Kamila et Lotfi, Episode 4
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2011 dans la catégorie Plus on est
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Kamila et Lotfi, Episode 4
Voix de Lotfi
Tout le temps que Kamila se faisait tirer en levrette par Ali, j’étais assis sur mon fauteuil préféré, un peu à l’écart de la scène, mais de manière à ce qu’aucun détail du spectacle ne pût échapper à mon désir de voyeurisme. De là où je me trouvais je pouvais tout voir et effectivement je me délectais de ce qui se passait sous mes yeux exorbités.
Ali était doté d’un membre vraiment exceptionnel : par sa taille et surtout par sa forme. Il avait un sexe recourbé à la manière d’un sabre oriental. Je n’en avais jamais vu de pareil ; sauf peut-être, dans quelques vidéos pornographiques. Cette forme, me dis-je au moment où l’homme avait descendu son pantalon de jogging pour montrer le monstre à ma femme, pouvait faire de lui un instrument de torture pour les chattes douillettes et les culs trop étroits. Il devait faire très mal en pénétrant et en défonçant vagins et rectums.
Mais connaissant maintenant le goût pervers de ma femme pour la douleur provoquée par les manches monstrueux qui la pénétraient – celui de Abdelkader, l’était déjà assez – j’étais convaincu, avant même que la brute d’Ali ne commence son œuvre de destruction, qu’elle allait adorer. Je savais qu’elle allait jouir comme une folle et qu’elle allait en redemander. Pendant toute la partie, je regardais, le cœur battant très fort, les yeux brillant de lubricité et la salive dégoulinant de ma bouche, le spectacle de ma belle Kamila recevant, avec un plaisir non feint, le superbe zob de Abdelkader dans la bouche et celui, encore plus magnifique, de Ali dans la chatte.
De la place où j’étais, je pouvais voir le corps nu et totalement offert de ma femme, pris entre ses deux amants, pilonné de part et d’autre par les deux manches enfoncés dans sa vulve pour l’un et dans sa gorge pour l’autre. Je voyais ses merveilleux seins - imposants et fermes - balancer sous l’effet des coups de boutoir qu’elle recevait des deux côtés. Je pouvais aussi voir le magnifique manche d’Ali entrer et sortir d’entre les fesses de Kamila, tirant de la gorge de l’homme des gémissements rauques qui ressemblaient à des rugissements de lion. Je voyais aussi les immenses paluches de l’amant tirer furieusement sur les hanches de ma femme, pour intensifier la poussée de son bassin et accroitre la force de pénétration de son engin dans la chatte qu’il pilonnait.
Ce spectacle à lui seul me faisait bander très fort. Mais je voulais surtout voir l’expression qu’avait ma femme en ce moment là. Je voulais y lire tout le plaisir qu’elle était entrain de prendre sous les coups de boutoirs de ses hommes. Malheureusement, la présence de Abdelkader devant son visage, m’empêchait de concrétiser ce souhait. Je me contentais donc pendant un long moment du spectacle – déjà très fortement jouissif pour moi – que j’avais sous les yeux et de mon imagination pour deviner ce que pouvait ressentir ma femme se faisant pilonner par les deux magnifiques zobs.
Puis à un moment précis, il se passa quelque chose qui changea la donne. J’entendis Abdelkader crier de douleur et retirer son manche de la bouche de Kamila. Elle venait de le mordre violemment ! Je ne compris pas tout de suite ce qui venait de se passer, mais pour moi, ce fut comme une bénédiction. Non seulement, je pouvais maintenant voir le visage de ma bien-aimée entrain de prendre un infini plaisir à se faire tirer en levrette et en force par Ali, mais aussi l’entendre gémir, hurler et aussi prononcer ses fameuses phrases cochonnes en arabe. Ce ne fut que du bonheur ! Kamila avait joui cette fois-là plus intensément, me semblait-il, que toutes les autres fois, avec Kader tout seul ou même, avec lui et moi ensemble. Les coups de reins d’Ali étaient plus jouissifs que tous ceux qu’elle avait reçu jusque là.
Il me paraissait que c’était la forte douleur qu’elle ressentait à chaque pénétration du monstre dans sa vulve – elle avait poussé un très fort cri de douleur à la première pénétration – qui avait joué le rôle d’accélérateur ou d’intensificateur du plaisir qu’elle ressentait. Et dans les phrases qu’elle prononçait sous l’effet du plaisir, il avait été souvent question de « zob qui faisait mal ». J’assistais ainsi à toute la scène, avec l’impression d’être dans un nuage de désir et de plaisir, en me caressant doucement le sexe qui bandait tellement, que j’avais mal au bas ventre. Une douleur vraiment délicieuse !
Et quand Abdelkader éjacula - après une superbe branlette qui avait suivi son retrait de la bouche de ma femme - sur son visage et ses cheveux et que je vis toute la quantité de sperme épais et visqueux qui s’était étalé sur elle, je sentis mon sexe faire plusieurs soubresauts dans ma main. Cela avait encore accru mon excitation. J’ai honte de le dire, mais j’avais une furieuse envie de me lever pour aller étaler avec ma main le jus que Kader venait d’éjaculer, sur le corps de ma femme et lui faire ensuite sucer mes doigts. Et cela s’accrut encore plus, quand j’entendis Kamila pousser un hurlement de folle et jouir longuement, sans retenue aucune.
Je vécus cette jouissance - la plus forte qu’elle ait eu jusqu’ici - exactement comme si c’était la mienne. Je sentis comme une décharge électrique qui traversait toute ma colonne vertébrale et aller se loger dans mon bas ventre. Je dus arrêter de me caresser le zob, pour ne pas éjaculer, tant l’orgasme frappait de manière insistante à la porte. Kamila venait de vivre un moment érotique exceptionnel ; elle en avait éprouvé un plaisir lui aussi exceptionnel. Et j’étais aussi heureux qu’elle !
Ali jouit en dernier et le couple resta longtemps allongé par terre, pour reprendre son souffle et ses esprits. Je regardais Kamila ; c’était le bonheur personnifié. Son visage rayonnait d’une immense joie ; il était lumineux et portait mêmes les signes de la béatitude. Et pourtant ses yeux me montraient, à moi qui la connaissais intimement, qu’elle n’était pas encore rassasiée. Qu’elle voulait encore être la victime consentante du magnifique membre de son nouvel amant. Je ne fus donc pas surpris quand je l’entendis lui ordonner :
- Nike ni melour ! (Encule-moi !)
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Ali ne se fit pas répéter l’ordre de sa maîtresse. Son membre était resté en état de très forte érection, signe que même s’il avait intensément joui auparavant, il était encore en état de rut ; absolument comme le taureau dont il avait la physionomie et le caractère. Cela me rappela que Abdelkader, en parlant de lui tantôt disait qu’il était sexuellement insatiable ; et qu’il devait à cette caractéristique d’être aujourd’hui divorcé.
Il se releva et se mit à genoux entre les jambes de Kamila qui était toujours allongée par terre sur son ventre. Il empoigna les hanches de la belle pour la remettre à quatre pattes devant lui. Elle se laissa faire et se retrouva les fesses en l’air, à hauteur du bas ventre de son partenaire. Les immenses paluches de l’homme se mirent à caresser le cul de la femme. Elle semblait vraiment apprécier. Il avait une manière bien à lui de caresser ; contrairement à l’apparence de brutalité qu’il donnait de lui, il était la douceur personnifiée ; du moins quand il caressait ou quand il embrassait.
De la place où j’étais, je pouvais voir l’expression de son visage quand il promenait ses mains sur le postérieur de sa partenaire. Il souriait aux anges ! Et ce sourire le rendait presque beau ! Il aimait visiblement la douceur de la peau et la fermeté de la chair. Il aimait aussi le spectacle qu’offrait le magnifique cul de Kamila, et il le disait sans fausse pudeur, avec son vocabulaire à lui ; simple et cru.
- H’rir ! (C’est de la soie !) En’mout ‘ala trem kima ‘hadhou ! (J’adore les fesses comme les tiennes !) Em ‘amrine ! (Elles sont pleines !) Em’douwrine ! (Elles sont si rondes !) Rani en’chouf fi th’qabek le’thnine ! Souwtek wa ga’arek ! (Je suis entrain de mater tes deux orifices ! Ta chatte et ton cul !) Ach’hal chabbine ! (Ce qu’ils sont beaux !) Bghit en’souwar’houm bach en’chouf ‘houm koul youm! (J’ai envie de les photographier pour pouvoir les admirer tous les jours !) Khalini en’bouss tramek ! (Laisse-moi embrasser tes fesses !)
Si ce n’était cette dernière demande – émise presque comme une prière – j’avais l’impression que tout son discours ne s’adressait en fait qu’à lui-même. Il soliloquait à voix basse et de là où j’étais, j’avais du mal à saisir complètement la signification de ses phrases. Kamila elle avait parfaitement entendu la demande de son partenaire !
- Bouss trami ! (Embrasse mes fesses !) Bouss ga’ari ! Lahssou ! ‘Amrouh be lebzaq ! (Embrasse mon anus ! Lèche-le ! Remplis-le de salive !) Ou ma tettouwalch et’nik ni ! (Et ne traine pas pour me niquer !) Djou’at metrag ta’ek ! (J’ai faim de ton gourdin !) Dekhel ‘hou li ! Dekhlou bezzour ! (Enfonce-le moi ! Enfonce-le en force !) Wadja’ani ! (Fais-moi mal !) Dekhel zebek ! Dekhlou ! Ghawel dekhlou ! (Met-le moi ! Met-le ! Fais vite, met-le moi !) Kesserli ga’ari ! (Défonce-moi le cul !)
Au fur et à mesure qu’elle parlait, je sentais que Kamila entrait dans un autre monde. Un monde de plaisir ! Un monde qui lui appartenait ! Un monde où tout ce qu’elle voulait, elle pouvait l’avoir ! Et ce qu’elle voulait en ce moment, c’était de sentir l’immense queue de Ali, lui défoncer l’anus. Elle voulait en ressentir encore une fois la force et la brutalité ; la dureté et la douceur ; la douleur et le bien-être. Elle voulait sentir son cul rempli par le monstre et le garder en elle le plus longtemps possible. Et tout cela, elle le lui disait – elle le lui criait même - avec ses mots crus.
Ali n’était pas en reste. Il avait rapidement pris la mesure du cul de ma femme et l’avait pénétré sans ménagement, lui faisant pousser un énorme cri de douleur. Elle avait eu très mal et elle le lui dit. Non pour s’en plaindre ; ou pour qu’il arrête ; ou pour qu’il fasse plus attention ; c’était au contraire pour qu’il continue de la même manière et, s’il le pouvait, en lui faisant plus mal encore !
- Zid ‘hak dhak ! Zid wedja’ani ! Zid nik ni bezzour! (Continue comme cela! Continue de me faire mal ! Continue de me niquer brutalement !) Edjbed li em’sarni ! (Sors moi les boyaux !) Zebek ahdid ! Zebek ahdid ! Enhab z’boub kima enta’ek ! (Ton zob est en acier ! Ton zob est en acier ! J’adore les zobs comme le tien !)
Ali aiguillonné par la voix de sa maîtresse se lâcha complètement. Il tirait furieusement sur ses bras et enfonçait son manche le plus loin qu’il pouvait aller dans le cul de Kamila. Il ne parlait plus. Il avait l’air farouche d’un combattant qui menait une bataille dont devait dépendre sa vie. Il tirait de plus en plus fort, poussait son bassin jusqu’à ce que son bas ventre vînt cogner contre les fesses de la femme, en produisant comme un claquement sec ; puis il revenait à l’entrée, ressortait complètement son manche jusqu’à une dizaine de centimètres de l’anus et repartait au fond du cul, avec encore plus de force. A chaque pénétration, il poussait un énorme rugissement qui emplissait tout l’espace et se répercutait sur les murs du salon.
Kamila, à chaque coup de bélier du monstre, poussait des cris qui étaient un mélange de douleur et de plaisir. Je voyais sur son visage, qui me faisait face, autant de douleur que de plaisir. Mais ses yeux brillaient de mille feux. On aurait dit un feu d’artifice. Je me disais qu’elle était entrain de vivre des moments exceptionnels ; qu’elle en était consciente et qu’elle cherchait à en profiter au maximum. Elle criait et elle parlait.
- Aiiiieeee ! Zid li ! Ziiiiiiid ! Zid adjbed bezzour! ‘Hakdhak ! Zid ! M’lih ! M’lih! Yemma ch’hal m’lih !Aiieee! (Encore! Encooooore! Tire encore plus fort! Comme cela! Encore ! C’est bon ! C’est bon ! Maman comme c’est bon ! …) Ga’ari yehrag ! N’heb ki ga’ari yehrag ! Zid h’ragni ! ‘Hakdhak ! Yemma ach’hal en’hab zeb ‘hadha! Yeqtelni ! Eqtelni ! Bghit en’mout be zebek fi ga’ari ! (Mon cul me brule! J’adore quand mon cul me brule comme cela ! Brule-moi encore ! Oui, comme cela ! Maman comme j’aime ce zob ! Il me tue ! Tue-moi ! J’ai envie de mourir avec ton zob dans le cul !)
Ma merveilleuse Kamila était totalement dans son plaisir. Elle en demandait encore plus. Elle voulait que cela dure toute l’éternité. Elle était heureuse ! Et moi aussi j’étais heureux. Je profitais du plaisir que prenait ma femme sous les furieux coups de reins de son amant. Il me semblait que je jouissais autant qu’elle, bien que je restasse bien tranquille dans mon coin, entrain de caresser doucement mon manche super dilaté. J’étais certain que je n’aurais pas joui avec autant d’intensité si c’était moi qui étais à la place de Ali. Je n’avais pas besoin de la pénétrer, ni même d’éjaculer en elle, pour prendre mon plaisir. Il me suffisait de la regarder et de l’entendre jouir. Il me suffisait de ne pas perdre un gramme du spectacle qui se jouait devant moi.
Les deux amants jouirent très fort, presque en même temps. Kamila en continuant de crier son plaisir (elle voulait faire savoir au monde entier qu’elle jouissait comme une folle et qu’elle voulait que cela recommence immédiatement après) et Ali en poussant un rugissement de lion, qui dura tout le temps qu’il éjacula ; c’est-à-dire longtemps ! Ce fut ma femme qui s’affala la première, entrainant avec elle son amant qui s’affaissa sur son dos. Je les entendais qui essayaient de reprendre petit à petit leur respiration. Ali se reprit le premier et se mit à embrasser tendrement Kamila sur la nuque et sur la joue droite. Je n’entendais pas ce qu’il lui disait à l’oreille, mais à l’air qu’ils avaient tous les deux – un air d’amoureux heureux - j’étais sûr qu’il lui déclarait sa flamme ; qu’il lui disait qu’il l’aimait ! Et combien je le comprenais ! (Il était impossible, me dis-je, de ne pas aimer une telle femme !)
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Je ne pouvais pas me voir, mais je sentais que j’avais la bouche grande ouverte – qui dégoulinait de salive – et les yeux exorbités. Je devais ressembler à ces satyres que l’on voit dans les illustrations de livres ! Je devais faire peur ! Surtout dans ma position assise, le pantalon de jogging abaissé sur les mollets et le zob en érection dans ma main droite. Tout en regardant le spectacle, je me branlais tout doucement, de manière à maintenir l’excitation et à la faire durer tout le temps que durerait la scène des deux amants, entrain de prendre leur pied devant moi.
Souvent, depuis quelques mois, quand il m’arrivait d’y réfléchir à tête reposée, après une scène identique, il m’arrivait d’avoir des remords. Ils ne se manifestaient pas clairement ; je ressentais seulement comme un poids sur le cœur ; une boulle au fond de ma gorge. Des idées noires me traversaient soudain l’esprit et me disaient que je devais avoir honte. Honte d’être cocu ! Et surtout honte d’aimer ça et d’en redemander ! Tahhan ! - Cocu ! - était la plus grande insulte que l’on pouvait faire à un mari. Et moi j’adorais être tahhan ! Ces idées noires et ces réflexions ne duraient que quelques secondes et disparaissaient aussi vite qu’elles étaient arrivées. En regardant ma merveilleuse femme, tout redevenait normal ! J’étais heureux ! Heureux qu’elle prenne autant de plaisir ! Heureux d’être cocu !
Mais un autre spectacle vint rapidement attirer mon attention et me conforter dans mes préférences érotiques. Abdelkader, dont j’avais complètement oublié l’existence et qui s’était fait volontairement oublier tout le temps que dura la sodomisation de Kamila par Ali, était lui-même assis sur un autre fauteuil à l’autre bout du salon et avait suivi toute la scène dans les mêmes conditions que moi. Je voyais son visage illuminé comme s’il venait de vivre un moment de bonheur exceptionnel. Il avait les yeux fixés sur le couple entrain de se dire des mots doux, que ni lui ni moi n’entendions ; ils brillaient de tendresse ! Et il tenait son énorme manche dans sa main droite et était entrain de se caresser doucement ; exactement comme je le faisais moi-même ! Je venais subitement de comprendre que l’homme avait pris autant de plaisir que moi en regardant ma femme – notre femme, avait-il dit tantôt – baiser avec son nouvel amant. Je comprenais maintenant pourquoi, il avait tout fait pour la mettre entre les bras de Ali. Il s’était, depuis qu’il était avec nous, découvert un tempérament de candauliste !
La seule différence entre nous, c’était que lui il ne voulait pas se contenter du plaisir que lui procurait l’excitation et l’érection qu’elle entrainait. Il voulait participer à la scène. Il se leva donc de sa place, le zob toujours dans sa main droite, et s’approcha du couple.
- Bghit haqi ! (Je veux ma part !) Bghit en’nik ! (Je veux baiser !) Akhroudj men ga’ar ‘ha ou khalini plaça ! (Sorts de son cul et laisse-moi la place !) Arrouahi hanounti ! Arrouahi a‘and radjlek ethani! a’atilou fomek inikek men’nou ! (Viens ma chérie ! Viens chez ton deuxième mari ! Donne-lui ta bouche, il va te baiser par là !)
Il avait appelé Kamila sa « deuxième femme ! ». Notre femme ! Il se comportait avec elle exactement comme moi-même je le faisais ! Comme un mari cocu et heureux de l’être ! Au son de la voix de Abdelkader, elle tourna la tête et le vit debout devant la masse encore compacte qu’elle formait avec son amant, le manche tendu comme un glaive dans sa main droite. Elle eut son merveilleux sourire de chatte gourmande et de sa voix rauque elle dit :
- Machi mel foum ! Men ga’ari ! Ou Ali men saouti ! Ou Lotfi ye chouff bark ! (Pas par la bouche ! Par le cul ! Et Ali par la chatte ! Et Lotfi continuera de regarder !)
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Voix de Kamila
Avec Ali je venais de découvrir une autre facette de l’érotisme : le plaisir procuré par les pénétrations douloureuses. AEK m’avait quelque peu déjà initié aux pénétrations qui font mal ; il m’avait souvent fait mal avec son immense queue. Mais pas de la même manière que mon nouvel amant. Avec ce dernier, il s’agissait d’une douleur permanente provoquée par la forme particulière de son sexe - un sexe recourbé qui remplissait complètement mes trous et qui frottait vigoureusement et sans discontinuer les parois de mon vagin ou de mon rectum. Les frottements me brulaient littéralement les conduits, me faisaient de plus en plus mal et, surtout, provoquaient en moi une extase d’une intensité que je n’avais encore jamais connue.
Ali était un vrai taureau au lit. Il avait une force phénoménale, qu’il n’hésitait pas à utiliser au cours de nos ébats. Il savait qu’il agissait avec brutalité et que chacun de ses coups de reins provoquait en moi une forte douleur. Il entendait les cris que je poussais à chaque pénétration. Et cela l’excitait encore plus. Il recommençait avec encore plus de brutalité et plus de force. Entre ses bras puissants, j’étais à sa merci, comme une poupée qu’il pouvait briser à tout moment. Au cours des deux séances précédentes, Ali me pénétra en levrette, puis me sodomisa. A chaque fois, son merveilleux sabre avait accompli consciencieusement son œuvre de démolition de mes deux tunnels. Dès la première pénétration, j’avais ressenti une très forte douleur – je n’avais pas pu m’empêcher de hurler. Mais presqu’aussitôt, par je ne sais quel miracle, celle-ci se transforma en plaisir.
Je n’avais encore jamais ressenti une telle sensation. J’avais aimé auparavant la force du manche de AEK et même la douleur qu’il provoquait de temps en temps – surtout la première fois dans mon anus – mais jamais je n’aurais pensé que j’allais devenir accro au couple douleur/plaisir. Je n’avais jamais eu auparavant de tendance masochiste. Et même maintenant, je suis convaincue qu’il ne s’agissait pas de cela. Ce que j’aimais, c’était avant tout les sexes de très fortes dimensions, avec une érection exceptionnellement longue – j’avais souvent fantasmé sur des immenses zobs qui auraient eu un squelette osseux pour ne jamais débander. De tels sexes me remplissaient complètement mes trous et ne laissaient aucun espace libre. J’adorais cette sensation de tunnels pleins ; elle me procurait un immense plaisir. Ils pouvaient me procurer plusieurs orgasme successifs, rien qu’en restant ainsi dans mon vagin ou mon rectum. Sans même bouger.
Et quand un de ces zobs – celui de Ali en était un excellent prototype – se mettait à aller et venir dans mon tuyau avec force et frotter avec vigueur contre la paroi, il ne pouvait que faire mal. Mais cette douleur était atténuée par le plaisir de sentir ma cavité complètement remplie. D’ailleurs, chaque fois que l’acte était terminé et que le zob sortait de mon trou – quel qu’il fût – je ressentais immédiatement comme un vide ; et il me fallait très vite combler ce vide. Il me semblait aussi que c’était la raison pour laquelle j’étais entrain de devenir une vraie nymphomane. Je n’étais jamais rassasiée ; il me fallait toujours plus de sexe. Chaque fois qu’un de mes amants sortait de moi, il fallait qu’il reparte à l’assaut ou qu’un autre amant le remplaçât.
Ce fut d’ailleurs cette caractéristique qui allait nous amener plus tard, AEK, Lotfi et moi, vers d’autres aventures érotiques au cours desquelles, mes deux maîtres allaient m’offrir à plusieurs hommes à la fois. Je les avais amenés sur cette voie en criant souvent au cours de nos ébats, qu’il me fallait d’autres hommes et d’autres zobs pour contenter la nymphomanie qui commençait à s’installer en moi. Mais cela est une autre histoire que je raconterais un peu plus tard.
Pour le moment, j’en étais encore à ma première aventure avec Ali et AEK. Abdelkader, mon premier amant – qui prétendait maintenant être devenu mon deuxième mari – avait assisté sans intervenir à mes premières relations sexuelles avec Ali. Il avait assisté à l’immense plaisir que j’avais pris sous les coups de boutoir du magnifique zob de son ami. Il m’avait entendu crier mon bonheur d’être possédée avec autant de force. Cela lui avait beaucoup plu et lui avait procuré un plaisir intense ; exactement comme celui que le même spectacle avait procuré à Lotfi. Mais avec ce dernier, j’avais l’habitude. Ce n’était pas encore le cas avec AEK. Je le croyais possessif et jaloux. Je venais de découvrir mon erreur. Et du même coup, je venais de comprendre la raison profonde qui l’avait amené à m’offrir à son ami. Il voulait vivre les sensations qu’avait eues Lotfi - mon mari - en me regardant me faire tirer par lui. Il venait de se découvrir une tendance au candaulisme, comme Lotfi. Je venais aussi de comprendre, pourquoi, il me considérait comme sa femme.
Mais contrairement à Lotfi qui pouvait se contenter de l’immense plaisir qu’il prenait en regardant mes ébats avec un amant, AEK lui, voulait participer, en acteur, au spectacle. Il voulait jouir en moi. Il avait envie de me baiser par la bouche et y éjaculer tout ce qu’il avait emmagasiné comme sperme. Mais moi, je voulais autre chose. Je voulais continuer de sentir mes orifices remplis par d’immenses zobs. Et l’intervention de AEK qui voulait prendre la place de Ali et me baiser par la bouche, avait instantanément provoqué en moi le désir de les avoir tous les deux en même temps. Dans mes deux trous ! Je ne pus m’empêcher d’intervenir pour décider de la suite du programme.
- Machi men foumi ! Men ga’ari ! Ou ‘Ali men saouti ! Ou Lotfi ye chouff bark ! (Pas par la bouche ! Par le cul ! Et Ali par la chatte ! Et Lotfi continuera de regarder !)
Ali qui était entrain de reprendre son souffle, affalé sur mon dos, se releva. Il ne dit rien ; ses yeux étaient interrogateurs. Il n’avait pas très bien compris ce que je voulais et surtout, il devait se demander comment cela pouvait se faire ; par les deux trous en même temps, cela signifiait que les deux hommes devaient me baiser en même temps. Ali n’avait encore jamais participé à une double pénétration. L’idée lui plut, mais il ne savait pas comment s’y prendre. Il nous regardait sans rien dire. Ce fut AEK qui prit les choses en main.
- Mel foug oula mel taht ! (Dessus ou dessous!) Ana mel foug ou en’ta mel that! (Moi dessus et toi dessous!)
Abdelkader demanda à son ami de s’allonger sur le dos sur le carrelage. (Il m’avait souvent dit qu’il aimait faire l’amour directement sur le sol ; cela lui procurait plus de plaisir que sur le canapé et même sur le lit.) Ali obéit sans rechigner. Son manche était encore en érection, malgré les deux fortes éjaculations qu’il avait eues tantôt. Je salivais déjà rien qu’à l’idée que j’allais m’empaler sur l’immense sabre recourbé. Je lui demandais de le redresser pour qu’il soit à la verticale, et vint l’enfourcher comme une amazone affamée. Je positionnais le gland entre mes grandes lèvres et, le cœur battant et l’âme pleine de gourmandise, je me laissais tomber sur les cuisses de mon homme, m’empalant ainsi avec force sur le sabre dressé. Je ressentis encore une fois la délicieuse douleur de la pénétration du monstre, dont la forme particulière le fit entrer de biais et alla racler furieusement la paroi de mon vagin.
- Wahhhhh ! Ach’hal m’lih ! Ana li en’nikek dhork ! (Wahhh ! Comme c’est bon ! Maintenant c’est moi qui te nique !) N’a’ref en’nik ! N’heb en’nik ! N’heb en’dji foug radjli ! (Je sais baiser ! J’adore baiser ! J’aime quand c’est mois qui suis au dessus de mon homme !)
Tout en hurlant ainsi des tas de cochonneries qui ajoutaient à mon excitation, je faisais monter et descendre mes hanches, de manière à faire pénétrer très profondément le sabre de Ali dans mon vagin. Je coulais comme un robinet et je voyais les couilles de mon homme se remplir de mon jus. Quel spectacle érotique que tout ce liquide visqueux qui tombait sur les testicules de mon partenaire et qui allait se répandre par terre ! Ali était aux anges ! Il ne disait toujours rien. Il avait tendu les bras et m’avait saisie par la taille pour mieux accompagner les mouvements montants et descendants de mes hanches. Il avait les yeux qui brillaient de mille feux et de la bave qui coulait en abondance de sa bouche. Je me disais que si je continuais ainsi à chevaucher le sabre de mon amant, je n’allais pas tarder à décharger. Or ce n’étais pas encore ce que je voulais.
Ce que je voulais, c’était que AEK participe à l’action en m’enculant. Je voulais une double pénétration d’enfer ! Et j’eus une double pénétration d’enfer ! Kader qui s’était placé derrière moi intervint pour m’empêcher de continuer mes mouvements montants et descendants sur le manche de Ali. Il maintint mes hanches en position haute et je sentis un doigt qui testait le degré de lubrification de mon anus. Le doigt pénétra sans effort. Il le ressortit presque immédiatement pour le remplacer par le gland de son sexe. Je le sentis qui se positionnait doucement. Et la brusque poussée qui suivit fit pénétrer violemment tout le zob jusqu’au fond. Malgré que mon anus fût devenu très large, à force de recevoir de magnifiques zobs, la pénétration de AEK me fit très mal.
Je sentais maintenant les deux monstres en moi. J’ai toujours adoré les doubles pénétrations. Mais jusqu’à maintenant, je n’avais connu que celles réalisées par AEK et Lotfi. Elles m’avaient transportée jusqu’au plus haut sommet du plaisir. Mais celle que je vivais en ce moment était encore plus jouissive ! Ali qui avait compris ce qu’il fallait faire, maintenait mes hanches à la hauteur qu’il fallait pour pouvoir entreprendre lui-même les mouvements montants et descendants pour faire pénétrer son sabre jusqu’au plus profond de mon vagin. Et il y allait vaillamment, avec sa force colossale. AEK en faisait de même dans mon cul. Et les deux monstres allaient et venaient dans mes trous, ramonant tout sur leur passage et se frottant l’un à l’autre en se croisant.
Je sentais que j’allais mourir de plaisir ! Je n’arrivais même plus à prononcer tous les mots et toutes les phrases qui se bousculaient dans ma tête. Je voulais exprimer tout ce que je ressentais par des mots ; mais ceux-ci mourraient sur mes lèvres. La seule chose que j’arrivais à faire, c’était de pousser des gémissements et des cris qui mélangeaient plaisir et douleur. Le plaisir intense que me procuraient deux magnifiques zobs qui limaient mes orifices ; la douleur – aussi douce que du miel ! – que me procurait à chaque fois la double pénétration des supers zobs.
Mes amants eux-aussi étaient plongés dans un monde de plaisir intense. AEK poussait des han de bûcheron en pilonnant furieusement mon cul. Je sentais ses mains puissantes accrochées à mes hanches et qui tiraient avec force pour essayer d’enfoncer encore plus loin son manche dans mon rectum. A chaque fois, ses cuisses claquaient comme un fouet contre mes fesses, ajoutant encore une dose supplémentaire d’érotisme au spectacle. Ali, comme à son habitude ne disait rien. Il rugissait de plus en plus fort au fur et à mesure que le plaisir qu’il prenait à me tirer s’intensifiait. Je le voyais qui envoyait avec force son sabre à l’intérieur de ma chatte, en soulevant brusquement ses hanches. Il essayait d’aller le plus haut possible et s’arrêtait un moment en bout de course ; et puis il relaissait tomber ses hanches, avant de recommencer.
Tous les trois nous étions au paradis ! Je voyais mon amant d’en dessous qui bavait de plaisir et qui semblait être sur le point de lâcher son foutre. Je voyais son visage se crisper et ses lèvres se tendre jusqu’à devenir toutes blanches. Ses rugissements devenaient plus sourds et plus rapides. Ses allers-retours s’accéléraient et sa respiration devenait plus difficile.
Dans mon dos, je sentais que mon amant du dessus était aussi sur le point de jouir. Ses doigts étaient crispés sur mes hanches et je sentais que ses ongles avaient pénétré la chair. Ses han étaient plus rapides; tout comme ses coups de reins. Je savais qu’il ne pouvait plus se retenir.
Et moi aussi je sentais arriver l’orgasme. Je le voyais exploser en moi en partant de mon bas ventre et de l’intérieur de mon cul et en rayonnant sur tout le reste de mon corps. Je poussais un énorme râle de démente et donnais ainsi le top départ à nos trois jouissances. Ali poussa lui un rugissement plus fort que les précédents et envoya un jet de spermes brulant dans ma chatte. Je le sentis qui ressortait et aller s’étaler sur ses couilles. AEK , cria qu’il allait jouir et m’envoya lui aussi un premier jet de sperme tout aussi brulant à l’intérieur de mon anus ; je le sentis lui aussi ressortir et aller se mélanger à celui d’Ali, sur les couilles de ce dernier. Et moi je déchargeais une quantité incroyable de cyprine, qui alla elle aussi se mélanger au sperme de mes amants.
Une idée, que je trouvais très érotique sur le moment, me traversa l’esprit. Je voulais que Lotfi vînt se mêler à nous et éjaculer sur moi.
- Lotfi arouah et’faragh fiya ! A’atini nech’rob ! A’atacht ! (Lotfi vient te vider en moi ! Donne-moi à boire ! J’ai soif !)
Et Lotfi vint. Il avait toujours son zob dans la main. Mais cette fois, il se branlait vigoureusement. L’idée de se vider dans ma bouche l’avait émoustillé. Il vint se placer à genoux devant moi, me prit le menton pour me faire lever la tête et plaça son membre devant ma bouche tout en continuant de se branler fortement. Il ne mit pas longtemps à jouir. Il m’envoya une première giclée à l’intérieur même de la bouche et le reste sur la figure et le cou. Il souriait de toutes ses dents. Il semblait vraiment heureux.
En fait nous étions tous les trois très heureux. AEK éjacula une tonne de sperme dans mon cul et sur mes fesses, puis s’affala sur mon dos. Ali lui aussi éjacula – beaucoup moins, parce qu’il ne lui restait pas grand-chose - et m’attira sur lui pour m’enlacer et garder son sexe, qui avait ramolli, en moi. Moi, j’étais au bord de la syncope tant j’avais joui. Je n’arrivais plus à respirer normalement et mon cœur devait battre à plus de deux cents coups minute. Je me laissais aller entre les bras de Ali et faillis m’endormir, tant je me sentais bien entre lui et AEK.
Quand nous reprîmes nos esprits, nous nous levâmes pour nous assoir sur le canapé. Je dégoulinais littéralement de sperme. J’en avais partout : sur le bas ventre, évidemment, mais aussi sur le visage et sur le cou ; sur les cuisses et sur les fesses ; sur le ventre et sur la poitrine.
- Ach’hal en’heb en’choufek ‘hakdha ! M’a’amra be zal ! Bghit tegoua’adi hakdha hetta ghedwa ! (Comme j’aime te voir ainsi ! Pleine de sperme ! J’aimerai que tu restes comme cela jusqu’à demain. !)
C’était Lotfi qui me parlait ainsi. Je voyais ses yeux qui brillaient de bonheur en me regardant. Il me semblait qu’il bavait devant le spectacle de sa femme baignant dans du sperme; le sperme de ses amants, mélangé à celui de son mari. Ce soir là, pour faire plaisir à mon mari, je ne pris pas de bain ; je restais ainsi et m’endormis entre ses bras, avec du sperme plein le corps. Toute la nuit, je le sentis qui me caressait et qui jouait avec le sperme qui avait fini par sécher. J’en étais très émue. Lotfi était vraiment le mari qu’il me fallait ! Avec lui j’avais décroché le gros lot !
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Tout le temps que Kamila se faisait tirer en levrette par Ali, j’étais assis sur mon fauteuil préféré, un peu à l’écart de la scène, mais de manière à ce qu’aucun détail du spectacle ne pût échapper à mon désir de voyeurisme. De là où je me trouvais je pouvais tout voir et effectivement je me délectais de ce qui se passait sous mes yeux exorbités.
Ali était doté d’un membre vraiment exceptionnel : par sa taille et surtout par sa forme. Il avait un sexe recourbé à la manière d’un sabre oriental. Je n’en avais jamais vu de pareil ; sauf peut-être, dans quelques vidéos pornographiques. Cette forme, me dis-je au moment où l’homme avait descendu son pantalon de jogging pour montrer le monstre à ma femme, pouvait faire de lui un instrument de torture pour les chattes douillettes et les culs trop étroits. Il devait faire très mal en pénétrant et en défonçant vagins et rectums.
Mais connaissant maintenant le goût pervers de ma femme pour la douleur provoquée par les manches monstrueux qui la pénétraient – celui de Abdelkader, l’était déjà assez – j’étais convaincu, avant même que la brute d’Ali ne commence son œuvre de destruction, qu’elle allait adorer. Je savais qu’elle allait jouir comme une folle et qu’elle allait en redemander. Pendant toute la partie, je regardais, le cœur battant très fort, les yeux brillant de lubricité et la salive dégoulinant de ma bouche, le spectacle de ma belle Kamila recevant, avec un plaisir non feint, le superbe zob de Abdelkader dans la bouche et celui, encore plus magnifique, de Ali dans la chatte.
De la place où j’étais, je pouvais voir le corps nu et totalement offert de ma femme, pris entre ses deux amants, pilonné de part et d’autre par les deux manches enfoncés dans sa vulve pour l’un et dans sa gorge pour l’autre. Je voyais ses merveilleux seins - imposants et fermes - balancer sous l’effet des coups de boutoir qu’elle recevait des deux côtés. Je pouvais aussi voir le magnifique manche d’Ali entrer et sortir d’entre les fesses de Kamila, tirant de la gorge de l’homme des gémissements rauques qui ressemblaient à des rugissements de lion. Je voyais aussi les immenses paluches de l’amant tirer furieusement sur les hanches de ma femme, pour intensifier la poussée de son bassin et accroitre la force de pénétration de son engin dans la chatte qu’il pilonnait.
Ce spectacle à lui seul me faisait bander très fort. Mais je voulais surtout voir l’expression qu’avait ma femme en ce moment là. Je voulais y lire tout le plaisir qu’elle était entrain de prendre sous les coups de boutoirs de ses hommes. Malheureusement, la présence de Abdelkader devant son visage, m’empêchait de concrétiser ce souhait. Je me contentais donc pendant un long moment du spectacle – déjà très fortement jouissif pour moi – que j’avais sous les yeux et de mon imagination pour deviner ce que pouvait ressentir ma femme se faisant pilonner par les deux magnifiques zobs.
Puis à un moment précis, il se passa quelque chose qui changea la donne. J’entendis Abdelkader crier de douleur et retirer son manche de la bouche de Kamila. Elle venait de le mordre violemment ! Je ne compris pas tout de suite ce qui venait de se passer, mais pour moi, ce fut comme une bénédiction. Non seulement, je pouvais maintenant voir le visage de ma bien-aimée entrain de prendre un infini plaisir à se faire tirer en levrette et en force par Ali, mais aussi l’entendre gémir, hurler et aussi prononcer ses fameuses phrases cochonnes en arabe. Ce ne fut que du bonheur ! Kamila avait joui cette fois-là plus intensément, me semblait-il, que toutes les autres fois, avec Kader tout seul ou même, avec lui et moi ensemble. Les coups de reins d’Ali étaient plus jouissifs que tous ceux qu’elle avait reçu jusque là.
Il me paraissait que c’était la forte douleur qu’elle ressentait à chaque pénétration du monstre dans sa vulve – elle avait poussé un très fort cri de douleur à la première pénétration – qui avait joué le rôle d’accélérateur ou d’intensificateur du plaisir qu’elle ressentait. Et dans les phrases qu’elle prononçait sous l’effet du plaisir, il avait été souvent question de « zob qui faisait mal ». J’assistais ainsi à toute la scène, avec l’impression d’être dans un nuage de désir et de plaisir, en me caressant doucement le sexe qui bandait tellement, que j’avais mal au bas ventre. Une douleur vraiment délicieuse !
Et quand Abdelkader éjacula - après une superbe branlette qui avait suivi son retrait de la bouche de ma femme - sur son visage et ses cheveux et que je vis toute la quantité de sperme épais et visqueux qui s’était étalé sur elle, je sentis mon sexe faire plusieurs soubresauts dans ma main. Cela avait encore accru mon excitation. J’ai honte de le dire, mais j’avais une furieuse envie de me lever pour aller étaler avec ma main le jus que Kader venait d’éjaculer, sur le corps de ma femme et lui faire ensuite sucer mes doigts. Et cela s’accrut encore plus, quand j’entendis Kamila pousser un hurlement de folle et jouir longuement, sans retenue aucune.
Je vécus cette jouissance - la plus forte qu’elle ait eu jusqu’ici - exactement comme si c’était la mienne. Je sentis comme une décharge électrique qui traversait toute ma colonne vertébrale et aller se loger dans mon bas ventre. Je dus arrêter de me caresser le zob, pour ne pas éjaculer, tant l’orgasme frappait de manière insistante à la porte. Kamila venait de vivre un moment érotique exceptionnel ; elle en avait éprouvé un plaisir lui aussi exceptionnel. Et j’étais aussi heureux qu’elle !
Ali jouit en dernier et le couple resta longtemps allongé par terre, pour reprendre son souffle et ses esprits. Je regardais Kamila ; c’était le bonheur personnifié. Son visage rayonnait d’une immense joie ; il était lumineux et portait mêmes les signes de la béatitude. Et pourtant ses yeux me montraient, à moi qui la connaissais intimement, qu’elle n’était pas encore rassasiée. Qu’elle voulait encore être la victime consentante du magnifique membre de son nouvel amant. Je ne fus donc pas surpris quand je l’entendis lui ordonner :
- Nike ni melour ! (Encule-moi !)
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Ali ne se fit pas répéter l’ordre de sa maîtresse. Son membre était resté en état de très forte érection, signe que même s’il avait intensément joui auparavant, il était encore en état de rut ; absolument comme le taureau dont il avait la physionomie et le caractère. Cela me rappela que Abdelkader, en parlant de lui tantôt disait qu’il était sexuellement insatiable ; et qu’il devait à cette caractéristique d’être aujourd’hui divorcé.
Il se releva et se mit à genoux entre les jambes de Kamila qui était toujours allongée par terre sur son ventre. Il empoigna les hanches de la belle pour la remettre à quatre pattes devant lui. Elle se laissa faire et se retrouva les fesses en l’air, à hauteur du bas ventre de son partenaire. Les immenses paluches de l’homme se mirent à caresser le cul de la femme. Elle semblait vraiment apprécier. Il avait une manière bien à lui de caresser ; contrairement à l’apparence de brutalité qu’il donnait de lui, il était la douceur personnifiée ; du moins quand il caressait ou quand il embrassait.
De la place où j’étais, je pouvais voir l’expression de son visage quand il promenait ses mains sur le postérieur de sa partenaire. Il souriait aux anges ! Et ce sourire le rendait presque beau ! Il aimait visiblement la douceur de la peau et la fermeté de la chair. Il aimait aussi le spectacle qu’offrait le magnifique cul de Kamila, et il le disait sans fausse pudeur, avec son vocabulaire à lui ; simple et cru.
- H’rir ! (C’est de la soie !) En’mout ‘ala trem kima ‘hadhou ! (J’adore les fesses comme les tiennes !) Em ‘amrine ! (Elles sont pleines !) Em’douwrine ! (Elles sont si rondes !) Rani en’chouf fi th’qabek le’thnine ! Souwtek wa ga’arek ! (Je suis entrain de mater tes deux orifices ! Ta chatte et ton cul !) Ach’hal chabbine ! (Ce qu’ils sont beaux !) Bghit en’souwar’houm bach en’chouf ‘houm koul youm! (J’ai envie de les photographier pour pouvoir les admirer tous les jours !) Khalini en’bouss tramek ! (Laisse-moi embrasser tes fesses !)
Si ce n’était cette dernière demande – émise presque comme une prière – j’avais l’impression que tout son discours ne s’adressait en fait qu’à lui-même. Il soliloquait à voix basse et de là où j’étais, j’avais du mal à saisir complètement la signification de ses phrases. Kamila elle avait parfaitement entendu la demande de son partenaire !
- Bouss trami ! (Embrasse mes fesses !) Bouss ga’ari ! Lahssou ! ‘Amrouh be lebzaq ! (Embrasse mon anus ! Lèche-le ! Remplis-le de salive !) Ou ma tettouwalch et’nik ni ! (Et ne traine pas pour me niquer !) Djou’at metrag ta’ek ! (J’ai faim de ton gourdin !) Dekhel ‘hou li ! Dekhlou bezzour ! (Enfonce-le moi ! Enfonce-le en force !) Wadja’ani ! (Fais-moi mal !) Dekhel zebek ! Dekhlou ! Ghawel dekhlou ! (Met-le moi ! Met-le ! Fais vite, met-le moi !) Kesserli ga’ari ! (Défonce-moi le cul !)
Au fur et à mesure qu’elle parlait, je sentais que Kamila entrait dans un autre monde. Un monde de plaisir ! Un monde qui lui appartenait ! Un monde où tout ce qu’elle voulait, elle pouvait l’avoir ! Et ce qu’elle voulait en ce moment, c’était de sentir l’immense queue de Ali, lui défoncer l’anus. Elle voulait en ressentir encore une fois la force et la brutalité ; la dureté et la douceur ; la douleur et le bien-être. Elle voulait sentir son cul rempli par le monstre et le garder en elle le plus longtemps possible. Et tout cela, elle le lui disait – elle le lui criait même - avec ses mots crus.
Ali n’était pas en reste. Il avait rapidement pris la mesure du cul de ma femme et l’avait pénétré sans ménagement, lui faisant pousser un énorme cri de douleur. Elle avait eu très mal et elle le lui dit. Non pour s’en plaindre ; ou pour qu’il arrête ; ou pour qu’il fasse plus attention ; c’était au contraire pour qu’il continue de la même manière et, s’il le pouvait, en lui faisant plus mal encore !
- Zid ‘hak dhak ! Zid wedja’ani ! Zid nik ni bezzour! (Continue comme cela! Continue de me faire mal ! Continue de me niquer brutalement !) Edjbed li em’sarni ! (Sors moi les boyaux !) Zebek ahdid ! Zebek ahdid ! Enhab z’boub kima enta’ek ! (Ton zob est en acier ! Ton zob est en acier ! J’adore les zobs comme le tien !)
Ali aiguillonné par la voix de sa maîtresse se lâcha complètement. Il tirait furieusement sur ses bras et enfonçait son manche le plus loin qu’il pouvait aller dans le cul de Kamila. Il ne parlait plus. Il avait l’air farouche d’un combattant qui menait une bataille dont devait dépendre sa vie. Il tirait de plus en plus fort, poussait son bassin jusqu’à ce que son bas ventre vînt cogner contre les fesses de la femme, en produisant comme un claquement sec ; puis il revenait à l’entrée, ressortait complètement son manche jusqu’à une dizaine de centimètres de l’anus et repartait au fond du cul, avec encore plus de force. A chaque pénétration, il poussait un énorme rugissement qui emplissait tout l’espace et se répercutait sur les murs du salon.
Kamila, à chaque coup de bélier du monstre, poussait des cris qui étaient un mélange de douleur et de plaisir. Je voyais sur son visage, qui me faisait face, autant de douleur que de plaisir. Mais ses yeux brillaient de mille feux. On aurait dit un feu d’artifice. Je me disais qu’elle était entrain de vivre des moments exceptionnels ; qu’elle en était consciente et qu’elle cherchait à en profiter au maximum. Elle criait et elle parlait.
- Aiiiieeee ! Zid li ! Ziiiiiiid ! Zid adjbed bezzour! ‘Hakdhak ! Zid ! M’lih ! M’lih! Yemma ch’hal m’lih !Aiieee! (Encore! Encooooore! Tire encore plus fort! Comme cela! Encore ! C’est bon ! C’est bon ! Maman comme c’est bon ! …) Ga’ari yehrag ! N’heb ki ga’ari yehrag ! Zid h’ragni ! ‘Hakdhak ! Yemma ach’hal en’hab zeb ‘hadha! Yeqtelni ! Eqtelni ! Bghit en’mout be zebek fi ga’ari ! (Mon cul me brule! J’adore quand mon cul me brule comme cela ! Brule-moi encore ! Oui, comme cela ! Maman comme j’aime ce zob ! Il me tue ! Tue-moi ! J’ai envie de mourir avec ton zob dans le cul !)
Ma merveilleuse Kamila était totalement dans son plaisir. Elle en demandait encore plus. Elle voulait que cela dure toute l’éternité. Elle était heureuse ! Et moi aussi j’étais heureux. Je profitais du plaisir que prenait ma femme sous les furieux coups de reins de son amant. Il me semblait que je jouissais autant qu’elle, bien que je restasse bien tranquille dans mon coin, entrain de caresser doucement mon manche super dilaté. J’étais certain que je n’aurais pas joui avec autant d’intensité si c’était moi qui étais à la place de Ali. Je n’avais pas besoin de la pénétrer, ni même d’éjaculer en elle, pour prendre mon plaisir. Il me suffisait de la regarder et de l’entendre jouir. Il me suffisait de ne pas perdre un gramme du spectacle qui se jouait devant moi.
Les deux amants jouirent très fort, presque en même temps. Kamila en continuant de crier son plaisir (elle voulait faire savoir au monde entier qu’elle jouissait comme une folle et qu’elle voulait que cela recommence immédiatement après) et Ali en poussant un rugissement de lion, qui dura tout le temps qu’il éjacula ; c’est-à-dire longtemps ! Ce fut ma femme qui s’affala la première, entrainant avec elle son amant qui s’affaissa sur son dos. Je les entendais qui essayaient de reprendre petit à petit leur respiration. Ali se reprit le premier et se mit à embrasser tendrement Kamila sur la nuque et sur la joue droite. Je n’entendais pas ce qu’il lui disait à l’oreille, mais à l’air qu’ils avaient tous les deux – un air d’amoureux heureux - j’étais sûr qu’il lui déclarait sa flamme ; qu’il lui disait qu’il l’aimait ! Et combien je le comprenais ! (Il était impossible, me dis-je, de ne pas aimer une telle femme !)
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Je ne pouvais pas me voir, mais je sentais que j’avais la bouche grande ouverte – qui dégoulinait de salive – et les yeux exorbités. Je devais ressembler à ces satyres que l’on voit dans les illustrations de livres ! Je devais faire peur ! Surtout dans ma position assise, le pantalon de jogging abaissé sur les mollets et le zob en érection dans ma main droite. Tout en regardant le spectacle, je me branlais tout doucement, de manière à maintenir l’excitation et à la faire durer tout le temps que durerait la scène des deux amants, entrain de prendre leur pied devant moi.
Souvent, depuis quelques mois, quand il m’arrivait d’y réfléchir à tête reposée, après une scène identique, il m’arrivait d’avoir des remords. Ils ne se manifestaient pas clairement ; je ressentais seulement comme un poids sur le cœur ; une boulle au fond de ma gorge. Des idées noires me traversaient soudain l’esprit et me disaient que je devais avoir honte. Honte d’être cocu ! Et surtout honte d’aimer ça et d’en redemander ! Tahhan ! - Cocu ! - était la plus grande insulte que l’on pouvait faire à un mari. Et moi j’adorais être tahhan ! Ces idées noires et ces réflexions ne duraient que quelques secondes et disparaissaient aussi vite qu’elles étaient arrivées. En regardant ma merveilleuse femme, tout redevenait normal ! J’étais heureux ! Heureux qu’elle prenne autant de plaisir ! Heureux d’être cocu !
Mais un autre spectacle vint rapidement attirer mon attention et me conforter dans mes préférences érotiques. Abdelkader, dont j’avais complètement oublié l’existence et qui s’était fait volontairement oublier tout le temps que dura la sodomisation de Kamila par Ali, était lui-même assis sur un autre fauteuil à l’autre bout du salon et avait suivi toute la scène dans les mêmes conditions que moi. Je voyais son visage illuminé comme s’il venait de vivre un moment de bonheur exceptionnel. Il avait les yeux fixés sur le couple entrain de se dire des mots doux, que ni lui ni moi n’entendions ; ils brillaient de tendresse ! Et il tenait son énorme manche dans sa main droite et était entrain de se caresser doucement ; exactement comme je le faisais moi-même ! Je venais subitement de comprendre que l’homme avait pris autant de plaisir que moi en regardant ma femme – notre femme, avait-il dit tantôt – baiser avec son nouvel amant. Je comprenais maintenant pourquoi, il avait tout fait pour la mettre entre les bras de Ali. Il s’était, depuis qu’il était avec nous, découvert un tempérament de candauliste !
La seule différence entre nous, c’était que lui il ne voulait pas se contenter du plaisir que lui procurait l’excitation et l’érection qu’elle entrainait. Il voulait participer à la scène. Il se leva donc de sa place, le zob toujours dans sa main droite, et s’approcha du couple.
- Bghit haqi ! (Je veux ma part !) Bghit en’nik ! (Je veux baiser !) Akhroudj men ga’ar ‘ha ou khalini plaça ! (Sorts de son cul et laisse-moi la place !) Arrouahi hanounti ! Arrouahi a‘and radjlek ethani! a’atilou fomek inikek men’nou ! (Viens ma chérie ! Viens chez ton deuxième mari ! Donne-lui ta bouche, il va te baiser par là !)
Il avait appelé Kamila sa « deuxième femme ! ». Notre femme ! Il se comportait avec elle exactement comme moi-même je le faisais ! Comme un mari cocu et heureux de l’être ! Au son de la voix de Abdelkader, elle tourna la tête et le vit debout devant la masse encore compacte qu’elle formait avec son amant, le manche tendu comme un glaive dans sa main droite. Elle eut son merveilleux sourire de chatte gourmande et de sa voix rauque elle dit :
- Machi mel foum ! Men ga’ari ! Ou Ali men saouti ! Ou Lotfi ye chouff bark ! (Pas par la bouche ! Par le cul ! Et Ali par la chatte ! Et Lotfi continuera de regarder !)
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Voix de Kamila
Avec Ali je venais de découvrir une autre facette de l’érotisme : le plaisir procuré par les pénétrations douloureuses. AEK m’avait quelque peu déjà initié aux pénétrations qui font mal ; il m’avait souvent fait mal avec son immense queue. Mais pas de la même manière que mon nouvel amant. Avec ce dernier, il s’agissait d’une douleur permanente provoquée par la forme particulière de son sexe - un sexe recourbé qui remplissait complètement mes trous et qui frottait vigoureusement et sans discontinuer les parois de mon vagin ou de mon rectum. Les frottements me brulaient littéralement les conduits, me faisaient de plus en plus mal et, surtout, provoquaient en moi une extase d’une intensité que je n’avais encore jamais connue.
Ali était un vrai taureau au lit. Il avait une force phénoménale, qu’il n’hésitait pas à utiliser au cours de nos ébats. Il savait qu’il agissait avec brutalité et que chacun de ses coups de reins provoquait en moi une forte douleur. Il entendait les cris que je poussais à chaque pénétration. Et cela l’excitait encore plus. Il recommençait avec encore plus de brutalité et plus de force. Entre ses bras puissants, j’étais à sa merci, comme une poupée qu’il pouvait briser à tout moment. Au cours des deux séances précédentes, Ali me pénétra en levrette, puis me sodomisa. A chaque fois, son merveilleux sabre avait accompli consciencieusement son œuvre de démolition de mes deux tunnels. Dès la première pénétration, j’avais ressenti une très forte douleur – je n’avais pas pu m’empêcher de hurler. Mais presqu’aussitôt, par je ne sais quel miracle, celle-ci se transforma en plaisir.
Je n’avais encore jamais ressenti une telle sensation. J’avais aimé auparavant la force du manche de AEK et même la douleur qu’il provoquait de temps en temps – surtout la première fois dans mon anus – mais jamais je n’aurais pensé que j’allais devenir accro au couple douleur/plaisir. Je n’avais jamais eu auparavant de tendance masochiste. Et même maintenant, je suis convaincue qu’il ne s’agissait pas de cela. Ce que j’aimais, c’était avant tout les sexes de très fortes dimensions, avec une érection exceptionnellement longue – j’avais souvent fantasmé sur des immenses zobs qui auraient eu un squelette osseux pour ne jamais débander. De tels sexes me remplissaient complètement mes trous et ne laissaient aucun espace libre. J’adorais cette sensation de tunnels pleins ; elle me procurait un immense plaisir. Ils pouvaient me procurer plusieurs orgasme successifs, rien qu’en restant ainsi dans mon vagin ou mon rectum. Sans même bouger.
Et quand un de ces zobs – celui de Ali en était un excellent prototype – se mettait à aller et venir dans mon tuyau avec force et frotter avec vigueur contre la paroi, il ne pouvait que faire mal. Mais cette douleur était atténuée par le plaisir de sentir ma cavité complètement remplie. D’ailleurs, chaque fois que l’acte était terminé et que le zob sortait de mon trou – quel qu’il fût – je ressentais immédiatement comme un vide ; et il me fallait très vite combler ce vide. Il me semblait aussi que c’était la raison pour laquelle j’étais entrain de devenir une vraie nymphomane. Je n’étais jamais rassasiée ; il me fallait toujours plus de sexe. Chaque fois qu’un de mes amants sortait de moi, il fallait qu’il reparte à l’assaut ou qu’un autre amant le remplaçât.
Ce fut d’ailleurs cette caractéristique qui allait nous amener plus tard, AEK, Lotfi et moi, vers d’autres aventures érotiques au cours desquelles, mes deux maîtres allaient m’offrir à plusieurs hommes à la fois. Je les avais amenés sur cette voie en criant souvent au cours de nos ébats, qu’il me fallait d’autres hommes et d’autres zobs pour contenter la nymphomanie qui commençait à s’installer en moi. Mais cela est une autre histoire que je raconterais un peu plus tard.
Pour le moment, j’en étais encore à ma première aventure avec Ali et AEK. Abdelkader, mon premier amant – qui prétendait maintenant être devenu mon deuxième mari – avait assisté sans intervenir à mes premières relations sexuelles avec Ali. Il avait assisté à l’immense plaisir que j’avais pris sous les coups de boutoir du magnifique zob de son ami. Il m’avait entendu crier mon bonheur d’être possédée avec autant de force. Cela lui avait beaucoup plu et lui avait procuré un plaisir intense ; exactement comme celui que le même spectacle avait procuré à Lotfi. Mais avec ce dernier, j’avais l’habitude. Ce n’était pas encore le cas avec AEK. Je le croyais possessif et jaloux. Je venais de découvrir mon erreur. Et du même coup, je venais de comprendre la raison profonde qui l’avait amené à m’offrir à son ami. Il voulait vivre les sensations qu’avait eues Lotfi - mon mari - en me regardant me faire tirer par lui. Il venait de se découvrir une tendance au candaulisme, comme Lotfi. Je venais aussi de comprendre, pourquoi, il me considérait comme sa femme.
Mais contrairement à Lotfi qui pouvait se contenter de l’immense plaisir qu’il prenait en regardant mes ébats avec un amant, AEK lui, voulait participer, en acteur, au spectacle. Il voulait jouir en moi. Il avait envie de me baiser par la bouche et y éjaculer tout ce qu’il avait emmagasiné comme sperme. Mais moi, je voulais autre chose. Je voulais continuer de sentir mes orifices remplis par d’immenses zobs. Et l’intervention de AEK qui voulait prendre la place de Ali et me baiser par la bouche, avait instantanément provoqué en moi le désir de les avoir tous les deux en même temps. Dans mes deux trous ! Je ne pus m’empêcher d’intervenir pour décider de la suite du programme.
- Machi men foumi ! Men ga’ari ! Ou ‘Ali men saouti ! Ou Lotfi ye chouff bark ! (Pas par la bouche ! Par le cul ! Et Ali par la chatte ! Et Lotfi continuera de regarder !)
Ali qui était entrain de reprendre son souffle, affalé sur mon dos, se releva. Il ne dit rien ; ses yeux étaient interrogateurs. Il n’avait pas très bien compris ce que je voulais et surtout, il devait se demander comment cela pouvait se faire ; par les deux trous en même temps, cela signifiait que les deux hommes devaient me baiser en même temps. Ali n’avait encore jamais participé à une double pénétration. L’idée lui plut, mais il ne savait pas comment s’y prendre. Il nous regardait sans rien dire. Ce fut AEK qui prit les choses en main.
- Mel foug oula mel taht ! (Dessus ou dessous!) Ana mel foug ou en’ta mel that! (Moi dessus et toi dessous!)
Abdelkader demanda à son ami de s’allonger sur le dos sur le carrelage. (Il m’avait souvent dit qu’il aimait faire l’amour directement sur le sol ; cela lui procurait plus de plaisir que sur le canapé et même sur le lit.) Ali obéit sans rechigner. Son manche était encore en érection, malgré les deux fortes éjaculations qu’il avait eues tantôt. Je salivais déjà rien qu’à l’idée que j’allais m’empaler sur l’immense sabre recourbé. Je lui demandais de le redresser pour qu’il soit à la verticale, et vint l’enfourcher comme une amazone affamée. Je positionnais le gland entre mes grandes lèvres et, le cœur battant et l’âme pleine de gourmandise, je me laissais tomber sur les cuisses de mon homme, m’empalant ainsi avec force sur le sabre dressé. Je ressentis encore une fois la délicieuse douleur de la pénétration du monstre, dont la forme particulière le fit entrer de biais et alla racler furieusement la paroi de mon vagin.
- Wahhhhh ! Ach’hal m’lih ! Ana li en’nikek dhork ! (Wahhh ! Comme c’est bon ! Maintenant c’est moi qui te nique !) N’a’ref en’nik ! N’heb en’nik ! N’heb en’dji foug radjli ! (Je sais baiser ! J’adore baiser ! J’aime quand c’est mois qui suis au dessus de mon homme !)
Tout en hurlant ainsi des tas de cochonneries qui ajoutaient à mon excitation, je faisais monter et descendre mes hanches, de manière à faire pénétrer très profondément le sabre de Ali dans mon vagin. Je coulais comme un robinet et je voyais les couilles de mon homme se remplir de mon jus. Quel spectacle érotique que tout ce liquide visqueux qui tombait sur les testicules de mon partenaire et qui allait se répandre par terre ! Ali était aux anges ! Il ne disait toujours rien. Il avait tendu les bras et m’avait saisie par la taille pour mieux accompagner les mouvements montants et descendants de mes hanches. Il avait les yeux qui brillaient de mille feux et de la bave qui coulait en abondance de sa bouche. Je me disais que si je continuais ainsi à chevaucher le sabre de mon amant, je n’allais pas tarder à décharger. Or ce n’étais pas encore ce que je voulais.
Ce que je voulais, c’était que AEK participe à l’action en m’enculant. Je voulais une double pénétration d’enfer ! Et j’eus une double pénétration d’enfer ! Kader qui s’était placé derrière moi intervint pour m’empêcher de continuer mes mouvements montants et descendants sur le manche de Ali. Il maintint mes hanches en position haute et je sentis un doigt qui testait le degré de lubrification de mon anus. Le doigt pénétra sans effort. Il le ressortit presque immédiatement pour le remplacer par le gland de son sexe. Je le sentis qui se positionnait doucement. Et la brusque poussée qui suivit fit pénétrer violemment tout le zob jusqu’au fond. Malgré que mon anus fût devenu très large, à force de recevoir de magnifiques zobs, la pénétration de AEK me fit très mal.
Je sentais maintenant les deux monstres en moi. J’ai toujours adoré les doubles pénétrations. Mais jusqu’à maintenant, je n’avais connu que celles réalisées par AEK et Lotfi. Elles m’avaient transportée jusqu’au plus haut sommet du plaisir. Mais celle que je vivais en ce moment était encore plus jouissive ! Ali qui avait compris ce qu’il fallait faire, maintenait mes hanches à la hauteur qu’il fallait pour pouvoir entreprendre lui-même les mouvements montants et descendants pour faire pénétrer son sabre jusqu’au plus profond de mon vagin. Et il y allait vaillamment, avec sa force colossale. AEK en faisait de même dans mon cul. Et les deux monstres allaient et venaient dans mes trous, ramonant tout sur leur passage et se frottant l’un à l’autre en se croisant.
Je sentais que j’allais mourir de plaisir ! Je n’arrivais même plus à prononcer tous les mots et toutes les phrases qui se bousculaient dans ma tête. Je voulais exprimer tout ce que je ressentais par des mots ; mais ceux-ci mourraient sur mes lèvres. La seule chose que j’arrivais à faire, c’était de pousser des gémissements et des cris qui mélangeaient plaisir et douleur. Le plaisir intense que me procuraient deux magnifiques zobs qui limaient mes orifices ; la douleur – aussi douce que du miel ! – que me procurait à chaque fois la double pénétration des supers zobs.
Mes amants eux-aussi étaient plongés dans un monde de plaisir intense. AEK poussait des han de bûcheron en pilonnant furieusement mon cul. Je sentais ses mains puissantes accrochées à mes hanches et qui tiraient avec force pour essayer d’enfoncer encore plus loin son manche dans mon rectum. A chaque fois, ses cuisses claquaient comme un fouet contre mes fesses, ajoutant encore une dose supplémentaire d’érotisme au spectacle. Ali, comme à son habitude ne disait rien. Il rugissait de plus en plus fort au fur et à mesure que le plaisir qu’il prenait à me tirer s’intensifiait. Je le voyais qui envoyait avec force son sabre à l’intérieur de ma chatte, en soulevant brusquement ses hanches. Il essayait d’aller le plus haut possible et s’arrêtait un moment en bout de course ; et puis il relaissait tomber ses hanches, avant de recommencer.
Tous les trois nous étions au paradis ! Je voyais mon amant d’en dessous qui bavait de plaisir et qui semblait être sur le point de lâcher son foutre. Je voyais son visage se crisper et ses lèvres se tendre jusqu’à devenir toutes blanches. Ses rugissements devenaient plus sourds et plus rapides. Ses allers-retours s’accéléraient et sa respiration devenait plus difficile.
Dans mon dos, je sentais que mon amant du dessus était aussi sur le point de jouir. Ses doigts étaient crispés sur mes hanches et je sentais que ses ongles avaient pénétré la chair. Ses han étaient plus rapides; tout comme ses coups de reins. Je savais qu’il ne pouvait plus se retenir.
Et moi aussi je sentais arriver l’orgasme. Je le voyais exploser en moi en partant de mon bas ventre et de l’intérieur de mon cul et en rayonnant sur tout le reste de mon corps. Je poussais un énorme râle de démente et donnais ainsi le top départ à nos trois jouissances. Ali poussa lui un rugissement plus fort que les précédents et envoya un jet de spermes brulant dans ma chatte. Je le sentis qui ressortait et aller s’étaler sur ses couilles. AEK , cria qu’il allait jouir et m’envoya lui aussi un premier jet de sperme tout aussi brulant à l’intérieur de mon anus ; je le sentis lui aussi ressortir et aller se mélanger à celui d’Ali, sur les couilles de ce dernier. Et moi je déchargeais une quantité incroyable de cyprine, qui alla elle aussi se mélanger au sperme de mes amants.
Une idée, que je trouvais très érotique sur le moment, me traversa l’esprit. Je voulais que Lotfi vînt se mêler à nous et éjaculer sur moi.
- Lotfi arouah et’faragh fiya ! A’atini nech’rob ! A’atacht ! (Lotfi vient te vider en moi ! Donne-moi à boire ! J’ai soif !)
Et Lotfi vint. Il avait toujours son zob dans la main. Mais cette fois, il se branlait vigoureusement. L’idée de se vider dans ma bouche l’avait émoustillé. Il vint se placer à genoux devant moi, me prit le menton pour me faire lever la tête et plaça son membre devant ma bouche tout en continuant de se branler fortement. Il ne mit pas longtemps à jouir. Il m’envoya une première giclée à l’intérieur même de la bouche et le reste sur la figure et le cou. Il souriait de toutes ses dents. Il semblait vraiment heureux.
En fait nous étions tous les trois très heureux. AEK éjacula une tonne de sperme dans mon cul et sur mes fesses, puis s’affala sur mon dos. Ali lui aussi éjacula – beaucoup moins, parce qu’il ne lui restait pas grand-chose - et m’attira sur lui pour m’enlacer et garder son sexe, qui avait ramolli, en moi. Moi, j’étais au bord de la syncope tant j’avais joui. Je n’arrivais plus à respirer normalement et mon cœur devait battre à plus de deux cents coups minute. Je me laissais aller entre les bras de Ali et faillis m’endormir, tant je me sentais bien entre lui et AEK.
Quand nous reprîmes nos esprits, nous nous levâmes pour nous assoir sur le canapé. Je dégoulinais littéralement de sperme. J’en avais partout : sur le bas ventre, évidemment, mais aussi sur le visage et sur le cou ; sur les cuisses et sur les fesses ; sur le ventre et sur la poitrine.
- Ach’hal en’heb en’choufek ‘hakdha ! M’a’amra be zal ! Bghit tegoua’adi hakdha hetta ghedwa ! (Comme j’aime te voir ainsi ! Pleine de sperme ! J’aimerai que tu restes comme cela jusqu’à demain. !)
C’était Lotfi qui me parlait ainsi. Je voyais ses yeux qui brillaient de bonheur en me regardant. Il me semblait qu’il bavait devant le spectacle de sa femme baignant dans du sperme; le sperme de ses amants, mélangé à celui de son mari. Ce soir là, pour faire plaisir à mon mari, je ne pris pas de bain ; je restais ainsi et m’endormis entre ses bras, avec du sperme plein le corps. Toute la nuit, je le sentis qui me caressait et qui jouait avec le sperme qui avait fini par sécher. J’en étais très émue. Lotfi était vraiment le mari qu’il me fallait ! Avec lui j’avais décroché le gros lot !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je suis d'origine arabe, une baiseuse comme kamiola ferait mon bonheur
une situation dont je fantasme tout les jours, mais pour la réaliser!.. je crains que ça
ne soit possible...
je te dis bravo pour le récit, en tout cas tu as réussi à m'exciter.
ne soit possible...
je te dis bravo pour le récit, en tout cas tu as réussi à m'exciter.
Vivement la suite de cette histoire super bandante. Quelle femme. J'aimerai être le mari
de cette super baiseuse.
de cette super baiseuse.
Je suis candauliste et cette histoire très bandante coorespond à mes fantasmes.