Justine ou une descente aux enfers (11)

- Par l'auteur HDS Fantasme 13 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Justine ou une descente aux enfers (11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Justine ou une descente aux enfers (11)
Justine ou une descente aux enfers (11)

DEUXIÈME PARTIE

La première partie de cette aventure nous a montré que cette jeune-fille, Justine était extrêmement gentille, calme, sentimentale et de plus, douée pour les études. Malheureusement, sa mère étant une femme exigeante et peu affective, Justine était repliée sur elle même, vivant dans ses rêves.

Faisons un petit résumé.

Arrivés dans cette cité triste, Justine et ses parents étaient désemparés. A cause de la faillite de l'entreprise de son père ils avaient tout perdu, la vie facile, leur belle villa avec piscine et même leurs amis qui s'étaient détournés d'eux.

A dix-huit ans elle était devenue une véritable beauté, un corps parfait, des petites fesses hautes et rondes, une taille mince, une poitrine de statue grecque, un visage candide, une peau très claire, des yeux bleus et une magnifique chevelure blonde qui lui tombait sur les épaules. Mais ça au début personne ne l'avait remarqué car elle faisait tout pour passer inaperçue, pas une once de maquillage, les cheveux en queue de cheval, des jeans sans formes, des espadrilles et des tee-shirts larges.

Elle avait fait la connaissance de Momo, il lui avait offert son amitié, une amitié dont elle avait besoin ne trouvant pas ses repères dans cette cité nauséabonde.
Mais Momo souhaita plus que de l'amitié, il voulu sortir avec elle. N'ayant jamais connu de garçon elle avait peur, elle n'était pas vraiment attirée par lui et le considérait comme un collègue mais d'un autre côté elle se disait qu'elle était en âge d'avoir un flirt. Il fallait bien franchir le pas, alors elle le franchit.

Momo n'était pas non plus amoureux d'elle mais sa candeur lui plaisait. Ayant découvert sa beauté, il demanda très vite plus que de simples baisers, Justine ne savait rien des relations sexuelles, elle n'était jamais sortie avec un garçon et elle avait reçu une éducation stricte ou on ne parle pas de ce genre de choses, mais il s'avéra qu'elle était réceptive aux relations intimes, elle ne fut donc pas très farouche.

Samira, la sœur de Momo, très jalouse de sa beauté et de sa distinction naturelle se rendit compte de son ingénuité, elle se jura de l’entraîner dans le sexe débridé en conseillant son frère sur les méthodes à adopter, elle voulait avilir Justine jusqu'à en faire une fille facile.

Momo lui présenta Alex, son collègue, beaucoup plus malin que lui, il s'arrangea pour qu'elle sorte avec lui aussi, les deux garçons prirent du plaisir à ce jeu et petit à petit l'amenèrent à se libérer, ils la formatèrent au sexe à leur façon. Elle devait les satisfaire tous les deux de toutes les manières, tous les jours. Justine était passée de l'autorité de ses parents à celle de ses copains car elle était obéissante de nature.

Par divers stratagèmes, ils l'amenèrent à accepter de se prostituer avec des collègues d'abord, mais Samira voulu aller plus loin, elle en avait déjà fait une salope, elle voulait maintenant en faire une pute. Elle lui proposa de gagner de l'argent par ce moyen. Justine hésita, alors Samira pour la convaincre lui donna mille euros en accompte. Justine qui n'avait jamais eu autant d'argent les prit et les cacha dans une boite qu'elle mit au fond de son armoire.

Elle avait vingt ans et se retrouvait un soir au bord d'un rond-point avec son petit imperméable en ciré noir et son parapluie. Ce soir-là un homme s'arrêta, ce fut André, il rentrait d'une soirée et il allait être son premier client. Mais ému par son innocence et sa beauté il n'eut pas le cœur de s'offrir ses services et lui proposa d'aller prendre un chocolat chaud. Ils passèrent la soirée à discuter, Justine se confiait facilement, elle lui raconta tout ce qu'avait été son existence jusque-là. Il décida de lui offrir une autre vie et lui proposa de quitter ce monde pour le suivre, c'était un homme d'une trentaine d'année, grand brun, sympathique, visiblement à l'aise, il lui parut sinçère, elle le suivit.

L'histoire aurait pu s'arrêter là, elle avait trouvé quelqu'un de bien qui lui proposait de s'occuper d'elle sans ne rien lui demander en échange. Elle pourrait enfin reprendre ses études et avancer dans sa vie.

Mais...

Quand Ils arrivèrent chez lui, Justine était épuisée. André l'accompagna à sa chambre, elle se coucha en le remerciant encore vaseusement avant de s'endormir profondément.

Le lendemain lorsqu’elle se réveilla elle était perdue, elle descendit à pas de loup les escaliers pour trouver ses repères dans cette grande demeure, elle arriva dans la cuisine, André était assis à la table souriant, il lui fit signe de s'asseoir.

- Tu veux du café ou tu préfères du thé ?
- Du café merci.
- J'ai été prendre des croissants, ils sont encore chauds.
- Merci...

Il la servit, elle était intimidée.

- C'est beau chez vous.
- Chez toi.
- Oui pardon, c'est beau chez toi, tu vis seul ?
- Oui, mes parents sont à la retraite, ils ont préféré s'exiler sur la Cote d'azur et je les comprend, alors c'est moi qui m'occupe de l'entreprise.
- Quelle entreprise ?
- Nous vendons des équipements pour collectivités que nous importons d'Asie.
- Ah, c'est bien.
- Oui j'ai pensé que tu pourrais venir travailler à mi-temps jusqu'à ce que tu retournes à la fac.
- C'est vraiment gentil je te remercie.
- Bon maintenant je dois te laisser, il faut que j'aille au boulot, je rentrerai vers 19h tu t'installes tranquille, y'a la télé, y'a un jardin.

La veille encore elle était chez ses copains et à l'heure qu'il était elle se serait déjà faite défoncer le cul. Maintenant elle se retrouvait là dans cette grande maison avec quelqu'un qui allait l'aider, c'était sans doute sa chance.

Elle faisait le point sur tout ça quand lui revint à l'idée qu'elle avait son argent caché au fond de l'armoire chez Alex. Cet argent il était à elle, mille euros, elle n'en avait jamais eu autant et elle voulait le récupérer.
Elle consulta son téléphone, il y avait un TER toutes les heures entre Lille et Maubeuge, une heure de trajet, elle pouvait faire l'aller-retour dans la journée, ses copains rentraient toujours tard et elle avait la clé. C'était jouable. Elle prit une douche, s'habilla et appela un taxi. A la gare elle ne passa pas inapercue avec son petit imper en ciré noir alors qu'il ne pleuvait plus.

Vers 13 heures elle arriva à Lille, elle sauta dans un taxi qui la laissa devant le petit immeuble de trois étages, l'appartement était situé au deuxième, impossible de savoir s'il y avait quelqu'un, elle hésita puis se dit qu'elle n'était pas venu jusqu'à là pour rien, elle monta les étages prudemment. Arrivée devant la porte, elle tendit l'oreille pour guetter une présence mais rien... Elle tourna la clé le plus silencieusement possible, ouvrit et se dirigea vers la chambre.

Elle poussa la porte, fit un pas en arrière et se figea, Alex était là, allongé sur le lit une cigarette à la main !

- Je le savais que t'allais revenir.
- Non, je ne reviens pas, je vous quitte.

Il écrasa nerveusement sa cigarette.

- Pour aller ou ?
- Peu importe, c'est ma décision.
- Ok ! On t'a jamais forcé à rien, alors si tu veux te casser tu te casses, des pouffiasses comme toi y'en a d'autres, mais là t'es revenue pour quoi ?
- Je viens récupérer mes sous et prendre des affaires.

Justine était étonnement déterminée, elle voulait se donner le masque d'une fille qui a du caractère, mais elle n'avait pas de caractère...

Sans dire un mot et en restant allongé, Alex défit sa braguette et glissa son jean sur ses genoux, il sortit une bite imposante mais seulement à moitié dure.

- Ok ça va tu vas te tirer, mais avant tu vas me pomper, t'aimes la bite.
- Mais... je ne suis pas venue pour ça...
- Ma parole ! T'es mongolienne ? Je sais que t'es pas venue pour ça mais tu vas me tailler une bonne pipe !

Justine était debout, droite, raide, pale.

- Alors !!!
- Oui... ne te fâches pas...

Il ne bougea pas, elle hésita puis s'approcha de lui, s'agenouilla, prit sa queue de la main droite pendant qu'elle caressait ses couilles de l'autre main. Elle le regarda dans les yeux, il la regarda sévèrement. Elle ouvrit la bouche et commença à le sucer.

- T'es vraiment une grosse salope.

Alex lui cracha à la figure, surprise elle le regarda, la bave dégoulinait sur son nez, sa joue.

T'arrêtes pas pouffiasse !

Il avait décidé de prendre son temps, il ralluma une cigarette et elle du le sucer durant presque une demi-heure, elle avait mal aux mâchoires.

- Accélère maintenant, vide-moi les couilles !

Elle alla le plus vite possible, enfin il éjacula dans un souffle torride. C'était sans doute la situation qui l'excitait mais il n'avait jamais autant prit son pied. Elle avala tout en guettant des yeux sa satisfaction, ensuite elle lipa la bite qui débandait pour enlever toutes les traces de sperme.

- T'aimes la queue toi. Allez casses-toi maintenant !

Elle ne répondit, récupéra son argent, mit quelques affaires dans un sac et repartit.

Elle était dans le train pour Maubeuge, elle ne serait pas en retard.

Elle arriva à la maison d'André à 17h30, elle posa ses affaires et se dirigea vers salle de bain. Il s'était passé trop de choses en trop peu de temps, elle avait besoin de décompresser, elle se fit couler un bain et se détendit dans l'eau presque brûlante. Elle s'endormit profondément dans la baignoire jusqu'à ce qu'un bruit de porte la réveille, l'eau était devenue tout juste tiède.

- Tu as pris un bain, tu as bien fait.
- Il est quelle heure ?
- 19h30.
- Déjà ? Je descend.
- Ok, je prépare un apéro.

Un quart-d'heure plus tard, Justine arriva dans le salon, elle était vêtue de son jean moulant et d'un t-shirt Marcel coton blanc. Depuis longtemps elle ne portait plus de soutien-gorge car Alex les avait tous jetés, on voyait donc parfaitement la forme de ses seins et particulièrement de ses tétons qui étaient bien dessinés sous le tissu fin. André ne pu qu'être captivé par cette vue enchanteresse. Mais il se reprit
- Tu devrais reprendre ton ancienne coiffure, tu n'as qu'à laisser pousser tes cheveux et faire une couleur blonde pour qu'on ne voit pas les racines.
- Oui, c'est ce que je comptais faire, je préfère être naturelle.
- Tu as raison, c'est ton style d'être naturelle. Mais tu as été acheter des vêtements ?
- Oui... Enfin non...
- Comment ça ? Oui ou non ?
- Non...
- Alors ils viennent d'ou ?
- Je suis allée les chercher à Lille.
- A Lille ? Tu veux dire que tu es retournée chez ces voyous ?
- Oui, parce que j'avais mon argent là-bas, alors je suis allée le chercher, j'ai pris le TER et j'ai fais un aller-retour, j'en ai profité pour prendre des affaires.
- Mais ils n'étaient pas là les autres ?
- Je pensais que non mais en fait, Alex oui...
- Qu'est-ce qu'il ta dit ? Il ne t'as pas menacée ?
- Non pas du tout, il a toujours été convenu que si je voulais partir je partais.
- Ah... Il ne t'as même pas fait de reproches ?
- Si bien sûr, il était en colère mais ça va.
- Il n'a rien voulu de toi ?
- Comment ça ?
- Il ne t'as rien demandé, tu m'as dis qu'ils étaient chauds.
- Non.

Justine ne savait pas mentir, on le lui avait toujours strictement interdit, quand il lui était arrivé de mentir à sa mère, petite fille, elle devait rester dans sa chambre sans sortir durant une journée entière.

- Enfin oui...
- Enfin oui quoi ?
- Il m'a demandé quelque chose...
- Quoi ?
- De le sucer...
- Et tu l'as fais ?
- ….
- Tu l'as fais ??
- Oui... je sais que je n'aurais pas du... mais c'était pour le satisfaire...
- Le satisfaire ??

Elle baissa la tête
- Tu es une fille intelligente, tu m'as bien dis que tu as eu ton bac avec mention.
- Oui.
- En fait, ce dont tu as besoin c'est qu'on te guide, qu'on te commande.
- On m'a toujours dis ce que je devais faire.

Ce soir-là, il l'invita à dîner dans un restaurant à poissons et coquillages très chic, il ne lui reparla pas de cette histoire, il essaya au contraire de la décontracter. Néanmoins il ne la regardait plus de la même manière, il prenait plaisir à admirer son physique et était fier de l'avoir près de lui mais il se rendait compte qu'il y avait eu un creux dans son parcours, elle était passée du stade de jeune-fille innocente gouvernée par une mère hyper-traditionaliste à celui de salope de deux mecs des cités.

De retour elle lui demanda la permission d'aller se coucher, il s'était passé tant de choses en si peu de temps qu'elle avait besoin de repos.

Il était presque deux heures du matin, André n'arrivait pas à dormir dans sa chambre, il gambergeait, s'était'il laissé aller à un engagement qui risquait de s'avérer difficile à tenir ? Toujours est-il qu'il lui rendait un service énorme en lui permettant de retrouver une vie normale et de reprendre ses études.

Au fur et à mesure qu'il pensait à ça, involontairement son sexe grossissait, il repensait à tout ce qu'elle lui avait raconté et notamment à la pipe qu'elle avait faite à Alex alors que rien ne l'y obligeait.

Une bouffée de chaleur l'envahit, il se leva et se dirigea vers sa chambre, il ouvrit la porte discrétement, elle était là, elle dormait nue, il hésita un moment puis se déshabilla et se glissa dans le lit, elle était recroquevillée sur le côté, il se mit derrière elle, il sentait ses fesses contre son sexe, il saisit un sein qu'il caressa doucement. Encore endormie, elle gémit, il mit sa main sur son cul et le malaxa. Elle ouvrit les yeux et souleva la tête encore à moitié endormie.

- André ?
- Oui.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Tu es trop attirante je ne pouvais pas résister.
- Mais tu m'avais dis que...

Il lui susurra à l'oreille.

- Écoutes ma chérie, tu as de la classe, tu es hyper-belle, bonne éducation et tout, mais tes mecs ont fait de toi une salope, alors faut assumer.

Elle avala sa salive, les idées tourbillonnaient dans sa tête.

- T'es d'accord ?
Elle hésita un moment.

- Oui...

Ils ne changèrent pas de position, il lui écarta les fesses et la pénétra, ce fut facile car elle était humide. Justine ne savait pas dire non, elle savait qu'elle était un attrait pour les hommes et elle s'était résignée à ça.

Le fait de s'être confiée à lui, le fait de lui avoir avoué qu'elle se faisait prendre tous les jours de tous les côtés, avait mis André en chaleur, alors, elle savait que puisqu'elle l'avait excité elle devait l'assouvir...

Très lentement il enfonça son sexe, il resta un moment bien au fond de sa chatte, puis il le sortit, puis le rentra, d'abord lentement puis en accélérant, il lui fourra deux doigts dans la bouche qu'elle suça comme si c'était une bite, il s'enhardissait étonné mais heureux qu'elle accepte tout... elle ne disait rien, aucune contestation, juste un petit souffle au rythme de ses pénétrations, au fond d'elle, elle était appréciait d'être utilisée pour la jouissance d'un homme, c'était son côté salope. Elle était totalement passive, elle offrait juste son cul pour que cet homme puisse s'assouvir. Ça dura longtemps, André voulait profiter de ce moment magique... puis il la pillona et quand enfin, il sentit monter la jouissance, il l'attrapa fort par les hanches pour s'enfoncer au maximum.

Il resta un moment en elle puis il lui tapota la joue en lui chuchotant « c'est bien ».
Sans aucun mot de plus, il se retourna et s'endormit.

Elle pensait qu'elle avait trouvé un homme qui l'aiderait et qui la respecterait, elle s'était trompée, elle était devenue son jouet sexuel à lui aussi.

Une trace de larme séchait sur sa joue.

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