Julie et ses cousins
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2005 dans la catégorie Plus on est
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Julie et ses cousins
Je m’appelle Julie, j’ai 18 ans et j’habite Saint Etienne. Je sors avec Alex depuis 9 mois. Assez prude au début, Alex m’a appris à me dévergonder. Il était arrivé à me faire avaler son sperme lorsque je le suçais. Ca m’excitait terriblement et j’avais de plus en plus envie de lui.
Aussi, pour ses 19ans, je lui offert mon dépucelage. Depuis, nous faisons l’amour régulièrement. Depuis peu, il me prend également mon p’tit cul.
J’ai accepté car j’avais peur qu’il aille voir une fille du lycée qui pratiquait la sodomie et qui avait un penchant pour mon homme. Finalement, j’aime ça aussi.
Mais voilà les vacances arrivent et comme chaque année, je vais chez mes grands parents retrouver mes cousins.
Les 2 dernières années, nous jouons au je de la séduction entre cousins cousines et je m’amusais à les allumer au maximum. L’aîné, Benoit, âgé de 22 ans, m’avait dit, en partant l’été dernier, que je finirais un jour dans son lit. A ce jeu, le vainqueur n’est pas toujours celui que l’on croit.
Cette année, je suis arrivée après eux. Les 3 frères avaient donc choisit leur chambre. Et comme par hasard, Benoit avait pris la chambre à côté de la mienne. Elle a la particularité d’avoir une porte de communication.
Dès le premier jour, je les ai allumé comme à mon habitude. Pour cela, je m’étais vêtu d’une mini jupe en jean et d’un tee-shirt moulant qui laissait apparaître mes petits tétons. A la plage, mon maillot de bain était très échancré. Pendant leur jeu favori, me jeter à l’eau, les mains avaient tendance à être baladeuses mais je ne m’en offusquais pas. Dès notre retour, j’ai foncé à la salle de bain. Légèrement excitée je m’étais caressée sous la douche, mon copain me manquait déjà.
En fermant la porte de ma chambre, enroulée dans ma serviette, Benoit, caché derrière la porte, m’attrapa et mis la main sur la bouche. Il me dit qu’après l’avoir excité pendant 2 ans, il méritait bien une petite gâterie. Je savais que cela allais arrivé et pour ne pas qu’il profite encore plus de la situation, accepta d’un signe de tête. Il me lâcha et alla s’allonger sur le lit. Vite défait de ses vêtements, je me positionna entre ses jambes et avala sa verge déjà bien raide. Il me proposa alors de changer de position pour qu’il me procure aussi du plaisir de sa langue. Comme la fellation m’excite terriblement, je me mis en position et Benoit me fit un cunnilingus qui me fit craquer. Voyant mon état, Benoit abandonna son cunnilingus et se coucha sur moi. La pénétration était inévitable et j’en avais terriblement envie. Jamais Alex ne m’avait fait autant jouir. Benoit avait une manière de me prendre qui me fit grimper au ciel. Avant de jouir, il me présenta son sexe devant ma bouche. Pour le remercier de m’avoir fait autant de bien, j’avala son sperme et le nettoya parfaitement. Puis, il m’embrassa avant de regagner sa chambre pour le reste de la nuit. J’avais été prise à mon propre piège.
Durant toute la journée du lendemain, il profitait de chaque occasion pour passer sa main sous ma jupe. Comme il ne faisait pas assez beau pour la plage, dans l’après midi nous sommes allés au café. Deux filles, qui étaient déjà passé dans les bras des cousins étaient là. Benoit laissa ses 2 frères, Pierre et Quentin, s’emballer les minettes. Elles n’étaient pas farouche et se laissaient peloter sans gène. Le soir arriva et l’heure du dîner familial, avec les grands parents arrivait. Après, nous sommes sortis de nouveau et les cousins ont retrouvé les minettes. Rapidement, ils décidèrent de ramener les filles dans leur chambre. Benoit et moi sommes également rentrés. Mais cette fois, je les devancé et lorsqu’il est entré dans sa chambre, il me trouva nue dans son lit. Une fois déshabillé, il m’y retrouva. Le connaissant mieux sur le point sexuel, je le suça avec plus d’envie. Quant à sa langue, elle était encore meilleure que la veille. De temps à autre, il s’attardait sur mon œillet et ses doigts s’agitaient dans mes deux orifices. Au bord de l’extase, je le repoussa et m’empala sur lui. Quel bonheur de le sentir en moi. Puis, il me fit pivoter et m’installa à quatre pattes sur le lit. J’aime être prise en levrette et je sais que la plupart du temps, Alex finit dans mon p’tit cul. Ce sera pareil pour Benoit. Après quelques va et vient, je pris l’initiative. J’attrapa son sexe et le présenta à mon autre orifice. Il s’enfonça lentement dans mon anus. Une fois entièrement entrée, il commença des va et vient rapides et violents. J’étouffais mes cris dans l’oreiller. Puis, ce fut l’apothéose lorsqu’il passa d’un orifice à l’autre. Lorsqu’il changeait, j’avais l’impression de le sentir encore dans l’autre orifice. C’était divin. Il finit par se vider dans mon p’tit cul qu’il trouve si bandant. Je resta un moment contre lui tout en caressant l’objet qui m’avait fait tant fait jouir. Il reprit vigueur et je le masturbais jusqu’à l’éjaculation.
Dans les autres chambres, le calme était revenu également. On les retrouva dans la cuisine, les mecs en caleçon et moi en robe de chambre. Ils nous racontèrent comment ils avaient échangé les filles pour finir à deux dans la plus dévergondée.
- Quentin : Et vous, vous avez l’air fatigués- Benoit : Je me suis contentais de notre cousine préférée- Pierre : Alors, c’était comment- Benoit : C’est une bombe- Moi : Merci pour la discrétion, enfin même seule, je l’ai crevée votre frère.
- Quentin : Bon je vais me coucher mais tu ne perds rien pour attendre ma jolie- Moi : Des promesses, des promesses- Quentin : Ne me provoque pas- Moi : Bonne nuit les petits.
Je suis partie me coucher en fermant bien la porte de ma chambre mais en les provoquant de la sorte, je savais que tôt ou tard !!!
La journée du lendemain a été tranquille. Par contre, le soir, c’était la fête au village. Pour l’occasion, j’avais mis une petite robe légère. Nous voilà partie tous les quatre rejoindre les 2 filles à la fête. Nous avons bu, dansé une bonne partie de la soirée.
Vers 2 heures du matin, les garçons nous ont proposé de rentrer finir la soirée chez nous. Seule la plus chaudasse accepta de nous accompagner. Nous avons atterri dans la plus grande chambre. Comme par hasard, Benoit s’occupa de Sylvie tandis que les 2 autres m’étaient réservés.
Quentin et Pierre m’entouraient sur le canapé, Sylvie et Benoit étaient sur le lit.
Déjà, les mains montaient le long de mes cuisses. Pierre fit descendre la fermeture de ma robe pour dénuder mes seins. Une bouche sur mes seins, une main entre mes cuisses, je commençais à gémir d’excitation. Je ne restais pas inactive en faisant jaillir leur membre déjà bien raide. Sylvie suçait déjà Benoit et je m’allongeais pour prendre celle de Pierre en bouche. Pendant ce temps, Quentin s’occupait de mon minou. Je me soulevais un peu afin que Quentin puisse m’enlever mon string plus facilement. Quelques minutes plus tard, nous étions tous les cinq, nus, sur le grand lit. Benoit prenait Sylvie et Quentin s’activait entre mes jambes. Pierre s’amusait à se faire sucer tantôt par l’une, tantôt par l’autre. Nos gémissements les excitaient d’autant plus. Les garçons nous firent nous mettre à quatre pattes côte à côte. Après une préparation, ils nous sodomisèrent. Visiblement, Sylvie aimait ça autant que moi. Pierre profita de l’occasion pour se glisser sous moi. Je connus ainsi ma première double et j’avoue que c’était extraordinaire. Quel bonheur de sentir deux sexes en soi. En sentant couler leur jus en moi, je poussais un cri d’extase.
Les garçons nous ont alors demandé de les remettre en forme. Mais alors que nous allions nous occuper de leur sexe, ils ont refusé en nous demandons de s’occuper l’une de l’autre.
Sylvie, aimant le sexe sous toutes ses formes, s’est occupée de mes seins. Bien que très douces, les caresses d’une autre femme ne me faisaient pas beaucoup d’effet. Alors j’ai pris les choses en main. Je me suis alors occupée de ses seins à mon tour tandis que mes doigts caressaient son clitoris. 2 de mes doigts l’ont pénétrés sans difficulté. Un troisième, puis un quatrième ont rejoint les 2 autres. Je tentais alors d’y enfoncer le dernier. Ma main était absorbée par son sexe dégoulinant. Les gars étaient en stupéfait devant ce spectacle mais l’excitation se voyait déjà sur leur sexe. Après quelques instants de ce traitement, Quentin et Pierre voulurent faire une expérience. En prenant une pose peu orthodoxe, ils réussirent à lui faire subir une double pénétration vaginale. Elle y prenait visiblement beaucoup de plaisir. Très excitais également, je m’empala sur Benoit et j’avais choisie une pénétration anale au plus grand plaisir de mon partenaire. Après quelques minutes, Pierre se libéra pour se vider dans la bouche de Sylvie tandis que Quentin choisit la mienne. J’avala sa semence au moment même où Benoit éjacula dans mon jolie p’tit cul.
Je me suis découvert durant ces vacances une attitude de garce, à la limite de la nymphomane, et mon mec a été cocufié presque tout les soirs.
Même durant le trajet du retour en train, je me suis laissée séduire par un homme d’une quarantaine d’année qui m’a baisée dans les toilettes.
Aussi, pour ses 19ans, je lui offert mon dépucelage. Depuis, nous faisons l’amour régulièrement. Depuis peu, il me prend également mon p’tit cul.
J’ai accepté car j’avais peur qu’il aille voir une fille du lycée qui pratiquait la sodomie et qui avait un penchant pour mon homme. Finalement, j’aime ça aussi.
Mais voilà les vacances arrivent et comme chaque année, je vais chez mes grands parents retrouver mes cousins.
Les 2 dernières années, nous jouons au je de la séduction entre cousins cousines et je m’amusais à les allumer au maximum. L’aîné, Benoit, âgé de 22 ans, m’avait dit, en partant l’été dernier, que je finirais un jour dans son lit. A ce jeu, le vainqueur n’est pas toujours celui que l’on croit.
Cette année, je suis arrivée après eux. Les 3 frères avaient donc choisit leur chambre. Et comme par hasard, Benoit avait pris la chambre à côté de la mienne. Elle a la particularité d’avoir une porte de communication.
Dès le premier jour, je les ai allumé comme à mon habitude. Pour cela, je m’étais vêtu d’une mini jupe en jean et d’un tee-shirt moulant qui laissait apparaître mes petits tétons. A la plage, mon maillot de bain était très échancré. Pendant leur jeu favori, me jeter à l’eau, les mains avaient tendance à être baladeuses mais je ne m’en offusquais pas. Dès notre retour, j’ai foncé à la salle de bain. Légèrement excitée je m’étais caressée sous la douche, mon copain me manquait déjà.
En fermant la porte de ma chambre, enroulée dans ma serviette, Benoit, caché derrière la porte, m’attrapa et mis la main sur la bouche. Il me dit qu’après l’avoir excité pendant 2 ans, il méritait bien une petite gâterie. Je savais que cela allais arrivé et pour ne pas qu’il profite encore plus de la situation, accepta d’un signe de tête. Il me lâcha et alla s’allonger sur le lit. Vite défait de ses vêtements, je me positionna entre ses jambes et avala sa verge déjà bien raide. Il me proposa alors de changer de position pour qu’il me procure aussi du plaisir de sa langue. Comme la fellation m’excite terriblement, je me mis en position et Benoit me fit un cunnilingus qui me fit craquer. Voyant mon état, Benoit abandonna son cunnilingus et se coucha sur moi. La pénétration était inévitable et j’en avais terriblement envie. Jamais Alex ne m’avait fait autant jouir. Benoit avait une manière de me prendre qui me fit grimper au ciel. Avant de jouir, il me présenta son sexe devant ma bouche. Pour le remercier de m’avoir fait autant de bien, j’avala son sperme et le nettoya parfaitement. Puis, il m’embrassa avant de regagner sa chambre pour le reste de la nuit. J’avais été prise à mon propre piège.
Durant toute la journée du lendemain, il profitait de chaque occasion pour passer sa main sous ma jupe. Comme il ne faisait pas assez beau pour la plage, dans l’après midi nous sommes allés au café. Deux filles, qui étaient déjà passé dans les bras des cousins étaient là. Benoit laissa ses 2 frères, Pierre et Quentin, s’emballer les minettes. Elles n’étaient pas farouche et se laissaient peloter sans gène. Le soir arriva et l’heure du dîner familial, avec les grands parents arrivait. Après, nous sommes sortis de nouveau et les cousins ont retrouvé les minettes. Rapidement, ils décidèrent de ramener les filles dans leur chambre. Benoit et moi sommes également rentrés. Mais cette fois, je les devancé et lorsqu’il est entré dans sa chambre, il me trouva nue dans son lit. Une fois déshabillé, il m’y retrouva. Le connaissant mieux sur le point sexuel, je le suça avec plus d’envie. Quant à sa langue, elle était encore meilleure que la veille. De temps à autre, il s’attardait sur mon œillet et ses doigts s’agitaient dans mes deux orifices. Au bord de l’extase, je le repoussa et m’empala sur lui. Quel bonheur de le sentir en moi. Puis, il me fit pivoter et m’installa à quatre pattes sur le lit. J’aime être prise en levrette et je sais que la plupart du temps, Alex finit dans mon p’tit cul. Ce sera pareil pour Benoit. Après quelques va et vient, je pris l’initiative. J’attrapa son sexe et le présenta à mon autre orifice. Il s’enfonça lentement dans mon anus. Une fois entièrement entrée, il commença des va et vient rapides et violents. J’étouffais mes cris dans l’oreiller. Puis, ce fut l’apothéose lorsqu’il passa d’un orifice à l’autre. Lorsqu’il changeait, j’avais l’impression de le sentir encore dans l’autre orifice. C’était divin. Il finit par se vider dans mon p’tit cul qu’il trouve si bandant. Je resta un moment contre lui tout en caressant l’objet qui m’avait fait tant fait jouir. Il reprit vigueur et je le masturbais jusqu’à l’éjaculation.
Dans les autres chambres, le calme était revenu également. On les retrouva dans la cuisine, les mecs en caleçon et moi en robe de chambre. Ils nous racontèrent comment ils avaient échangé les filles pour finir à deux dans la plus dévergondée.
- Quentin : Et vous, vous avez l’air fatigués- Benoit : Je me suis contentais de notre cousine préférée- Pierre : Alors, c’était comment- Benoit : C’est une bombe- Moi : Merci pour la discrétion, enfin même seule, je l’ai crevée votre frère.
- Quentin : Bon je vais me coucher mais tu ne perds rien pour attendre ma jolie- Moi : Des promesses, des promesses- Quentin : Ne me provoque pas- Moi : Bonne nuit les petits.
Je suis partie me coucher en fermant bien la porte de ma chambre mais en les provoquant de la sorte, je savais que tôt ou tard !!!
La journée du lendemain a été tranquille. Par contre, le soir, c’était la fête au village. Pour l’occasion, j’avais mis une petite robe légère. Nous voilà partie tous les quatre rejoindre les 2 filles à la fête. Nous avons bu, dansé une bonne partie de la soirée.
Vers 2 heures du matin, les garçons nous ont proposé de rentrer finir la soirée chez nous. Seule la plus chaudasse accepta de nous accompagner. Nous avons atterri dans la plus grande chambre. Comme par hasard, Benoit s’occupa de Sylvie tandis que les 2 autres m’étaient réservés.
Quentin et Pierre m’entouraient sur le canapé, Sylvie et Benoit étaient sur le lit.
Déjà, les mains montaient le long de mes cuisses. Pierre fit descendre la fermeture de ma robe pour dénuder mes seins. Une bouche sur mes seins, une main entre mes cuisses, je commençais à gémir d’excitation. Je ne restais pas inactive en faisant jaillir leur membre déjà bien raide. Sylvie suçait déjà Benoit et je m’allongeais pour prendre celle de Pierre en bouche. Pendant ce temps, Quentin s’occupait de mon minou. Je me soulevais un peu afin que Quentin puisse m’enlever mon string plus facilement. Quelques minutes plus tard, nous étions tous les cinq, nus, sur le grand lit. Benoit prenait Sylvie et Quentin s’activait entre mes jambes. Pierre s’amusait à se faire sucer tantôt par l’une, tantôt par l’autre. Nos gémissements les excitaient d’autant plus. Les garçons nous firent nous mettre à quatre pattes côte à côte. Après une préparation, ils nous sodomisèrent. Visiblement, Sylvie aimait ça autant que moi. Pierre profita de l’occasion pour se glisser sous moi. Je connus ainsi ma première double et j’avoue que c’était extraordinaire. Quel bonheur de sentir deux sexes en soi. En sentant couler leur jus en moi, je poussais un cri d’extase.
Les garçons nous ont alors demandé de les remettre en forme. Mais alors que nous allions nous occuper de leur sexe, ils ont refusé en nous demandons de s’occuper l’une de l’autre.
Sylvie, aimant le sexe sous toutes ses formes, s’est occupée de mes seins. Bien que très douces, les caresses d’une autre femme ne me faisaient pas beaucoup d’effet. Alors j’ai pris les choses en main. Je me suis alors occupée de ses seins à mon tour tandis que mes doigts caressaient son clitoris. 2 de mes doigts l’ont pénétrés sans difficulté. Un troisième, puis un quatrième ont rejoint les 2 autres. Je tentais alors d’y enfoncer le dernier. Ma main était absorbée par son sexe dégoulinant. Les gars étaient en stupéfait devant ce spectacle mais l’excitation se voyait déjà sur leur sexe. Après quelques instants de ce traitement, Quentin et Pierre voulurent faire une expérience. En prenant une pose peu orthodoxe, ils réussirent à lui faire subir une double pénétration vaginale. Elle y prenait visiblement beaucoup de plaisir. Très excitais également, je m’empala sur Benoit et j’avais choisie une pénétration anale au plus grand plaisir de mon partenaire. Après quelques minutes, Pierre se libéra pour se vider dans la bouche de Sylvie tandis que Quentin choisit la mienne. J’avala sa semence au moment même où Benoit éjacula dans mon jolie p’tit cul.
Je me suis découvert durant ces vacances une attitude de garce, à la limite de la nymphomane, et mon mec a été cocufié presque tout les soirs.
Même durant le trajet du retour en train, je me suis laissée séduire par un homme d’une quarantaine d’année qui m’a baisée dans les toilettes.
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