Julie la coquine - histoire érotique

Julie et Romain forment un couple heureux, ils se connaissent depuis une dizaine d’année et ont débuté leur relation il y a 8 ans.
Romain est chauffeur routier et il est donc souvent en déplacement durant quelques jours. Il a toujours été soucieux que Julie profite de ces absences à répétitions pour lui trouver un remplaçant.
Il faut dire qu’avec son physique elle pourrait facilement attirer plus d’un homme dans son lit. Ses longs cheveux bruns ondulent gracieusement autour de son visage fin que ces magnifiques yeux verts illuminent. Quand il rentre à la maison, Romain adore qu’elle l’accueille dans sa nuisette noire nouée autour de sa taille faisant ressortir les formes élégantes de ses fesses. Le décolleté qu’offre cette lingerie ne laisse pas sa généreuse poitrine en reste, elle y est également largement mise en valeur et il ne peut s’empêcher d’y jeter des yeux envieux au moment de l’embrasser.
Malgré cela, Julie lui a toujours promis qu’elle était entièrement satisfaite de son homme et qu’elle était d’autant plus excitée d’attendre ses retours de mission pour partager avec lui de longs moments coquins.

En l’attendant il lui arrivait régulièrement de céder aux plaisirs solitaires. Dans ces moments là, elle commençait par penser à son amour et à son corps qui ne tarderait pas à revenir se coller à elle. Elle s’imaginait les bras solides de Romain la serrant contre son torse tandis qu’il la couvrait de tendres baisers. Rien qu’à cette image, elle sentait son excitation monter et ne désirait que sa langue titillant son clitoris. Son amant excelle dans cet art, elle adore ces moments où elle peut se laisser aller à son plaisir tout en agrippant sa belle tignasse pour le forcer à continuer jusqu’à ce qu’elle jouisse contre sa bouche.

Romain lui avait offert un coffret de sextoys divers à leur dernier anniversaire. Il voulait être sûr que Julie ne s’ennuyait pas en son absence.
Depuis, ses séances de plaisirs solitaires avaient pris une autre dimension. Elle découvrait de nouvelles sensations avec chacun de ses jouets.
Son préféré était sans doute le Womenizer qui la faisait littéralement perdre pied lorsqu’elle l’appliquait sur son clitoris. Après avoir jouis ainsi, désireuse de retrouver les ressentis de ses ébats avec Romain, elle prenait plaisir à titiller son point G avec un gode ultra-réaliste moulé sur son sexe. Cela avait régulièrement pour effet de lui déclencher un tel orgasme qu’elle se surprenait à crier son plaisir sans retenue.
Quand il rentrait, elle se plaisait à lui raconter ses jeux solitaires ce qui excitait Romain au plus haut point. Elle s’assurait ainsi une soirée mémorable en sa compagnie. La soirée ne suffisait d’ailleurs que rarement et la journée du lendemain était généralement occupée à rattraper le retard pour combler l’appétit sexuel des deux tourtereaux.
Leur vie leur convenait ainsi à merveille. Romain se sentait rassuré que sa copine prenne tant de plaisir toute seule. Elle était si comblée par ses jouets et ses pensées solitaires qu’elle ne pensait pas à se trouver un amant.


Ce jour-là, elle avait invité sa meilleure amie Célia pour un souper et une soirée devant leur série du moment. Elles passaient une soirée déjà très agréable quand Célia, en déplaçant un coussin sur le canapé, découvrit le jouet préféré de son hôtesse. Étant très complices, les deux amies ne se cachaient rien et cela ne la surpris donc pas. Elles en rirent un instant puis poursuivirent leur soirée. Cependant, une tension régnait dans le salon, Célia n’avait pas de mec en ce moment et elle n’avait donc pas été caressée depuis quelques temps. Julie quand à elle ne pouvait s’empêcher de penser à ce qu’elle ferait une fois que Célia serait partie depuis qu’elle avait vu son Womenizer qui n’attendait qu’elle.
C’est donc naturellement que leurs mains ont commencé à se frôler. S’apercevant toutes deux que leur frôlements faussement accidentels n’était pas repoussés elles ont eu tôt fait de les transformer en caresses plus poussées.
Julie se sentait coupable de tromper ainsi son copain. Pourtant l’excitation était si forte, Célia était si belle. Elle avait l’habitude de toujours soigner son apparence et ce soir ne faisait pas exception. Elle portait un chemisier bordeaux serré à la taille par une large ceinture qui accentuait les courbes de ses hanches. Son pantalon noir taille haute moulait parfaitement ses fesses galbées que Julie s’était déjà surprise à mater tandis qu’elles préparaient le repas.
Malgré ses pensées envers Romain elle ne put s’empêcher d’approcher ses lèvres de celles de son amie. Elle savait qu’elle ne reculerait pas. Elle sentait son excitation autant que la sienne. C’est donc sans surprise que leurs langues se mêlèrent sensuellement. Un simple regard échangé et elles comprirent que ce soir elles ne verraient pas un seul épisode de leur série.

Célia prit le dessus et se mit à cheval sur Julie. Elle dégrafa sa robe et fit glisser les bretelles le long de ses hanches pour pouvoir masser et embrasser ses seins nus. Elle vit ainsi gonfler les tétons de son amante du soir tandis que sa culotte se trempait de désir. Elle se releva pour se déshabiller elle aussi et offrir son corps aux mains et à la bouche de Julie. Après l’avoir couverte de baisers Julie en voulait plus. Toujours assise sur le canapé, elle attira son amie contre elle pour écarter sa culotte et découvrir son sexe impeccablement rasé. Elle le pris dans sa bouche et découvrit le plaisir que pouvait prendre son copain à lécher sa chatte. Elle se délectait du jus que lui offrait Célia en alternant habilement les coups de langue et l’aspiration de son clitoris qui était désormais bien gonflé. Lorsqu’elle eu joui, Célia voulu rendre la pareille à son amie. Ne voyant pas son orgasme venir, elle se souvint de ce qui avait déclenché cette situation et plaqua le Womenizer directement sur le clitoris de Julie qui montra immédiatement des signes de plaisirs. Elle gémissait en s’agrippant de plus en plus fort au bras de Célia. Lorsque l’orgasme l’atteint, il fut si fort qu’elles restèrent toutes deux sans voix de longues minutes l’une dans les bras de l’autre. Après avoir repris leurs esprits, Julie décida de présenter à Célia ses autres jouets. Elle lui précisa tout de même que la queue de Romain lui était réservée et qu’elle devrait s’en choisir un autre.
Vu l’effet que le Womenizer avait fait à son amie, elle lui demanda si elle pouvait l’essayer. Julie ne pouvait pas le lui refuser, elle s’en saisit et poussa Célia sur le dos. Elle se coucha sur elle pour la câliner un peu. Lorsqu’elles sentirent leurs sexes se toucher elles ne purent retenir des gémissements de plaisir. Elles se frottèrent ainsi jusqu’à ce qu’elles atteignent ensemble leur deuxième orgasme lesbien.
Julie n’avait pas oublié son idée de base et se remit à caresser Célia avant de l’initier au plaisir du Womenizer. Célia perdit rapidement le contrôle, le plaisir se répandit en elle la faisant frissonner de tout son corps. Lorsqu’elle jouit, une sensation nouvelle l’envahît, elle ne maitrisait plus rien, elle se cambra et laissa échapper de longs cris de jouissances qui la laissèrent confuse.
Pendant qu’elle reprenait ses esprit, Julie n’avait pas perdu son temps. Elle était si excitée qu’elle avait repris ses habitudes solitaires en se masturbant avec la réplique du chibre de Romain. Ce dernier, pourtant assez imposant entrait en elle sans résistance tant elle était mouillée.
Elle jouit rapidement, aidée par les caresses et les léchouilles de Célia.
Elles restèrent enlacées toute la nuit et ne purent s’empêcher de recommencer leurs caresses au petit matin.
Julie averti ensuite Célia que Romain allait rentrer bientôt et qu’elle ferait mieux de la laisser pour qu’elle aie le temps de faire disparaître toutes preuves de leurs ébats et de se préparer pour accueillir dignement son homme qui devait lui aussi être en manque de tendresse, de baisers et de sexe.

Lorsque Romain rentra, Julie l’attendait comme il l’aimait dans sa petite nuisette. Elle n’était pas autant excitée que d’habitude car elle craignait de ne pas arriver à cacher à son amour sa tromperie de la nuit passée.
Pourtant, quand il franchit la porte avec son beau sourire et ses bras grands ouverts prêts à l’étreindre, elle senti qu’il fallait qu’elle lui dise, qu’il lui pardonnerait.

Et peut-être même que ça l’exciterait?


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