Kairos - La découverte

- Par l'auteur HDS Metatron -
Récit érotique écrit par Metatron [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Kairos - La découverte Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Kairos - La découverte
2 – La découverte
Après être rentré à la maison pour me changer et me rafraîchir, je me mets tranquillement en route tout en essayant de planifier la suite de l’apprentissage de Camille. Par quoi commencer ? La plupart du temps on vient me voir avec une demande précise, mais là il y a tout à faire. Et d’ailleurs je ne sais même pas si elle connaît son corps et sait prendre du plaisir. C’est donc décidé, la leçon du soir portera sur son plaisir.
Comme convenu nous nous retrouvons sur la place. Elle aussi s’est changée, elle a mis une robe orange-beige, légèrement décolletée et qui lui arrive juste au-dessus des genoux. De plus sa nuque est dégagée car elle s’est fait une queue de cheval. Elle est tout simplement radieuse et magnifique. Sa tenue laisse plus deviner son corps que son tailleur mal coupé du matin et j’ai hâte de passer à la suite tellement elle semble avoir ce qu’il faut où il faut (si vous voyez ce que je veux dire).
Nous nous installons donc à la terrasse d’un bar et j’essaye d’en savoir plus sur Camille, ses connaissances, ses manques et ses certitudes tout en restant assez discret car nous sommes dans un lieu public. Il apparaît assez rapidement qu’elle n’a jamais essayé d’imposer son plaisir à ses amoureux et qu’elle ne sait donc pas vraiment comment un homme peut la faire jouir. En effet, comme elle me l’a déjà dit, ses petits amis n’ont pas vraiment été à l’écoute et donc en dehors des plaisirs solitaires, elle est complètement novice. Je décide donc d’en rester là pour la partie intime et je profite du fait que nous sortons du bar pour aller au restaurant et embrayer sur des sujets plus terre à terre afin de mieux la connaître et ainsi installer une vraie relation de confiance. Notre discussion est vraiment plaisante. Même si nous n’avons pas les mêmes goûts artistiques, littéraires et cinématographiques, nous passons deux bonnes heures à essayer gentiment de convaincre l’autre qu’il est impossible qu’il soit passé à côté de tel film ou de telle exposition. A la fin de cette joute amicale, Camille me propose de la raccompagner chez elle car sa colocataire est absente pour quelques jours.
La clé tourne dans la serrure, Camille me fait entrer et j’ai droit à une rapide visite des parties communes. Je sens une légère gêne chez elle, comme si elle hésitait sur la marche à suivre, se balançant entre deux options comme elle l’aurait fait d’un pied sur l’autre. Je décide donc de la détendre et de la mettre en confiance.
« Camille, que dirais tu d’un petit massage ? Si tu as une huile parfumée ou même une crème hydratante cela serait encore mieux. » « Et bien je vais te chercher ça tout de suite » me dit-elle. Le temps d’enlever ma veste Camille était de retour avec une fiole d’huile de massage relaxante et énergisante. « Si tu le veux bien, je vais commencer par les pieds. » « D’accord ». Je la fis donc asseoir sur le canapé tandis que je prenais place sur une chaise en face et que je commençais un lent massage des pieds en insistant alternativement sur la plante puis sur le dessus des orteils. Après 10 minutes de massage, Camille s’est légèrement affaissée dans le canapé : nous étions en bonne voie et je changeais donc de pied. Au bout de quelques minutes encore je décidais de passer aux épaules. « Si tu le veux bien, je vais te masser les épaules maintenant. Redresse-toi un peu histoire qu’on te mette plus à l’aise. » Je dégrafais l’arrière de sa robe pour dégager les épaules, faisais glisser les bretelles du soutien-gorge en prenant soin qu’elle ne se retrouve pas avec les seins à l’air et je reprenais mon massage mais cette fois sur la nuque et les épaules. Encore une dizaine de minutes et je lui proposais d’enlever sa robe et son soutien-gorge afin qu’elle s’allonge sur le ventre. « Dans ce cas-là nous serons mieux dans ma chambre. Viens suis-moi ! »
Nous arrivons dans sa chambre : un grand lit, une armoire double, un grand miroir de plein pied et quelques étagères. Malgré le peu d’éléments, la décoration laisse apparaître une chambre douillette et élégante. Camille fait glisser sa robe à terre dévoilant un soutien-gorge en dentelle noire, que j’avais entre aperçu, assorti d’une culotte très fine également en dentelle noire. Je me suis immédiatement dit que les bas et le porte-jarretelle lui iraient à ravir. Il va sans dire que dans ma tête elle est passée de magnifique à sublime. Ses cheveux roux toujours attachés et le noir des sous-vêtements faisaient discrètement ressortir les taches de rousseur réparties sur son visage et son corps. Je l’ai fait allongée à plat ventre sur lit après lui avoir dégrafé le soutien-gorge qu’elle a enlevé dans la foulée et j’ai recommencé les massages en partant du coup et des épaules et en descendant le long de la colonne vertébrale. De temps en temps je passais également le long des jambes jusqu’au talon et je remontais aux épaules. Au bout de quelques minutes, à certains passages, mes mains s’aventuraient sur l’intérieur des cuisses. Je caressais également ses fesses. A ces moments-là, sa respiration s’accélérait très légèrement. Quand elle a d’elle-même écarté ses jambes, j’ai compris qu’il fallait passer à la vitesse supérieure et à chaque passage je me suis rapproché de son sexe jusqu’à le frôler des doigts. Le petit sursaut de Camille m’encouragea et je laissais tomber le reste de son corps pour masser ses grandes lèvres à travers le tissu qui commençait à s’humidifier. Je la retournais alors sur le dos et je me penchais sur ses seins pour les embrasser, les lécher, en appréhender la rondeur et en caresser les bouts durcis.
De petits gémissements sortaient maintenant de sa bouche entrouverte. Plus des halètements que des gémissements d’ailleurs. Et pendant que j’explorais sa poitrine, ma main droite s’est aventurée vers son sexe. Je l’ai de nouveau caressée à travers le tissu fin de sa culotte puis j’ai délaissé le haut pour faire glisser la culotte le long de ses jambes. Je suis revenu à son sein, le droit cette fois, et de la main gauche j’ai masturbé Camille délicatement, d’abord en caressant l’extérieur des grandes lèvres, puis l’intérieur. J’alternais lentement les mouvements circulaires et verticaux afin de déterminer ce qui lui faisait le plus d’effet. Maintenant c’étaient clairement des gémissements et ils étaient un peu plus fort lors des mouvements circulaires j’en profitais alors pour faire glisser ma main sur son clitoris et entamer de petits cercles légers avec l’index. Son bassin commençait à onduler sous les caresses, signe d’un plaisir évident, et signal pour moi de commencer un cunnilingus. Je me glissais donc entre ses jambes, déposais des baisers sur l’intérieur de cuisses puis directement sur son sexe. Avec la langue j’écartais les lèvres et je fouillais de haut en bas, lapant la cyprine qui coulait de son vagin, humidifiant encore plus les petites lèvres et titillant le clitoris déjà bien « agacé ». Je ne sais pas pourquoi mais j’ai toujours trouvé que le sexe d’une femme sentais très bon et Camille ne faisait pas exception, je m’enivrais son odeur intime, lapant le plus de cyprine possible. Ses déhanchements se faisait plus amples, ses gémissements plus courts, ressemblant par moment à de petits cris. J’introduisis alors mon index dans son vagin tout en léchant son clitoris et je commençais des va et viens. Au bout de cinq minutes de ce traitement son corps s’est raidi, les muscles de son vagin se sont contractés autour de mon doigt et un râle s’est échappé de sa bouche. Je stoppais mes mouvements sans pour autant me retirer ou m’éloigner de son sexe afin de lui permettre d’apprécier tranquillement son orgasme. Quelques instants plus tard, je m’allongeais contre elle et la serrait dans mes bras en couvrant son front de petits baisers. « Kairos, c’était vraiment très très bon ! Merci »…

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