Kamila et Lotfi, Episode 3

- Par l'auteur HDS GERACHE -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Kamila et Lotfi, Episode 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2011 dans la catégorie Plus on est
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Kamila et Lotfi, Episode 3
Kamila, Lotfi et Abdelkader vécurent ainsi, pendant environ six mois, la vie d’un couple à trois. AEK s’installa presque en permanence chez eux et partagea avec eux une vie de luxure qui n’avait d’autres limites que leur seule résistance physique – celle des hommes surtout, parce que pour la femme la question ne se posait pas : non seulement elle supportait vaillamment tous les assauts de ses deux hommes, mais même après cela ses besoins étaient encore intacts. Tous les trois trouvaient leur bonheur dans cette vie où seul le sexe et l’érotisme avaient droit de cité.
Bien entendu, tous les trois travaillaient et avaient une vie professionnelle normale – AEK, avait, quant à lui, une activité sportive qui lui tenait lieu de profession ; il était d’ailleurs payé en conséquence, en sa qualité de sportif d’élite, directement par le ministère chargé des sports. Mais il ne s’agissait pour eux que d’occupations utiles pour gagner leur vie. Leur vraie passion était ailleurs : dans une vie sexuelle débridée et complètement assumée.
Je rencontrais assez régulièrement le couple, dont j’étais en quelque sorte devenu le confident. Je crois que l’un et l’autre avaient de l’estime pour moi et, peut être même, qu’ils m’aimaient bien ; probablement parce qu’ils trouvaient en moi une écoute attentive et qu’ils avaient un vrai besoin de s’exprimer sur leur vie de couple et surtout sur leur activité, leur vécu, et leurs besoins érotiques. En fait, ils avaient besoin de s’exprimer pour ne pas se sentir seuls au monde et partager avec tous ceux – qu’ils pensaient être très nombreux, bien que discrets – qui partageaient leurs fantasmes et qui rêvaient de vivre la même vie qu’eux.
J’avais cet avantage d’avoir une assez belle plume et de pouvoir écrire et faire publier leur histoire. En fait, cela ne m’était pas très difficile. Lotfi savait raconter – il avait lui-même une assez belle plume – et il me suffisait de reproduire, pratiquement sans correction, ce qu’il racontait. Kamila, était elle aussi très loquace et avait l’avantage, par rapport à son mari, d’aimer les détails croustillants. Elle n’avait pas de fausse honte et aimer appeler les choses par leurs noms. C’était surtout elle qui rapportait les dialogues crus et impudiques qu’ils avaient au cours de leurs activités sexuelles.
Elle savait que son mari aimait l’entendre hurler les mots crus que lui inspiraient les coups de boutoir de ses amants. Elle les disait toujours dans sa langue maternelle – qui était pour tous les deux la langue de l’érotisme par excellence – et savait qu’ils titillaient ses amants, qu’elle obligeait à la suivre dans ses délires et à lui répondre dans la même langue. Je peux avouer, aujourd’hui, que moi-même – le narrateur normalement neutre et asexué – il m’arrivait de bander en entendant Kamila prononcer ces mots et ces phrases qui avaient sur moi un fort effet aphrodisiaque. Je m’étais toujours efforcé de n’en rien montrer, mais mon Dieu ce que sa voix un peu rauque me chatouillait le bas ventre et me mettait en état de rut animal, quand elle prononçait ces mots !
Je ne fis jamais la connaissance de Abdelkader, mais je pense l’avoir connu très intimement, à travers les descriptions croisées que m’en faisait le couple. C’était certainement un homme – encore un garçon, compte tenu de sa grande jeunesse – extraordinaire. Il prit avec une facilité déconcertante les habits de troisième membre du couple, et surtout adopta très vite son mode de vie. Il devint petit à petit le vrai maître des jeux du couple. Il finit même, au bout de seulement trois mois de vie commune, par vouloir lui aussi partager Kamila avec d’autres hommes. Il rejoignit ainsi Lotfi dans son monde particulier de cocu volontaire et assumé et sembla avoir tiré de l’expérience de très grandes satisfactions érotiques.
C’est cette partie de la vie du trio qui est racontée ci-dessous, toujours à travers les voix croisées de Lotfi et de sa femme.
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Voix de Lotfi
Nous vécûmes ainsi, Kamila – mon épouse adorée – Abdelkader - son amant - et moi, une vie passionnante d’un couple à trois. Abdelkader était exactement l’homme que je recherchais depuis des années pour devenir l’amant de ma femme. Il en avait toutes les qualités physiques et même morales.
Physiquement, il était vraiment au top. Grand, fort, viril et surtout – ce que ma femme adorait par-dessus tout – il était membré comme un âne ! Elle aimait cet immense manche toujours en érection qui lui faisait toujours très mal quand il la possédait – avec une brutalité qui ne s’était jamais démentie depuis – et qui lui remplissait tous ses trous. Elle me disait, en aparté et même devant lui :
- N’mout ala zboub li ywedj’ouni ki yedkhoul fiya ! Fi saouti ! Fi ga’ari ! Fi foumi ! (J’adore les zobs qui font mal quand ils pénètrent en moi ! Dans ma chatte ! Dans mon cul ! Dans ma bouche !). N’hab ki i nik ni bezzour ! (J’aime quand il me baise en force !) N’hab ki i’amar li hatchouni ! (J’adore quand il me remplit complètement le vagin !)
Kamila était comme cela ! Elle disait les choses crument ; exactement comme elle les pensait. Pourtant, il y avait encore peu de temps, elle hésitait à employer un de ces mots, même à voix très basse. Elle était du genre pudique. Elle ne commença à se lâcher vraiment qu’avec l’arrivée dans notre vie de Abdelkader. Avant cela, j’avais bien essayé de lui faire prononcer quelques mots ou phrases crus quand on faisait l’amour – surtout accroître mon excitation à moi qui avait toujours trouvé très aphrodisiaques les mots crus dits en arabe. Sans grand succès, il faut bien l’admettre.
Elle acceptait quelquefois de répondre à mes questions pendant l’acte, mais c’était toujours à voix très basse et en rougissant comme une jeune écolière qui venait de se faire attraper à dire des gros mots.
- Wachnou ‘hadha ? Wach issemouh ? lui demandais-je souvent en lui montrant mon engin qui allait la pénétrer. (C’est quoi cela ? Comment l’appelle-t-on ?)
- … (Elle ne répondait jamais la première fois)
- Goulili kifech issemouh ! (Dis-moi comment on l’appelle !)
- …
- ‘Hadha zeb ! Gouli, hadha zeb ! Zeb ! (C’est un zob ! Dis, c’est un zob ! Un zob !)
- Zob !
Quand elle acceptait enfin de prononcer le mot défendu, il s’était passé un long moment. Cela titillait tout de même ma libido, mais j’aurais tant aimé qu’elle prononçât les mots et les phrases impudiques à haute voix et sans que je n’eus à le lui demander. Avec l’arrivée dans notre vie – et dans notre lit - de Abdelkader, les choses avaient évolué de manière très naturelle : il prononçait lui-même les mots sans fausse honte et sans pudeur et elle les répétaient après lui. Et elle avait fini par le précéder dans la litanie des mots et des phrases crus et à s’en servir comme un levain de son désir ; un moyen d’intensifier son plaisir. Plus elle parlait, plus elle hurlait et plus son désir prenait de l’ampleur et son plaisir s’intensifiait.
Son bonheur à ce moment là se lisait sur tout son corps. Non seulement elle hurlait qu’elle jouissait, mais ses yeux qui brillaient de mille feux pendant qu’elle se faisait tirer – surtout par son étalon d’amant – sa bouche n’arrivait plus à retenir la salive qui en sortait à grands flots, sa tête dodelinait à la manière d’un pantin désarticulé et ses hanches suivaient furieusement le rythme saccadés des coups de boutoir du magnifique zob qui la possédait.
Je savais qua ma femme aimait le sexe. Elle me l’avait toujours prouvé auparavant. Mais le sexe qu’elle semblait aimer était du genre calme et doux. Elle avait toujours joui sous mes coups de reins ; et les orgasmes qui survenaient semblaient la transporter vers ce qu’elle nommait le septième ciel. Ils faisaient battre son cœur plus fort, rendaient sa respiration haletante, tiraient d’elle un râle de jouissance, souvent très fort. Mais il n’y avait rien de comparable à ce qu’elle avait commencé à vivre, ces six derniers mois avec AEK – comme elle s’évertuait à l’appeler – en ma présence et parfois avec ma participation finale. (Elle ne voulait que j’intervienne qu’après avoir déjà bien joui avec le magnifique manche de son amant, et pour qu’elle bénéficie d’une double pénétration, qu’elle aimait par-dessus tout.)
Bizarrement, je n’étais pas jaloux de découvrir que ma femme n’avait pas atteint avec moi, auparavant, les sommets de la jouissance sexuelle. Quand nous étions seuls, avant l’arrivée de Abdelkader dans notre vie sexuelle, nous n’avions pas encore pris conscience de la limite de notre plaisir. Bien sûr je fantasmais depuis longtemps sur Kamila entrain de baiser avec d’autres hommes et jouir sans retenue. Je supputais déjà que moi-même je tirerais beaucoup de plaisir à regarder ma femme gémir sous les coups de reins de ses amants. Mais, ce que je vécus plus tard en compagnie de Abdelkader avait dépassé tous mes fantasmes. Le type même de plaisir que j’en tirais – que je participasse ou non à l’action - était différend et d’une autre nature que celui que j’avais eu auparavant en baisant moi-même ma femme - ou d’autres femmes.
Mon plaisir était surtout cérébral. Je m’excitais et jouissait par le cerveau. Je ne croyais pas cela possible ! Voir – et entendre - ma femme prendre du plaisir sous ou sur un autre homme, me mettait dans un état second ; un état près de la béatitude. Mon sexe se tendait jusqu’à me faire mal. Et cette douce douleur rayonnait sur tout mon bas ventre et venait chatouiller ma colonne vertébrale pour se répandre sur la totalité de mon corps. L’étonnant dans tout cela, c’était que je n’éprouvais pas le besoin de participer à l’action et de jouir dans un des trous de mon épouse. Il me suffisait d’être excité très fort et de bander tout autant. L’érection devenait un but en soit. La seule chose qui comptait, c’était qu’elle soit maintenue à son paroxysme. Et si au final, Kamila m’appelait pour participer à l’assaut d’un de ses trous, c’était un plus dans le plaisir qui m’habitait. Sinon, je ne voyais pas de problèmes à rester ainsi, le zob en érection dans la main.
Et dans ce dernier cas, soit nous faisions l’amour ma femme et moi, quand nous nous retrouvions seuls, (quand il arrivait à Abdelkader de partir) et alors je libérais mes bourses trop pleines dans l’un de ses trous; soit que je me contentais d’une superbe masturbation en revivant en esprit les plus forts moments des étreintes des amants. Et je trouvais, ces moments de masturbation effrénée, vraiment délicieux !
Pendant les six premiers mois, nous vécûmes donc ainsi tous les trois. Abdelkader s’était avéré un amant à la hauteur. Il était devenu le maître d’œuvre de notre vie sexuelle. C’était presque toujours lui qui démarrait les hostilités. Et avec lui, il n’y avait pas d’heure pour baiser. Dès qu’il rentrait d’un entrainement – vers midi les jours féries, et juste après dix-huit heures les jours de semaine - il entreprenait Kamila qui était toujours disponible. Il avait – avec ma bénédiction – exigée de ma femme qu’elle soit toujours nue sous ses tenues, quand elle était à la maison. Les seules fois qu’il acceptait qu’elle portât une culotte, c’était quand elle avait ses règles. Et quel que soit l’endroit où elle se trouvait au moment où il rentrait à la maison, il allait vers elle et se mettait à la peloter. C’était devenu presque un rite.
Il aimait particulièrement la mettre en position penchée sur une table ou sur n’importe quoi d’autre (lavabo, évier de cuisine ou fauteuil du salon) et découvrir ses fesses. Il avait une fois pour toutes flashé sur le cul de ma femme et n’était jamais rassasié de le voir et de l’entreprendre. Et ma Kamila adorait cela ! Elle se penchait en avant; et lui, il soulevait le bas de sa djebba (ou abaissait le pantalon de pyjama, si c’était cela qu’elle portait en ce moment) et restait un moment à admirer le superbe cul de ma femme. Un cul tout rond, tout ferme avec un trou de balles toujours frémissant ! Il était maintenant, grâce au monstre que Abdelkader portait entre ses cuisses, bien ouvert. Mais même comme cela – je l’avais plusieurs fois moi-même testé – il était encore très élastique et moulait parfaitement nos zobs.
Il commençait par promener ses lèvres sur les deux fesses de la femme pour lui appliquer des baisers bien sonores. Il faisait toujours cela en prémisse de ce qui allait suivre. Et ce qui suivait inévitablement, c’était une longue partie de lèche de l’anus et de la chatte de Kamila. Et pendant qu’il léchait et suçait – entre deux respirations – il parlait. J’avais eu souvent l’impression qu’en ces moments là, c’était au cul de Kamila qu’il s’adressait; pas à elle.
- N’hebek ! N’heb riha t’a’ek ! (Je t’aime ! J’aime ton odeur !) N’heb el benna t’a’ek ! (J’aime ton gout!)
Et tout en continuant de lui parler ainsi, il faisait pénétrer un doigt, puis deux et enfin trois dans l’anus. Il les faisait aller et venir et tourner à l’intérieur du boyau, jusqu’à faire hurler Kamila de plaisir. C’est toujours à ces moments là qu’elle se mettait elle-même à parler et à exiger des choses de son amant.
- Kharedj zebek ou dekhel ‘houli ! Dekhlou fi ga’ari ! Kessar li ga’ari ! (Sort ton zob et pénètre-moi ! Fais-le entrer dans mon cul ! Défonce-moi le cul !)
Parfois elle se ravisait et exigeait de son amant une autre position. A ce moment là elle voulait regarder et admirer l’immense zob entrain de prendre possession de son anus.
- Brit en chouffou qui yedkhel fiya ! Khelini en’dour ! (Je veux le voir quand il entre en moi ! Laisse-moi me retourner !) ĥakdha ! Dekhel ĥouli dhork ! (Oui comme ça ! Fait pénétrer maintenant !) Waaaah ! Ach’hal m’lih ! Dekhlou ga’a ! (Wah ! C’est super ! Fais-le pénétrer en entier !) Nik ni bezzour ! Wedj’aa ni ! Kassar li ga’ari ! (Baise-moi très fort ! Fais-moi mal ! Défonce-moi le cul !)
- Diri s’ba’a fi hatchounek ! Diri s’ba’atine ! (Met un doigt dans ta chatte ! Mets-en deux ! ) Hekki ! (Frotte !) Ana en’nikek men ga’arek wa en’tiya heki saoutek ! (moi je t’encule et toi tu te caresse la chatte !)
Et cela se passait très souvent comme il l’annonçait. Pendant qu’il la sodomisait brutalement – faisant pénétrer son monstre jusqu’au fin fond de son boyau, en limant furieusement la paroi du rectum et tirant d’elle des cris qui étaient un mélange de douleur et de plaisir – je me tenais à quelques pas de distance, ne perdant rien de la scène et en bavant presque d’excitation. Mon Dieu ce que j’aimais cette excitation que seul le spectacle de ma femme adorée se faisant tirer par un magnifique zob et hurlant de plaisir pouvait me donner avec une telle intensité !
A chaque fois Kamila déchargeait des litres de jus qui allaient se répandre sur le manche de Abdelkader qui sortait totalement du vagin et repartait à l’assaut d’une distance de plus en plus grande. Et à chaque fois, son amant éjaculait son sperme épais, visqueux et brulant à l’intérieur du rectum et le regardait ressortir de son anus en poussant un rire démentiel. Et à chaque fois, il faisait promettre à sa maîtresse qu’elle allait boire toutes les prochaines giclées de sperme qu’il éjaculera. Et elle promettait. Et elle tenait ses promesses car toutes les autres fois – et il y en avait au moins deux à chaque fois – soit elle recevait le jus de son amant directement sur la figure et dans la bouche, soit elle allait le ramasser avec ses doigts sur tout son corps et le portait à sa langue pour le lécher avec délectation. Ma femme avait vraiment fini par aimer le goût du sperme. Et elle le disait tout haut, pendant qu’elle l’avalait.
- H’lou kima a’acel ! Zid ferragh ou en’charbou ga’a ! (C’est aussi bon que du miel ! Continue de te vider, je vais tout boire ! )
- Echarbi ezzal enta’a sidek ! (Bois le sperme de ton maître !) Ou dhork lahci li zebi ! Ghesliĥ bel lsanek ! (Et maintenant lèche-moi le zob ! Nettoie-le avec ta langue !)
Inutile de dire mon émoi pendant tout ce temps où ma femme devenait l’objet sexuel de son amant ! Sa chienne ! Parce que Abdelkader, pendant ces moments là se comportait exactement comme s’il était son maître ! Il en avait le comportement et le tempérament brutal ! Il commandait et elle obéissait ! Même ma présence à leur côté, qui aurait dû un peu calmer son ardeur de mâle dominant, ne le dissuadait pas. On dirait même qu’elle l’excitait plus et le conduisait à des comportements de plus en plus brutaux. Peut-être pour me reprocher ma passivité.
Mais rien n’y faisait ; aussi bien moi que Kamila adorions la manière dont se déroulaient les opérations. Ma femme prenait de plus en plus de plaisir à se faire traiter en chienne en chaleur et moi à assister, la salive à la bouche et le membre en hyper-érection, à ces parties de sexe totalement débridées. C’était notre bonheur à tous les trois ; chacun de nous y trouvait son compte.
Abdelkader nous était devenu indispensable à ma femme et à moi. Ses absences nous devenaient insupportables. Evidemment, nous continuions à nous aimer très fortement. Peut-être, un peu plus moi qu’elle : mon amour pour elle avait encore grandi depuis l’apparition de Abdelkader. Mais notre vie était devenue complètement dépendante de l’amant de ma femme. Jusqu’au jour où lui-même vint nous annoncer qu’il avait décidé de faire participer un de ses amis à nos jeux érotiques.
Quand il nous avait annoncé – à sa manière, toujours directe – qu’il avait décidé d’offrir ma femme à un autre homme, un ami à lui, pas très beau, mais monté comme un cheval et aussi viril qu’un taureau, j’avais tiqué. Quelque chose en moi se révoltait. Peut-être mon amour-propre de mari ! Peut-être parce que ce n’était pas moi qui avait décidé la chose ! Kamila par contre semblait heureuse de la nouvelle ! Elle était curieuse de faire une nouvelle expérience ! Mais ni elle ni moi ne dîmes rien. Nous attendions la suite.
- Ali est un ami judoka qui fait partie de l’équipe nationale lui aussi. C’est un poids lourd ! il pèse près de cent kilos ! tout en muscles ! Il est légèrement plus vieux que moi – trente ans - et il vient de divorcer. Il ne me l’a pas dit sous cette forme, mais je suis certain que sa femme l’a quitté parce que sexuellement, il est insatiable ! Juste ce qu’il faut à notre chérie !
Je vis les yeux de Kamila briller de concupiscence. Elle était vraiment intéressée. Elle me regarda pour voir ce que j’en pensais et elle vit dans mes yeux et dans mon sourire que l’idée d’un troisième homme dans le groupe me titillait beaucoup. Elle me dit même par la suite, qu’elle avait vu le coin supérieur de mes lèvres palpiter, comme chaque fois que j’étais en attente de quelque chose de bon et de fort.
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Voix de Kamila :
Quand AEK vint nous annoncer qu’il avait invité un de ses amis à participer à nos jeux érotiques, j’avais d’abord été étonnée – peut-être même un peu choquée. Je désirais, sans l’avouer à personne, et peut-être même sans me l’avouer à moi-même, vivre une autre expérience sexuelle. J’avais souvent rêvé, au cours des nuits passées à dormir entre mes deux hommes, à des séances torrides avec un autre étalon que AEK – et parfois même avec plusieurs étalons à la fois – et à chaque fois, je me réveillais complètement mouillée et sautais littéralement sur mon amant pour qu’il éteigne le feu qui venait de s’allumer en moi. Mais à aucun moment, je ne m’étais imaginée que ce serait mon amant lui-même qui m’offrirait à un de ses amis.
Car c’est bien de m’offrir en cadeau qu’il s’agissait. Et moi je n’avais pas mon mot à dire. AEK se comportait avec moi exactement comme s’il était mon seigneur et maître et qu’il pouvait faire de moi absolument tout ce qu’il voulait. Mon côté femme libre – qui de toutes disparaissait petit à petit sous l’influence envahissante de mon amant - se révoltait bien un peu, mais très vite c’était le plaisir qui, à chaque fois, l’emportait. Parce qu’avec lui, cela n’avait été que du plaisir ! Que du bonheur ! Et puis mon mari ne semblait pas gêné par la nouvelle tournure que semblait prendre nos relations. Je ne crois pas me tromper en disant que j’avais senti comme une bouffée de joie le transporter en entendant cette nouvelle. Il m’avait bien parlé, il y quelque temps déjà d’un de ses fantasmes qui consistait à me regarder me faire tirer par plusieurs hommes en même temps, mais à l’époque, je n’y avais pas accordé une grande importance. Et voilà que ce fantasme lui semblait prêt de se réaliser !
Alors que AEK, mon amant et l’ami de mon mari, ait décidé de me transformer en cadeau pour un des ses amis – avec une réputation de taureau et de baiseur insatiable - je n’y trouvais rien à redire. Et Lotfi de même ! Au fond, nous savions tous les deux que nous y trouverions énormément de plaisir. Et puis, nous nous disions pour nous rassurer que si cela tournait mal, il serait toujours temps de mettre fin à l’aventure. Mais, par contre, nous ne savions pas ce que AEK allait gagner dans cette nouvelle situation. Il n’était pas comme Lotfi, un candauliste, et ne fantasmait pas de voir sa femme entre les bras d’un autre homme. Du moins, il n’avait jamais fait part devant nous d’un tel fantasme. Et de toutes les façons, je n’étais pas sa femme ! Par ailleurs, je l’imaginais mal en échangiste ! Et de toutes les façons, un échangiste échangeait une femme contre une autre. Or il n’avait pas parlé d’une autre femme qui viendrait s’adjoindre à nous.
Un moment je l’avais même soupçonné d’être fatigué de moi et de chercher ainsi à me larguer. Mais même cela, je le rejetais très vite. Parce que je me rappelais que le plaisir qu’il prenait entre mes bras, ne pouvait pas être simulé. Un homme ne pouvait pas simuler des érections comme celles qu’il avait. Et de plus, son sexe continuait de bander très fortement, même après avoir fait l’amour avec moi deux et même trois fois de suite. Ce n’était pas là le signe de quelqu’un qui n’éprouvait plus de plaisir avec sa maîtresse. Comme je ne trouvais pas de réponses à mes questions, je me décidais d’en rester là et d’attendre les évènements pour connaître le fin mot de l’histoire.
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Ali arriva, précédé par AEK, un jeudi en fin d’après-midi. Si je devais deviner à sa physiologie, le sport qu’il pratiquait, j’aurais sans hésitation opté pour la lutte gréco-romaine. Pas pour le judo. Il était tout le contraire de son ami AEK qui était très grand, les épaules très larges, la taille fine, les hanches étroites et avait de très longues jambes. Ali lui était massif, presque aussi long que large. Il devait faire moins d’un mètre quatre-vingt, des épaules de lutteur, des bras très longs, un puissant cou de taureau, une poitrine volumineuse avec des muscles pectoraux saillants, des hanches étroites surmontant d’énormes cuisses musculeuses. Il donnait l’impression d’être un taureau de combat prêt à foncer contre un invisible chiffon rouge que quelqu’un d’invisible agitait devant lui.
Il me paraissait vraiment rebutant. Même sa tête était à l’image du reste du corps : ronde et massive. De petits yeux marron, enfoncés dans leurs orbites, surmontés d’arcades sourcilières proéminentes ; un crâne rond, complètement rasé ; le front bombé tendu vers l’avant, comme s’il était en attende de donner un coup de boule ; des joues creuses ; un menton pointu ; et une petite bouche lippue. Le tout lui donnait un air farouche, prêt à en découdre avec n’importe qui le regarderait de travers. AEK nous avait dit la veille que son ami n’était pas beau ; et il avait raison ! Je le trouvais même repoussant. Il me faisait peur. Et je n’avais aucune envie de me retrouver seule avec lui. Abdelkader nous le présenta ainsi :
- Je vous présente mon ami Ali. Ne vous fiez surtout pas à son apparence rébarbative. C’est la gentillesse faite homme ! Un vrai nounours ! Il n’a qu’un seul défaut – qui pour Kamila est une qualité inestimable – il est monté comme un âne et n’a qu’une seule pensée en tête : baiser ! Il est insatiable ! C’est pour cela que je l’ai emmené. Je sais que notre femme adorera tout ce qu’il lui fera !
C’était la première fois que j’entendais AEK m’appeler ainsi : « notre femme ». Jusque là, quand il s’adressait à moi – principalement au cours de nos ébats amoureux - il me traitait de « qahba » (Pute), et de « kelba » (chienne). Il disait qu’il était mon seigneur et maître et que j’étais son esclave. Jamais, il n’avait dit de moi que j’étais sa femme. J’avoue que j’en avais été très émue. Je me disais qu’au fond de lui, ce n’était pas seulement mon corps et mon cul qu’il appréciait. Il avait de la tendresse pour moi ! Peut-être même de l’amour ! Mais alors pourquoi, voulait-il m’offrir à son ami ? Il s’approcha de moi pour venir m’embrasser, comme il le faisait chaque fois qu’il revenait à la maison. Il en profita pour me susurrer à l’oreille :
- Tu verras que tu me remercieras après ! Je te promets un moment érotique exceptionnel avec mon ami ! Laisse-toi faire et tu m’en donneras des nouvelles ! Et puis ne crois pas que je vous laisserais seuls tous les deux ! Moi aussi j’en veux ma part !
- …
Je ne répondis pas. J’étais plutôt dubitative et attendais avec appréhension la suite. J’étais tout de même rassurée de savoir que AEK sera tout le temps là. Avec lui, j’étais en terrain connu et quoi qu’il arrive, je savais que je pouvais me réfugier entre ses bras et que je serais protégée. Parce que vraiment j’avais peur du côté brutal – j’allais dire féroce – que présentait Ali.
Nous étions dans le salon – Lotfi comme à son habitude s’était réfugié dans son fauteuil préféré et se faisait très discret ; ainsi, il pouvait observer à son aise toute la scène, sans intervenir et surtout, sans qu’il ne soit une gêne pour nous, les acteurs. AEK m’avait prise dans ses bras et avait commencé à me peloter légèrement devant son ami. Son objectif était d’abord de me rassurer et aussi de faire admirer mes appâts à son ami.
Comme à mon habitude, en application des instructions fermes de AEK, j’étais habillée très légèrement - pour être franche, j’aurais dû dire que j’étais à moitié nue. Je ne portais qu’une nuisette transparente, sans absolument rien en dessous. Pour être encore plus franche, j’avais fini, depuis quelque temps par ne ressentir aucune gêne à vivre en permanence pratiquement nue avec mes hommes ; donc même la présence de notre nouvel invité, ne m’avait pas incitée à plus de pudeur. AEK, qui s’était placé derrière moi, avait, en un tour de main, fait passer ma nuisette par-dessus ma tête et me présenta à son ami, en tenue d’Eve.
- Chouf essel’a, ya a’ali ! (Mâte un peu la marchandise, ô Ali !) ’amrek ma chouft zine kima ‘hadha ! (Tu n’as jamais vu une telle beauté !) Chouf zouwaïz’ha ! Chouf tram’ha ! Chouf souwat’ha ! Chouf foum’ha ! Mess djeld’ha ! Djenna li rdjal kima hna! (Mate ses seins ! Mate ses fesses ! Mate sa chatte ! Mate sa bouche ! Touche sa peau ! C’est le paradis pour des hommes comme nous!)
J’avais l’impression d’être une marchandise que l’on cherchait à vendre et dont on vantait les qualités. J’étais comme ces esclaves du temps jadis, que leurs maîtres amenaient dans les souks et vantaient leurs mérites pour essayer d’en obtenir le meilleur prix possible ! Ou pire, j’étais la vache qu’on emmenait au marché pour la vendre. Et je voyais, debout en face de moi, Ali la bouche grande ouverte, ayant du mal à retenir la bave qui voulait en sortir, les yeux exorbités qui ne savaient pas quoi regarder du spectacle que son ami lui montrait, tant il y avait de belles choses à mater. Il ne disait rien, mais tout son corps parlait pour lui. Je le voyais qui se balançait d’une jambe sur une autre, comme s’il était sur un tatami, jaugeant son adversaire avant de passer à l’attaque. Il avait les bras écartés prêts à être lancés vers moi, dès qu’il sentirait l’ouverture. En moi-même, je me disais qu’il était entrain de me prendre pour un adversaire sur le dojo et qu’il n’allait pas tarder à foncer sur moi pour me terrasser.
Et puis je vis le devant de son pantalon de jogging qui formait comme une tente indécente, dressée par un immense mât. Et miracle ! Toutes les inhibitions que je pouvais avoir du fait de mes craintes quant à la brutalité et la méchanceté de l’homme, venaient de s’évanouir. Il ne restait plus que cette envie qui venait de s’emparer de moi, de tendre la main pour saisir l’animal qui se cachait sous le tissu du pantalon. Ali ne portait ni slip ni boxer. C’était ce qui expliquait que son érection ne formait pas une grosse boule comprimée par le jogging, mais une pointe qui semblait être à au moins une trentaine de centimètres du pubis de l’homme. Il doit avoir un zob énorme, m’étais-je dit ! Et je voulais absolument le voir ! Le toucher, le tâter, le palper et même le branler. Je voulais en tester la douceur de la peau et la dureté de la chair tendue ! Je voulais…
J’envoyais, presque inconsciemment, ma main droite pour caresser le monstre sur le tissu. Il était vraiment monstrueux ! Je n’arrivais pas à le saisir en entier et à l’entourer avec mes doigts. Il était trop gros ! Une immense promesse de pénétrations douloureuses et de plaisir sans bornes ! Je n’y tenais plus ! Je voulais qu’il le sorte de sa cachette et qu’il me le montre dans toute sa splendeur ! Je ne pus m’empêcher de lui ordonner :
- Wach testenna bach etkhardjou ! (Qu’est-ce que tu attends pour le sortir !) Werri ‘hou li ! (Montre-le moi !) Bghit en’chouffou ! Wa en’messou ! (Je veux le voir ! Et le palper !)
Tout en lui ordonnant cela d’une voix un peu chevrotante, je m’imaginais la physionomie qu’il devait avoir. J’étais persuadée qu’il était très brun, presque noir, plein de nervures et de vaisseaux. Un zob qui ressemblerait au bonhomme : laid et immense. Un de ces zobs, puissants mais sans aucune esthétique ! Un de ces zobs qui faisaient peur aux dames et aux jeunes filles de la bonne société. Un zob dont moi – qui était entrain de devenir une vraie nymphomane - je rêvais d’être la victime consentante !
Et bien non, le sexe de Ali était vraiment magnifique ! Il était beau ! Il avait la particularité d’être immense et recourbé ! Un vrai sabre arabe ou turc ! (Je crois que cela s’appelle un yatagan). Je n’en avais jamais vu de pareil, en vrai ! Un instrument de torture délicieuse pour ma chatte qui s’était mise à couler à flots ! Ali était là debout devant moi – AEK, quant à lui, était toujours derrière moi entrain de me peloter ; il s’occupait plus précisément de mes fesses qu’il caressait et embrassait goulument – l’immense manche recourbé pointé vers le plafond. Je le voyais qui palpitait et frémissait d’impatience. L’homme bavait littéralement. Il regardait en direction de ma chatte – sans forfanterie, je peux dire que j’ai une chatte vraiment superbe : de couleur mâte, avec de grandes lèvres longues et lippues, des petites lèvres rouge-vif, toujours palpitantes, un petit clito qui se mettait en érection quand il était excité ; et le tout, y compris le mont de vénus bombé et brillant, sans la moindre trace de poils.
Jusque là, Ali n’avait encore rien dit. Je n’avais pas encore entendu le son de sa voix. Et puis les mots, en arabe, se mirent à sortir de sa bouche. Contrairement à ce que je pouvais croire – au regard de sa physionomie de brute – sa voix était douce et pleine de chaleur. Ce qu’il disait ressemblait à une prière. Il voulait passer à l’action là, immédiatement ! Mais il ne l’ordonnait pas ! Il le quémandait presque !
- Khalini nakoul lek souatek ! (Laisse-moi te bouffer la chatte !) Bezzef djmila ! (Elle est trop belle !) Bghit en mess‘ha ! Bghit en bouss ‘ha ! Bghit nel hass ĥa ! (J’ai envie de la palper ! J’ai envie de l’embrasser ! J’ai envie de la lécher !)
Je n’eus pas le temps de répondre ou de faire quoi que ce soit. Je sentis les bras puissants de AEK qui me soulevaient et qui m’assirent sur le canapé, les jambes écartées – il voulait permettre à son ami de passer à l’action. Sans plus attendre Ali vint se mettre à genoux devant moi et plongea immédiatement sa tête entre mes cuisses. Sa bouche s’empara de ma chatte et se comporta comme une vraie ventouse. J’avais bien sûr été déjà sucée par mes hommes et j’avais même beaucoup joui des cunnilingus que m’avaient souvent appliqués Lotfi - puis plus tard, AEK - mais je n’avais encore jamais ressenti cette sensation de ma chatte aspirée de cette façon par la bouche de mon partenaire du moment. C’était comme si toute ma vulve était entrée dans la bouche de Ali qui la suçait avec force et qui absorbait sans relâche les flots de jus qu’elle secrétait.
Le cunnilingus de Ali était vraiment génial : sa bouche se comportait comme une ventouse. Elle aspirait tout ce qui se trouvait sur et dans ma chatte. Sa langue pénétrait au plus profond de mon vagin et allait lécher les parois et ramasser tout le jus qui s’y trouvait. Ses lèvres jouaient avec mon clito, qui était devenu aussi dur qu’une pierre. De temps en temps, il le mordait doucement, me faisant pousser des gémissements de plaisir de plus en plus sonores. J’avais joui successivement au moins trois fois, sans que mon partenaire ne relâchât sa pression. Il semblait aimer ce qu’il faisait. Je l’entendais respirer avec force et pousser de temps en temps une espèce rugissement de plaisir. Il ne gémissait pas, il rugissait. C’était comme cela qu’il extériorisait le plaisir qu’il prenait à sucer ma chatte. C’était d’un érotisme torride ! Et cela me transportait au plus haut des cimes du plaisir ! Sans exagérer, je pense avoir déchargé au cours de mes orgasmes successifs plusieurs litres de jus, que Ali avait bu avec des claquements de langue qui accompagnaient ses rugissements sourds et qui montraient toute l’intensité du plaisir qu’il prenait.
AEK, pendant tout ce temps avait sorti son manche et jouait à me caresser avec la figure et les seins. Il s’était placé debout sur mon côté gauche, et tout en regardant la scène de son ami entrain de me sucer la chatte, promenait sur moi son sexe qui était au paroxysme de l’érection. Je sentais son manche qui frémissait d’impatience. Un moment, il se mit même à me frapper avec sur le visage et sur le sein qui était à sa portée. Il voulait me faire comprendre qu’il fallait qu’il baise. Mais il ne dit rien. Je pensais qu’il me laissait la liberté de décider de ce qui allait suivre. Moi j’étais aux anges ! J’allais avoir en même temps deux magnifiques zobs qui s’occuperont de me donner du bonheur. Je repoussais doucement la tête de mon amant pour la sortir d’entre mes cuisses. Je contemplai un long moment Ali dont la bouche dégoulinait encore de mon jus, et dis à mes deux hommes :
- Ouaqt etnikouni! Ouaqt en dhoug ‘hadha zeb ! Ali, anta takhoudhni beggari ! Ou kader i nik ni mel foum! (C’est le moment de me baiser ! Il est temps que je goûte à ce zob ! Ali toi tu me prendras en levrette ! Et Kader me baisera par la bouche !)
- Wahhh !!!!
Tous les deux s’esclaffèrent ainsi en même temps, montrant leur contentement de ce qui allait suivre. Je descendis du canapé et me mis à quatre pattes entre mes deux hommes. Ali se mit à genoux derrière moi et s’empara de mes hanches. Je le sentis qui positionnait son bassin de manière à être à la bonne place et à la bonne hauteur pour pilonner ma chatte. Et puis je sentis une immense paluche qui s’insinua entre mes fesses et s’emparer de ma vulve. Un doigt – d’une dimension exceptionnelle – pénétra entre mes grandes lèvres pour en tester l’humidification et ouvrir la voie à son zob. Celui-ci ne tarda pas à suivre. Le gland – d’une douceur infinie – vint remplacer le doigt et pénétrer entre les grandes lèvres. J’attendais avec impatience le coup de rein qui allait faire pénétrer et le gland et le manche à l’intérieur de mon vagin, qui palpitait de désir. Celui-ci arriva, avec la force brutale à laquelle je m’attendais ! Et il me fit mal !
- Aiieeeeee ! Wedja’atni ! (Aie tu m’as fait mal !) ne pus-je m’empêcher de crier.
Je n’eus pas le loisir de dire quoique ce soit, d’autre ; le magnifique zob de AEK vint se placer entre mes lèvres. Il fallait que j’ouvre la bouche pour qu’il y entre. Depuis la première fois qu’il m’avait baisé par là, il était comme chez lui ; il savait exactement ce qu’il fallait y faire pour prendre le maximum de plaisir. Je me retrouvais donc coincée entre mes deux hommes entrain de me faire tirer brutalement par deux magnifiques manches : l’un en levrette par la vulve ; l’autre par la bouche.
Des deux, c’était le zob qui me labourait le vagin que je ressentais le mieux. C’était lui qui me donnait le plus de plaisir. Sa forme particulière – recourbée comme la lame d’un sabre arabe – faisait qu’il limait la totalité de ma paroi vaginale et ne laissait aucun centimètre carré sans sa part de frottement. Il me remplissait totalement le vagin. Il allait et venait en force à l’intérieur, me faisant très mal à chaque va-et-vient. J’avais souvent entendu AEK me parler de son zob en acier ; de son zob qui démolissait tout sur son passage. En fait de zob en acier, celui de Ali l’était encore plus. Il était vraiment dur et rien ne pouvait lui résister. Mais, malgré le fait qu’il me faisait très mal, pour rien au monde je n’aurais voulu qu’il arrête son œuvre de démolition de ma vulve. C’était un vrai délice ! Je n’arrivais pas à m’expliquer le phénomène : il me faisait vraiment mal, mais la douleur qu’il déclenchait était tellement délicieuse ! J’adorais cette douleur, que je voulais éternelle. Je ne voulais pas qu’elle cesse ! Rien que pour la faire durer, j’essayais de retenir l’orgasme que je sentais arriver en force.
Je voulais parler ! Je voulais crier mon plaisir ! Je voulais dire à mon amant de ne pas arrêter ; de continuer ainsi ; de me faire encore plus mal ! Mais le zob qui était dans ma bouche m’empêchait de prononcer le moindre mot. Un moment, je voulus même que AEK sorte de ma bouche et qu’il me laisse exprimer mon plaisir et mes désirs. Insidieusement, je le mordis violemment – accidentellement, lui dis-je hypocritement, plus tard – pour qu’il quitte la place et me laisse libre de gémir et dire à Ali tout ce que je ressentais sous ses furieux coups de sabre.
AEK compris le message et sortit effectivement de ma gorge. Il se mit à se masturber pour se vider les bourses sur mon visage. Cela me permit de me lâcher encore plus. Mes gémissements de plaisir remplirent la pièce et vinrent se mêler aux rugissements de plus en plus rauques et sonores de Ali, qui continuait de pilonner ma chatte avec son merveilleux manche.
- Zid ! Zid ! Ma tahbesch ! Ballek tahbess ! Zid edjbed! Zid wedja’ani ! (Encore! Encore! Ne t’arrête pas ! Il ne faut pas t’arrêter ! Tire encore ! Fais-moi encore mal !) Achal m’lih zebek ! Achal yewdja’a ! Achal en’hab ki wedja’ani ! (Comme ton zob est bon ! Comme il fait mal ! J’adore quand il me fait mal !)
- Zebi h’did ! Iheb el hatchoun ! Imout a’ala el hatchoun ! Hatchounek skhoun ! Hatchounek h’lou! Bghitou I weli dar t’a a zebi ! Bghitou yeskoun fi’h ! Ma yekhroudjch! (Mon zob c’est de l’acier! Il aime les chattes! Il adore les chattes ! Comme ton vagin est chaud ! Ton vagin est si doux ! Je veux qu’il devienne la maison de mon zob ! Je veux qu’il y habite ! je ne veux plus qu’il en sorte !)
Je ne me contrôlais plus ! Je ne savais même plus où j’étais ; ni ce qui se passait ! J’étais dans un autre monde. Un monde de plaisir et de bonheur. Je sentais mon cœur battre à un rythme infernal et ma respiration devenir de plus en plus difficile. J’étais au bord de l’étouffement. Ma bouche coulait littéralement de salive ; je n’arrivais pas à en contrôler la sécrétion. Je sentais ma tête échapper à mon contrôle ; elle partait dans tous les sens. AEK qui se trouvait à côté de moi entrain de se branler furieusement dans le but de m’asperger le visage et la bouche de sperme, ne savait plus s’il devait me caler la tête pour qu’elle ne bouge plus ou s’il allait se contenter d’éjaculer là où il pourra. (D’ailleurs, il ne se posa pas longtemps la question, puisqu’il ne put pas retenir l’orgasme qui arriva subitement. Il arrosa tout ce qui se trouvait sur la trajectoire du jet, c'est-à-dire mes cheveux, une partie de ma joue gauche et mon oreille gauche qui se remplit complètement du liquide visqueux et brulant.)
Mes gémissements et mes cris de plaisirs devinrent de plus en plus inaudibles. C’est à peine s’ils arrivaient à sortir de ma gorge. Ali lui continuait de rugir comme un lion, à chacun de ses coups de sabre dans ma chatte. Et il continuait de se parler à lui-même en arabe et avec ses mots à lui : les mots d’un homme qui venait enfin de trouver le fourreau fait sur mesure pour son sabre. Inutile de dire combien ces mots et ces phrases à destination de ma chatte accroissaient mon excitation, qui avait pourtant déjà atteint son paroxysme.
- A’amri ma cheft soua kima ‘hadhi ! (Je n’ai encore jamais vu une vulve comme celle-là !) Skhouna ! … Chabba !… H’loua !... Dhaïqa !... M’chemkha !... Makhdouma li zebi !... (Chaude ! Belle ! Sucrée ! Etroite ! Mouillée ! Faite sur mesure pour mon zob !)
A ces mots et ces phrases qui avaient un effet aphrodisiaque sur moi, venaient s’ajouter le clapotis que faisait son sexe à l’intérieur de mon vagin complètement inondé. Je sentais mon jus qui sortait en dehors de ma chatte, expulsé par chacun des allers-retours du monstre à l’intérieur. J’étais sûre que le carrelage était plein de ce liquide visqueux secrété par mes glandes vaginales et l’image de cette flaque de cyprine sous nos corps qui s’était imposée à mon esprit, intensifiait encore plus mon degré d’excitation. Je ne pouvais plus retenir le formidable orgasme que je sentais déferler en moi, tel un torrent dévastateur. Je sentis tout mon bas ventre exploser en une myriade d’ondes de plaisir et venir inonder l’ensemble de mon corps. J’eux conscience de pousser un hurlement de démente et de perdre presque connaissance, tellement la jouissance était forte. J’eus un moment l’impression d’étouffer, tant j’avais du mal à reprendre ma respiration. Des mots saccadés, sans signification pour ceux qui les entendaient, sortaient de ma gorge et mourraient au bord de mes lèvres. Je me rappelle aujourd’hui encore que je voulais ordonner à mon amant de recommencer tout de suite après ; de me baiser encore comme cela, dès qu’il aura éjaculé. Même complètement lessivée, je voulais recommencer.
Je sentis tous les muscles de mon corps se relâcher et un bien-être indescriptible envahir tout mon corps. J’étais tellement bien ! Et Ali, qui n’avait pas encore joui, continuait de pilonner ma chatte avec la même furie. Je le sentais comme s’il était loin et qu’il était entrain de baiser une autre personne. C’était comme si j’étais sortie de moi, que je m’étais élevée au dessus de ces deux corps accrochés l’un à l’autre et que j’observais la scène comme une spectatrice. Je voyais l’homme qui s’accrochait fermement aux hanches d’une femme à quatre pattes et qui faisait aller et venir son formidable sexe en forme de sabre arabe à l’intérieur d’une superbe chatte qui le moulait parfaitement.
Je voyais le sabre pénétrer complètement et ressortir à quelques centimètres des grandes lèvres, d’où coulait un flot de liquide visqueux, avant de repartir furieusement à l’intérieur. J’entendais l’homme qui ahanait à chaque pénétration et qui rugissait de plaisir à chaque sortie. Cela dura encore une éternité, jusqu’au moment où je vis les mains de l’homme se crisper sur les hanches de sa partenaire et les hanches s’immobiliser une fraction de seconde, maintenant le sabre enfoncé à l’intérieur du vagin de la femme. Il poussa un rugissement de lion qui résonna contre les murs du salon et éjacula une première fois une quantité incroyable de spermes brulant à l’intérieur.
Les hanches se remirent en mouvement et l’homme éjacula encore et encore, jusqu’à ce que – complètement vidé - il s’affaissât sur le dos de sa partenaire, qui, sous le poids s’étala à plat ventre sur le carrelage. Ce fut à ce moment là seulement, au contact avec le froid du carrelage, que je me rendis compte que c’était moi la femme qui subissait l’assaut du sabre de Ali.
Nous restâmes ainsi un long moment, moi à plat ventre sous Ali, qui avait gardé son sexe encore en érection dans ma chatte et AEK toujours à genoux à côté de nous, le zob, lui aussi toujours debout, dans sa main. Il semblait avoir apprécié la scène à laquelle il venait d’assister sans y avoir beaucoup participé. Ce fut lui qui le premier parla. Il s’adressa à moi.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ! N’est-ce pas qu’Ali est un merveilleux coup ? Je suis même un peu jaloux ; tu as joui avec lui bien plus que tu ne l’as jamais fait avec moi.
- C’était différent ! Avec toi dès le début je savais que j’allais prendre beaucoup de plaisir. D’abord parce que tu es beau, fort et super bien monté. Avec Ali, j’avais commencé par avoir peur. Il n’est pas beau et semblait être une vraie brute. Mais dès que j’ai aperçu son magnifique membre, tout a changé d’un coup. J’ai découvert un autre type de paradis. Je vous aime tous les deux. Promet-moi que vous allez rester avec nous.
Je venais subitement de penser à Lotfi, que j’avais complètement oublié dans ma folie érotique. Je jetais un œil vers l’endroit où il était assis. Il était encore là, le sexe dressé vers le ciel. Il le caressait avec trois doigts. Il souriait de toutes ses dents. Il semblait lui aussi complètement entré dans un monde merveilleux et qu’il attendait la suite des évènements. Il ne cherchait pas à participer à l’aventure qui se déroulait sous ses yeux ; il voulait seulement observer et prendre son pied en bandant comme un âne, à cause de l’excitation que lui procurait sa femme qui se faisait tirer devant lui par deux hommes, membrés comme des étalons et virils comme des taureaux.
Rassurée, je ne m’occupais plus de lui. Je voulais jouir encore et encore. Je ressentais le sabre d’Ali encore planté en moi et je voulais qu’il reprenne son œuvre de démolition de mes trous. Il m’avait fait très mal en défonçant ma chatte. Je voulais qu’il me fasse encore plus mal en s’occupant de mon cul. Je voulais qu’il me déchire l’anus et qu’il me fasse hurler de douleur et de plaisir. Une idée furtive venait de me traverser l’esprit, sur laquelle je ne m’attardais pas pour ne pas rompre la chaine du plaisir dans laquelle je m’étais je m’étais engagée corps et âme : j’étais entrain de devenir une vraie masochiste. J’adorais avoir mal. J’expulsais très vite cette idée pour reprendre le cours des évènements. Je voulais être enculée par Ali, mais je ne savais comment le lui dire, sans mécontenter AEK qui certainement voulait lui aussi jouir en moi. Toujours allongée par terre sur le ventre – et Ali encore sur moi, le zob toujours planté dans ma chatte – je tournais la tête pour regarder AEK. Je lui fis un petit sourire et il sut immédiatement que je voulais lui demander quelque chose.
- Je te connais trop bien ! Tu as encore envie de sentir la force du zob de Ali ! Tu as peur que je ne m’offusque. Ne craint rien, je savais exactement ce qui allait se passer quand je vous ai proposé cette aventure avec lui. Tu sais, je suis entrain de devenir comme Lotfi ! J’aime te voir jouir ! Même si ce n’est pas avec moi ! Je crois que je prends autant de plaisir à te regarder jouir avec un autre homme qu’à te baiser moi-même ! Alors demande-lui de te faire jouir encore une fois.
- Nike ni melour ! (Encule-moi !)
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Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Quelle baise. Fabuleux

Histoire Libertine
tres excitante histoire...merci

Histoire Erotique
magnifique encore je voudrais que kamila soit ma femme



Texte coquin : Kamila et Lotfi, Episode 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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