Kahmÿe - histoire érotique

Kahmÿe .

Il y a de cela quelques années, ma vie a complètement été changée. J'ai été attiré dans un Univers parallèle nommé le Myrah. Dans le Myrah, tout est différent de la Terre. La race féminine et masculine existe, et la nature est pareil à la notre. C'est simplement que les humains ont cette fois évolués différemment à nous. Là-bas, il doit toujours y avoir un être supérieur ou inférieur. C'est décidé selon la façon à laquelle tu évolues. Comme par exemple les gauchers/droitiers. C'est ainsi, tu es soumis ou maître. Aussi, pour eux, la nature n'est pas d'une autre race ni les animaux. Ils vivent et communiquent avec eux comme nous communiquons entre les humains. Ils ne possèdent pas la même technologie que nous, ils n'ont pas d'électricité ou de chose comme cela. Ils peuvent par exemple faire cuire ou réchauffer un objet avec seulement leurs mains ou bien prendre n'importe quoi et le transformer en ce qu'ils veulent.
Mais bref, je vais aujourd'hui vous raconter comment je suis arrivée à cet endroit.

J'allais au Lycée, comme tout étudiante ordinaire. Cette journée la nous avions une sortie scolaire, nous allions passer une fin de semaine dans les bois et nous devions y survivre qu'avec le strict minimum. Je me préparais donc quelques jours à l'avance, prévoyant allumettes, canif, gourde et vêtements chauds. Nous nous rendions à l'orée de la forêt en autocar. Nous étions environ une dizaine. Une fois rendu nous prîmes nos sacs à dos et partîmes à l'aventure. Nous avions du marcher plusieurs heures avant de trouver de la nourriture et mes jambes me brulaient, j'étais complètement épuisée. Nous avons finalement trouvé une petite clairière  où nous avons  construit une habitation rudimentaire faite de branches de pins et de bâtons secs trouvés au sol. Nous avions rajouté un tapis de feuille au sol . Nous nous sommes endormis rapidement puisque la fatigue nous accablais tous. Je dormis si profondément et je sombrais dans un rêve si réel que je me demande encore s' il était fait d'illusion ou était au contraire réel.
Mais bref, je me trouvais au milieu de la même clairière, cette fois seule et un soleil plombait et réchauffait chaque brin d'herbe. Le vent souffla et j'entendis une voix, qui venait à la fois de nulle part et de partout, me chuchoter à l'oreille :

- Je me nomme Kahmÿe. Je suis un esprit qui dirige un univers parallèle nommé le Myrah. Nous t'avons choisis parmi des milliers d'autres personnes, car tu nous sembles être une bonne candidate. Mais pour que nous t'accordons notre confiance, il y a multiples épreuves qui devront être accomplies.

Au son de cette voix, je me sentis en extase totale. J'éprouvais une admiration grandiose pour cette être et je n'avais aucune explication à ce sentiment. Il fallait que j'accomplisse ce qu'il allait me demander, j'étais prête à tout pour cela! Mais je me sentais tout de même profondément troublée par tout cela et l'impact que ses paroles pouvaient avoir dans ma tête.
- Chaque nuit, nous allons nous revoir et chaque jour, tu auras une nouvelle épreuve à accomplir. Tu auras trois jours d'épreuves pour nous prouver que tu es digne de notre confiance et d'entrer dans notre monde. Demain, tu devras dire oui à toute demande que l'on t'offrira et servir tout ce qui se doit d'être servis. Au revoir, future soumise.

Sur ce, tout autour de moi se mît à tourbillonner et je me réveillais en sursaut dans notre abris improvisé. Je  me demandais si ce que je venais de vivre était le fruit de mon imagination ou bien si cela était réel. Mais je décidais d'obéir aux demandes de l'esprit Kahmÿe pour voir ce que cela allait donner.
Donc quelque minutes plus tard, tout le monde se réveilla et se leva malgré les courbatures de chacun et nous pliâmes bagages.
- Hey, est-ce que tu pourrais m'aider à apporter mon sac ? me demanda John, un jeune homme dans notre groupe.
- euuh, oui. Oui, bien sur ! répondis-je, suivant les direction de l'esprit.

C'est donc ainsi que malgré mes courbatures et ma fatigue, je trainais un poids supplémentaire tout le long de la journée. Ce n'est qu'après avoir suée sang et eau tout le long du trajet terreux parsemé de branches fouettant nos jambes et visages que nous trouvâmes un petit cours d'eau courant entre les arbres. Nous prîmes une pause pour nous reposer et nous laver.
- Tu veux aller un peu plus loin avec moi ? me demanda John avec un air qui cachait des intentions cachés.
-oui, répondis-je malgré moi.

Nous partîmes donc un peu plus loin pour avoir de l'intimité. Il s'approcha de moi et se colla dans mon dos. Je ne fis rien car je devais répondre positivement  à toute ses intentions. Il colla son bassin sur mes reins et plaça ses deux paumes sur mes hanches. J'étais tout de même excitée malgré moi. Mais tout à coup, son attitude se modifia du tout au tout! Il empoigna férocement mon T-shirt et le passa brutalement de par dessus ma tête. Il appuya sur mes épaules et je tombais à genoux sur la terre, les branches et roches m'écorchaient les genoux. Il m'arracha littéralement mon soutien-gorge et me lia les poignets avec.
- Maintenant, petite chienne, tu me serviras pour le reste du voyage et tu exécuteras tout ce que je vais te demander! Je suis un intermédiaire de Myrah! Je suis au courant de tout et je te jugerai pendant ton temps d'épreuve! Il dégrafa son pantalon et sortis son sexe déjà bien dur et avec surprise, je remarquais sa grosseur ! Il était énorme!  
Il le déposa sur le bout de mes lèvres et donna un coup de bassin. Son énorme engin emplissait exagérément ma gorge et plusieurs haut-le-cœur soulevèrent ma poitrine. Il me tenait par les cheveux et faisait aller et venir son pénis dans ma bouche.
Lorsque je m'étouffais il s'arrêtait quelques secondes pour me laisser prendre une respiration puis recommençait son manège. Les larmes me montaient aux yeux. Il empoigna mes seins il les malaxa généreusement. J'étais terriblement excitée malgré la situation quelque peu extrême. Mes tétons pointaient vers le ciel sous ses caresses. Il me retourna et je me ramassa a quatre pattes le cul cambré vers le haut. Il me pénétra par à-coups secs et rapides que je jouis après une trentaine de secondes. Mes cris se faisaient râles.
- Allez ma salope, fait moi plaisirs, ma chienne, ma pute. Répétais-t-il.

Il se déchargea au fond de moi à la suite de plusieurs râles de plaisir. Nous nous rinçâmes dans le ruisseau et avant de partir il me dit :
- Maintenant, ton soutien-gorge n'est plus en état d'être porté. Tu vas dorénavant te promener poitrine nue sous ton chandail.
Il s'approcha de moi et colla son doigt sur mon clitoris en appuyant très fort. Je me cambrais un peu sous l'impact et il marmonna quelques mots. Soudain, son doigt était rendu très chaud et des ondes de plaisir caressait mon petit point d'amour. Il se retira.
- Maintenant, je pourrai faire vivre à ton clitoris toute les sensations possibles mais tu ne pourras pas t'en faire vivre par toi même. Ton plaisir dépendra de moi et tu devras me satisfaire pour que j'en fasse autant.
Il s'en alla sur ce et me laissa là, sous le choc de ce qui venait d'arriver.