Justine assume ses envies (3) - histoire érotique

Aujourd’hui, j’ai invité trois amies à venir prendre le thé et manger quelques gâteaux.
On sonne à la porte et je vais ouvrir. Elles ont habillées chic et sexy. Moi, comme d’habitude, je les reçois intégralement nue. Nous nous installons dans le salon. Marie nous sert du thé et des petits gâteaux. Puis elle allume la TV et enclenche le lecteur de DVD. Sur l’écran apparaissent les images de ma soirée chez Jacques et Clara (voir l’épisode 2).
• Quelle arrivée et ça doit être très excitant d’être la seule personne nue pendant tout le souper• Oui, et encore plus d’être fouettée devant les domestiques entre les plats.

Après la première vidéo, on voit les photos prises par le photographe. De superbes photos s’enchaînent alors: mon visage exprimant bien la souffrance occasionnée par le fouet qui frappe mon sexe et mes cuisses comme on le voit sur la précédente ou encore les belles marques laissées sur ma poitrine par le coup suivant, etc… Vient ensuite la seconde vidéo où le livreur me découvre avec stupeur en train d’être fouettée alors qu’il vient nous apporter la pizza que nous avons commandée. Il regarde un moment la scène avec intérêt mais il est malheureusement trop timide que pour accepter de me fouetter ou de jouir sur mon corps.
A la suite de ça, la vidéo montre les personnes présentes profitant de mon corps: je suis caressée, pénétrée de partout, des sexes sont offerts à ma bouche, du sperme et de la cyprine s’épanchent sur mon corps. Lorsque tout le monde en a bien profité, Clara m’amène à quatre pattes dans la cuisine et dit au personnel :• Elle est à vous, vous pouvez lui faire tout ce qui vous passe par la tête mais plus de fouet en revanche les bougies ne sont pas terminées, vous pouvez les utiliser.

Je sonne Marie et propose à mes amies encore un peu de thé ou autre chose. Personne ne souhaite prendre quoi que ce soit. Marie dit alors • Madame, je pense que vous avez mis vos amies en appétit et vous les avez invitées pour jouer plutôt que pour manger des gâteaux.

Me prenant par la main, elle m’invite à me lever et me guide vers la véranda.
• Pour que le jeu soit plus intéressant, je vais vous équiper Madame si vous le permettez
Ce n’était pas prévu mais j’aime quand Marie prend des initiatives dans mes jeux SM. Elle me passe deux jarretelles pourvues d’une courte chaîne à laquelle est accrochée une pince. Elle accroche les pinces aux deux grandes lèvres de mon sexe puis me place face à mes amies bras et jambes écartées. Elle fixe une barre pour m’empêcher de resserrer les jambes et m’attache les bras dans le dos pour cambrer ma poitrine. J’ai donc maintenant la chatte grande ouverte.
Elle rentre dans la maison et revient avec une malle remplie de bogues de châtaigne bien fraîches ainsi que trois paires de gants. Elle place un heaume transparent sur mon visage pour le protéger sans pour autant masquer mes yeux ni priver mes amies de l’effet du jeu sur mon visage. Elle sait que j’aime voir ce qui va m’arriver et profiter de la vision de mes dominantes. Je m’adresse à mes amies :• Mesdames, le jeu consiste à me bombarder avec les bogues. La première qui touchera mon sexe aura une récompense.

Les premiers tirs sont imprécis mais des bogues me touchent en différents endroits, leurs pointes m’apportant chaque fois un peu de plaisir mais ce n’est pas suffisant.
• Approchez pour que vos tirs soient plus précis et surtout lancez les bogues plus fort, je ne sens rien.

Cette fois, ma poitrine est bombardée copieusement puis voyant que je réagis bien. Elles se regardent un instant puis concentrent leurs tirs sur mon sexe largement exposé.
Huuuuummm, je pousse un gémissement quand la première bogue vient frapper mes petits lèvres que plus rien ne protège. Elles se déchaînent alors sur mes cuisses et mon sexe jusqu’à ce que le panier soit vide.
Marie, qui était restée pour aider mes amies pour le jeu, montre un bouquet d’orties.
• Vos amies vous ont apporté ce beau bouquet. Elles pourraient peut-être vous en faire profiter• Bonne idée
Elles partagent le bouquet en trois avec l’aide de Marie et frappent mes seins et mon dos jusqu’à ce qu’ils soient couverts de gourmes.

Une des filles s’agenouille et lèche la cyprine qui coule de mon sexe, une autre caresse mon anus puis le pénètre avec un doigt bien vite rejoint par un second. La troisième se déshabille sans me quitter des yeux et vient titiller mes tétons. Un orgasme violent me fait vibrer de tout mon corps. La suite est compliquée à décrire. On m’a détaché, les deux filles encore habillées se sont déshabillées mutuellement et nos corps se sont mélangés tant et plus jusqu’à plus soif d’orgasmes.
L’après-midi se termine. Après avoir pris une dernière tasse de thé et fini les petits gâteaux, je propose à mes amies de les raccompagner en taxi. Elles savent que j’aime beaucoup ce moyen de transport (voir notamment l’épisode précédent).
• Marie, appelle un taxi svp et apporte-moi de quoi me vêtir svp
Marie réapparait quelques minutes plus tard avec une culotte en cuir souple assez enveloppante et un manteau sans bouton ni ceinture. Mes amies sont un peu étonnées bien qu’habituées à mes extravagances. Je m’adresse à elles• Il va falloir que vous m’aidiez à m’habiller
Leur étonnement est encore plus grand car il n’y a pas grand-chose à mettre.
• Vous savez que je ne porte jamais de culotte. Donc si j’en mets une, elle doit avoir un intérêt particulier. Je voudrais que vous la remplissiez avec des bogues
Elles ne se font pas prier pour réaliser ma demande.
Lorsque je prends place à l’arrière du taxi, je ne peux retenir un cri quand les bogues piquent mes fesses et mon sexe. Je ne parviens pas non plus à garder mon manteau fermé vu l’absence de bouton. Le regard du chauffeur dans le rétroviseur fait immédiatement couler mon sexe. Sans compter que les deux filles de part et d’autre de moi ne se privent pas d’appuyer sur ma culotte pour que je profite encore mieux de son contenu.

Chemin faisant, nous parlons ouvertement du jeu de l’après-midi et les mains se font plus présentes sur ma poitrine maintenant bien visible et sur ma culotte. Le chauffeur ne perd rien de notre conversation et regarde plus souvent dans le rétroviseur que devant lui.
Lorsque toutes mes amies ont été déposées, je demande au chauffeur de me ramener chez moi. Arrivée dans l’entrée, je dis au chauffeur :• Je suis désolée, je n’ai pas d’argent avec moi mais je vais aller en chercher. Gardez mon manteau en otage en attendant.

C’est donc uniquement vêtue de ma culotte en cuir que je sors du taxi et marche lentement jusqu’à ma maison. Je sonne et Marie vient ouvrir la porte. Je lui demande d’aller payer le chauffeur.
Celui-ci voit arriver Marie en petite robe noir moulante et hauts talons. Il ne se prive pas de regarder sa poitrine qui tend fièrement sa robe. Mais il est encore plus surpris lorsqu’elle se retourne pour rentrer dans la maison en découvrant que l’arrière de sa robe est juste un voile de tulle parfaitement transparent, que Marie ne porte aucun dessous et que ses fesses sont barrées de marques fraîches de fouet.