Julie, une vraie femme!
Récit érotique écrit par Womenlover [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Julie, une vraie femme!
On dit souvent que les hommes ne font que de parler. Eh bien moi, je pense que se sont les filles qui ont plus tendance à ne faire que parler. Dès qu’il s’agit de cul, les filles parlent blablabla blablabla, mais ne font rien. Les filles ont bien souvent honte de dire qu’elle se branlent elles aussi. Franchement. Avez-vous souvent croisé des filles qui disent qu’elle se branlent régulièrement ?
Je ne pense pas.
La seule fille que j’ai connu dans ma vie qui ne faisait pas que parler mais qui agissait plutôt, s’appelait Julie. Elle était petite, brune, les cheuveux longs jusqu’au milieu du dos et avait les yeux verts et si je peux me permetre de vous déclarer qu’elle ne faisait que parler, c’est tout simplement parce qu’un jour, je l’ai mise au défi.
Elle se ventait souvent d’être une gourmande de la pipe et surtout d’en être une experte. Ca m’a pas mal fait marer dans un premier temps et puis un jour qu’elle en reparlait, je lui disais :
« Et là, par exemple, tu serais prète à me prouver tout ce que tu avances depuis pas mal de temps maintenant ? »
« Pourquoi pas. Si tu penses que je n’ai qu’une grande gueule, laisses moi te montrer à quoi elle sert ma grande bouche. »
Elle m’a donc donné rendez-vous une heure plus tard dans son appartement.
J’y suis allé en me disant que de toute façon, elle se défilerait à un moment ou à un autre.
Une fois installé sur son grand canapé, elle s’est agenouillée entre mes jambes et m’a déclaré :
« Alors comme ça tu penses vraiment que je n’ai que de la gueule ? Eh bien on va voir ça ! »
Elle s’est emparée de mon futal dont elle s’est très rapidement débarassé puis un sourire narquois au lèvres m’a dit :
« Faut que tu sois bien à l'aise pour subir ma turlute. »
Elle s’est aussitôt débarassée de mon calbute également avant de prendre ma queue dans sa main et de décalotter mon gland. Ensuite, elle a commencé à passer sa langue dessus ainsi que sur tout le long de ma tige en insistant bien sur le frein. J’ai évidemment commencé à triquer sérieusement. Elle s’est ensuite enfoncée ma queue toute entière dans la bouche jusqu’à la garde. Je pensais qu’elle ferait des haut le cœurs mais non. Elle me branlait litéralement avec sa gorge tout en aspirant. De temps en temps, elle sortait ma bite de sa bouche pour descendre me bouffer les couilles tout en me branlant la pine à toute vitesse avant de se l’enfoncer à nouveau dans la bouche. Eh bien vous me croirez ou non, mais je n’ai pas tenu plus de cinq minutes sous ce traitement.
Elle m’a demandé de la prévenir quand j’allais gicler. Je pensais que c’était parce qu’elle refusait d’avaler mais non, elle voulait me faire découvrir le paradis ! A point nommé, je la prévenais que j’allais décharger et c’est à ce moment là qu’elle a cessé de me branler pour me finir avec sa gorge bien au fond. J’ai explosé à grosse giclées de foutre dans sa gorge et pendant que je déchargeais, elle aspirait à fond ce qui provoquait d’énormes spasmes dans ma prostate et dans mes couilles. Mon orgasme n’a jamais été aussi long. J’étais litéralement vidé dans les deux sens du terme.
Vous comprenez maintenant pourquoi je dis que cette fille n’avait pas que de la gueule mais de la pratique avec une sensualité déconcertante à faire une pipe. Je ne l’ai pas revu depuis sauf vite fait de passage mais plus jamais de pipe magestrale. Ca me manque.
Julie, si tu lis ce texte, appelles-moi ! Tu me manques !
Je ne pense pas.
La seule fille que j’ai connu dans ma vie qui ne faisait pas que parler mais qui agissait plutôt, s’appelait Julie. Elle était petite, brune, les cheuveux longs jusqu’au milieu du dos et avait les yeux verts et si je peux me permetre de vous déclarer qu’elle ne faisait que parler, c’est tout simplement parce qu’un jour, je l’ai mise au défi.
Elle se ventait souvent d’être une gourmande de la pipe et surtout d’en être une experte. Ca m’a pas mal fait marer dans un premier temps et puis un jour qu’elle en reparlait, je lui disais :
« Et là, par exemple, tu serais prète à me prouver tout ce que tu avances depuis pas mal de temps maintenant ? »
« Pourquoi pas. Si tu penses que je n’ai qu’une grande gueule, laisses moi te montrer à quoi elle sert ma grande bouche. »
Elle m’a donc donné rendez-vous une heure plus tard dans son appartement.
J’y suis allé en me disant que de toute façon, elle se défilerait à un moment ou à un autre.
Une fois installé sur son grand canapé, elle s’est agenouillée entre mes jambes et m’a déclaré :
« Alors comme ça tu penses vraiment que je n’ai que de la gueule ? Eh bien on va voir ça ! »
Elle s’est emparée de mon futal dont elle s’est très rapidement débarassé puis un sourire narquois au lèvres m’a dit :
« Faut que tu sois bien à l'aise pour subir ma turlute. »
Elle s’est aussitôt débarassée de mon calbute également avant de prendre ma queue dans sa main et de décalotter mon gland. Ensuite, elle a commencé à passer sa langue dessus ainsi que sur tout le long de ma tige en insistant bien sur le frein. J’ai évidemment commencé à triquer sérieusement. Elle s’est ensuite enfoncée ma queue toute entière dans la bouche jusqu’à la garde. Je pensais qu’elle ferait des haut le cœurs mais non. Elle me branlait litéralement avec sa gorge tout en aspirant. De temps en temps, elle sortait ma bite de sa bouche pour descendre me bouffer les couilles tout en me branlant la pine à toute vitesse avant de se l’enfoncer à nouveau dans la bouche. Eh bien vous me croirez ou non, mais je n’ai pas tenu plus de cinq minutes sous ce traitement.
Elle m’a demandé de la prévenir quand j’allais gicler. Je pensais que c’était parce qu’elle refusait d’avaler mais non, elle voulait me faire découvrir le paradis ! A point nommé, je la prévenais que j’allais décharger et c’est à ce moment là qu’elle a cessé de me branler pour me finir avec sa gorge bien au fond. J’ai explosé à grosse giclées de foutre dans sa gorge et pendant que je déchargeais, elle aspirait à fond ce qui provoquait d’énormes spasmes dans ma prostate et dans mes couilles. Mon orgasme n’a jamais été aussi long. J’étais litéralement vidé dans les deux sens du terme.
Vous comprenez maintenant pourquoi je dis que cette fille n’avait pas que de la gueule mais de la pratique avec une sensualité déconcertante à faire une pipe. Je ne l’ai pas revu depuis sauf vite fait de passage mais plus jamais de pipe magestrale. Ca me manque.
Julie, si tu lis ce texte, appelles-moi ! Tu me manques !
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