Kamila et Lotfi, Episode 2
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2011 dans la catégorie Plus on est
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Kamila et Lotfi, Episode 2
Retour de la première voix : Lotfi
Oui Kamila avait été créée pour donner du bonheur charnel à ses hommes. Jusque là j’avais été son seul homme. Du moins, je l’avais cru. Je sais maintenant que ce n’était pas vrai : elle avait été sodomisée à plusieurs reprises par un de ses petits amis avant que nous nous rencontrions et que nous nous marions. Je n’étais pas jaloux en apprenant cette nouvelle, mais je m’étais promis de lui faire raconter ces épisodes où j’étais cocu, avant même de la connaître. J’étais sûr que j’en tirerai beaucoup de plaisir à l’écouter me parler de ses sensations au moment où un jeune garçon avait défoncé son anus encore vierge.
Mais pour le moment c’est du couple qu’elle venait de former avec Abdelkader, l’homme que je lui avais présenté moins de deux heures auparavant, que j’ai envie de parler.
Tout le temps que le couple forniquait – Abdelkader avait commencé par éclater le cul de ma femme avec son immense queue et, ce faisant, lui avait procurée un plaisir immense – moi je me tenais à l’écart en regardant la scène avec un plaisir dont l’intensité avait dépassé toutes mes espérances. Je savais que je prendrais beaucoup de plaisir à regarder ma femme se faire tirer par un homme. Surtout si elle-même y éprouvait du plaisir ; et qu’elle le montre. Mais je craignais que le fond de morale qui devait être encore en moi ne l’emportât et m’empêchât de profiter pleinement de la situation. Et là je fus totalement rassuré. Non seulement, il ne restait en moi aucun fond de morale qui eût pu jouer le rôle de rabat-joie, mais encore le plaisir que j’espérais était en fait démultiplié.
J’étais encore plus heureux de ce que je voyais que je ne l’avais imaginé. Mon cœur battait la chamade et mon sexe avait atteint sa taille paroxysmique, tant il était excité. Je n’avais même pas envie de participer avec Abdelkader en prenant part au jeu qu’il jouait avec ma femme à deux mètres de moi. Je savais que j’aurai ma part dès que je le voudrais. Ce que je voulais – et que je vivais intensément – c’était de regarder ma femme prendre du plaisir entre les bras d’un homme. C’était comme si je m’étais dédoublé et que j’étais en même temps l’acteur et le spectateur de ce qui se passait à côté du divan.
J’étais celui qui était entrain d’enculer Kamila avec une immense queue qui lui déchirait le cul et qui la transportait vers les plus hautes cimes du plaisir ; je vivais en imagination tout le plaisir que prenait Abdelkader en ce moment là. J’étais aussi moi-même, le mari, qui contemplait sa femme lui montrer tout son bonheur de se faire éclater le cul par une superbe queue et hurler à qui veut l’entendre tout le bonheur qu’elle vivait. Et en plus elle criait ce bonheur avec des mots crus, dits en arabe dialectal, qui accroissaient encore d’un cran mon excitation. Je savais maintenant que j’aimais vraiment regarder ma femme entrain de jouir. Cela me mettait dans une situation d’excitation maximum, qui me faisait bander à l’extrême et me procurait énormément de plaisir.
Ce qui m’étonnait aussi, chose à laquelle je n’avais jamais pensée auparavant, c’était que je n’avais même pas envie de jouir. Ce que je voulais plus que tout au monde, c’était de garder le plus longtemps possible cet extraordinaire état d’excitation qui me transportait dans un monde paradisiaque. Il me suffisait de caresser légèrement mon sexe afin de le maintenir en érection permanente. Je savais qu’à un moment ou un autre, il me faudra bien éjaculer et jouir pour libérer mes couilles du trop plein de sperme accumulé, mais pour le moment, j’étais dans un monde merveilleux qui me satisfaisait pleinement.
Je m’étais assis discrètement dans un des fauteuils du salon pour profiter pleinement du spectacle que m’offrait ma femme entrain de se faire sodomiser. J’aurais bien aimé que Kamila eut choisi d’amener son amant dans la chambre que j’avais aménagée spécialement avec des miroirs aux murs et au plafond. J’aurais pu ainsi voir ma merveilleuse épouse sous tous les angles pendant qu’elle faisait l’amour. J’aurais pu en même temps voir l’immense engin de Abdelkader qui entrait et sortait du cul de Kamila, la manière dont s’exprimaient sur leurs visages les différentes phases du plaisir que prenaient les deux amants durant l’acte et surtout ce qu’exprimaient les yeux de ma femme pendant qu’elle se faisait tirer.
Mais Kamila n’avait pas tenu compte de mon désir de vouloir tout voir pendant l’acte. Je lui avais pourtant expliqué mes envies au moment où j’avais aménagé la chambre avec les miroirs. Nous avions même inauguré le lieu en faisant l’amour comme des bêtes et en nous regardant baiser dans toutes les glaces et sous tous les angles. Cela nous avait bien plu. Mais pour des raisons qui m’échappaient, ma femme avait préféré amener son amant dans le salon. Je ne vis donc pas tout ce que j’espérais voir, mais ce que j’avais vu et entendu avait suffi pour me transporter de plaisir. J’étais vraiment heureux ; un type de bonheur que je n’avais encore jamais ressenti et qui était fait surtout d’une superbe excitation, qui ne demandait même pas à se transformer en orgasme. Une excitation qui se suffisait à elle-même.
Après l’avoir fait grimper aux rideaux et joui lui-même intensément dans le cul de ma femme, Abdelkader toujours aussi excité, avait exigé de Kamila qu’elle lui fasse une fellation d’enfer. D’abord pour nettoyer avec la langue son engin de toutes les sécrétions qu’il avait ramené du rectum de le belle, puis pour se faire sucer et jouir dans sa bouche. Je connaissais l’art de mon épouse d’utiliser sa bouche, ses lèvres et sa langue pour m’offrir de puissants orgasmes avec des éjaculations buccales et faciales. J’étais sûr qu’elle en donnerait autant à son nouvel amant.
Et de fait, elle se mit immédiatement à l’œuvre en prenant l’immense sexe du bonhomme dans sa main droite et en commençant par promener ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe et les testicules. Mais Abdelkader avait une toute autre idée en tête. Il voulait pénétrer immédiatement à l’intérieur de la bouche. Il voulait, et le lui dit sans ménagement, la baiser par la bouche. Il voulait utiliser cette dernière comme il l’avait fait de son anus.
- Rani rayeh en’nikek men foumek ! (Je vais te niquer par ta bouche !) Helli foumek ! (ouvre ta bouche !)
Elle obéit et ouvrit très grand sa bouche. Il la pénétra sans ménagement et fit une première tentative pour aller le plus loin qu’il pouvait à l’intérieur. Elle eut immédiatement envie de vomir et le repoussa. Il se retira une seconde et repartit immédiatement à l’assaut. Il fit pénétrer son engin jusqu’au fond de la gorge ; le maintint un moment, comme s’il voulait qu’elle s’habitue à la présence du monstre, et le ressortit une autre seconde. Et il recommença comme cela cinq ou six fois, puis l’attrapa par les cheveux pour qu’elle ne puisse pas fuir et se mit à la tirer avec fureur. Je voyais les yeux de Kamila qui se remplissaient de larmes. Elle avait mal à la gorge. Elle devenait toute rouge et semblait prête de l’apoplexie. Elle était aussi sur le point de vomir. Abdelkader ressortit complètement de sa bouche pour lui permettre de respirer. Elle toussa très fort et ne put retenir le flot de crachat qui s’étala sur le zob qui frétillait de désir de retourner à l’assaut de la bouche. Et il repartit à l’intérieur avec la même fureur qu’auparavant.
J’assistais à la scène avec un mélange de plaisir et d’appréhension. De plaisir, parce qu’inconsciemment je m’étais imaginé à la place de l’amant, faisant à Kamila, ce que j’avais toujours rêvé de lui faire, sans avoir jamais osé le faire, par peur de lui faire trop mal. Appréhension parce que je la voyais souffrir et que j’avais peur qu’il lui arrive quelque chose de grave. Mais je n’intervenais pas. Je la regardais qui supportait vaillamment le traitement que lui faisait subir son amant et, à chaque fois, rouvrir très grand sa bouche pour lui permettre de retourner à l’assaut de sa gorge.
Elle le regardait avec ses yeux larmoyants, son nez qui coulait et sa bouche qui crachait sur le sexe qui venait de sortir de sa bouche, lui envoyait un pauvre sourire de chienne battue et rouvrait sa bouche pour qu’il recommence. La scène dura une éternité, jusqu’au moment ou je vis tous les muscles de l’homme se raidir et ou je l’entendis pousser un énorme gémissement de plaisir. Il était entrain de jouir.
- Rayeh en’faragh fi foumek ! (je vais éjaculer dans ta bouche !) Wa tbel’έi koulech ! (Et tu avaleras tout !) Bel’έi ! (Avale !) Echerbi ! (Bois !) Echerbi a’έasel ! (Bois du miel !)
Il éjacula une première fois à l’intérieur de la bouche de Kamila, qui avala difficilement tout le sperme qu’elle venait de recevoir. Il déversa tout le reste de son foutre sur le visage, le cou et la poitrine de sa maîtresse.
- Nafdhi koulech bel yed, wa lahsi ha ! (Nettoie tout avec la main et lèche-la !) N’hab en choufek ĥakdha ! (J’adore te voir comme cela !)
Je vis ma merveilleuse Kamila s’exécuter et nettoyer consciencieusement tout le foutre qu’elle avait sur elle et lécher à chaque fois ses doigts, tout en lui lançant un regard provocateur, comme pour lui rappeler qu’elle était vraiment à la hauteur. Elle mit beaucoup de temps à finir son œuvre de nettoyage. Pendant tout ce temps Abdelkader était resté dans la même position, à genoux devant elle, la regardant avec admiration. Et il bandait encore !
- Tu es magnifique ! Je sais que je t’ai fait très mal et malgré cela tu n’as rien fait pour m’obliger à arrêter. Tu sais que j’aurais arrêté si tu m’avais repoussé – ou mordu. Mais rien de cela ; tu as voulu aller jusqu’au bout. Je t’adore !
- Tu n’as encore rien vu !
Elle disait cela avec une toute petite voix qui sortait de sa gorge en feu. Elle avait encore très mal et n’arrivait pas à poser sa voix. Elle était obligée de racler sa gorge plusieurs fois pour pouvoir aller jusqu’au bout de sa phrase. Mais, elle tenait à lui faire savoir qu’elle était une maîtresse à la hauteur et qu’elle savait donner du plaisir à son nouveau maître. Elle m’envoyait de temps en temps un regard rapide et discret, comme pour s’assurer que j’appréciais ce que je voyais.
Et j’appréciais vraiment ce que à quoi je venais d’assister. Mon plaisir était vraiment très fort. J’étais aussi excité qu’un bouc en rut, et j’adorais de plus en plus cette sensation. J’avais l’impression que mon sexe allait exploser, tant il bandait très fort. Il me semblait qu’il avait atteint des dimensions énormes ; des dimensions qu’il n’avait encore jamais atteintes. J’avais mal au bas ventre, tellement je bandais. Mais c’était un mal qui me faisait tellement de bien ! Je tenais toujours mon membre dans ma main et le caressais tout doucement. Je sentais maintenant une forte envie de vider mes bourses qui étaient vraiment trop pleines. Je voulais jouir moi aussi. Et il me semblait que Kamila avait senti cette envie ! Elle me lança une œillade coquine et dit à son amant, qui me tournait toujours le dos :
- A mon tour de jouir très fort ! Cette fois-ci c’est moi qui vais diriger la danse ! Allonge-toi sur le canapé, je vais venir m’empaler sur ton manche ! Ana li en’nikek dhork! (C’est moi qui vais te niquer cette fois-ci!)
../..
Retour de la deuxième voix : Kamila
Je fis allonger AEK sur le canapé. Il bandait encore très fort. Cet homme devait avoir un os à la place du sexe, avais-je pensé dans cet état ! Il ne débandait jamais ! Il venait pourtant de jouir deux fois de suite ! Son merveilleux manche était dressé vers le plafond, tel un sabre menaçant. Je bavais littéralement en le regardant. Il était tellement beau ! Tellement vigoureux !
Ma chatte coulait telle une fontaine à l’idée d’être pourfendue par une telle queue ! Je venais de prendre conscience que jusqu’à maintenant, l’homme ne s’était pas du tout occupé d’elle. Il m’avait enculé ; il m’avait baisé par la bouche ; mais il semblait avoir totalement délaissé mon minou. Or, lui aussi voulait sa part de bien-être et de bonheur. Il voulait être entrepris par l’immense zob et sentir toute sa force et sa brutalité. Il voulait être limé vigoureusement par l’énorme gland en forme de tête de champignon et avoir mal. D’habitude, je détestais avoir mal en faisant l’amour ; je supportais difficilement la douleur. Mais avec AEK, je me suis découverte une inquiétante tendance à apprécier la douleur provoquée par l’énormité de son manche et à en ressentir un immense plaisir. Je sentais que j’étais entrain de devenir un peu maso.
Je vins me placer à califourchon sur les puissantes cuisses du garçon, et telle une farouche amazone, je m’empalais lentement sur le glaive fièrement dressé vers le plafond. Le gland ouvrit les grandes lèvres et pénétra sans effort jusqu’à l’entrée du vagin. J’en ressentais déjà toute la force ! Quel plaisir ! J’arrêtais un instant pour me mettre en attente de la suite. J’ai toujours adoré l’excitation que me procuraient les moments d’attente d’une forte pénétration, qu’elle soit vaginale ou anale ! Et quand elle arrivait, j’y prenais un plaisir encore plus intense, à force de l’avoir attendue. Je savais que mon amant aussi était dans l’attente ; celle que j’abaisse très vite mes hanches pour faire pénétrer son manche au plus profond de mon vagin. J’aimais l’imaginer comme cela, tremblant d’impatience, attendant le moment où je me déciderais à m’empaler complètement sur son engin. J’aimais sentir ses mains s’emparer de mes hanches et essayer fébrilement de les tirer vers le bas pour faire pénétrer son sexe plus profondément dans mon vagin. Je résistais un long moment pour accroitre son désir, puis brusquement, je fis descendre mon bassin et m’empalais d’un seul coup sur son sabre.
Je sentais le manche entrer en force dans mon vagin, frotter vigoureusement la paroi et aller loin, très loin à l’intérieur. J’avais l’impression, tellement il était long, qu’il allait dépasser les limites du vagin et ressortir par la bouche. Je regardais mon homme qui avait fermé les yeux et était entré en lui-même pour mieux apprécier le plaisir qu’il prenait à sentir la douceur de mon vagin, qui avait gardé une forte élasticité et qui, de ce fait, moulait parfaitement son membre. Il gémissait doucement, avec sur les lèvres un sourire béat. Il continuait de serrer très fort mes hanches, comme s’il avait peur que je quitte le lieu et le laisse en plan.
J’avais la douce sensation d’avoir un tison incandescent dans mon vagin. Mais la brulure que je ressentais ne me faisait pas mal. Au contraire, elle me procurait une forte sensation de plaisir. Je me mis à faire monter et descendre mon bassin à un rythme que je choisissais moi-même, en jouant avec le plaisir de mon homme. Quand je sentais qu’il n’arrivait plus à résister et qu’il était sur le point de jouir, je ralentissais le rythme jusqu’à ce qu’il se calme. Dès qu’il se calmait, je reprenais le mouvement montant et descendant de mes hanches, tirant de lui des gémissements de plus en plus forts.
- Na’έref en’nik ! (Je sais baiser !) T’heb ki nikek ĥakdha ! (Tu aimes quand je te nique comme cela !) T’heb saouti ! (Tu aimes ma chatte !) Goul li n’heb saoutek ! N’heb hatchounek ! (Dis-moi que tu aimes ma vulve !) Goul ! (Dis !)
- En mout a’έla hatchounek! Hatchounek! Hatchounek! (J’adore ta vulve!)
- Brit ezeb fi ga’έri ! Brit rajel akhour li y nik ni mel lour ! (Je veux un zob dans mon cul ! Je veux qu’un autre homme vienne me niquer par derrière !) Lotfi arouah etnik martek mel lour ! (Lotfi viens baiser ta femme par derrière !) Brit zouj z’boub fi etqabi ! (Je veux deux zobs dans mes trous !) Goul Lotfi y dji i nik ni mel lour ! (Dis à Lotfi de venir me niquer par derrière ! a’έyet lou ! (Appelle-le !)
Evidemment AEK n’appela pas mon mari. Il continuait de gémir sous l’effet des va-et-vient de mon vagin sur son manche. Il était devenu tout rouge et semblait avoir du mal à résister à l’envie de jouir. Moi je ne voulais pas qu’il jouisse tout de suite. Je voulais absolument une double pénétration.
- Balek et’faregh dhourk ! Ma t’feraghch heta n’goulek ! (Attention d’éjaculer maintenant ! Tu n’éjaculeras que quand je te le demanderais !) Lotfi arouah et’nik ni mel lour ! (Lotfi vient me baiser par derrière !)
Et Lotfi vint ! J’arrêtais un moment les mouvements montants et descendants de mes hanches pour le laisser préparer mon cul à la pénétration. Il se plaça derrière moi. Je sentis une main se poser sur mes fesses, les écarter et un doigt se poser sur mon anus. Il pénétra sans effort à l’intérieur de mon rectum pour y tester la lubrification. Comme il était encore bien mouillé, il n’insista pas. Il posa le gland de son sexe sur mon anneau. Je connaissais tellement bien la douceur et la force de ce sexe ! Je le sentis pousser un peu et pénétrer en partie dans mon cul. Quelle sensation ! D’un côté un immense zob qui se trouvait à l’entrée de ma chatte et de l’autre, un autre zob dans celle de mon cul. Tous les deux attendaient mon bon vouloir pour aller et venir avec fureur dans mes deux trous.
Et moi, sans rien pouvoir voir, j’étais au milieu, le bassin relevé de manière à permettre à AEK d’aller et venir dans mon vagin et à Lotfi de m’enculer à l’aise. Encore une fois j’étais en position d’attente ! Une attente tellement délicieuse ! Mais cette fois, c’était à moi de donner le top de départ. Je les fis attendre un moment, pour accroitre encore plus leur excitation et leur impatience. Et puis je donnais le top en leur criant :
- Nikouni ! (Niquez-moi!)
Merveilleuse sensation que ces deux zobs qui prenaient possession de mes deux trous et qui allaient et venaient en même temps, se croisant et se frottant l’un à l’autre, à travers les fines parois de mon vagin et de mon rectum ! C’était le paradis ! J’avais toujours fantasmé sur la double pénétration et j’avais toujours voulu la vivre. Avec mon mari, nous avions pratiqué un ersatz de double pénétration avec un gode, à la place d’un deuxième zob d’homme. Nous y avions pris du plaisir, mais moi j’étais toujours un peu frustrée parce que je voulais qu’à la place du gode il y ait un homme, avec son poids, son odeur, sa force – et surtout – son éjaculation finale. Un gode ne peut pas éjaculer et me remplir de sperme ! Or pour moi, il ne pouvait pas y avoir de pénétration sans sperme qui dégouline.
Et bien avec AEK et Lotfi, j’étais entrain de vivre une vraie double pénétration ! J’étais au comble du bonheur ! Mes deux trous étaient remplis par deux merveilleux zobs. Et même si celui de mon amant était exceptionnel par sa taille et sa force, celui de mon mari qui me ramonait le cul, était lui aussi superbe et me procurait un énorme plaisir. Je ne pouvais pas voir la scène que jouaient nos trois corps soudés entre eux, mais je l’imaginais en bavant de plaisir. Je nous voyais, moi au milieu entrain de recevoir en criant et en bavant de plaisir, un sexe dans chacun de mes trous ; AEK en dessous de moi levant et en poussant à chacune des pénétrations un han de bucheron, accompagné d’un gémissement de plaisir ; et Lotfi au dessus de moi, m’agrippant par les hanches et m’enfonçant son manche dans le cul, en ahanant lui aussi très fort.
Tous les trois, nous étions dans un état second, chacun de nous plongé dans son plaisir et attendant le déferlement d’une jouissance paroxysmique que nous sentions proche. J’avais mes deux trous en feu. Chacun des deux zobs limant mes parois avec force et fureur. Je ne savais pas ce que ressentait chacun de mes deux hommes au moment où leurs sexes se croisaient et se frottaient l’un à l’autre à travers mes parois vaginale et rectale, mais ce que moi je ressentais, c’était le bonheur à l’état pur ! Chaque rencontre, chaque frottement des zobs entre eux, à travers les fines membranes tellement sensibles de mon vagin et de mon rectum, me procuraient un plaisir de plus en plus intense. Après chaque rencontre, je me mettais en position d’attente du prochain frottement. Je n’avais pas compté le nombre de croisements qu’il y eut. Mais à chaque fois c’était le paradis ! Jusqu’au moment où le plaisir avait atteint un tel degré d’intensité que je ne pus retenir l’orgasme qui déboula en moi, tel un torrent en furie. Je me suis mise à hurler mon bonheur, en ordonnant à mes hommes d’intensifier leurs coups de boutoir. Et puis je poussais un énorme râle et perdit presque connaissance, tellement ma respiration devint rapide et saccadée et le rythme de mon cœur avait atteint un maximum insupportable.
J’avais été la première à jouir, à produire des litres de cyprine et à m’écrouler fourbue sur AEK qui dut employer toutes ses forces pour me maintenir assez haut pour continuer à faire aller et venir son sexe dans mon vagin inondé. Mes amants suivirent très rapidement. Lotfi qui était plein comme une outre, jouit en silence – contrairement à son habitude – et éjacula une quantité incroyable de sperme brulant, épais et visqueux à l’intérieur de mon anus. Je sentis le foutre ressortir et couler en dehors, expulsé par les allers-retours de son sexe dans mon cul. Il alla rejoindre tout le jus qui était sorti de ma chatte pour s’étaler sur le pubis de AEK et sur le canapé. Abdelkader qui avait auparavant vidé ses bourses dans mon cul et ma bouche, jouit en dernier et n’éjacula qu’une petite quantité de sperme liquide et transparent. Ce ne fut qu’à ce moment qu’il me relâcha et me laissa tomber sur sa poitrine, entraînant avec moi Lotfi qui resta sur mon dos, le zob toujours en érection, encore planté dans mon cul.
AEK était visiblement harassé. Harassé mais heureux. Il avait débandé et fait sortir sa queue ramollie de ma chatte. Pour la première fois depuis que nous nous sommes rencontrés - il y avait à peine trois heures - il m’enlaça et me donna un baiser plein de tendresse sur la bouche. Lotfi était toujours sur mos dos, le sexe toujours planté dans mon anus. Il ne voulait plus quitter la place. Je me retournais pour le regarder. Dans la position dans laquelle j’étais, je ne pouvais pas le voir complètement, mais le connaissant comme je le connaissais, je savais qu’il avait encore envie de me tirer. La présence de Abdelkader sous moi ne semblait pas le gêner. Je crois même qu’elle l’excitait encore plus.
- En nikek ĥakdha foug sahbek ! (Je vais te niquer comme cela, au dessus de ton amant !)
- Nik ni ! (Nique-moi !) répondis-je, soudainement très intéressée par la nouvelle situation qui se présentait à nous.
Nous ne demandâmes pas l’avis de AEK, qui de toutes les façons ne pouvait rien dire. Mon merveilleux mari venait de décider de me baiser en levrette, accroupie sur mon amant. Il me fit monter un peu pour que je me mette à genoux de part et d’autre de la taille de Abdelkader, mes seins posés sur sa poitrine, la tête au creux de son épaule gauche et les fesses remontées à hauteur du pubis de Lotfi. Lui-même se positionna entre les jambes de mon amant et planta immédiatement sa queue entre mes grandes lèvres. Elle pénétra très facilement à l’intérieur de mon vagin qui était encore pleine de mouille et de sperme.
Je ne ressentis pas la même sensation que précédemment avec l’immense queue de mon amant. Je ne ressentais que des chatouilles - du reste, très agréables – parce que l’immense queue de AEK avait grandement élargi le tunnel de mon vagin. La force de mon mari était située dans les coups de reins qu’il me donnait et qui produisaient un claquement sec chaque fois que son bas ventre cognait contre mes fesses. Le claquement, conjugué au clapotis indécents que faisait le zob de mon mari à l’intérieur de mon vagin plein de mouille, me remplissaient d’émoi. Sans pouvoir le voir, je l’entendais qui ahanait derrière moi en tirant de plus en plus fort sur mes hanches.
Je regardais AEK en dessous de moi. Il souriait de toutes ses dents et avait commencé à me caresser les seins. Il savait caresser le bougre ! Autant, il était brutal quand il baisait, autant, il savait être d’une douceur infinie quand il caressait et embrassait. Il s’était mis à m’embrasser sur tout le visage – joue, front, bouche, menton – et sur le cou. Et il jouait avec un sein, puis avec l’autre, à l’aide de sa main droite ; il prenait, avec d’infinies précautions, mes tétons entre ses doigts et les faisait tourner entre eux. Cette sensation de douceur !
Je ne savais pas ce qui allait me faire jouir une fois de plus : les coups de boutoirs de mon mari qui continuait s’occuper de ma vulve en me tirant de plus en plus fort en levrette, ou la douceur des caresses et des baisers de mon amant allongé en dessous de moi. Certainement les deux en même temps ! Et de fait je ne tardai pas à avoir un autre orgasme, en même temps que Lotfi qui éjacula trois giclées de ce qui lui restait de sperme à l’intérieur de mon vagin.
Quand nous nous séparâmes – à contrecœur pour moi, qui voulait rester pour l’éternité entre mes deux hommes – nous étions dans un tel état de douce lassitude, qu’aucun de nous trois ne réussit à se lever avant qu’au moins une heure ne passât. Aucun de nous ne dit mot pendant tout ce temps là. Nous nous contentâmes de rester sur le canapé, moi assise entre mes deux hommes, chacun ayant passé un bras autour d’une de mes épaules. J’étais tellement heureuse entre eux ! Je ne disais rien, mais je n’en pensais pas moins. Je réfléchissais à tout ce qui venait de se passer. Je me demandais quelle serait la suite de cette aventure. Moi je voulais qu’elle continuât ; j’avais pris goût aux coups de reins de AEK et je ne voulais pas que cela s’arrêtât aussi vite. Mais je n’osais pas parler. Je voulais que Lotfi, l’organisateur de toute l’opération, parlât et demandât à notre ami de rester avec nous et de continuer l’aventure.
Au final, ce fut AEK qui brisa le silence, en nous faisant un véritable discours, d’où il ressortait qu’il avait été heureux d’avoir fait notre connaissance et que jamais avant cela il n’avait pensé une telle chose possible. Il avait non seulement apprécié ce qui s’était passé, mais en plus, il lui semblait qu’il était tombé amoureux de moi. Et qu’il aurait bien aimé que les choses continuent ainsi ; qu’il voudrait tellement revenir et que nous lui permettions de continuer de m’aimer à sa manière – un peu brutale, ajouta-t-il, mais réelle.
- Tu peux même rester vivre avec nous, répondit Lotfi, qui semblait soulagé de n’avoir pas à faire la proposition lui-même. Tu as vu combien Kamila a apprécié de faire l’amour avec toi ! Tu as vu aussi combien j’ai eu de plaisir à vous regarder faire l’amour ensemble et combien j’ai aimé y participer. Tu seras toujours le bienvenu chez nous, N’est-ce pas chérie ?
- Je ne vais pas te laisser partir après ce que nous venons de vivre ensemble. Je vais t’attacher pour que tu ne puisses plus nous quitter, Lotfi et moi ! Tu restes ?
- Oui ! Mille fois oui !
Et ce fut ainsi que mon superbe Apollon vint s’installer avec nous et fit partie de notre vie pendant deux années. Comme c’était un athlète de haut niveau, membre de l’équipe nationale de judo, il s’absentait quelquefois pour des regroupements et des entrainements en Algérie et à l’étranger, mais à chaque fois, il revenait chez nous, visiblement heureux de nous – de me - retrouver. Nous eûmes ensemble – avec et sans Lotfi, avec d’autres hommes et une autre femme - toutes sortes d’expériences érotiques que même son mariage et son départ définitif, n’avaient pas pu arrêter. Abdelkader, mon fabuleux AEK, restera toujours présent dans mon cœur et mon esprit. Si je n’avais peur du ridicule, je dirais même qu’il est encore toujours présent dans mon cul, tellement il m’avait donné de plaisir.
Oui Kamila avait été créée pour donner du bonheur charnel à ses hommes. Jusque là j’avais été son seul homme. Du moins, je l’avais cru. Je sais maintenant que ce n’était pas vrai : elle avait été sodomisée à plusieurs reprises par un de ses petits amis avant que nous nous rencontrions et que nous nous marions. Je n’étais pas jaloux en apprenant cette nouvelle, mais je m’étais promis de lui faire raconter ces épisodes où j’étais cocu, avant même de la connaître. J’étais sûr que j’en tirerai beaucoup de plaisir à l’écouter me parler de ses sensations au moment où un jeune garçon avait défoncé son anus encore vierge.
Mais pour le moment c’est du couple qu’elle venait de former avec Abdelkader, l’homme que je lui avais présenté moins de deux heures auparavant, que j’ai envie de parler.
Tout le temps que le couple forniquait – Abdelkader avait commencé par éclater le cul de ma femme avec son immense queue et, ce faisant, lui avait procurée un plaisir immense – moi je me tenais à l’écart en regardant la scène avec un plaisir dont l’intensité avait dépassé toutes mes espérances. Je savais que je prendrais beaucoup de plaisir à regarder ma femme se faire tirer par un homme. Surtout si elle-même y éprouvait du plaisir ; et qu’elle le montre. Mais je craignais que le fond de morale qui devait être encore en moi ne l’emportât et m’empêchât de profiter pleinement de la situation. Et là je fus totalement rassuré. Non seulement, il ne restait en moi aucun fond de morale qui eût pu jouer le rôle de rabat-joie, mais encore le plaisir que j’espérais était en fait démultiplié.
J’étais encore plus heureux de ce que je voyais que je ne l’avais imaginé. Mon cœur battait la chamade et mon sexe avait atteint sa taille paroxysmique, tant il était excité. Je n’avais même pas envie de participer avec Abdelkader en prenant part au jeu qu’il jouait avec ma femme à deux mètres de moi. Je savais que j’aurai ma part dès que je le voudrais. Ce que je voulais – et que je vivais intensément – c’était de regarder ma femme prendre du plaisir entre les bras d’un homme. C’était comme si je m’étais dédoublé et que j’étais en même temps l’acteur et le spectateur de ce qui se passait à côté du divan.
J’étais celui qui était entrain d’enculer Kamila avec une immense queue qui lui déchirait le cul et qui la transportait vers les plus hautes cimes du plaisir ; je vivais en imagination tout le plaisir que prenait Abdelkader en ce moment là. J’étais aussi moi-même, le mari, qui contemplait sa femme lui montrer tout son bonheur de se faire éclater le cul par une superbe queue et hurler à qui veut l’entendre tout le bonheur qu’elle vivait. Et en plus elle criait ce bonheur avec des mots crus, dits en arabe dialectal, qui accroissaient encore d’un cran mon excitation. Je savais maintenant que j’aimais vraiment regarder ma femme entrain de jouir. Cela me mettait dans une situation d’excitation maximum, qui me faisait bander à l’extrême et me procurait énormément de plaisir.
Ce qui m’étonnait aussi, chose à laquelle je n’avais jamais pensée auparavant, c’était que je n’avais même pas envie de jouir. Ce que je voulais plus que tout au monde, c’était de garder le plus longtemps possible cet extraordinaire état d’excitation qui me transportait dans un monde paradisiaque. Il me suffisait de caresser légèrement mon sexe afin de le maintenir en érection permanente. Je savais qu’à un moment ou un autre, il me faudra bien éjaculer et jouir pour libérer mes couilles du trop plein de sperme accumulé, mais pour le moment, j’étais dans un monde merveilleux qui me satisfaisait pleinement.
Je m’étais assis discrètement dans un des fauteuils du salon pour profiter pleinement du spectacle que m’offrait ma femme entrain de se faire sodomiser. J’aurais bien aimé que Kamila eut choisi d’amener son amant dans la chambre que j’avais aménagée spécialement avec des miroirs aux murs et au plafond. J’aurais pu ainsi voir ma merveilleuse épouse sous tous les angles pendant qu’elle faisait l’amour. J’aurais pu en même temps voir l’immense engin de Abdelkader qui entrait et sortait du cul de Kamila, la manière dont s’exprimaient sur leurs visages les différentes phases du plaisir que prenaient les deux amants durant l’acte et surtout ce qu’exprimaient les yeux de ma femme pendant qu’elle se faisait tirer.
Mais Kamila n’avait pas tenu compte de mon désir de vouloir tout voir pendant l’acte. Je lui avais pourtant expliqué mes envies au moment où j’avais aménagé la chambre avec les miroirs. Nous avions même inauguré le lieu en faisant l’amour comme des bêtes et en nous regardant baiser dans toutes les glaces et sous tous les angles. Cela nous avait bien plu. Mais pour des raisons qui m’échappaient, ma femme avait préféré amener son amant dans le salon. Je ne vis donc pas tout ce que j’espérais voir, mais ce que j’avais vu et entendu avait suffi pour me transporter de plaisir. J’étais vraiment heureux ; un type de bonheur que je n’avais encore jamais ressenti et qui était fait surtout d’une superbe excitation, qui ne demandait même pas à se transformer en orgasme. Une excitation qui se suffisait à elle-même.
Après l’avoir fait grimper aux rideaux et joui lui-même intensément dans le cul de ma femme, Abdelkader toujours aussi excité, avait exigé de Kamila qu’elle lui fasse une fellation d’enfer. D’abord pour nettoyer avec la langue son engin de toutes les sécrétions qu’il avait ramené du rectum de le belle, puis pour se faire sucer et jouir dans sa bouche. Je connaissais l’art de mon épouse d’utiliser sa bouche, ses lèvres et sa langue pour m’offrir de puissants orgasmes avec des éjaculations buccales et faciales. J’étais sûr qu’elle en donnerait autant à son nouvel amant.
Et de fait, elle se mit immédiatement à l’œuvre en prenant l’immense sexe du bonhomme dans sa main droite et en commençant par promener ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe et les testicules. Mais Abdelkader avait une toute autre idée en tête. Il voulait pénétrer immédiatement à l’intérieur de la bouche. Il voulait, et le lui dit sans ménagement, la baiser par la bouche. Il voulait utiliser cette dernière comme il l’avait fait de son anus.
- Rani rayeh en’nikek men foumek ! (Je vais te niquer par ta bouche !) Helli foumek ! (ouvre ta bouche !)
Elle obéit et ouvrit très grand sa bouche. Il la pénétra sans ménagement et fit une première tentative pour aller le plus loin qu’il pouvait à l’intérieur. Elle eut immédiatement envie de vomir et le repoussa. Il se retira une seconde et repartit immédiatement à l’assaut. Il fit pénétrer son engin jusqu’au fond de la gorge ; le maintint un moment, comme s’il voulait qu’elle s’habitue à la présence du monstre, et le ressortit une autre seconde. Et il recommença comme cela cinq ou six fois, puis l’attrapa par les cheveux pour qu’elle ne puisse pas fuir et se mit à la tirer avec fureur. Je voyais les yeux de Kamila qui se remplissaient de larmes. Elle avait mal à la gorge. Elle devenait toute rouge et semblait prête de l’apoplexie. Elle était aussi sur le point de vomir. Abdelkader ressortit complètement de sa bouche pour lui permettre de respirer. Elle toussa très fort et ne put retenir le flot de crachat qui s’étala sur le zob qui frétillait de désir de retourner à l’assaut de la bouche. Et il repartit à l’intérieur avec la même fureur qu’auparavant.
J’assistais à la scène avec un mélange de plaisir et d’appréhension. De plaisir, parce qu’inconsciemment je m’étais imaginé à la place de l’amant, faisant à Kamila, ce que j’avais toujours rêvé de lui faire, sans avoir jamais osé le faire, par peur de lui faire trop mal. Appréhension parce que je la voyais souffrir et que j’avais peur qu’il lui arrive quelque chose de grave. Mais je n’intervenais pas. Je la regardais qui supportait vaillamment le traitement que lui faisait subir son amant et, à chaque fois, rouvrir très grand sa bouche pour lui permettre de retourner à l’assaut de sa gorge.
Elle le regardait avec ses yeux larmoyants, son nez qui coulait et sa bouche qui crachait sur le sexe qui venait de sortir de sa bouche, lui envoyait un pauvre sourire de chienne battue et rouvrait sa bouche pour qu’il recommence. La scène dura une éternité, jusqu’au moment ou je vis tous les muscles de l’homme se raidir et ou je l’entendis pousser un énorme gémissement de plaisir. Il était entrain de jouir.
- Rayeh en’faragh fi foumek ! (je vais éjaculer dans ta bouche !) Wa tbel’έi koulech ! (Et tu avaleras tout !) Bel’έi ! (Avale !) Echerbi ! (Bois !) Echerbi a’έasel ! (Bois du miel !)
Il éjacula une première fois à l’intérieur de la bouche de Kamila, qui avala difficilement tout le sperme qu’elle venait de recevoir. Il déversa tout le reste de son foutre sur le visage, le cou et la poitrine de sa maîtresse.
- Nafdhi koulech bel yed, wa lahsi ha ! (Nettoie tout avec la main et lèche-la !) N’hab en choufek ĥakdha ! (J’adore te voir comme cela !)
Je vis ma merveilleuse Kamila s’exécuter et nettoyer consciencieusement tout le foutre qu’elle avait sur elle et lécher à chaque fois ses doigts, tout en lui lançant un regard provocateur, comme pour lui rappeler qu’elle était vraiment à la hauteur. Elle mit beaucoup de temps à finir son œuvre de nettoyage. Pendant tout ce temps Abdelkader était resté dans la même position, à genoux devant elle, la regardant avec admiration. Et il bandait encore !
- Tu es magnifique ! Je sais que je t’ai fait très mal et malgré cela tu n’as rien fait pour m’obliger à arrêter. Tu sais que j’aurais arrêté si tu m’avais repoussé – ou mordu. Mais rien de cela ; tu as voulu aller jusqu’au bout. Je t’adore !
- Tu n’as encore rien vu !
Elle disait cela avec une toute petite voix qui sortait de sa gorge en feu. Elle avait encore très mal et n’arrivait pas à poser sa voix. Elle était obligée de racler sa gorge plusieurs fois pour pouvoir aller jusqu’au bout de sa phrase. Mais, elle tenait à lui faire savoir qu’elle était une maîtresse à la hauteur et qu’elle savait donner du plaisir à son nouveau maître. Elle m’envoyait de temps en temps un regard rapide et discret, comme pour s’assurer que j’appréciais ce que je voyais.
Et j’appréciais vraiment ce que à quoi je venais d’assister. Mon plaisir était vraiment très fort. J’étais aussi excité qu’un bouc en rut, et j’adorais de plus en plus cette sensation. J’avais l’impression que mon sexe allait exploser, tant il bandait très fort. Il me semblait qu’il avait atteint des dimensions énormes ; des dimensions qu’il n’avait encore jamais atteintes. J’avais mal au bas ventre, tellement je bandais. Mais c’était un mal qui me faisait tellement de bien ! Je tenais toujours mon membre dans ma main et le caressais tout doucement. Je sentais maintenant une forte envie de vider mes bourses qui étaient vraiment trop pleines. Je voulais jouir moi aussi. Et il me semblait que Kamila avait senti cette envie ! Elle me lança une œillade coquine et dit à son amant, qui me tournait toujours le dos :
- A mon tour de jouir très fort ! Cette fois-ci c’est moi qui vais diriger la danse ! Allonge-toi sur le canapé, je vais venir m’empaler sur ton manche ! Ana li en’nikek dhork! (C’est moi qui vais te niquer cette fois-ci!)
../..
Retour de la deuxième voix : Kamila
Je fis allonger AEK sur le canapé. Il bandait encore très fort. Cet homme devait avoir un os à la place du sexe, avais-je pensé dans cet état ! Il ne débandait jamais ! Il venait pourtant de jouir deux fois de suite ! Son merveilleux manche était dressé vers le plafond, tel un sabre menaçant. Je bavais littéralement en le regardant. Il était tellement beau ! Tellement vigoureux !
Ma chatte coulait telle une fontaine à l’idée d’être pourfendue par une telle queue ! Je venais de prendre conscience que jusqu’à maintenant, l’homme ne s’était pas du tout occupé d’elle. Il m’avait enculé ; il m’avait baisé par la bouche ; mais il semblait avoir totalement délaissé mon minou. Or, lui aussi voulait sa part de bien-être et de bonheur. Il voulait être entrepris par l’immense zob et sentir toute sa force et sa brutalité. Il voulait être limé vigoureusement par l’énorme gland en forme de tête de champignon et avoir mal. D’habitude, je détestais avoir mal en faisant l’amour ; je supportais difficilement la douleur. Mais avec AEK, je me suis découverte une inquiétante tendance à apprécier la douleur provoquée par l’énormité de son manche et à en ressentir un immense plaisir. Je sentais que j’étais entrain de devenir un peu maso.
Je vins me placer à califourchon sur les puissantes cuisses du garçon, et telle une farouche amazone, je m’empalais lentement sur le glaive fièrement dressé vers le plafond. Le gland ouvrit les grandes lèvres et pénétra sans effort jusqu’à l’entrée du vagin. J’en ressentais déjà toute la force ! Quel plaisir ! J’arrêtais un instant pour me mettre en attente de la suite. J’ai toujours adoré l’excitation que me procuraient les moments d’attente d’une forte pénétration, qu’elle soit vaginale ou anale ! Et quand elle arrivait, j’y prenais un plaisir encore plus intense, à force de l’avoir attendue. Je savais que mon amant aussi était dans l’attente ; celle que j’abaisse très vite mes hanches pour faire pénétrer son manche au plus profond de mon vagin. J’aimais l’imaginer comme cela, tremblant d’impatience, attendant le moment où je me déciderais à m’empaler complètement sur son engin. J’aimais sentir ses mains s’emparer de mes hanches et essayer fébrilement de les tirer vers le bas pour faire pénétrer son sexe plus profondément dans mon vagin. Je résistais un long moment pour accroitre son désir, puis brusquement, je fis descendre mon bassin et m’empalais d’un seul coup sur son sabre.
Je sentais le manche entrer en force dans mon vagin, frotter vigoureusement la paroi et aller loin, très loin à l’intérieur. J’avais l’impression, tellement il était long, qu’il allait dépasser les limites du vagin et ressortir par la bouche. Je regardais mon homme qui avait fermé les yeux et était entré en lui-même pour mieux apprécier le plaisir qu’il prenait à sentir la douceur de mon vagin, qui avait gardé une forte élasticité et qui, de ce fait, moulait parfaitement son membre. Il gémissait doucement, avec sur les lèvres un sourire béat. Il continuait de serrer très fort mes hanches, comme s’il avait peur que je quitte le lieu et le laisse en plan.
J’avais la douce sensation d’avoir un tison incandescent dans mon vagin. Mais la brulure que je ressentais ne me faisait pas mal. Au contraire, elle me procurait une forte sensation de plaisir. Je me mis à faire monter et descendre mon bassin à un rythme que je choisissais moi-même, en jouant avec le plaisir de mon homme. Quand je sentais qu’il n’arrivait plus à résister et qu’il était sur le point de jouir, je ralentissais le rythme jusqu’à ce qu’il se calme. Dès qu’il se calmait, je reprenais le mouvement montant et descendant de mes hanches, tirant de lui des gémissements de plus en plus forts.
- Na’έref en’nik ! (Je sais baiser !) T’heb ki nikek ĥakdha ! (Tu aimes quand je te nique comme cela !) T’heb saouti ! (Tu aimes ma chatte !) Goul li n’heb saoutek ! N’heb hatchounek ! (Dis-moi que tu aimes ma vulve !) Goul ! (Dis !)
- En mout a’έla hatchounek! Hatchounek! Hatchounek! (J’adore ta vulve!)
- Brit ezeb fi ga’έri ! Brit rajel akhour li y nik ni mel lour ! (Je veux un zob dans mon cul ! Je veux qu’un autre homme vienne me niquer par derrière !) Lotfi arouah etnik martek mel lour ! (Lotfi viens baiser ta femme par derrière !) Brit zouj z’boub fi etqabi ! (Je veux deux zobs dans mes trous !) Goul Lotfi y dji i nik ni mel lour ! (Dis à Lotfi de venir me niquer par derrière ! a’έyet lou ! (Appelle-le !)
Evidemment AEK n’appela pas mon mari. Il continuait de gémir sous l’effet des va-et-vient de mon vagin sur son manche. Il était devenu tout rouge et semblait avoir du mal à résister à l’envie de jouir. Moi je ne voulais pas qu’il jouisse tout de suite. Je voulais absolument une double pénétration.
- Balek et’faregh dhourk ! Ma t’feraghch heta n’goulek ! (Attention d’éjaculer maintenant ! Tu n’éjaculeras que quand je te le demanderais !) Lotfi arouah et’nik ni mel lour ! (Lotfi vient me baiser par derrière !)
Et Lotfi vint ! J’arrêtais un moment les mouvements montants et descendants de mes hanches pour le laisser préparer mon cul à la pénétration. Il se plaça derrière moi. Je sentis une main se poser sur mes fesses, les écarter et un doigt se poser sur mon anus. Il pénétra sans effort à l’intérieur de mon rectum pour y tester la lubrification. Comme il était encore bien mouillé, il n’insista pas. Il posa le gland de son sexe sur mon anneau. Je connaissais tellement bien la douceur et la force de ce sexe ! Je le sentis pousser un peu et pénétrer en partie dans mon cul. Quelle sensation ! D’un côté un immense zob qui se trouvait à l’entrée de ma chatte et de l’autre, un autre zob dans celle de mon cul. Tous les deux attendaient mon bon vouloir pour aller et venir avec fureur dans mes deux trous.
Et moi, sans rien pouvoir voir, j’étais au milieu, le bassin relevé de manière à permettre à AEK d’aller et venir dans mon vagin et à Lotfi de m’enculer à l’aise. Encore une fois j’étais en position d’attente ! Une attente tellement délicieuse ! Mais cette fois, c’était à moi de donner le top de départ. Je les fis attendre un moment, pour accroitre encore plus leur excitation et leur impatience. Et puis je donnais le top en leur criant :
- Nikouni ! (Niquez-moi!)
Merveilleuse sensation que ces deux zobs qui prenaient possession de mes deux trous et qui allaient et venaient en même temps, se croisant et se frottant l’un à l’autre, à travers les fines parois de mon vagin et de mon rectum ! C’était le paradis ! J’avais toujours fantasmé sur la double pénétration et j’avais toujours voulu la vivre. Avec mon mari, nous avions pratiqué un ersatz de double pénétration avec un gode, à la place d’un deuxième zob d’homme. Nous y avions pris du plaisir, mais moi j’étais toujours un peu frustrée parce que je voulais qu’à la place du gode il y ait un homme, avec son poids, son odeur, sa force – et surtout – son éjaculation finale. Un gode ne peut pas éjaculer et me remplir de sperme ! Or pour moi, il ne pouvait pas y avoir de pénétration sans sperme qui dégouline.
Et bien avec AEK et Lotfi, j’étais entrain de vivre une vraie double pénétration ! J’étais au comble du bonheur ! Mes deux trous étaient remplis par deux merveilleux zobs. Et même si celui de mon amant était exceptionnel par sa taille et sa force, celui de mon mari qui me ramonait le cul, était lui aussi superbe et me procurait un énorme plaisir. Je ne pouvais pas voir la scène que jouaient nos trois corps soudés entre eux, mais je l’imaginais en bavant de plaisir. Je nous voyais, moi au milieu entrain de recevoir en criant et en bavant de plaisir, un sexe dans chacun de mes trous ; AEK en dessous de moi levant et en poussant à chacune des pénétrations un han de bucheron, accompagné d’un gémissement de plaisir ; et Lotfi au dessus de moi, m’agrippant par les hanches et m’enfonçant son manche dans le cul, en ahanant lui aussi très fort.
Tous les trois, nous étions dans un état second, chacun de nous plongé dans son plaisir et attendant le déferlement d’une jouissance paroxysmique que nous sentions proche. J’avais mes deux trous en feu. Chacun des deux zobs limant mes parois avec force et fureur. Je ne savais pas ce que ressentait chacun de mes deux hommes au moment où leurs sexes se croisaient et se frottaient l’un à l’autre à travers mes parois vaginale et rectale, mais ce que moi je ressentais, c’était le bonheur à l’état pur ! Chaque rencontre, chaque frottement des zobs entre eux, à travers les fines membranes tellement sensibles de mon vagin et de mon rectum, me procuraient un plaisir de plus en plus intense. Après chaque rencontre, je me mettais en position d’attente du prochain frottement. Je n’avais pas compté le nombre de croisements qu’il y eut. Mais à chaque fois c’était le paradis ! Jusqu’au moment où le plaisir avait atteint un tel degré d’intensité que je ne pus retenir l’orgasme qui déboula en moi, tel un torrent en furie. Je me suis mise à hurler mon bonheur, en ordonnant à mes hommes d’intensifier leurs coups de boutoir. Et puis je poussais un énorme râle et perdit presque connaissance, tellement ma respiration devint rapide et saccadée et le rythme de mon cœur avait atteint un maximum insupportable.
J’avais été la première à jouir, à produire des litres de cyprine et à m’écrouler fourbue sur AEK qui dut employer toutes ses forces pour me maintenir assez haut pour continuer à faire aller et venir son sexe dans mon vagin inondé. Mes amants suivirent très rapidement. Lotfi qui était plein comme une outre, jouit en silence – contrairement à son habitude – et éjacula une quantité incroyable de sperme brulant, épais et visqueux à l’intérieur de mon anus. Je sentis le foutre ressortir et couler en dehors, expulsé par les allers-retours de son sexe dans mon cul. Il alla rejoindre tout le jus qui était sorti de ma chatte pour s’étaler sur le pubis de AEK et sur le canapé. Abdelkader qui avait auparavant vidé ses bourses dans mon cul et ma bouche, jouit en dernier et n’éjacula qu’une petite quantité de sperme liquide et transparent. Ce ne fut qu’à ce moment qu’il me relâcha et me laissa tomber sur sa poitrine, entraînant avec moi Lotfi qui resta sur mon dos, le zob toujours en érection, encore planté dans mon cul.
AEK était visiblement harassé. Harassé mais heureux. Il avait débandé et fait sortir sa queue ramollie de ma chatte. Pour la première fois depuis que nous nous sommes rencontrés - il y avait à peine trois heures - il m’enlaça et me donna un baiser plein de tendresse sur la bouche. Lotfi était toujours sur mos dos, le sexe toujours planté dans mon anus. Il ne voulait plus quitter la place. Je me retournais pour le regarder. Dans la position dans laquelle j’étais, je ne pouvais pas le voir complètement, mais le connaissant comme je le connaissais, je savais qu’il avait encore envie de me tirer. La présence de Abdelkader sous moi ne semblait pas le gêner. Je crois même qu’elle l’excitait encore plus.
- En nikek ĥakdha foug sahbek ! (Je vais te niquer comme cela, au dessus de ton amant !)
- Nik ni ! (Nique-moi !) répondis-je, soudainement très intéressée par la nouvelle situation qui se présentait à nous.
Nous ne demandâmes pas l’avis de AEK, qui de toutes les façons ne pouvait rien dire. Mon merveilleux mari venait de décider de me baiser en levrette, accroupie sur mon amant. Il me fit monter un peu pour que je me mette à genoux de part et d’autre de la taille de Abdelkader, mes seins posés sur sa poitrine, la tête au creux de son épaule gauche et les fesses remontées à hauteur du pubis de Lotfi. Lui-même se positionna entre les jambes de mon amant et planta immédiatement sa queue entre mes grandes lèvres. Elle pénétra très facilement à l’intérieur de mon vagin qui était encore pleine de mouille et de sperme.
Je ne ressentis pas la même sensation que précédemment avec l’immense queue de mon amant. Je ne ressentais que des chatouilles - du reste, très agréables – parce que l’immense queue de AEK avait grandement élargi le tunnel de mon vagin. La force de mon mari était située dans les coups de reins qu’il me donnait et qui produisaient un claquement sec chaque fois que son bas ventre cognait contre mes fesses. Le claquement, conjugué au clapotis indécents que faisait le zob de mon mari à l’intérieur de mon vagin plein de mouille, me remplissaient d’émoi. Sans pouvoir le voir, je l’entendais qui ahanait derrière moi en tirant de plus en plus fort sur mes hanches.
Je regardais AEK en dessous de moi. Il souriait de toutes ses dents et avait commencé à me caresser les seins. Il savait caresser le bougre ! Autant, il était brutal quand il baisait, autant, il savait être d’une douceur infinie quand il caressait et embrassait. Il s’était mis à m’embrasser sur tout le visage – joue, front, bouche, menton – et sur le cou. Et il jouait avec un sein, puis avec l’autre, à l’aide de sa main droite ; il prenait, avec d’infinies précautions, mes tétons entre ses doigts et les faisait tourner entre eux. Cette sensation de douceur !
Je ne savais pas ce qui allait me faire jouir une fois de plus : les coups de boutoirs de mon mari qui continuait s’occuper de ma vulve en me tirant de plus en plus fort en levrette, ou la douceur des caresses et des baisers de mon amant allongé en dessous de moi. Certainement les deux en même temps ! Et de fait je ne tardai pas à avoir un autre orgasme, en même temps que Lotfi qui éjacula trois giclées de ce qui lui restait de sperme à l’intérieur de mon vagin.
Quand nous nous séparâmes – à contrecœur pour moi, qui voulait rester pour l’éternité entre mes deux hommes – nous étions dans un tel état de douce lassitude, qu’aucun de nous trois ne réussit à se lever avant qu’au moins une heure ne passât. Aucun de nous ne dit mot pendant tout ce temps là. Nous nous contentâmes de rester sur le canapé, moi assise entre mes deux hommes, chacun ayant passé un bras autour d’une de mes épaules. J’étais tellement heureuse entre eux ! Je ne disais rien, mais je n’en pensais pas moins. Je réfléchissais à tout ce qui venait de se passer. Je me demandais quelle serait la suite de cette aventure. Moi je voulais qu’elle continuât ; j’avais pris goût aux coups de reins de AEK et je ne voulais pas que cela s’arrêtât aussi vite. Mais je n’osais pas parler. Je voulais que Lotfi, l’organisateur de toute l’opération, parlât et demandât à notre ami de rester avec nous et de continuer l’aventure.
Au final, ce fut AEK qui brisa le silence, en nous faisant un véritable discours, d’où il ressortait qu’il avait été heureux d’avoir fait notre connaissance et que jamais avant cela il n’avait pensé une telle chose possible. Il avait non seulement apprécié ce qui s’était passé, mais en plus, il lui semblait qu’il était tombé amoureux de moi. Et qu’il aurait bien aimé que les choses continuent ainsi ; qu’il voudrait tellement revenir et que nous lui permettions de continuer de m’aimer à sa manière – un peu brutale, ajouta-t-il, mais réelle.
- Tu peux même rester vivre avec nous, répondit Lotfi, qui semblait soulagé de n’avoir pas à faire la proposition lui-même. Tu as vu combien Kamila a apprécié de faire l’amour avec toi ! Tu as vu aussi combien j’ai eu de plaisir à vous regarder faire l’amour ensemble et combien j’ai aimé y participer. Tu seras toujours le bienvenu chez nous, N’est-ce pas chérie ?
- Je ne vais pas te laisser partir après ce que nous venons de vivre ensemble. Je vais t’attacher pour que tu ne puisses plus nous quitter, Lotfi et moi ! Tu restes ?
- Oui ! Mille fois oui !
Et ce fut ainsi que mon superbe Apollon vint s’installer avec nous et fit partie de notre vie pendant deux années. Comme c’était un athlète de haut niveau, membre de l’équipe nationale de judo, il s’absentait quelquefois pour des regroupements et des entrainements en Algérie et à l’étranger, mais à chaque fois, il revenait chez nous, visiblement heureux de nous – de me - retrouver. Nous eûmes ensemble – avec et sans Lotfi, avec d’autres hommes et une autre femme - toutes sortes d’expériences érotiques que même son mariage et son départ définitif, n’avaient pas pu arrêter. Abdelkader, mon fabuleux AEK, restera toujours présent dans mon cœur et mon esprit. Si je n’avais peur du ridicule, je dirais même qu’il est encore toujours présent dans mon cul, tellement il m’avait donné de plaisir.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
quel bite ce AEK, j'aimerai qu'il s'occupe de ma femme sous mes yeux
waw!Kamila est une super baiseuse. Je rêve d'une femme comme elle. Cette histoire est
très bandante.
très bandante.
magnifique.....super
toujours aussi beau et bandant merci