Julia - histoire érotique

Je me présente, je m'appelle Julia, 35 ans, blonde, les yeux bleus. Je mesure 1m65, je fais du 95C. Je vis avec David depuis plusieurs années. Il a 38 ans, il mesure 1m83 pour 80 kg. Nous avons notre manière à nous de vivre notre sexualité. En effet, je suis soumise à mon homme. J'aime être sa chose, son objet de plaisir. Je ferais tout pour le rendre heureux.

Je rentre du travail plus tôt que David. Ce qui me permet de changer de tenue pour être à sa disposition dès qu'il franchit la porte de la maison.
Je file prendre une douche bien chaude, je me parfume à peine car David aime sentir l'odeur de mon excitation. J'enfile ensuite mes bas que j'accroche à mon porte jarretelle. Je mets ensuite une jupe qui soit suffisamment courte pour que si je me penche, mon homme puisse voir que je ne porte pas de culotte. Je mets ensuite un tee-shirt de couleur très clair et très échancré. Aucun doute ne pourra subsister sur le fait que je ne porte pas non plus de soutien gorge. Pour finir, je mets des escarpins noirs. Je me maquille un peu mais juste pour faire ressortir mes yeux.

L'heure approche. David ne va plus tarder à rentrer. Je mouille d'impatience. Mes seins sont gonflés par l'excitation. Mes tétons sont durs. Le frottement du tee shirt est presque insupportable. David m'interdit de me masturber en dehors de sa présence.
Et comme je suis docile, je lui obéis.

J'entends les clés dans la serrure. À peine la porte s'ouvre que je lui saute au cou, je l'embrasse goulûment. Ma main va directement sur sa queue. Je le sens durcir à travers son pantalon. Ça m'excite encore plus.
Il y a du bruit derrière David. J’interromps mon baiser pour m'apercevoir que Laurent, un collègue de travail est juste derrière lui.
Je suis confuse de m'être donnée en spectacle. Je murmure à David qu'il aurait pu me prévenir qu'il ne serait pas seul.

- Tu sais quoi, Laurent, ma p'tite chienne de femme aurait voulu que je la prévienne de ton arrivée! s'exclame David
Sur ces mots, il me prend par la taille, me dirige vers le salon.

- écartes tes jambes, mains derrière la tête!
Je me mets en position sans dire un mot car je sais qu'à la moindre protestation, il me punira sévèrement.
Il me fait me pencher en avant, relève ma jupe, cherche ma fente. Il y introduit son index sans ménagement. Il me doigte ouvertement devant son collègue. Malgré l'humiliation, je suis excitée comme jamais.
David ressort son doigt de mon intimité, le hume. Il le montre à Laurent.
- tu vois, elle est excitée comme une chienne en chaleur de te montrer son cul!

Laurent lui répond qu'il ne pourra pas rester car comme David peut le voir, il bande dur et il préfère ne pas éjaculer dans son boxer.

- Julia, ne le laisse pas dans cet état là! Montres lui comme tu es une bonne suceuse.

Je m'agenouille près de Laurent. Je caresse son sexe à travers le fin tissu de son pantalon. Il ne sait plus s'il doit me laisser faire ou pas. Il interroge du regard David. Celui-ci lui sourit tout en allant s’asseoir confortablement.
Je commence à dégrafer le pantalon, le boxer est tendu. Je glisse ma main à l'intérieur pour faire sortir ce pieu de chair qui ne cesse de gonfler. Laurent est rasé. J’adore lorsque le sexe de l'homme est rasé, sentir la peau soyeuse de ses couilles me donne envie de les gober, de les lécher.
J’approche mes lèvres de ce gland boursouflé. Je l'embrasse. Ma langue fait le tour du propriétaire. J’explore chaque recoin de ce sexe comme si c'était une sucrerie. Ma main caresse ses couilles, pendant que ma bouche avale au plus profond cette magnifique tige. Je fais des va et vient avec ma bouche et quand celle ci abandonne la queue, c'est pour mieux lécher ou gober ses couilles. J’entends Laurent pousser des râles de plaisir. Il malaxe mes seins au travers de mon tee-shirt. Il me pince doucement les tétons. Je gémis de plaisir.
David se lève, il nous rejoint. Il a sorti sa queue et me la tend. Il en profite pour sortir mes seins par l'encolure de mon tee-shirt. Il me dit que je suis encore plus belle avec les seins comme ça, une vraie chienne bouffeuse de bites.

Je prends sa queue en bouche tout en branlant Laurent. Ils me malaxent les seins de plus en plus fort. Ils me les pincent, me les tirent, mettent quelques claques sur le téton...
J’alterne du mieux que je peux les deux queues qui se présentent à ma bouche. J’essaie de les prendre au plus loin dans ma bouche, ça me fait saliver encore plus. Je caresse leurs couilles, je les malaxe doucement.

Laurent, entre deux râles, dit qu'il ne va pas tarder à tout lâcher si je continue à ce rythme. David lui dit que j'adore qu'on me parle plus crûment. C’est vrai que j'adore ça.

-hummm, je veux jouir dans ta chatte! Je veux te voir dégouliner de mon foutre!
Instinctivement, je lui présente ma croupe.

- écartes tes fesses, espèce de salope! Je veux mieux voir tes trous à bite! m'ordonne Laurent
Je m'exécute. J’ai trop envie de le sentir en moi.

Il me doigte sans ménagement. Il met deux doigts, puis trois. Il me fouille! Je gémis tout en continuant à sucer David.
David me prend par les cheveux pour me maintenir la tête et me baise littéralement la bouche.
Je suis à l'entière disposition de ces deux mâles. Je suis leur objet.

Laurent présente sa queue devant ma chatte, il s'enduit de ma mouille. Puis, il s'enfonce d'un trait en moi. Il attrape un de mes seins, il tire dessus un peu plus fort à chaque coup de rein. Il me pilonne la chatte.
De son autre main, il claque mon cul en me disant que je ne suis qu'un garage à bite, un sac à foutre.

-tu voulais une queue, hein ma salope. En voila une bien dure pour te défoncer ta chatte. Il claque mon cul de plus en plus fort et tire aussi sur mon sein.
Cette situation excite David, il prend l'autre sein et le malaxe tout en continuant à me baiser la bouche.
Je commence à jouir violemment. Ce qui provoque la jouissance de mes deux amants. Je sens les jets puissants de sperme de Laurent. Il n'en finit plus de jouir en moi.
David, de son coté, maintient ma tête plaquée sur sa queue afin que je ne perde pas une goutte de se précieux nectar. Je manque de m'étouffer. Il se retire afin de me laisser reprendre mon souffle.

Je suis heureuse car j'ai rendu mon homme heureux. Et je sens la luxure. Mon homme me prend dans ses bras, il m'embrasse tendrement. Il me chuchote qu'il m'aime plus que tout.

Mes amants une fois vidés et moi remplie, je veux me rhabiller, ou du moins rabattre ma jupe et remettre mes seins sous mon tee shirt.
Là, les deux hommes protestent ensemble. Ils veulent me voir en objet de leur plaisir et me disent qu'ils n'en ont pas fini avec moi, la soirée ne fait que commencer.