Titre de l'histoire érotique : Julie, véritable pute (la suite de « Julie véritable salope »).

- Par l'auteur HDS Luco49 -
Récit érotique écrit par Luco49 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Julie, véritable pute (la suite de « Julie véritable salope »). Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Julie, véritable pute (la suite de « Julie véritable salope »).
Je savais depuis longtemps que ma femme Julie était une salope et elle venait de me donner la preuve de sa perversité en se payant 4 mecs dans la même soirée avec un enthousiasme et une fougue assez exceptionnels. J'en avais été le témoin. Je n'avais rien raté de sa performance. Je reconnais que de la voir se faire prendre ainsi, à l'endroit et à l'envers, m'avait vraiment excité.
Les hommes qui lui étaient montés dessus, même s'ils n'avaient rien payé sauf des cocktails, l'avait traitée comme une putain. Il est vrai que son apparence et son comportement laissaient penser qu'elle était à vendre.
C'est comme ça que l'idée m'est venue de lui organiser une nuit spéciale, au cours de laquelle elle s'enverrait en l'air moyennant finances. Bref, joindre l'utile à l'agréable.
Il est 22 heures. Nous sommes dans la chambre d'hôtel 5 étoiles à Marbella.
« Julie ! Ce soir nous sortons. Tu vas pouvoir d'éclater, puisque nous allons en discothèque. Tu devras être très désirable, en faisant ce que tu fais de mieux, la salope ! Mais tu devras aussi faire la pute, c'est à dire être très gentille avec les hommes que je vais te présenter.
- Je préférerais pouvoir choisir les hommes avec lesquels je dois passer un moment.
- Crois-tu être en mesure d'avoir des exigences après ton comportement de la fois dernière. Ce sera ta punition. Et puis je vois bien que tu as très envie de te mettre dans la peau d'une vraie putain. Reconnais que ça t'excite !
- C'est l'un de mes fantasmes mais de là à passer à l'acte.
- C'est pareil que lorsque tu vas baiser à droite ou à gauche, sauf que là tu demandes une indemnité. Tu n'as pas le choix. Vas te préparer comme il se doit. »
Julie obéit. Elle réapparaît quelques minutes après. Visiblement, elle a bien compris ce qui lui était demandé. Elle est apprêtée juste comme il faut pour assurer son rôle de pute. Le maquillage est exagéré, surtout les yeux, les traits de crayon sont épais. Elle est parfaitement manucurée en mauve. Elle est montée sur des sandales de couleur blanche avec des talons d'au moins 9 cm, fermées sur le haut de la cheville par des lanières et à l'arrière par une fermeture éclair. Elle porte une micro robe blanche très courte et moulante, particulièrement sensuelle avec un magnifique décolleté élégamment drapé qui descend jusqu'au nombril, et qui laisse apercevoir la naissance de ses seins, à la limite des tétons, et qui descend dans le dos jusqu'à la chute des reins, laissant découvrir le haut de sa raie des fesses. Il est évident qu'elle ne porte aucun sous-vêtement.
Nous sortons à pied et je conduis Julie dans un quartier que j'avais repéré. Elle marche à mes côtés, ses hauts talons lui impose une cambrure exceptionnelle, avec une croupe très en arrière et des seins très en avant. Au gré de sa démarche, de temps en temps, un sein se dévoile totalement, ou bien ses fesses se dénudent. Elle est très désirable. Tout en marchant, je lui tripote le sein dénudé ou bien je lui mets une main aux fesses. Caresser les fesses d'une femme qui marche dans la rue c'est un moment remarquable.
« Julie, tu me donnes envie. Tu es vraiment bonne. 
- J'imagine bien. En plus je mouille comme une chienne. »
Cette fois, ça y est, ma queue est en érection et j'ai du mal à la contenir dans mon pantalon. On s'arrête derrière un abri-bus qui nous cache de la rue et des fenêtres environnantes. Personne à l'horizon. Sans que j'ai quoique ce soit à dire, Julie s'agenouille, ouvre mon pantalon, se saisit de mon engin et commence à le branler. Puis, après quelques minutes, elle commence à le lécher comme si elle dégustait un cornet de glace, puis elle me mordille les couilles et enfin avale ma bite jusqu'au fond de sa gorge, avec des mouvements de va et vient qui lui valent quelques haut-le-coeur. Sa bouche pulpeuse enserre mon sexe de telle manière que le désir devient incontrôlable et je me laisse aller. La jouissance est d’autant plus forte que Julie poursuit son œuvre sans désemparer. Elle avale tout. Voilà un bon échauffement de début de soirée.
Nous voilà arrivés à l'endroit que j'avais spécialement repéré. J'explique à Julie, qu'avant d'aller faire la pute dans une discothèque, ce qui est quand même un peu facile, je veux qu'elle débute par le trottoir.
« Tu vas te tenir au bord de cette rue et attendre le client. Pas question d'aller avec n'importe qui. Tu choisis le mec en fonction de son look et de sa bagnole. Tu dis que tu ne fais que des passes d'une heure, obligatoirement dans ta chambre, pour 400 euros. Tu régleras les détails, à savoir si tu suces ou pas, si tu acceptes la sodomie ou pas. 
- J'ai un peu peur !
- Sur ton portable, compose mon numéro et reste en communication. Laisse ton portable dans ton sac. Je reste à proximité et à l'écoute. »
Julie commence à arpenter son bout de trottoir, bien visible des automobilistes qui passent. Elle n'a pas beaucoup d'effort à produire pour attirer le client, jugée sur ses hauts talons avec sa robe tellement sexy. On comprend parfaitement qu'elle fait le tapin. Une, deux, trois voitures s'arrêtent. A bord des hommes seuls. A chaque fois, c'est « combien tu prends » suivi de « trop chère ». Puis un cabriolet de marque allemande stoppe devant Julie.
« Montre moi ta poitrine ». Julie s'exécute, elle écarte son décolleté et montre ses seins lourds tout en se penchant vers la voiture. Le mec ne peut pas y être insensible.
« Montre moi ta chatte ». Julie relève sa robe légèrement et exhibe son intimité totalement épilée, tout en se collant à la voiture.
« Pas mal du tout ! Combien ? 
- 400 euros pour une heure.
- Avec sodomie ?
- Oui.
- Monte ! Où va-t-on ? 
- Dans ma chambre d'hôtel. »
Julie monte dans le cabriolet, la robe entièrement retroussée. Le mec touche les seins, les cuisses, la chatte.
« C'est de la bonne marchandise tout ça ! »
Il sort 4 billets de 100 euros de son portefeuille et les donne à Julie. La voiture démarre en trombe. Un peu de frime, ça ne fait pas de mal. J'écoute le portable. Conversation banale entre le client et Julie. Elle lui indique le chemin de l'hôtel.
Je vais également à l'hôtel. A mon arrivée, la bagnole est garée devant. Le couple est déjà entré. Tout se passe bien. J'écoute toujours. La communication n'est pas excellente, visiblement le portable de Julie est resté dans son sac. Au bout d'une demi heure, la voix de Julie. Elle crie. Je reconnais sa façon de s'exprimer quand elle jouit. Elle ne fait pas dans la demi-mesure. Un quart d'heure après, même chose. Elle joint véritablement l'utile à l'agréable.
Quelques minutes après, le mec sort de l'hôtel. Il monte dans sa voiture et repart en trombe. Je rejoins Julie dans la chambre. Elle sort de la douche.
« Eh bien ! Tout c'est bien passé. Il a pris son pied trois fois. Il m'a dit avoir beaucoup aimé, que j'étais une excellente affaire et que j'étais une vraie pro !
- Mais dis-moi ? Toi aussi, tu a pris du plaisir !
- Euh oui !
- Deux fois ?
- Euh oui !
- Raconte.
- A sa demande, j'ai commencé à le sucer dans la voiture, pendant le trajet vers l'hôtel, puis dans l’ascenseur, puis dès notre arrivée dans la chambre. J'ai dû me mettre accroupie dans le couloir de l'entrée de la chambre. Il a éjaculé sur mon visage. Et puis, aussitôt après il m'a sodomisée, au même endroit, à même le sol. Il m'a bourré le cul pendant de longues minutes. A sec. J'étais à quatre pattes, entièrement nue. Quand j'ai senti le jet de sperme dans mes entrailles, ça m'a excité et j'ai joui. Après une courte pose, il m'a reprise dans le lit et m'a baisée de façon beaucoup plus classique, mais à grands coups de butoir. Jamais on m'avait pénétrée à ce rythme là et avec une telle force. J'ai joui à nouveau. 
- Non seulement tu es une catin, mais en plus tu es une salope.»
Son récit de pute doublée d'une salope m'a énormément excité. J'ordonne à Julie de s'allonger sur le lit et d'écarter les jambes. Sa vulve est grand ouverte. Je lui grimpe dessus, et tel qu'elle venait de le décrire, je la pénètre comme si ma queue était devenu une burin, voire un marteau-piqueur. Je lui donne des grands coups de rein à une vitesse exponentielle, pour finir par lui gicler dedans et prendre un plaisir fou.
La soirée est bien avancée. Après ces préliminaires, il va falloir penser aux choses sérieuses. Julie est chaude, très chaude.
Il est 2 heures. L'ambiance bat son plein au « Vicky Club », le rendez-vous de la jet-set et des fortunés qui passent leurs vacances à Marbella. C'est aussi le rendez-vous incontournable de ceux qui veulent être vus, et donc de celles qui veulent se pavaner et même s'exhiber dans des tenues minimalistes et toujours sur des très hauts talons pour mettre en valeur la cambrure de leur corps en général pourtant déjà bien équipé. Il y a là notamment des filles originaires des pays de l'est, pour lesquelles le must en matière d'habillement c'est de quasiment ne rien porter pour presque tout montrer.
Julie est exactement dans cet état d'esprit. Sauf qu'elle n'a pas que l'esprit. Sa robe cache à peine ses seins, elle est extrême limite pour dissimuler son entre-jambe devant et derrière et hors limites avec un dos totalement nu jusqu'à la naissance des fesses.
« Va sur la piste de danse, Julie. Et montre-toi. Montre tout. Excite les mâles. Et reviens me voir au bar de temps en temps, qu'on sache bien qui est le propriétaire. »
Aussitôt, Julie concentre tous les regards. Parce qu'elle bouge. Elle bouge beaucoup. La conséquence immédiate est que sa robe ne retient plus ses seins, totalement abandonnés, pendant que ses parties intimes apparaissent régulièrement au rythme de la musique et de ses déhanchements. Julie s'offre pleinement, sans complexe. Elle rayonne. Elle est la vedette. Pourtant le nombre de salopes au mètre carré est important dans cette discothèque.
Un mec vient me voir au bar où je suis installé. Il me paye un verre. On discute de choses et d'autres, puis me fait remarquer que Julie a une tendance exagérée à ce frotter aux hommes qui dansent autour d'elle.
Je précise : « Julie est très en verve ce soir. D'autant qu'elle sait qu'elle aura une récompense.
- Récompense en nature ? Ou bien récompense en argent ?
- Évidemment en nature. Il ne faut pas lui en promettre, il faut lui en donner. Mais aussi récompense en argent. Elle est vendue aux enchères, pour une heure, tous les trous disponibles, mise de départ 500 euros !J'arrête les enchères à 3 heures pile.
- je dis 600, déclare le mec ! »
La nouvelle va se répandre rapidement dans la discothèque. Et ça va être un défilé permanent auprès de moi. 700 euros ... 800 ... 1500 … 2000. Il y a du pognon dans ce milieu. 2500 euros … 3000 …
A 3 heures, on en est à 4500 euros. Le gagnant est un vieux, dans les 60 ans, style ancien « jeune premier », physiquement bien conservé, bien bronzé, habillé tout en blanc. J'appelle Julie. Je la présente.
« Julie, tu vas être très charmante avec ce monsieur qui paye très cher. Tu l'accompagnes jusqu'à l'hôtel et tu fais ce qu'il t'ordonneras. « 
Ils prennent sa voiture. Encore une allemande ! Un coupé. Sur le parking de la discothèque j'assiste au paiement. Le mec sort des billets de 500 euros. Ils les glisse dans le décolleté de Julie qui est obligée de les rassembler, puisque sa robe est ouverte de partout. D'ailleurs je vois Julie enlever sa robe. Elle ferme la portière. Elle disparaît, visiblement appelée à œuvrer quelque part sous le poste de conduite. Direction l'hôtel.
J'attends dans le hall. Au bout d'une heure le gagnant du gros lot sort. Je monte.
Étrange spectacle. Julie est allongée sur le lit. Elle est nue, sur le dos, les bras et les jambes écartés, la vulve grande ouverte, les seins qui pointent, du sperme répandu sur les cuisses, sur son ventre, sur les seins, sur le visage, dans les cheveux. Sauf qu'elle est attachée avec les cordes récupérées sur les rideaux. Les poignets et les chevilles sont liés aux pieds du lit. Elle est bâillonnée avec une serviette. Je lui retire le bâillon.
« J'ai bien gagné mon argent, dit-elle ! Avec ce qu'il m'a fait. Il m'a prise comme ça trois fois de suite en me labourant la chatte avec son énorme queue. J'ai cru qu'il allait me traverser le corps, tellement il me pénétrait profondément. J'étais incapable de suivre sa cadence, vu que j'étais attachée. J'ai subi ses coups de butoir pendant une heure. Je suis épuisée. Décidément, en ce moment, je me tape que des violents.
- C'est toi qui les excite. Forcément ils décuplent d'intensité.
- A chaque jouissance, il s'est branlé pour envoyer la sauce sur mon corps. Comme tu le vois, j'en ai partout. Il m'a tellement fait mal que je n'ai pas pu prendre mon pied. Je suis frustrée. Prends-moi, s'il te plaît. »
Je détache Julie et je la positionne sur le ventre. Je la rattache. Elle m'offre sa croupe rebondie. Je la prends par derrière, à sec, façon brutal. Je lui défonce le cul. Je sais qu'elle aime ça. Il faut bien lui donner un peu de satisfaction. Ma queue sort doucement de son troufignon et y pénètre en force. A chaque fois que je suis en elle, je sens qu'elle cherche à m'enserrer pour me retenir. Elle sait y faire, cette petite enculée. Elle a une longue expérience de la sodomie. Elle aime ça.
Je devrais lui organiser une nuit spéciale « petite enculée » !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Si nous pouvions connaître pareille Julie...
Femme de rêve.

Histoire Erotique
Bonne histoire bien contée. On s'y voit. Et quelle belle salope...une pute de classe. J'en prendrais encore...



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Julie, véritable pute (la suite de « Julie véritable salope »).
Histoire sexe : Une rose rouge
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