Julia 2 (partie2)
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2015 dans la catégorie Plus on est
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Julia 2 (partie2)
Julia me fait venir chez elle:son mari lui acheté sur le marché un esclave libyen ? Il a fait une affaire : il doit avoir 18 ans, plein de réserves. Pour lui contenter deux ou trois femmes ne doit pas être un problème, même s'il est vierge, ce qui serait étonnant. Le marchand est très sérieux, un esclave doit satisfaire une femme bien chaude, comme nous le sommes toutes dans notre région.
Elle lui ordonne de se mettre nu devant nous : il le fait en sachant que la suite sera pour sa bite. C'est peu être gênant, mais ce n'est qu'un esclave.
Il est bien fait, sa bite un peu grosse, ses couilles aussi. La raie de son cul donne des envies d'aller y fourrer une main curieuse. Il fait un tour sur lui même : quand il finit, il commence à bander d'importance.
C'est notre première bite nouvelle depuis un long moment. Je suis surprise, agréablement quand Julia me le propose en premier. Je le fais venir contre moi pour que je sente sa queue dure contre mon ventre. Il pourrait entrer directement dans le ventre en traversant ma peau.
Je mouille d'importance, le dis à Julia qui me comprend : elle aussi a envie de la bite neuve encore pour nous.
Plus le temps passe, plus la bite grossit : le gland arrive à sortir seul de sa protection. Nous allons prendre un sacré pied avec une telle queue.
Je la prend dans la main, elle frémit. Je la passe dans la bouche, un goût extraordinaire, bien meilleur que celle du mari de Julia ou du mien. Moins bien quand même que le sexe de Julia, hors concours pour moi.
J'arrête de la toucher, sinon elle giclerait trop vite pour nous satisfaire l'une et l'autre.
Je suis obligée de me coucher, plombée par le désir. Mes jambes ouverte lui montre bien la cible. Enfin il comprend qu'il doit me la mettre.
Il est sur moi, entre mes jambes ouvertes sans pudeur même devant mon amante. Je sens sa queue frotter contre une cuisse, en haut. Je la prend dans la main pour la diriger vers le vagin.
Il est contre ma personnalité, il écarte les lèvres avec son gland. Je le sens maintenant en moi. Il s'enfonce trop doucement au lieu de me défoncer. Quand Julia lui entre un doigt dans le cul, il réagit bien en me la mettant fond. J'ai le sexe plein de cette bite d'esclave:c'est bon, il va me faire jouir. Avec un peu de chance lui aussi jouira dans mon ventre en me donnant ce que j'aime une bonne dose de sperme.
C'est la paradis quand Julia, excitée vient me donner sa chatte sur la bouche en venant presque s'asseoir sur mon visage. Le goût de son jus m'excite plus que la bite. Pourtant je ne peux résister au plaisir qui monte de mon sexe.
Je ne sais pourquoi, personne ne le lui a demandé, il change d'endroit. Je le sens contre mon cul.
J'allais jouir d'un endroit, il va me faire jouir par ailleurs. Il entre sans difficulté dans l'anus. Il faut dire que je me fait sodomiser souvent par mes amants, même par la langue de Julia.
Il me fait du bien dès qu'il entre.
Mon cul s'ouvre seul. Il pousse le « vice » en mettant sa main sur la chatte pour me branler. Surprise de sa capacité à me faire partir, je mordille doucement le clitoris que j'ai en bouche : Julia ne s'en plaint pas au contraire.
C'est bon de baiser à trois, ainsi. Il faudra que j'essaye avec deux esclaves pour qu'ils entre ensemble et dans la con et dans le cul. Ce doit être divin.
Pour remercier mon mari, ce soir je le ferais sodomiser par l'esclave il doit être capable de faire jouir mon mari aussi.
Mais avant je veux l'offrir à Julia qui aime avoir le con occupé par une belle queue.
Je lui fait plaisir, elle couche l'esclave sur le dos, se met en 69 sur lui. Elle se fait lécher la rondelle, pas le sexe, lui avale la bite, lèche longuement le gland. Elle est assez excitée, elle se tourne pour venir se faire mettre. Je vois tout. Je vois la bite entrer dans le con mouillé ouvert. Je vois les couilles aller contre les fesses. Elle s'attache à lui avec ses jambes, jubile de se faire niquer ainsi. Elle jouit , à ma connaissance, deux fois de suite.
Quand elle se relève du sperme coule en abondance entre ses cuisses. Elle me demande de le récupérer et lui en donner. Je lèche le tout et la bouche presque pleine je vais embrasser Julia sur la bouche en lui donnant un reste de semence. Elle profite de la position pour me masturber jusqu'à l'orgasme.
Elle lui ordonne de se mettre nu devant nous : il le fait en sachant que la suite sera pour sa bite. C'est peu être gênant, mais ce n'est qu'un esclave.
Il est bien fait, sa bite un peu grosse, ses couilles aussi. La raie de son cul donne des envies d'aller y fourrer une main curieuse. Il fait un tour sur lui même : quand il finit, il commence à bander d'importance.
C'est notre première bite nouvelle depuis un long moment. Je suis surprise, agréablement quand Julia me le propose en premier. Je le fais venir contre moi pour que je sente sa queue dure contre mon ventre. Il pourrait entrer directement dans le ventre en traversant ma peau.
Je mouille d'importance, le dis à Julia qui me comprend : elle aussi a envie de la bite neuve encore pour nous.
Plus le temps passe, plus la bite grossit : le gland arrive à sortir seul de sa protection. Nous allons prendre un sacré pied avec une telle queue.
Je la prend dans la main, elle frémit. Je la passe dans la bouche, un goût extraordinaire, bien meilleur que celle du mari de Julia ou du mien. Moins bien quand même que le sexe de Julia, hors concours pour moi.
J'arrête de la toucher, sinon elle giclerait trop vite pour nous satisfaire l'une et l'autre.
Je suis obligée de me coucher, plombée par le désir. Mes jambes ouverte lui montre bien la cible. Enfin il comprend qu'il doit me la mettre.
Il est sur moi, entre mes jambes ouvertes sans pudeur même devant mon amante. Je sens sa queue frotter contre une cuisse, en haut. Je la prend dans la main pour la diriger vers le vagin.
Il est contre ma personnalité, il écarte les lèvres avec son gland. Je le sens maintenant en moi. Il s'enfonce trop doucement au lieu de me défoncer. Quand Julia lui entre un doigt dans le cul, il réagit bien en me la mettant fond. J'ai le sexe plein de cette bite d'esclave:c'est bon, il va me faire jouir. Avec un peu de chance lui aussi jouira dans mon ventre en me donnant ce que j'aime une bonne dose de sperme.
C'est la paradis quand Julia, excitée vient me donner sa chatte sur la bouche en venant presque s'asseoir sur mon visage. Le goût de son jus m'excite plus que la bite. Pourtant je ne peux résister au plaisir qui monte de mon sexe.
Je ne sais pourquoi, personne ne le lui a demandé, il change d'endroit. Je le sens contre mon cul.
J'allais jouir d'un endroit, il va me faire jouir par ailleurs. Il entre sans difficulté dans l'anus. Il faut dire que je me fait sodomiser souvent par mes amants, même par la langue de Julia.
Il me fait du bien dès qu'il entre.
Mon cul s'ouvre seul. Il pousse le « vice » en mettant sa main sur la chatte pour me branler. Surprise de sa capacité à me faire partir, je mordille doucement le clitoris que j'ai en bouche : Julia ne s'en plaint pas au contraire.
C'est bon de baiser à trois, ainsi. Il faudra que j'essaye avec deux esclaves pour qu'ils entre ensemble et dans la con et dans le cul. Ce doit être divin.
Pour remercier mon mari, ce soir je le ferais sodomiser par l'esclave il doit être capable de faire jouir mon mari aussi.
Mais avant je veux l'offrir à Julia qui aime avoir le con occupé par une belle queue.
Je lui fait plaisir, elle couche l'esclave sur le dos, se met en 69 sur lui. Elle se fait lécher la rondelle, pas le sexe, lui avale la bite, lèche longuement le gland. Elle est assez excitée, elle se tourne pour venir se faire mettre. Je vois tout. Je vois la bite entrer dans le con mouillé ouvert. Je vois les couilles aller contre les fesses. Elle s'attache à lui avec ses jambes, jubile de se faire niquer ainsi. Elle jouit , à ma connaissance, deux fois de suite.
Quand elle se relève du sperme coule en abondance entre ses cuisses. Elle me demande de le récupérer et lui en donner. Je lèche le tout et la bouche presque pleine je vais embrasser Julia sur la bouche en lui donnant un reste de semence. Elle profite de la position pour me masturber jusqu'à l'orgasme.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Serait-il possible d'avoir une orthographe qui ne demande pas au lecteur de relire trois fois une phrase pour deviner ce qu'elle signifie ?
Ma chérie qui est Libyenne me fait remarquer une petite erreur de détail "le gland arrive à sortir seul de sa protection" ... s'il est Libyen il n'y a plus de protection parce qu'il est circoncis ! A part ça on a bien aimé l'histoire