâché sa main pour commencer à se déshabiller. Elle le regardait faire sans bouger et elle a enlevé son peignoir quand il a été nu, s’est assise sur le lit et a pris son sexe dans sa bouche lorsqu’il s’est approché d’elle. De temps en temps, elle me regardait en le suçant. Je suis resté à la porte à la regarder faire jusqu’à ce qu’il jouisse sur ses lèvres. Patrick s’est allongé sur le lit dans son dos. Elle a levé les yeux sur moi, et m’a souri. Je me suis approché d’elle et elle m’a déshabillé …
Ce jour-là, on n’a pas beaucoup travaillé …
On est parti avant le retour de son mari. Elle était nue en nous raccompagnant à la porte et nous a embrassés :
- A demain …
La zone de tchat de MSN est une mine … beaucoup s’y racontent … Ils disent le vrai, ils édulcorent, parfois fabulent, mais tout ce qui suit, ils me l’ont raconté, et j’ai collé ensemble plusieurs de leurs histoires, j’ai rajouté quelques points et quelques virgules.
Je l’ai appelé Nicolas, mais ç’aurait tout aussi bien pu être Jo, Jérémy, Phil72 …
Encore une journée pourrie ! Trois jours qu’il pleut ! Trois jours que j’arrive au boulot complètement trempé ! Ma première paye, je l’ai donnée à mes parents pour rembourser tout l’argent qu’ils m’avaient prêté : téléphone portable, fringues, argent de poche pour sortir ma copine … j’ai gardé que cent euros : le mois a été long … Le second mois, il a fallu que je m’achète des outils : « … chez nous, chacun sa caisse, chacun ses outils ! … », j’ai eu une réduction, mais ça fait cher quand même, et puis j’ai payé un acompte pour le scooter ! En bus et à pied, il me fallait plus d’une heure pour aller au boulot ! Ce mois-ci, entre la mensualité du scooter et la caisse que je vais fixer dessus pour transporter mes outils, il ne restera pas grand-chose ; alors les fringues pour la pluie … ce n’est pas pour tout de suite !
Le patron m’a dit de venir directement ici à huit heures, sans passer par l’atelier. Ça m’arrange, j’ai gagné du temps ! Le gardien de l’immeuble m’a reconnu et m’a dit que je pouvais laisser le scoot sous le porche, que ça risquait moins que sur le trottoir. Il m’a dit que mon patron n’était pas encore arrivé, mais je n’ai pas voulu l’attendre en bas, et je suis monté directement à l’appartement où on travaillait depuis deux jours : on refait toute l’installation électrique et le matos est déjà sur place … je peux me mettre au travail sans lui.
- Bonjour jeune homme ! Entrez !
Le type qui m’a ouvert nous a enquiquinés pendant deux jours ! Toujours dans nos jambes à surveiller, à poser tout un tas de questions, un chiant quoi ! Sa femme est vachement plus sympa, mais on la voit pas beaucoup, juste quand elle nous amène du café !
- Vous êtes seul ? Votre patron n’est pas là ?
- Je suis venu directement, en scooter. Il ne va pas tarder …
- Bon ! Aujourd’hui, vous ne m’aurez pas dans vos jambes ! Faut bien que je travaille aussi, moi ! Et restez pas là ! Vous mettez de l’eau partout !
Au moins, il le reconnaît qu’il est toujours dans nos pattes ! Et puis l’eau, j’y peux rien ! Mon jeans est trempé et le blouson aussi !
Je reste debout sur le paillasson pendant qu’il enfile son imper en bloquant le couloir :
- Allez ! À ce soir, jeune homme ! Travaillez bien !
C’est ça, casse-toi ! La journée sans lui sera plus calme !
- Avancez ! Ne faites pas attention ! J’essuierai derrière vous !
Je vais directement dans la chambre du fond ou est stocké tout notre matériel en marchant sur la pointe des pieds. Je me retourne en arrivant au bout du couloir : elle est à quatre pattes par terre pour essuyer l’entrée avec une serpillère. Les fesses moulées dans sa robe de chambre se balancent pendant qu’elle frotte le sol et je vois le dessin des coutures de sa culotte en bas des fesses sous le nylon beige. Je reste là à regarder son joli derrière, même quand elle tourne la tête vers moi en arrêtant de frotter. Elle me sourit, et recommence à frotter en reculant pour effacer la trace de mes pas. Encore deux ou trois fois elle se retourne pour voir si je la regarde toujours … en arrivant près de moi, elle tend sa main pour que je l’aide à se relever :
- Vous devriez vous changer, vous allez attraper un rhume !
Le téléphone sonne et elle lâche ma main pour aller répondre.
J’enlève mon blouson, mon gros pull et mes chaussures pour enfiler ma cote de travail et comme mon jeans est tout mouillé, je l’enlève aussi. Je défais ma ceinture et les boutons de la braguette et je me baisse pour l’enlever … une main sur mon épaule. Je remonte mon pantalon vite fait en me retournant. Elle me tend le téléphone :
- C’est votre patron …
- Allo ?
Elle repart et puis à peine sortie de la pièce, elle revient vers moi et me dit à l’autre oreille en parlant doucement :
- Je fais le mettre à sécher …
Elle s’agenouille à côté de moi et tire mon jean vers le bas …
- Oui, oui, j’écoute … bon, d’accord … ok, a plus.
Mon boxer est un peu descendu quand elle a descendu le jeans et elle le remonte à deux mains, sur les hanches et derrière, en glissant les pouces sous l’élastique, et s’applique, la langue entre les lèvres, à le tirer sur les jambes :
- Voilà jeune homme … il sera sec à midi … vous m’aidez ?
Elle me tend la main pour se relever … et moi j’ai un sacré coup de chaud … scotché …
Elle attend, sourcils levés … je tends la main :
- Excusez-moi … vous m’avez surpris …
- … votre patron a un problème ?
- Euh … il doit passer à l’atelier … il sera en retard …
- Beaucoup ?
Elle se tient juste devant moi, le jeans à la main et me détaille, sans gêne, des pieds à la tête. Elle fronce les sourcils et se penche en passant sa main sur la balafre sur ma cuisse :
- Qu’est-ce que c’est ?
- … au foot … les crampons …
- Eh ben ! Il ne t’a pas raté, celui-là !
… et elle caresse ma cuisse … et bien sûr …
- Oh oh !
… rire de gorge … le dos de sa main qui frôle (et plus que ça !) la bosse qui gonfle mon boxer …
- Je te mets mal à l’aise ?
- Euh … non … mais …
- Mais ?
… elle se marre carrément maintenant … et à nouveau le dos de sa main … et elle se barre en riant … et moi je reste comme un con avec ma bite qui déforme mon boxer ! Mais quel con ! Elle me tripote et moi je bégaye et je reste planté là le téléphone à la main … quel con ! Je suis sûr qu’elle attendait que ça ! MERDE ! Et la voilà qui revient … elle prend le téléphone de ma main et repart en faisant voler sa robe de chambre … et merde …
Hier j’ai passé la soirée avec Cathy, et pour une fois, on était seul chez elle, ses parents mangeaient au resto. On s’est embrassés sur le canapé en regardant la télé et je lui caressais ses gros seins en passant la main dans le chemisier ; les boutons se sont ouverts tous seuls ; j’arrivais pas à mettre la main dans le soutif et elle a pas voulu que je le dégrafe … une seule fois elle m’a laissé le lui enlever … faut dire qu’elle avait un peu trop bu, enfin … pas assez quand même, parce que quand j’ai posé sa main sur mon sexe au-dessus du pantalon, elle l’a serré dans sa main et puis elle m’a traité de gros dégueulasse et elle s’est rhabillée ; elle a déconné avec ses copines tout le reste de la soirée !
Hier soir elle voulait juste m’embrasser et se faire peloter la poitrine. Moi, ça me fait bander, mais elle ne veut pas me toucher ! J’en ai marre de me branler en rentrant chez moi ! Je tombe toujours sur des nanas comme ça, moi !
Et là, je me retrouve presque à poil devant une femme, elle me touche, et je reste comme un con à bégayer !
J’enfile ma cote et mes baskets et je me mets au boulot. Il faut que j’installe les disjoncteurs sur le tableau dans la cuisine et que je les raccorde, mais faut couper le jus … où elle est, la dame ? faut que je la prévienne … dans la cuisine, justement … oh ! La vache ! Elle a plus son peignoir ! Elle est en chemise de nuit toute légère et elle lave sa vaisselle dans l’évier … on voit son slip à travers la chemise … quel cul !
- Madame ? Va falloir que je coupe l’électricité bientôt …
- Ooh ! On va être dans le noir alors ?
C’est vrai qu’il fait sombre … la petite fenêtre donne sur l’arrière cour et avec ce temps …
- J’ai une lampe.
- Ah ! Il a une lampe ! Le chauffe-eau ne marchera plus ?
- Non, il va s’éteindre …
- Je ne peux donc pas me doucher ! Tu ne devrais pas attendre ton patron ?
- Ben … c’est-à-dire qu’il ne va pas arriver tout de suite s’il a un problème à l’atelier …
Elle essuie le dernier bol les fesses appuyées à l’évier et sa chemise est toute mouillée :
- Et « pas tout de suite », ça fait combien de temps, à peu près ?
- … je ne sais pas …
Je vois la pointe de ses seins qui soulève le nylon de la chemise …
- Il ne sait pas ! Bon ! Mais ce n’est plus près d’une demi-heure ou de deux heures ?
- Euh … peut-être plutôt deux …
- Bien ! Parce que ça change beaucoup, jeune homme ! Et deux heures, c’est mieux !
Mais qu’est-ce qu’elle raconte ? C’est une barge ou quoi ?
- Par exemple, on a le temps de prendre un café ! Tu aimes le café ?
Elle pose une main sur mon épaule et me pousse vers une chaise :
- Je peux te tutoyer, ça ne te gêne pas ? Et ton prénom ? Quel est ton prénom ?
- Nicolas … et vous ?
- Mon mari m’appelle tantôt Chérie et tantôt Bébé, mais je préfère que tu t’abstiennes d’en faire autant devant lui ! Il n’aimerait pas !
Elle a servi deux tasses et s’est assise en croisant les jambes ; la chemise de nuit est remontée assez haut sur les cuisses et je mate en douce en buvant mon café.
- Ça te plaît ?
- Oui, il est bon …
- Nicolas, Nicolas, s’il te plaît ! Je parle de mes cuisses, voyons ! Est-ce que tu aimes mes cuisses ? Tu les regardes depuis un moment, tu as bien un avis ?
- …
- Tu es adorable quand tu rougis ! Nicolas l’électricien timide !
Elle approche sa chaise de la mienne et ses genoux touchent les miens. Elle se penche un peu et pose ses avant-bras sur mes jambes. Avec un doigt, elle joue avec la languette de la fermeture éclair qui ferme la cote par en bas :
- Ça te plaît ? Et là, je parle de mes seins, Nicolas !
L’encolure de sa chemise est grande ouverte. Entre ses deux seins qui pendent en se balançant doucement je vois même la taille en dentelle de sa culotte.
- Pose donc cette tasse ! Tu vas en renverser partout !
Elle prend la cote sous la fermeture éclair entre deux doigt d’une main, et de l’autre, elle tire sur la languette … clic, clic, clic … et la remonte tout doucement, cran par cran, jusqu’à hauteur du nombril. Je bande comme un malade … j’ai la gorge sèche …
Elle glisse la main dans l’ouverture, effleure ma queue au passage, et caresse mon ventre au-dessus du boxer, remonte jusqu’aux pectoraux et redescend doucement en me griffant un peu, frôle encore ma queue en sortant sa main.
Elle se redresse, soupire et baisse la fermeture éclair depuis en haut en me regardant dans les yeux, fait glisser ma cote sur mes épaules. Je dégage mes bras et me soulève pour qu’elle la tire sous mes jambes. Je me rassois, la cote roulée en boule autour de mes chevilles. Elle me regarde toujours, son petit sourire au coin des lèvres. Elle glisse les deux index sous l’élastique du boxer, sous le nombril, les fait glisser lentement vers les hanches ; son index gauche griffe un peu en passant mon gland coincé contre l’élastique. Elle soulève l’élastique et ma bite se redresse tout d’un coup :
- Oooh ! Très belle surprise, Nicolas !
Elle abaisse mon boxer ; je me soulève encore ; elle le fait descendre jusqu’aux chevilles et elle roule mon polo vers le haut jusque sous mes bras, se recule contre le dossier de sa chaise. La tête un peu penchée sur le côté, la langue entre les dents, elle regarde mon sexe tellement bandé qu’il se tient dressé et touche même pas mon ventre. Elle écarte mes jambes avec ses deux mains :
- Eh bien ! Eh bien ! Qui l’aurait cru ! Nicolas ! Sais-tu que tu es … étonnant !
Elle pose la main gauche sur la chaise, sous mes couilles, et prend la peau avec le pouce au-dessus, entre les deux testicules et les autres doigts en dessous ; elle mouille son index de salive dans sa bouche et le pose tout en haut de ma queue pour caresser le filet de peau tendue en tournant tout doucement … des fois avec l’ongle elle agaçe le trou de ma bite … et puis recommençe à tourner doucement son doigt sous mon gland. Elle fait rouler la peau de mes couilles avec l’autre main. Même pas deux minutes comme ça et je gicle sans qu’elle arrête de tourner avec son doigt.
Putain c’est bon ! Personne ne m’a fait jouir comme ça, presque sans me toucher. J’ai envie qu’elle me la prenne à pleine main, qu’elle me branle, fort … si elle le fait pas, je le fais moi tellement j’ai envie ! J’ai giclé jusque sur ma joue ; elle passe son doigt dessus et prend une goutte dans sa bouche … putain j’en peux plus ! Je prends ma bite dans ma main et je me branle fort à grands coups de poignets, pas pour jouir encore, juste parce que c’est bon ! Elle reprend du sperme sur son doigt et me le met dans la bouche en riant :
- Oui, Nicolas ! Oui ! Branle-toi !
J’arrête, j’ai envie de me rhabiller et de m’essuyer, j’ai du sperme sur la joue, sur mon polo, plein le ventre, ça coule et ça fait froid.
- Ne bouge pas ! Reste comme ça !
Elle m’essuie avec des feuilles d’essuie-tout, même mon polo.
- C’est pour ta petite amie que tu te rases ?
- … oui …
- Tu as raison, c’est plus joli !
- Tu la baises souvent ?
- …
- Tu ne la baises pas ?
- … non …
- Quelle idiote !
Elle jette les papiers dans la poubelle et recule sa chaise. Debout devant moi elle soulève sa chemise de nuit et la jette sur la table. Elle a de grandes aréoles très foncées et de gros tétons tout durs qui sortent d’au moins un centimètre, mais des seins pas très gros. Elle baisse sa culotte et la jette aussi sur la table ; elle a des poils noirs qui montent haut sur son ventre. Elle vient au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma chaise mais sans s’asseoir sur mes genoux et elle appuie ses seins contre mon visage. Elle les soulève avec ses mains et me donne le bout à sucer, l’un après l’autre, les frotte sur ma bouche :
- Je ne suis pas fragile, tu peux mordre !
Je n’ose pas trop fort, mais je la mords, toute l’aréole brune et le téton ; je le serre un peu entre mes dents et elle se recule lentement en étirant le sein qui glisse entre mes dents ; elle le remet sur ma bouche et se recule encore, plusieurs fois, jusqu’à ce que je serre plus fort les dents et elle rit en gémissant.
Elle s’assoit sur la chaise et pose une jambe sur la table, les jambes ouvertes sur sa fente rose et brun et le pli de ses fesses au bord de la chaise :
- Viens me lécher, Nicolas ! Lèches-moi bien !
Je suis à genoux entre ses jambes. Elle me prend par les cheveux et appuie ma bouche sur sa fente, appuie fort ma tête contre elle. Elle a une odeur assez forte, un peu piquante, et sa chatte est toute trempée de mouille jusqu’à la raie des fesses :
- Rentre ta langue, Nicolas, plus profond que ça !
Elle appuie toujours sur ma tête et j’ai du mal à respirer, le nez enfoncé contre sa chatte qui coule, et elle bouge ma tête en me tenant par les cheveux.
Elle me repousse et me regarde en poussant un soupir :
- T’as jamais léché une femme, toi, n’est-ce pas ?
- … non …
- Tant pis ! Tu as d’autres arguments ! Debout jeune homme !
Elle a prend ma queue dans sa main et me branle. Je me remets à bien bander et elle lève la main vers ma bouche :
- Crache dans ma main ! … encore !
Et elle recommence à me branler la queue avec la salive, en me tenant serré sous le gland avec l’autre main. Elle me tourne le dos et s’appuie sur la table sans me lâcher la queue et elle la met entre ses jambes en pliant un peu les genoux :
- Baise-moi !
Je suis rentré sans forcer en me tenant à ses fesses et elle a enlevé sa main pour se tenir à la table :
- Baise-moi ! Allez !
Pendant que je la baise, elle met une main entre ses jambes et de temps en temps elle touche ma queue avec ses doigts.
Je sens que je vais jouir encore et je serre plus fort ses fesses et juste comme je sens que ça vient, elle se redresse et me force à sortir la queue de sa chatte. Elle reprend ma queue dans sa main avec le bras dans son dos et en posant un pied sur la chaise à côté d’elle, elle tire ma queue entre ses fesses en plein sur son cul et se rallonge sur la table :
- Vas-y fort Nicolas, pousse fort, d’un coup ! Encule-moi !
Je rapproche un peu mes pieds et je me cramponne à ses hanches, je sens son cul sur mon gland, elle enlève sa main, et tend son cul vers moi et j’y vais d’un grand coup. Je sens que ma queue se plie un peu et que son cul résiste et je rentre d’un coup et j’y vais à fond :
- OUUUUUI ! OUUUI !
Et je lime tant que je peux en grands coups de reins et de toute la longueur de ma queue. J’ai jamais enculé de femme avant et ça me fait un effet terrible ! Je gicle dans son cul en serrant ses fesses dans mes mains et ça glisse encore mieux, et je gicle pendant longtemps en l’entendant crier et gémir.
Elle me sort de son cul, se retourne et se met à genoux, elle prend ma queue qui débande dans sa bouche en serrant mes couilles, elle me suce en me branlant, et ma queue se raidit encore un peu dans sa bouche.
Au bout d’un moment, quand ma queue ramollit dans sa bouche, elle se relève et s’essuie le cul et la chatte avec du papier essuie-tout :
- Rhabille-toi ! Et ne coupe pas le courant tout de suite, je prends ma douche !
Je me suis rhabillé, les couilles vides … c’est sûr … et jamais j’avais baisé comme ça … c’est sûr … ni enculé une femme non plus … mais je n’étais pas content quand même … c’était elle qui m’avait baisé … j’étais un peu en colère, après elle et après moi … le résultat était le même, mais bon … en colère après elle !
Elle prenait sa douche quand Patrick est arrivé. Le patron était retenu au bureau et il l’avait envoyé à sa place. J’avais déjà fait un chantier avec lui, il était sympa :
- Ça sent bizarre, ici ! … bon qu’est-ce que t’as fait depuis ce matin ?
- Rien !
- Tu déconnes, là ? T’as rien foutu ? T’as de la chance qu’il m’ait envoyé à sa place ! t’en aurais pris une bonne !
- Je me suis fait baiser …
- Quoi ?
Et je lui ai raconté pendant qu’on finissait le café resté au chaud.
- Eh bien ne vous gênez pas !
Elle était à l’entrée de la cuisine, le peignoir tenu fermé avec ses mains, une serviette enroulée sur les cheveux.
Patrick s’est retourné et l’a regardée, un coude sur la table, l’autre sur le dossier de la chaise :
- Nicolas me racontait ce qu’il a fait ce matin … tu en étais où, déjà, Nico ?
- Ça suffit ! Mettez-vous au travail !
Patrick s’est levé et s’est approché d’elle, a enlevé la serviette de ses cheveux, et a écarté les mains qui retenaient son peignoir. Elle était à poil dessous :
- Arrêtez tout de suite !
Sa voix était moins autoritaire, moins sûre d’elle, et quand Patrick a lâché ses poignets, elle n’a pas bougé, les pans du peignoir encadrant ses seins et son ventre nus. Pour la première fois je l’ai regardée en détail : 30 ou 35 ans, brune avec les yeux noisette, joli visage, et vraiment bien roulée. J’étais tellement abasourdi et bousculé que je ne l’avais pas vraiment regardé avant ce moment.
… et puis elle avait l’air un peu perdue …
Patrick l’a prise par la main et elle l’a suivie dans le couloir, marchant derrière lui. Il est rentré dans la chambre sans fermer la porte, en me faisant un clin d’œil, et a lâché sa main pour commencer à se déshabiller. Elle le regardait faire sans bouger et elle a enlevé son peignoir quand il a été nu, s’est assise sur le lit et a pris son sexe dans sa bouche lorsqu’il s’est approché d’elle. De temps en temps, elle me regardait en le suçant. Je suis resté à la porte à la regarder faire jusqu’à ce qu’il jouisse sur ses lèvres. Patrick s’est allongé sur le lit dans son dos. Elle a levé les yeux sur moi, et m’a souri. Je me suis approché d’elle et elle m’a déshabillé …
Ce jour-là, on n’a pas beaucoup travaillé …
On est parti avant le retour de son mari. Elle était nue en nous raccompagnant à la porte et nous a embrassés :
- A demain …
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