Karima et s soeur Noura
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Karima et s soeur Noura
Karima et sa sœur Noura
Karima est entrée dans ma vie, il y a cinq ans, quand elle est devenue la femme de compagnie de maman. Ma mère, qui allait allègrement vers ses quatre-vingts ans était en effet trop vieille pour pouvoir continuer de vivre seule dans son appartement au centre d’Alger. Elle ne voulait pas quitter son logement pour aller vivre chez l’un de ses enfants. Elle tenait trop à rester autonome et à ne dépendre de personne. Après des mois de négociations, et quelques accidents qui auraient pu lui coûter la vie, elle avait fini par accepter la présence permanente d’une personne, payée pour lui tenir compagnie et veiller sur elle.
Au début tout le monde craignait que la coexistence entre maman et sa dame de compagnie soit difficile et qu’à un moment ou un autre il faille se séparer de cette dernière. Mais il est très vite apparu que Karima était la personne idoine pour comprendre et accepter les quelques travers et manies de maman, et se faire aimer d’elle. Peut-être que son histoire personnelle, faite de misère dans son enfance et sa jeunesse, de souffrances dans sa vie de femme puisqu’elle avait perdu son mari après trois ans seulement de vie commune, l’obligation de travailler pour contribuer à faire vivre sa mère et se trois sœurs, avait joué un rôle important dans son adoption immédiate par sa nouvelle patronne.
Il faut dire que malgré tout ce qu’elle a vécu et subi, Karima gardait un tempérament enjoué et un optimisme que jamais rien ne remettait en cause. Elle avait la quarantaine bien sonnée. Elle était grande et forte. Quel que soit le temps qu’il faisait, elle portait des robes d’intérieur larges, en coton, qui ne laissaient rien voir des rondeurs qu’elle pouvait avoir. Sauf que quand elle bougeait, et elle bougeait beaucoup, le tissu de ses robes se collait à son corps et laissait deviner des formes coquines : une forte poitrine encore ferme, qui semblait pousser vers l’avant et qu’instinctivement on avait envie de palper et de caresser ; de longues jambes bien dessinées avec des cuisses bien pleines ; des hanches larges et un fessier proéminent. A chaque fois que je la regardais bouger, je ressentais une forte émotion, qui se traduisait invariablement par une forte poussée de testostérone et un gonflement gênant au niveau de mon bas ventre.
Elle avait un visage ingrat mais qui n’était nullement repoussant. Elle n’avait pas les traits fins et réguliers ; ses yeux étaient petits et ronds ; sa bouche grande, entourées de fines lèvres. Mais le tout était assez agréable à regarder ; surtout qu’elle avait des yeux rieurs qui semblaient toujours se moquer de celui ou celle qu’elle regardait et qui étaient aussi une invitation à imaginer mille choses plus coquines les unes que les autres. Quand elle me regardait en face, il me semblait toujours qu’elle m’envoyait une invitation silencieuse à jouer à des jeux interdits. Elle se rendait pertinemment compte de l’effet qu’elle me faisait et en avait joué longtemps, en faisant exprès de bouger et de se dandiner de manière à mettre le feu à mes sens.
A quarante ans, Karima était veuve sans enfants. Elle avait perdu son mari à la suite d’un accident de travail sur le chantier dans lequel, il exerçait comme coffreur. Elle n’avait été mariée que pendant trois ans. Depuis une douzaine d’années elle vivait avec ses parents et ses trois sœurs. Elle n’avait pas cherché à se remarier (ou alors, personne n’était venu demander sa main) et travaillait, pour aider financièrement ses parents, comme femme de ménage dans une entreprise publique.
Quand l’occasion s’était présentée de travailler comme femme de compagnie d’une vieille femme, en étant nourrie et logée, elle n’avait pas hésité un instant. Elle voulait quitter le foyer paternel dans lequel elle n’avait connu aucune joie. Elle semblait aimer la vie qu’elle menait avec maman : elle avait peu de travail et disposait de beaucoup de temps libre, qu’elle occupait à coudre, tricoter et regarder des séries romantiques à la télévision. Maman faisait tous les jours sa sieste après le repas de la mi-journée. Elle dormait environ deux heures et se réveillait reposée. Je lui rendais visite régulièrement ; au moins une fois par semaine. La plupart du temps en milieu de semaine, vers midi. Je mangeais avec elles et repartais au travail au moment où maman allait faire sa sieste.
C’est au cours d’une de ces visites, après que ma mère eut quitté la cuisine pour aller dans sa chambre, qu’une envie soudaine et irrépressible m’avait pris d’enlacer Karima qui préparait le café et me tournait le dos. Je m’étais mis derrière elle et l’ai prise par la taille pour la coller contre moi. J’avais envie d’elle et était décidé de profiter de l’absence de maman pour lui faire l’amour. Je ne savais pas si elle allait se laisser faire, mais je m’en fichais éperdument. Je voulais la tirer et rien d’autre ne comptait. Elle aurait pu résister, dire non, faire du bruit pour réveiller maman. Rien de tout cela ; elle me laissa faire, tout en répétant tout bas de la laisser tranquille. Je pris cela pour une invitation à continuer de caresser sa volumineuse poitrine et de l’embrasser sur l’arrière de sa joue droite, la seule à laquelle j’avais accès.
Comme je le supputais, ses seins étaient fermes et très excitables. Elle semblait aimer la manière dont je les dégageai de dessous son soutien gorge, les palpai et jouait avec ses tétons. Elle ne disait plus rien (même plus d’arrêter !) et m’invitait à continuer en bougeant ses hanches et en frottant ses fesses contre mon bas ventre. Je bandais comme un âne.
D’une main je continuai à lui caresser les seins sous sa robe et à jouer avec ses tétons que j’enroulai entre trois doigts. Elle commençait à gémir tout doucement en tournant la tête à la recherche de mes lèvres. Elle voulait que je l’embrasse ; dans la position où nous nous trouvions, je n’avais pas accès à sa bouche ; je me contentais de l’embrasser sur la seule partie des ses lèvres qui était à portée des miennes.
Ma deuxième main allait lui caresser le ventre et descendit rapidement au niveau de son pubis. Elle poussa ses fesses plus en arrière pour me permettre d’avoir un meilleur accès à son mont de vénus. Je me mis à la recherche de sa chatte que j’eus du mal à atteindre. N’y tenant plus, je la forçai à se retourner et à me faire face. Elle avait fermé les yeux, mais laissé sa grande bouche entrouverte, quémandant un baiser torride. Je l’embrassai avec fureur la forçant à ouvrir complètement les dents pour que ma langue entrât dans sa bouche et allât à la recherche de la sienne. Elle se laissa prendre au jeu de la guéguerre des langues qui avaient entamé un duel, se poursuivant l’une l’autre, tantôt dans une bouche, tantôt dans l’autre, ramassant au passage des litres de salive au goût sucré, qu’elle et moi buvions goulûment.
Tout en poursuivant le baiser torride, je me mis à lui remonter le bas de sa robe de manière à dénuder ses fesses et à avoir accès à son jardin secret. Une fois le pan de sa robe totalement remonté au dessus de ses hanches, j’arrêtai le baiser et j’éloignai légèrement ma belle pour regarder ses jambes et ses cuisses dénudées. Quel spectacle ! Encore plus beau et plus bandant que ce que j’imaginais quand je la voyais bouger sous sa robe. De longues jambes d’un blanc brillant, avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds surmontés de longues cuisses du même blanc brillant que les jambes et se terminant par l’entrecuisse protégée par une petite culotte de couleur noir. Pendant quelques secondes j’admirai le spectacle de cette entrecuisse qui faisait un joli bourrelet en son milieu, montrant le dessin de deux grandes lèvres longues et dodues.
Je n’y tenais plus. Il fallait que j’aie immédiatement accès à cette chatte. J’arrachai brutalement la culotte en lui faisant pousser un petit cri de douleur, dont je ne tins aucun compte et me trouvai face à une image de paradis. Sa chatte était complètement épilée : aucune trace de poils ; comme si elle l’avait rasée le matin même, confirmant par là qu’elle s’était préparée pour ce qui était entrain de se passer. Les grandes lèvres, de couleur légèrement plus sombre que celle de ses cuisses, étaient effectivement longues et bombées.
Je tendis la main pour y introduire un doigt et ouvrir les grandes lèvres pour aller à la découverte du reste de cette chatte qui commençait à luire de mouille, tant elle était excitée. Les petites lèvres cramoisies apparurent, brillante d’humidité, laissant entrevoir un tunnel étroit de couleur plus sombre. Je fis jouer deux doigts entre les grandes lèvres, leur faisant faire un mouvement montant et descendant de manière à exciter encore plus ma belle. Elle serrait les dents pour ne pas gémir trop fort et réveiller maman ; elle avait le souffle saccadé et gardait encore les yeux fermés (peut-être par timidité, peut-être pour mieux rester dans sa jouissance). Elle écartait de plus en plus ses cuisses, de manière à permettre à mes deux doigts d’aller plus profond dans son sexe.
Elle coulait littéralement et ma main se remplissait du liquide qu’elle déversait en quantité. De temps en temps je portai mes doigts à mon nez pour sentir l’odeur épicée de sa chatte et à ma bouche pour boire un peu de son liquide ; il avait un goût très agréable, légèrement acidulé. Elle était toujours debout, adossée contre la porte de l’immense réfrigérateur de la cuisine. Je sentais qu’elle commençait à fatiguer. Je sortis mes doigts de sa chatte, lui pris la main et la traînai vers la table de la cuisine qu’elle avait débarrassée quelque temps auparavant. Je lui demandai de poser ses fesses sur la table et de s’allonger de manière à me présenter sa chatte que j’avais de nouveau dénudée.
Elle avait relevé le bas de sa robe qu’elle avait posé en boule sur son ventre, releva ses jambes qu’elle posa sur sa poitrine et resta ainsi, le con et cul nus. J’étais attiré par cette chatte comme par un aimant. Je me mis à genoux par terre de manière à avoir ma bouche au même niveau que ses grandes lèvres que je me mis à embrasser, sucer et téter, avalant par la même occasion tout le jus qui s’en dégageait. La belle aimait ce que je lui faisais. Elle se mit à chuchoter que c’était bon et que c’est la première fois qu’elle se faisait sucer la chatte.
- Continue, n’arrête pas, je sens que je vais jouir ! C’est merveilleux ! Tu es merveilleux ! Si mon mari pouvait voir cela ! Il ne m’a jamais donné autant de plaisir ! C’est bon, bon, bon !
Tout en chuchotant, elle me tenait la tête pour qu’elle ne quitte pas sa chatte, poussait ses hanches contre ma bouche pour que ma langue puisse la pénétrer le plus loin possible et se tortillait pour accroître le frottement de ma bouche contre ses grandes et petites lèvres. De temps en temps, j’attrapais son clitoris entre mes lèvres et le mordillais. Elle adorait cela et gémissait plus fort pour me le faire savoir. Et puis tout à coup, ses gémissements s’accélérèrent, montrant qu’elle était sur le point de jouir ; tout son corps se crispa et elle déchargea dans ma bouche en poussant un long râle de mourante qu’elle s’efforça d’atténuer pour ne pas réveiller maman. Puis elle se relâcha totalement, reposa ses jambes par terre et me força à venir l’embrasser sur la bouche.
- Sort ton zob ! murmura-t-elle ; je veux le voir ! je suis sûre qu’il est immense ! Je veux que tu me baises comme une chienne; cela m’a tellement manqué ! j’ai besoin de sentir que je suis encore une femme !
- Je veux d’abord que tu me suces ! Je veux te faire boire mon sperme ! Je suis sûr que tu aimeras, comme moi j’ai aimé ton jus !
- Je n’ai jamais fait cela ; je ne saurai pas comment m’y prendre. J’ai peur que tu m’étouffe avec ton énorme gourdin.
Tout en protestant qu’elle ne savait pas comment faire, elle se mit à genoux devant moi et entreprit de caresser mon pénis qu’elle avait sorti du pantalon. Elle entreprit de me masturber ; ce que je ne voulais pas et lui interdisais de faire.
- Suce-moi, lui ordonnai-je ! Met le dans ta bouche !
Elle s’exécuta en ouvrant sa bouche et en y faisant entrer précautionneusement le gland, puis une partie de la hampe. Je lui dis de faire attention à ne pas me mordre et lui pris la tête pour lui faire faire un mouvement de va-et-vient sur mon dard. Petit à petit elle s’habitua à la présence de mon zob dans sa bouche et commença à le faire pénétrer jusqu’au fond de sa gorge. Je lui demandai d’utiliser sa langue pour titiller le gland et me donner plus de plaisir. Elle s’y prit si bien qu’au bout de quelques minutes, je me mis à gémir de plaisir et à sentir monter la jouissance. Je me posai furtivement la question de jouir ou pas dans sa bouche, pensant que n’ayant encore jamais avalé de sperme, elle pouvait ne pas aimer. Puis je décidai de sortir mon sexe de sa bouche à l’ultime moment et de répandre mon sperme sur son visage et son cou. Elle se retrouva, avec un étonnement non feint, avec une tonne de sperme qui s’était répandu depuis ses cheveux jusqu’au haut de sa robe.
En la voyant comme cela dégoulinante de foutre, je me remis à bander encore plus fort. Je lui pris la main, lui fis essuyer avec son visage et lui ordonnai de lécher le sperme qu’elle y avait ramassé. Elle hésita un peu puis sorti sa langue et se mit à lécher sa main. Je lui demandai de continuer jusqu’à nettoyer la totalité du foutre qu’elle avait reçu. Elle s’exécuta sans rechigner. Elle finit même par y prendre goût en me disant :
- C’est comme du miel ! ton sperme est sucré ! j’adore ! La prochaine fois tu éjacule directement dans ma bouche ! Je boirai tout ! Et maintenant, baise-moi !
Mon érection était encore très forte. Je relevai Karima, la retournai et la fit pencher sur la table de la cuisine. Dans cette position, elle me présentait ses superbes fesses avec vue sur sa chatte et sur son anus. Ce dernier me semblait très accueillant et surtout bien serré. J’eus immédiatement envie de l’enculer. Je me retins pourtant, me disant que pour aujourd’hui je lui avais fait faire beaucoup de choses qu’elle n’avait encore jamais faites et que dans son éducation traditionnelle, elle devait considérer comme anormale, sinon « h’ram » (pécher).
Je lui écartai donc les grandes lèvres et plaçai le gland de mon sexe à l’entrée de son con qui dégoulinait de mouille, tant il était excité. D’un coup brusque je la pénétrai jusqu’au fond, tirant d’elle un cri de douleur, qu’elle s’efforça d’étouffer. Le vagin était très étroit : cela faisait des années qu’il n’avait pas servi et s’était donc refermé. Je lui avais fait très mal ; comme si je l’avais dépucelée.
- Doucement, me dit-elle ! Je suis redevenue vierge. Cela fait plus de dix ans qu’aucun homme ne m’a pénétrée ! Vas-y mollo ! Comme cela ! Continue ! Vas-y jusqu’au fond ! Je le sens bien ! Plus vite ! Plus fort ! C’est bon ! C’est bon, bon, bon, bon ….. Je vais jouir ! J’ai envie de crier ! J’aime ton zob ! Je jouiiiiis !
Elle poussa un long râle de plaisir et déchargea en secrétant une tonne de jus qui se mit à couler à l’extérieur du vagin, chassé par mon engin qui continuait à la défoncer avec force. Je sentais que moi-même je n’allais pas tarder à jouir ! J’accélérai le mouvement de va-et-vient dans le bruyant clapotis que faisait mon engin dans ce vagin inondé, et en ahanant comme un bucheron, je lâchai au fond de son vagin un premier, puis un deuxième et un troisième jet de sperme épais et brûlant.
Elle était visiblement épuisée ; elle tourna la tête vers moi et me fit un petit sourire de femme rassasiée et heureuse.
- Embrasse-moi, dit elle en se retournant. Puis se rappelant où nous étions, elle se leva précipitamment, rabaissa sa robe et jeta un coup d’œil inquiet vers la porte de la cuisine, craignant d’avoir réveillé maman.
Rassurée, elle sortit de la cuisine et alla dans la salle de bain pour se nettoyer. Je la rejoignis pendant qu’elle prenait une douche rapide. C’était la première fois que je la voyais nue. Ce n’était pas une pin-up ; loin de là. Mais elle était vraiment désirable, malgré quelques bourrelets à la taille et un mignon petit ventre rond. J’avais envie de lui refaire l’amour et le lui dis. Elle refusa, disant que ma mère allait bientôt se réveiller et qu’il fallait que je parte immédiatement pour ne pas attirer ses soupçons. Je lui dis que je m’en irai juste après m’être lavé, mais qu’elle devait me promettre de me laisser l’enculer la prochaine fois qu’on se reverra.
- Tu es fou ! répondit-elle. Je ne ferai jamais cela ; c’est « h’ram »
- Tu as tout le temps pour y réfléchir, lui répondis-je. Je suis sûr que tu n’arrêteras pas d’y penser ! Tu vas même y rêver ! Tu n’arrêteras pas d’imaginer ce gros zob dans ton anus ! Et tu finiras par accepter l’idée ! Quand je reviendrai, tu seras prête à m’accueillir dans ton cul ! Et c’est toi qui en redemanderas par la suite !
- Dégage, avant que ta mère ne se lève ! Jamais je ne te donnerai mon anus ! C’est trop sale !
Et de fait quand nous refîmes l’amour, elle accepta de me laisser l’enculer. Elle m’avoua qu’effectivement, elle avait passé la semaine à penser à cela et à s’imaginer l’effet que cela faisait de se faire prendre par l’anus. Elle finit même par beaucoup aimer la sodomisation et à l’exiger à chacune de nos rencontres. Il faut dire qu’elle avait un cul tellement accueillant ; tellement élastique ; fait sur mesure pour mon zob, qui adorait y faire son nid.
Quelques temps plus tard, Karima m’apprit que maman était au courant de notre histoire et qu’elle ne trouvait aucun inconvénient à ce qu’elle continue. A condition toutefois qu’elle ne tombe pas enceinte. Karima ne courrait aucun risque de ce côté-là, puisqu’elle était stérile. Maman acceptait cette relation, parce que comme cela, elle pouvait me voir plus régulièrement, attiré que j’étais par les séances d’amour torride avec Karima. Nous nous voyions au moins une fois par semaine. Quand j’arrivais, maman, après avoir papoté avec moi un moment, se retirait, avec sur les lèvres un sourire entendu, pour faire sa sieste et Karima et moi allions dans sa chambre pour des moments de folie érotique.
Notre histoire dura longtemps, même après qu’elle me mit entre les bras sa sœur Noura, une superbe plante d’une trentaine d’années, mariée à un chauffeur routier qui passait le plus clair de son temps sur les routes du sud, pour livrer de la marchandise aux contrées les plus éloignées du pays.
Karima me parla de sa sœur longtemps avant de me la présenter. Elle me disait qu’elle avait épousé un homme dont elle était tombée amoureuse quelques années auparavant. Comme il s’absentait souvent et longtemps, ils ne vivaient ensemble que pendant les périodes où il n’effectuait pas de livraisons dans le grand sud. Ce qui voulait dire qu’ils étaient ensemble environ dix jours dans le mois. Le reste du temps, elle retournait vivre chez ses parents : son mari refusait de la laisser seule dans leur appartement.
Pendant quelque temps, Noura se contenta de cette moitié de vie. C’était elle qui avait choisi, en toute connaissance de cause, son mari et son mode de vie particulier. Puis petit-à-petit, la mesquinerie de sa situation lui apparaissait et elle se rendait compte qu’elle n’avait rien gagné en se mariant : ni la belle vie, ni la liberté. Elle dépendait encore de ses parents pour vivre et le peu d’argent que lui laissait son mari pendant ses absences, elle le donnait à son père pour l’aider à nourrir la famille.
Un jour Karima remit sur le tapis l’histoire de sa sœur et me demanda si je ne voulais pas faire sa connaissance. Elle me dit qu’elle lui avait beaucoup parlé de moi et elle pensait qu’elle était entrain de tomber amoureuse. J’étais estomaqué d’entendre cela : Karima me demandait rien de moins que de me mettre avec sa sœur. Car tomber amoureuse de moi ne signifiait rien d’autre que se donner à moi. Elle était mariée et ne pouvait espérer divorcer (une femme ne peut pas demander et obtenir le divorce selon la loi islamique) et encore moins se faire épouser par moi. Il ne restait donc que l’hypothèse de l’adultère.
Je dis à Karima le fond de ma pensée et lui demandai de confirmer qu’il s’agissait bien pour elle de mettre sa jeune sœur dans mon lit. Elle confirma, tout en insistant qu’elle aussi avait besoin de moi et qu’il n’était pas question que je l’abandonne. Elle voulait juste me partager avec sa sœur qui, si elle continuait ainsi, allait rapidement devenir neurasthénique.
Quelques jours plus tard, tôt le matin, Karima sonna à ma porte (j’habitais un appartement dans un quartier proche de celui où habitait ma mère). Elle était avec une jeune femme qui portait un foulard aux couleurs chatoyantes, qui mettait en évidence un très beau visage avec des yeux noirs immenses, légèrement maquillés, un petit nez droit et fin, une grande bouche sensuelle entourée par deux lèvres superbement dessinées, couleur cerise, s’ouvrant sur deux rangées régulières de petites quenottes pointues, brillantes comme de la neige. A la regarder, je me dis que cette femme devait aimer croquer la vie à belles dents.
Je ne me trompais pas. Les présentations faites, après un baiser torride qu’elle me donna devant sa sœur pour bien planter le décor et montrer comment devait se passer les choses, Karima s’en alla, en disant qu’elle était pressée parce qu’elle avait promis à ma mère de rentrer très vite.
Je restais seul en face de Noura, qui entre temps, était entrée dans le hall et attendait mon bon vouloir pour la suite des évènements. J’étais le plus gêné des deux. J’entrepris un début de discussion qui cessa très vite, tant elle ne semblait pas écouter ce que je disais; de toute évidence, elle attendait autre chose. Je tendis la main pour qu’elle la prenne, ce qu’elle fit sans hésitation, et la tirai doucement vers moi. Elle se laissa faire et se retrouva immédiatement entre mes bras. Presque automatiquement, sans même y réfléchir, je lui pris la tête entre mes mains et me mis à l’embrasser sur la bouche. D’abord un tout petit baiser du bout des lèvres, quelle ne me rendit pas mais qu’elle accepta sans rechigner, puis un baiser plus appuyé qu’elle me rendit en ouvrant les dents et en laissant pénétrer ma langue dans sa bouche.
A partir de là tout alla très vite. Je lui demandai d’enlever son foulard pour que je voie sa chevelure. Ce qu’elle fit en un tour de main, laissant apparaître une belle chevelure d’un noir de jais qui tenait par je ne sais quel miracle sur le dessus de sa tête. Elle la libéra d’un élégant mouvement de ses deux mains. Elle se répandit telle une vague sur ses épaules et le haut de son dos, ajoutant un torrent de volupté à une sensualité torride qui déjà se dégageait d’elle. Je mis ma main dans cette chevelure de sauvageonne et y rencontrait une telle douceur qu’immédiatement je sentis une petite décharge électrique qui partit de dessous ma nuque pour se répandre le long de mon échine et aller se loger dans mon bas ventre.
Mon sexe se mit immédiatement à grossir. L’érection devint si forte, qu’il me fit atrocement mal. J’avais envie de tirer cette femme ; ici et tout de suite. Cela ne pouvait pas attendre. Je m’entendis le lui dire. Et comme dans un rêve je l’entendis me répondre : « ici et tout de suite ». Nous étions toujours dans le hall d’entrée ; mais ni elle, ni moi n’y fîmes attention. Elle avança sa main vers mon pantalon de pyjama et caressa mon sexe qui faisait comme une tente tellement il était tendu. Elle semblait satisfaite de sa taille et me dit à l’oreille : « c’est juste la taille qu’il faut pour éclater ma petite chatte ». Elle le sortit pour mieux le contempler et se mit à le masturber consciencieusement. Je ne voulais pas qu’elle me masturbe. Je voulais qu’elle me suce. Je le voulais dans sa bouche qui ressemblait tellement à une chatte. Je le lui dis. Elle se mit immédiatement à genoux et commença à lécher le gland. Elle savait s’y prendre. Je voyais qu’elle avait l’habitude. Je le lui dis.
- Oui j’ai souvent sucé mon mari. Il aime beaucoup cela. Et moi aussi. J’aime l’odeur du zob ; j’aime son goût ; j’aime quand le sperme coule sur moi. Je suis une vraie salope en amour. Avec mon mari, je fais semblant de ne pas aimer ; je fais comme si c’était à contre cœur que j’accepte cela ; rien que pour lui faire plaisir et le rendre heureux. Cela le rassure et il part travailler tranquille.
Elle ouvrit très grand sa bouche et fit pénétrer tout mon manche. Il alla vers le fond de sa gorge. Elle le goba en entier sans sembler faire de grands efforts. Puis elle se mit à faire aller et venir sa tête, opérant à un va-et-vient torride de mon zob dans sa bouche. Elle s’aida de ses mains ; l’une caressant mes couilles, l’autre accompagnant ses lèvres dans le mouvement de va-et-vient ajoutant la masturbation à une fellation d’enfer. Je sentais qu’à ce rythme je n’allais pas tenir longtemps avant de jouir dans sa bouche. Tout en lui caressant les cheveux, je lui dis de ralentir si elle ne veut pas être tout de suite inondée de sperme. Au lieu de ralentir, elle accéléra l’allure, si bien qu’au bout de moins d’une minute je partis dans une jouissance explosive. En poussant un râle de plaisir que tout le monde, à des kilomètres alentour, avait dû entendre, je lâchais plusieurs giclées d’un sperme chaud et épais, que ma belle avala sans en perdre une seule goutte.
J’étais vraiment étonné, et heureux, de la capacité de Noura de faire jouir avec sa divine bouche. Je me promettais de lui rendre la pareille avec la mienne. Je relevais la belle de parterre et l’entraînait vers la chambre à coucher.
- Viens mon ange, je vais m’occuper de toi, comme tu viens de le faire avec moi.
- Oui montre moi que Karima ne m’a pas menti en m’affirmant que tu es capable de baiser pendant toute une journée sans t’arrêter. Je suis une nymphomane ; il me faut dix coups d’affilée pour être satisfaite. Tu vas me baiser dix fois de suite, n’est-ce pas ?
- Bien sûr ! Je vais te remplir tous tes trous ! J’espère que tu aimes te faire enculer ! Parce que moi j’adore le cul des femmes ! Et le tien m’a l’air parfait. Tu t’es déjà faite enculée ?
- Non ! Je n’ai pas voulu le faire avec mon mari ! Il a bien essayé de me faire comprendre qu’il aimerait bien que je le laisse faire ; mais j’ai toujours refusé de crainte qu’il ne me juge mal. Mais au fond de moi j’ai toujours rêvé d’un zob dans mon anus ! Ce jour est arrivé. Karima m’a dit que c’est délicieux ! Je veux que tu m’encules ! D’ailleurs je veux que tu commences par ça !
Tout en parlant, Noura enlevait ses habits, en commençant par la large liquette blanche qu’elle portait par-dessus un tee-shirt, lui aussi blanc, qui mettait en évidence une poitrine juvénile, d’une blancheur de lait. Elle ne portait pas de soutien gorge. Elle n’en avait pas besoin : ses petits seins fermes et haut perchés, surmontés de deux tétons violacés, tenaient tout seuls. En les voyant, j’avais tendu la main pour les palper et jauger leur fermeté. Ils étaient doux et élastiques. Mes caresses la firent gémir de plaisir et se trémousser, montrant par là toute leur sensibilité. C’était l’une des zones les plus érogènes de ma belle, avec son clitoris et son anus.
Elle enleva ensuite son jean, mettant à nue ses belles hanches étroites, son fessier bombé d’africaine et de longues jambes superbement galbées. Le corps de Noura ferait bander un mort, tant il suintait de sensualité. Et moi qui était vivant, je bandais encore plus ; je bandais tellement que j’avais mal au sexe. Il lui fallait pénétrer dans un des trous de ma belle. Je lui demandais d’enlever la petite culotte noire qui cachait encore son intimité et de se mettre en position pour que je l’encule.
Elle se mit à quatre pattes, sans enlever sa culotte. Elle attendait que cela soit moi qui le fasse. Au lieu de la lui enlever complètement, je la lui descendis sur ses cuisses et restait un instant émerveillé par le spectacle de son anus palpitant. Il était de couleur légèrement brunâtre, tout rond et serré. J’y mis un doigt pour tester sa résistance. De fait, mon doigt pénétra difficilement, tant l’orifice était étroit. Ma belle était réellement vierge du cul ! J’en étais heureux, et tout émoustillé à l’idée que j’allais la dépuceler. Je plongeais le doigt dans sa chatte que je voyais dégouliner de mouille, tant elle était excitée. Une fois plein de mouille, j’introduisis le doigt dans son anus de manière à le lubrifier quelque peu. Je refis l’opération plusieurs fois, jusqu’à ce que son anus fût bien mouillé et me permette d’y introduire le gland de mon zob.
J’effectuai une légère poussée pour faire pénétrer le gland. J’y réussis non sans mal. Une fois le gland bien en place à l’entrée de l’anus, je saisis les hanches de ma belle et d’une brusque poussée j’introduisis la totalité de l’engin. Elle poussa un long cri de douleur qui me fit arrêter le mouvement. Je restai au fond du boyau pendant un moment, pour permettre au cul de ma belle de s’habituer à la présence du monstre ; je n’eus pas à décider du moment où j’allai reprendre le mouvement de va-et-vient ; ce fut elle qui commença à bouger lentement ses hanches, me faisant comprendre que je devais reprendre l’opération. Un aller-retour lent, pour commencer ; puis des allers-retours de plus en plus rapides, au fur et à mesure que son boyau se lubrifiait, rendant la pénétration plus facile et moins douloureuse ; et enfin je me mis à la tirer sans ménagement, telle une bête et ahanant à chaque entrée et sortie.
Au début, Noura semblait surtout avoir mal et ne prenait pas de plaisir. Puis petit à petit elle se mettait à pousser des petits gémissements de plaisir qui devenaient de plus en plus sonores.
- Caresse-moi la chatte pendant que tu m’encules. Je veux sentir mes deux trous remplis. Fais rentrer deux doigts, je veux qu’ils rencontrent ton zob. C’est bon ! Continue ! Plus fort dans mon cul ! Défonce-moi ! Fais-moi mal ! J’aime ! J’aime ! C’est merveilleux ! C’est bon ! Je vais jouir ! Je jouiiiis !
Et de fait, elle déchargea dans un immense râle de jouissance et remplit ma main de mouille. Moi je continuai de lui défoncer le fion sans ménagement, sentant arriver la jouissance qui explosa dans son cul en plusieurs giclées de spermes brûlant, me faisant pousser un long gémissement et qui me fit m’affaler de plaisir et de fatigue sur le dos de mon amante.
- Tu es merveilleuse, lui dis-je. Je crois que tu as apprécié de te faire enculer. Tu as joui ; tu n’as pas fait semblant.
- Oui j’ai vraiment joui. Au début, ton gros engin m’a fait terriblement mal. Mais après, une fois que la douleur était passée, c’est devenu extra. J’en redemande. On ne va pas s’arrêter là n’est-ce pas ? J’ai encore envie de baiser.
Je pensais qu’elle est vraiment incroyable. Elle vient de jouir comme une folle et elle redemande encore ; et tout de suite. J’étais un peu mollasson après deux éjaculations rapprochées. Je me dis donc qu’il me fallait la faire jouir autrement. Avec la bouche, cette fois-ci, m’étant rendu compte que je n’avais pas encore réellement vu sa chatte. Je l’avais caressée, mais je ne l’avais pas encore approchée de près. Je lui demandai donc de rester allongée sur le dos et de lever ses jambes de manière à me permettre de lui sucer la chatte. Elle en fut ravie. Elle adorait se faire lécher et sucer la vulve. Son mari le lui faisait de temps en temps, mais il n’allait jamais jusqu’à la conclusion de l’opération ; c'est-à-dire la jouissance de sa femme.
Moi je voulais la faire jouir avec la bouche. Je lui affirmais avec beaucoup d’aplomb et de forfanterie que j’étais le roi du cunnilingus et que ma bouche et ma langue pouvaient faire jouir n’importe quelle donzelle.
- Fais-le au lieu, de te vanter ! me répondit-elle tout de go.
Je plongeai donc ma tête entre les cuisses de mon amante, lui ouvris les grandes lèvres avec mes doigts et me mis à lécher les petites lèvres et à aller à la recherche du clitoris que je me mis à téter. Sitôt que j’eus touché à son clito, Noura se mit à gigoter et à gémir. Elle se mit aussi à accompagner mon cunnilingus par des phrases et des mots montrant son plaisir et son bonheur de se faire sucer.
- C’est délicieux ! Continue ! Ne t’arrête pas ! Bouffe-moi ma chatte ! J’adore me faire bouffer la chatte ! C’est la plus belle chose du monde ! Bois mon jus ! Dis-moi qu’il est délicieux ! Comme ton foutre est délicieux ! Dis-moi que tu ne t’arrêteras jamais de me sucer ! Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir dans ta bouche ! Tu vas boire tout mon jus ! Tu ne laisseras rien se perdre ! Je jouiiiis !
Elle eut une très forte jouissance, caractérisée par une grosse décharge de liquide directement dans ma bouche ; liquide que j’avalai goulûment sans rien laisser se perdre. Quand elle lâcha ma tête et que je pus m’allonger à côté d’elle pour la regarder, elle avait un sourire béat et semblait planer au dessus de nous. Quand elle revint à la réalité, elle m’adressa un grand sourire qui illumina toute la chambre et me dit merci.
- Merci pourquoi ? lui dis-je.
- Pour ces moments de bonheur que tu m’as donnés. C’est la première fois que j’ai pu vivre tous mes fantasmes sexuels, sans avoir à me soucier du jugement de mon partenaire. J’ai beaucoup aimé mon mari. Et je crois que je l’aime encore. Mais avec lui, je ne peux pas donner libre cours à toute ma sensualité. Avec toi c’est différent. Tu es libre et large d’esprit. Et puis tu es bien foutu et tu baises comme un Dieu. Jure-moi que cela ne s’arrêtera pas là.
- Il n’y a aucune raison pour que cela s’arrête là. Si tu n’es pas trop jalouse de ta sœur qui elle aussi veut sa part de bonheur, on peut se revoir tous les jours si tu veux.
Et c’est ainsi que ma liaison avec Karima et sa merveilleuse sœur dura plusieurs années. Jusqu’à ce que le mari de Noura fasse un grave accident de circulation et ne put plus assurer son dur métier de chauffeur grand routier. Il se contenta de conduire des véhicules légers et arrêta de s’absenter aussi longtemps, empêchant sa femme de me retrouver et de m’offrir son immense beauté et sa sensualité. Il me reste encore Karima pour assouvir mes désirs et me parler de sa sœur.
Karima est entrée dans ma vie, il y a cinq ans, quand elle est devenue la femme de compagnie de maman. Ma mère, qui allait allègrement vers ses quatre-vingts ans était en effet trop vieille pour pouvoir continuer de vivre seule dans son appartement au centre d’Alger. Elle ne voulait pas quitter son logement pour aller vivre chez l’un de ses enfants. Elle tenait trop à rester autonome et à ne dépendre de personne. Après des mois de négociations, et quelques accidents qui auraient pu lui coûter la vie, elle avait fini par accepter la présence permanente d’une personne, payée pour lui tenir compagnie et veiller sur elle.
Au début tout le monde craignait que la coexistence entre maman et sa dame de compagnie soit difficile et qu’à un moment ou un autre il faille se séparer de cette dernière. Mais il est très vite apparu que Karima était la personne idoine pour comprendre et accepter les quelques travers et manies de maman, et se faire aimer d’elle. Peut-être que son histoire personnelle, faite de misère dans son enfance et sa jeunesse, de souffrances dans sa vie de femme puisqu’elle avait perdu son mari après trois ans seulement de vie commune, l’obligation de travailler pour contribuer à faire vivre sa mère et se trois sœurs, avait joué un rôle important dans son adoption immédiate par sa nouvelle patronne.
Il faut dire que malgré tout ce qu’elle a vécu et subi, Karima gardait un tempérament enjoué et un optimisme que jamais rien ne remettait en cause. Elle avait la quarantaine bien sonnée. Elle était grande et forte. Quel que soit le temps qu’il faisait, elle portait des robes d’intérieur larges, en coton, qui ne laissaient rien voir des rondeurs qu’elle pouvait avoir. Sauf que quand elle bougeait, et elle bougeait beaucoup, le tissu de ses robes se collait à son corps et laissait deviner des formes coquines : une forte poitrine encore ferme, qui semblait pousser vers l’avant et qu’instinctivement on avait envie de palper et de caresser ; de longues jambes bien dessinées avec des cuisses bien pleines ; des hanches larges et un fessier proéminent. A chaque fois que je la regardais bouger, je ressentais une forte émotion, qui se traduisait invariablement par une forte poussée de testostérone et un gonflement gênant au niveau de mon bas ventre.
Elle avait un visage ingrat mais qui n’était nullement repoussant. Elle n’avait pas les traits fins et réguliers ; ses yeux étaient petits et ronds ; sa bouche grande, entourées de fines lèvres. Mais le tout était assez agréable à regarder ; surtout qu’elle avait des yeux rieurs qui semblaient toujours se moquer de celui ou celle qu’elle regardait et qui étaient aussi une invitation à imaginer mille choses plus coquines les unes que les autres. Quand elle me regardait en face, il me semblait toujours qu’elle m’envoyait une invitation silencieuse à jouer à des jeux interdits. Elle se rendait pertinemment compte de l’effet qu’elle me faisait et en avait joué longtemps, en faisant exprès de bouger et de se dandiner de manière à mettre le feu à mes sens.
A quarante ans, Karima était veuve sans enfants. Elle avait perdu son mari à la suite d’un accident de travail sur le chantier dans lequel, il exerçait comme coffreur. Elle n’avait été mariée que pendant trois ans. Depuis une douzaine d’années elle vivait avec ses parents et ses trois sœurs. Elle n’avait pas cherché à se remarier (ou alors, personne n’était venu demander sa main) et travaillait, pour aider financièrement ses parents, comme femme de ménage dans une entreprise publique.
Quand l’occasion s’était présentée de travailler comme femme de compagnie d’une vieille femme, en étant nourrie et logée, elle n’avait pas hésité un instant. Elle voulait quitter le foyer paternel dans lequel elle n’avait connu aucune joie. Elle semblait aimer la vie qu’elle menait avec maman : elle avait peu de travail et disposait de beaucoup de temps libre, qu’elle occupait à coudre, tricoter et regarder des séries romantiques à la télévision. Maman faisait tous les jours sa sieste après le repas de la mi-journée. Elle dormait environ deux heures et se réveillait reposée. Je lui rendais visite régulièrement ; au moins une fois par semaine. La plupart du temps en milieu de semaine, vers midi. Je mangeais avec elles et repartais au travail au moment où maman allait faire sa sieste.
C’est au cours d’une de ces visites, après que ma mère eut quitté la cuisine pour aller dans sa chambre, qu’une envie soudaine et irrépressible m’avait pris d’enlacer Karima qui préparait le café et me tournait le dos. Je m’étais mis derrière elle et l’ai prise par la taille pour la coller contre moi. J’avais envie d’elle et était décidé de profiter de l’absence de maman pour lui faire l’amour. Je ne savais pas si elle allait se laisser faire, mais je m’en fichais éperdument. Je voulais la tirer et rien d’autre ne comptait. Elle aurait pu résister, dire non, faire du bruit pour réveiller maman. Rien de tout cela ; elle me laissa faire, tout en répétant tout bas de la laisser tranquille. Je pris cela pour une invitation à continuer de caresser sa volumineuse poitrine et de l’embrasser sur l’arrière de sa joue droite, la seule à laquelle j’avais accès.
Comme je le supputais, ses seins étaient fermes et très excitables. Elle semblait aimer la manière dont je les dégageai de dessous son soutien gorge, les palpai et jouait avec ses tétons. Elle ne disait plus rien (même plus d’arrêter !) et m’invitait à continuer en bougeant ses hanches et en frottant ses fesses contre mon bas ventre. Je bandais comme un âne.
D’une main je continuai à lui caresser les seins sous sa robe et à jouer avec ses tétons que j’enroulai entre trois doigts. Elle commençait à gémir tout doucement en tournant la tête à la recherche de mes lèvres. Elle voulait que je l’embrasse ; dans la position où nous nous trouvions, je n’avais pas accès à sa bouche ; je me contentais de l’embrasser sur la seule partie des ses lèvres qui était à portée des miennes.
Ma deuxième main allait lui caresser le ventre et descendit rapidement au niveau de son pubis. Elle poussa ses fesses plus en arrière pour me permettre d’avoir un meilleur accès à son mont de vénus. Je me mis à la recherche de sa chatte que j’eus du mal à atteindre. N’y tenant plus, je la forçai à se retourner et à me faire face. Elle avait fermé les yeux, mais laissé sa grande bouche entrouverte, quémandant un baiser torride. Je l’embrassai avec fureur la forçant à ouvrir complètement les dents pour que ma langue entrât dans sa bouche et allât à la recherche de la sienne. Elle se laissa prendre au jeu de la guéguerre des langues qui avaient entamé un duel, se poursuivant l’une l’autre, tantôt dans une bouche, tantôt dans l’autre, ramassant au passage des litres de salive au goût sucré, qu’elle et moi buvions goulûment.
Tout en poursuivant le baiser torride, je me mis à lui remonter le bas de sa robe de manière à dénuder ses fesses et à avoir accès à son jardin secret. Une fois le pan de sa robe totalement remonté au dessus de ses hanches, j’arrêtai le baiser et j’éloignai légèrement ma belle pour regarder ses jambes et ses cuisses dénudées. Quel spectacle ! Encore plus beau et plus bandant que ce que j’imaginais quand je la voyais bouger sous sa robe. De longues jambes d’un blanc brillant, avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds surmontés de longues cuisses du même blanc brillant que les jambes et se terminant par l’entrecuisse protégée par une petite culotte de couleur noir. Pendant quelques secondes j’admirai le spectacle de cette entrecuisse qui faisait un joli bourrelet en son milieu, montrant le dessin de deux grandes lèvres longues et dodues.
Je n’y tenais plus. Il fallait que j’aie immédiatement accès à cette chatte. J’arrachai brutalement la culotte en lui faisant pousser un petit cri de douleur, dont je ne tins aucun compte et me trouvai face à une image de paradis. Sa chatte était complètement épilée : aucune trace de poils ; comme si elle l’avait rasée le matin même, confirmant par là qu’elle s’était préparée pour ce qui était entrain de se passer. Les grandes lèvres, de couleur légèrement plus sombre que celle de ses cuisses, étaient effectivement longues et bombées.
Je tendis la main pour y introduire un doigt et ouvrir les grandes lèvres pour aller à la découverte du reste de cette chatte qui commençait à luire de mouille, tant elle était excitée. Les petites lèvres cramoisies apparurent, brillante d’humidité, laissant entrevoir un tunnel étroit de couleur plus sombre. Je fis jouer deux doigts entre les grandes lèvres, leur faisant faire un mouvement montant et descendant de manière à exciter encore plus ma belle. Elle serrait les dents pour ne pas gémir trop fort et réveiller maman ; elle avait le souffle saccadé et gardait encore les yeux fermés (peut-être par timidité, peut-être pour mieux rester dans sa jouissance). Elle écartait de plus en plus ses cuisses, de manière à permettre à mes deux doigts d’aller plus profond dans son sexe.
Elle coulait littéralement et ma main se remplissait du liquide qu’elle déversait en quantité. De temps en temps je portai mes doigts à mon nez pour sentir l’odeur épicée de sa chatte et à ma bouche pour boire un peu de son liquide ; il avait un goût très agréable, légèrement acidulé. Elle était toujours debout, adossée contre la porte de l’immense réfrigérateur de la cuisine. Je sentais qu’elle commençait à fatiguer. Je sortis mes doigts de sa chatte, lui pris la main et la traînai vers la table de la cuisine qu’elle avait débarrassée quelque temps auparavant. Je lui demandai de poser ses fesses sur la table et de s’allonger de manière à me présenter sa chatte que j’avais de nouveau dénudée.
Elle avait relevé le bas de sa robe qu’elle avait posé en boule sur son ventre, releva ses jambes qu’elle posa sur sa poitrine et resta ainsi, le con et cul nus. J’étais attiré par cette chatte comme par un aimant. Je me mis à genoux par terre de manière à avoir ma bouche au même niveau que ses grandes lèvres que je me mis à embrasser, sucer et téter, avalant par la même occasion tout le jus qui s’en dégageait. La belle aimait ce que je lui faisais. Elle se mit à chuchoter que c’était bon et que c’est la première fois qu’elle se faisait sucer la chatte.
- Continue, n’arrête pas, je sens que je vais jouir ! C’est merveilleux ! Tu es merveilleux ! Si mon mari pouvait voir cela ! Il ne m’a jamais donné autant de plaisir ! C’est bon, bon, bon !
Tout en chuchotant, elle me tenait la tête pour qu’elle ne quitte pas sa chatte, poussait ses hanches contre ma bouche pour que ma langue puisse la pénétrer le plus loin possible et se tortillait pour accroître le frottement de ma bouche contre ses grandes et petites lèvres. De temps en temps, j’attrapais son clitoris entre mes lèvres et le mordillais. Elle adorait cela et gémissait plus fort pour me le faire savoir. Et puis tout à coup, ses gémissements s’accélérèrent, montrant qu’elle était sur le point de jouir ; tout son corps se crispa et elle déchargea dans ma bouche en poussant un long râle de mourante qu’elle s’efforça d’atténuer pour ne pas réveiller maman. Puis elle se relâcha totalement, reposa ses jambes par terre et me força à venir l’embrasser sur la bouche.
- Sort ton zob ! murmura-t-elle ; je veux le voir ! je suis sûre qu’il est immense ! Je veux que tu me baises comme une chienne; cela m’a tellement manqué ! j’ai besoin de sentir que je suis encore une femme !
- Je veux d’abord que tu me suces ! Je veux te faire boire mon sperme ! Je suis sûr que tu aimeras, comme moi j’ai aimé ton jus !
- Je n’ai jamais fait cela ; je ne saurai pas comment m’y prendre. J’ai peur que tu m’étouffe avec ton énorme gourdin.
Tout en protestant qu’elle ne savait pas comment faire, elle se mit à genoux devant moi et entreprit de caresser mon pénis qu’elle avait sorti du pantalon. Elle entreprit de me masturber ; ce que je ne voulais pas et lui interdisais de faire.
- Suce-moi, lui ordonnai-je ! Met le dans ta bouche !
Elle s’exécuta en ouvrant sa bouche et en y faisant entrer précautionneusement le gland, puis une partie de la hampe. Je lui dis de faire attention à ne pas me mordre et lui pris la tête pour lui faire faire un mouvement de va-et-vient sur mon dard. Petit à petit elle s’habitua à la présence de mon zob dans sa bouche et commença à le faire pénétrer jusqu’au fond de sa gorge. Je lui demandai d’utiliser sa langue pour titiller le gland et me donner plus de plaisir. Elle s’y prit si bien qu’au bout de quelques minutes, je me mis à gémir de plaisir et à sentir monter la jouissance. Je me posai furtivement la question de jouir ou pas dans sa bouche, pensant que n’ayant encore jamais avalé de sperme, elle pouvait ne pas aimer. Puis je décidai de sortir mon sexe de sa bouche à l’ultime moment et de répandre mon sperme sur son visage et son cou. Elle se retrouva, avec un étonnement non feint, avec une tonne de sperme qui s’était répandu depuis ses cheveux jusqu’au haut de sa robe.
En la voyant comme cela dégoulinante de foutre, je me remis à bander encore plus fort. Je lui pris la main, lui fis essuyer avec son visage et lui ordonnai de lécher le sperme qu’elle y avait ramassé. Elle hésita un peu puis sorti sa langue et se mit à lécher sa main. Je lui demandai de continuer jusqu’à nettoyer la totalité du foutre qu’elle avait reçu. Elle s’exécuta sans rechigner. Elle finit même par y prendre goût en me disant :
- C’est comme du miel ! ton sperme est sucré ! j’adore ! La prochaine fois tu éjacule directement dans ma bouche ! Je boirai tout ! Et maintenant, baise-moi !
Mon érection était encore très forte. Je relevai Karima, la retournai et la fit pencher sur la table de la cuisine. Dans cette position, elle me présentait ses superbes fesses avec vue sur sa chatte et sur son anus. Ce dernier me semblait très accueillant et surtout bien serré. J’eus immédiatement envie de l’enculer. Je me retins pourtant, me disant que pour aujourd’hui je lui avais fait faire beaucoup de choses qu’elle n’avait encore jamais faites et que dans son éducation traditionnelle, elle devait considérer comme anormale, sinon « h’ram » (pécher).
Je lui écartai donc les grandes lèvres et plaçai le gland de mon sexe à l’entrée de son con qui dégoulinait de mouille, tant il était excité. D’un coup brusque je la pénétrai jusqu’au fond, tirant d’elle un cri de douleur, qu’elle s’efforça d’étouffer. Le vagin était très étroit : cela faisait des années qu’il n’avait pas servi et s’était donc refermé. Je lui avais fait très mal ; comme si je l’avais dépucelée.
- Doucement, me dit-elle ! Je suis redevenue vierge. Cela fait plus de dix ans qu’aucun homme ne m’a pénétrée ! Vas-y mollo ! Comme cela ! Continue ! Vas-y jusqu’au fond ! Je le sens bien ! Plus vite ! Plus fort ! C’est bon ! C’est bon, bon, bon, bon ….. Je vais jouir ! J’ai envie de crier ! J’aime ton zob ! Je jouiiiiis !
Elle poussa un long râle de plaisir et déchargea en secrétant une tonne de jus qui se mit à couler à l’extérieur du vagin, chassé par mon engin qui continuait à la défoncer avec force. Je sentais que moi-même je n’allais pas tarder à jouir ! J’accélérai le mouvement de va-et-vient dans le bruyant clapotis que faisait mon engin dans ce vagin inondé, et en ahanant comme un bucheron, je lâchai au fond de son vagin un premier, puis un deuxième et un troisième jet de sperme épais et brûlant.
Elle était visiblement épuisée ; elle tourna la tête vers moi et me fit un petit sourire de femme rassasiée et heureuse.
- Embrasse-moi, dit elle en se retournant. Puis se rappelant où nous étions, elle se leva précipitamment, rabaissa sa robe et jeta un coup d’œil inquiet vers la porte de la cuisine, craignant d’avoir réveillé maman.
Rassurée, elle sortit de la cuisine et alla dans la salle de bain pour se nettoyer. Je la rejoignis pendant qu’elle prenait une douche rapide. C’était la première fois que je la voyais nue. Ce n’était pas une pin-up ; loin de là. Mais elle était vraiment désirable, malgré quelques bourrelets à la taille et un mignon petit ventre rond. J’avais envie de lui refaire l’amour et le lui dis. Elle refusa, disant que ma mère allait bientôt se réveiller et qu’il fallait que je parte immédiatement pour ne pas attirer ses soupçons. Je lui dis que je m’en irai juste après m’être lavé, mais qu’elle devait me promettre de me laisser l’enculer la prochaine fois qu’on se reverra.
- Tu es fou ! répondit-elle. Je ne ferai jamais cela ; c’est « h’ram »
- Tu as tout le temps pour y réfléchir, lui répondis-je. Je suis sûr que tu n’arrêteras pas d’y penser ! Tu vas même y rêver ! Tu n’arrêteras pas d’imaginer ce gros zob dans ton anus ! Et tu finiras par accepter l’idée ! Quand je reviendrai, tu seras prête à m’accueillir dans ton cul ! Et c’est toi qui en redemanderas par la suite !
- Dégage, avant que ta mère ne se lève ! Jamais je ne te donnerai mon anus ! C’est trop sale !
Et de fait quand nous refîmes l’amour, elle accepta de me laisser l’enculer. Elle m’avoua qu’effectivement, elle avait passé la semaine à penser à cela et à s’imaginer l’effet que cela faisait de se faire prendre par l’anus. Elle finit même par beaucoup aimer la sodomisation et à l’exiger à chacune de nos rencontres. Il faut dire qu’elle avait un cul tellement accueillant ; tellement élastique ; fait sur mesure pour mon zob, qui adorait y faire son nid.
Quelques temps plus tard, Karima m’apprit que maman était au courant de notre histoire et qu’elle ne trouvait aucun inconvénient à ce qu’elle continue. A condition toutefois qu’elle ne tombe pas enceinte. Karima ne courrait aucun risque de ce côté-là, puisqu’elle était stérile. Maman acceptait cette relation, parce que comme cela, elle pouvait me voir plus régulièrement, attiré que j’étais par les séances d’amour torride avec Karima. Nous nous voyions au moins une fois par semaine. Quand j’arrivais, maman, après avoir papoté avec moi un moment, se retirait, avec sur les lèvres un sourire entendu, pour faire sa sieste et Karima et moi allions dans sa chambre pour des moments de folie érotique.
Notre histoire dura longtemps, même après qu’elle me mit entre les bras sa sœur Noura, une superbe plante d’une trentaine d’années, mariée à un chauffeur routier qui passait le plus clair de son temps sur les routes du sud, pour livrer de la marchandise aux contrées les plus éloignées du pays.
Karima me parla de sa sœur longtemps avant de me la présenter. Elle me disait qu’elle avait épousé un homme dont elle était tombée amoureuse quelques années auparavant. Comme il s’absentait souvent et longtemps, ils ne vivaient ensemble que pendant les périodes où il n’effectuait pas de livraisons dans le grand sud. Ce qui voulait dire qu’ils étaient ensemble environ dix jours dans le mois. Le reste du temps, elle retournait vivre chez ses parents : son mari refusait de la laisser seule dans leur appartement.
Pendant quelque temps, Noura se contenta de cette moitié de vie. C’était elle qui avait choisi, en toute connaissance de cause, son mari et son mode de vie particulier. Puis petit-à-petit, la mesquinerie de sa situation lui apparaissait et elle se rendait compte qu’elle n’avait rien gagné en se mariant : ni la belle vie, ni la liberté. Elle dépendait encore de ses parents pour vivre et le peu d’argent que lui laissait son mari pendant ses absences, elle le donnait à son père pour l’aider à nourrir la famille.
Un jour Karima remit sur le tapis l’histoire de sa sœur et me demanda si je ne voulais pas faire sa connaissance. Elle me dit qu’elle lui avait beaucoup parlé de moi et elle pensait qu’elle était entrain de tomber amoureuse. J’étais estomaqué d’entendre cela : Karima me demandait rien de moins que de me mettre avec sa sœur. Car tomber amoureuse de moi ne signifiait rien d’autre que se donner à moi. Elle était mariée et ne pouvait espérer divorcer (une femme ne peut pas demander et obtenir le divorce selon la loi islamique) et encore moins se faire épouser par moi. Il ne restait donc que l’hypothèse de l’adultère.
Je dis à Karima le fond de ma pensée et lui demandai de confirmer qu’il s’agissait bien pour elle de mettre sa jeune sœur dans mon lit. Elle confirma, tout en insistant qu’elle aussi avait besoin de moi et qu’il n’était pas question que je l’abandonne. Elle voulait juste me partager avec sa sœur qui, si elle continuait ainsi, allait rapidement devenir neurasthénique.
Quelques jours plus tard, tôt le matin, Karima sonna à ma porte (j’habitais un appartement dans un quartier proche de celui où habitait ma mère). Elle était avec une jeune femme qui portait un foulard aux couleurs chatoyantes, qui mettait en évidence un très beau visage avec des yeux noirs immenses, légèrement maquillés, un petit nez droit et fin, une grande bouche sensuelle entourée par deux lèvres superbement dessinées, couleur cerise, s’ouvrant sur deux rangées régulières de petites quenottes pointues, brillantes comme de la neige. A la regarder, je me dis que cette femme devait aimer croquer la vie à belles dents.
Je ne me trompais pas. Les présentations faites, après un baiser torride qu’elle me donna devant sa sœur pour bien planter le décor et montrer comment devait se passer les choses, Karima s’en alla, en disant qu’elle était pressée parce qu’elle avait promis à ma mère de rentrer très vite.
Je restais seul en face de Noura, qui entre temps, était entrée dans le hall et attendait mon bon vouloir pour la suite des évènements. J’étais le plus gêné des deux. J’entrepris un début de discussion qui cessa très vite, tant elle ne semblait pas écouter ce que je disais; de toute évidence, elle attendait autre chose. Je tendis la main pour qu’elle la prenne, ce qu’elle fit sans hésitation, et la tirai doucement vers moi. Elle se laissa faire et se retrouva immédiatement entre mes bras. Presque automatiquement, sans même y réfléchir, je lui pris la tête entre mes mains et me mis à l’embrasser sur la bouche. D’abord un tout petit baiser du bout des lèvres, quelle ne me rendit pas mais qu’elle accepta sans rechigner, puis un baiser plus appuyé qu’elle me rendit en ouvrant les dents et en laissant pénétrer ma langue dans sa bouche.
A partir de là tout alla très vite. Je lui demandai d’enlever son foulard pour que je voie sa chevelure. Ce qu’elle fit en un tour de main, laissant apparaître une belle chevelure d’un noir de jais qui tenait par je ne sais quel miracle sur le dessus de sa tête. Elle la libéra d’un élégant mouvement de ses deux mains. Elle se répandit telle une vague sur ses épaules et le haut de son dos, ajoutant un torrent de volupté à une sensualité torride qui déjà se dégageait d’elle. Je mis ma main dans cette chevelure de sauvageonne et y rencontrait une telle douceur qu’immédiatement je sentis une petite décharge électrique qui partit de dessous ma nuque pour se répandre le long de mon échine et aller se loger dans mon bas ventre.
Mon sexe se mit immédiatement à grossir. L’érection devint si forte, qu’il me fit atrocement mal. J’avais envie de tirer cette femme ; ici et tout de suite. Cela ne pouvait pas attendre. Je m’entendis le lui dire. Et comme dans un rêve je l’entendis me répondre : « ici et tout de suite ». Nous étions toujours dans le hall d’entrée ; mais ni elle, ni moi n’y fîmes attention. Elle avança sa main vers mon pantalon de pyjama et caressa mon sexe qui faisait comme une tente tellement il était tendu. Elle semblait satisfaite de sa taille et me dit à l’oreille : « c’est juste la taille qu’il faut pour éclater ma petite chatte ». Elle le sortit pour mieux le contempler et se mit à le masturber consciencieusement. Je ne voulais pas qu’elle me masturbe. Je voulais qu’elle me suce. Je le voulais dans sa bouche qui ressemblait tellement à une chatte. Je le lui dis. Elle se mit immédiatement à genoux et commença à lécher le gland. Elle savait s’y prendre. Je voyais qu’elle avait l’habitude. Je le lui dis.
- Oui j’ai souvent sucé mon mari. Il aime beaucoup cela. Et moi aussi. J’aime l’odeur du zob ; j’aime son goût ; j’aime quand le sperme coule sur moi. Je suis une vraie salope en amour. Avec mon mari, je fais semblant de ne pas aimer ; je fais comme si c’était à contre cœur que j’accepte cela ; rien que pour lui faire plaisir et le rendre heureux. Cela le rassure et il part travailler tranquille.
Elle ouvrit très grand sa bouche et fit pénétrer tout mon manche. Il alla vers le fond de sa gorge. Elle le goba en entier sans sembler faire de grands efforts. Puis elle se mit à faire aller et venir sa tête, opérant à un va-et-vient torride de mon zob dans sa bouche. Elle s’aida de ses mains ; l’une caressant mes couilles, l’autre accompagnant ses lèvres dans le mouvement de va-et-vient ajoutant la masturbation à une fellation d’enfer. Je sentais qu’à ce rythme je n’allais pas tenir longtemps avant de jouir dans sa bouche. Tout en lui caressant les cheveux, je lui dis de ralentir si elle ne veut pas être tout de suite inondée de sperme. Au lieu de ralentir, elle accéléra l’allure, si bien qu’au bout de moins d’une minute je partis dans une jouissance explosive. En poussant un râle de plaisir que tout le monde, à des kilomètres alentour, avait dû entendre, je lâchais plusieurs giclées d’un sperme chaud et épais, que ma belle avala sans en perdre une seule goutte.
J’étais vraiment étonné, et heureux, de la capacité de Noura de faire jouir avec sa divine bouche. Je me promettais de lui rendre la pareille avec la mienne. Je relevais la belle de parterre et l’entraînait vers la chambre à coucher.
- Viens mon ange, je vais m’occuper de toi, comme tu viens de le faire avec moi.
- Oui montre moi que Karima ne m’a pas menti en m’affirmant que tu es capable de baiser pendant toute une journée sans t’arrêter. Je suis une nymphomane ; il me faut dix coups d’affilée pour être satisfaite. Tu vas me baiser dix fois de suite, n’est-ce pas ?
- Bien sûr ! Je vais te remplir tous tes trous ! J’espère que tu aimes te faire enculer ! Parce que moi j’adore le cul des femmes ! Et le tien m’a l’air parfait. Tu t’es déjà faite enculée ?
- Non ! Je n’ai pas voulu le faire avec mon mari ! Il a bien essayé de me faire comprendre qu’il aimerait bien que je le laisse faire ; mais j’ai toujours refusé de crainte qu’il ne me juge mal. Mais au fond de moi j’ai toujours rêvé d’un zob dans mon anus ! Ce jour est arrivé. Karima m’a dit que c’est délicieux ! Je veux que tu m’encules ! D’ailleurs je veux que tu commences par ça !
Tout en parlant, Noura enlevait ses habits, en commençant par la large liquette blanche qu’elle portait par-dessus un tee-shirt, lui aussi blanc, qui mettait en évidence une poitrine juvénile, d’une blancheur de lait. Elle ne portait pas de soutien gorge. Elle n’en avait pas besoin : ses petits seins fermes et haut perchés, surmontés de deux tétons violacés, tenaient tout seuls. En les voyant, j’avais tendu la main pour les palper et jauger leur fermeté. Ils étaient doux et élastiques. Mes caresses la firent gémir de plaisir et se trémousser, montrant par là toute leur sensibilité. C’était l’une des zones les plus érogènes de ma belle, avec son clitoris et son anus.
Elle enleva ensuite son jean, mettant à nue ses belles hanches étroites, son fessier bombé d’africaine et de longues jambes superbement galbées. Le corps de Noura ferait bander un mort, tant il suintait de sensualité. Et moi qui était vivant, je bandais encore plus ; je bandais tellement que j’avais mal au sexe. Il lui fallait pénétrer dans un des trous de ma belle. Je lui demandais d’enlever la petite culotte noire qui cachait encore son intimité et de se mettre en position pour que je l’encule.
Elle se mit à quatre pattes, sans enlever sa culotte. Elle attendait que cela soit moi qui le fasse. Au lieu de la lui enlever complètement, je la lui descendis sur ses cuisses et restait un instant émerveillé par le spectacle de son anus palpitant. Il était de couleur légèrement brunâtre, tout rond et serré. J’y mis un doigt pour tester sa résistance. De fait, mon doigt pénétra difficilement, tant l’orifice était étroit. Ma belle était réellement vierge du cul ! J’en étais heureux, et tout émoustillé à l’idée que j’allais la dépuceler. Je plongeais le doigt dans sa chatte que je voyais dégouliner de mouille, tant elle était excitée. Une fois plein de mouille, j’introduisis le doigt dans son anus de manière à le lubrifier quelque peu. Je refis l’opération plusieurs fois, jusqu’à ce que son anus fût bien mouillé et me permette d’y introduire le gland de mon zob.
J’effectuai une légère poussée pour faire pénétrer le gland. J’y réussis non sans mal. Une fois le gland bien en place à l’entrée de l’anus, je saisis les hanches de ma belle et d’une brusque poussée j’introduisis la totalité de l’engin. Elle poussa un long cri de douleur qui me fit arrêter le mouvement. Je restai au fond du boyau pendant un moment, pour permettre au cul de ma belle de s’habituer à la présence du monstre ; je n’eus pas à décider du moment où j’allai reprendre le mouvement de va-et-vient ; ce fut elle qui commença à bouger lentement ses hanches, me faisant comprendre que je devais reprendre l’opération. Un aller-retour lent, pour commencer ; puis des allers-retours de plus en plus rapides, au fur et à mesure que son boyau se lubrifiait, rendant la pénétration plus facile et moins douloureuse ; et enfin je me mis à la tirer sans ménagement, telle une bête et ahanant à chaque entrée et sortie.
Au début, Noura semblait surtout avoir mal et ne prenait pas de plaisir. Puis petit à petit elle se mettait à pousser des petits gémissements de plaisir qui devenaient de plus en plus sonores.
- Caresse-moi la chatte pendant que tu m’encules. Je veux sentir mes deux trous remplis. Fais rentrer deux doigts, je veux qu’ils rencontrent ton zob. C’est bon ! Continue ! Plus fort dans mon cul ! Défonce-moi ! Fais-moi mal ! J’aime ! J’aime ! C’est merveilleux ! C’est bon ! Je vais jouir ! Je jouiiiis !
Et de fait, elle déchargea dans un immense râle de jouissance et remplit ma main de mouille. Moi je continuai de lui défoncer le fion sans ménagement, sentant arriver la jouissance qui explosa dans son cul en plusieurs giclées de spermes brûlant, me faisant pousser un long gémissement et qui me fit m’affaler de plaisir et de fatigue sur le dos de mon amante.
- Tu es merveilleuse, lui dis-je. Je crois que tu as apprécié de te faire enculer. Tu as joui ; tu n’as pas fait semblant.
- Oui j’ai vraiment joui. Au début, ton gros engin m’a fait terriblement mal. Mais après, une fois que la douleur était passée, c’est devenu extra. J’en redemande. On ne va pas s’arrêter là n’est-ce pas ? J’ai encore envie de baiser.
Je pensais qu’elle est vraiment incroyable. Elle vient de jouir comme une folle et elle redemande encore ; et tout de suite. J’étais un peu mollasson après deux éjaculations rapprochées. Je me dis donc qu’il me fallait la faire jouir autrement. Avec la bouche, cette fois-ci, m’étant rendu compte que je n’avais pas encore réellement vu sa chatte. Je l’avais caressée, mais je ne l’avais pas encore approchée de près. Je lui demandai donc de rester allongée sur le dos et de lever ses jambes de manière à me permettre de lui sucer la chatte. Elle en fut ravie. Elle adorait se faire lécher et sucer la vulve. Son mari le lui faisait de temps en temps, mais il n’allait jamais jusqu’à la conclusion de l’opération ; c'est-à-dire la jouissance de sa femme.
Moi je voulais la faire jouir avec la bouche. Je lui affirmais avec beaucoup d’aplomb et de forfanterie que j’étais le roi du cunnilingus et que ma bouche et ma langue pouvaient faire jouir n’importe quelle donzelle.
- Fais-le au lieu, de te vanter ! me répondit-elle tout de go.
Je plongeai donc ma tête entre les cuisses de mon amante, lui ouvris les grandes lèvres avec mes doigts et me mis à lécher les petites lèvres et à aller à la recherche du clitoris que je me mis à téter. Sitôt que j’eus touché à son clito, Noura se mit à gigoter et à gémir. Elle se mit aussi à accompagner mon cunnilingus par des phrases et des mots montrant son plaisir et son bonheur de se faire sucer.
- C’est délicieux ! Continue ! Ne t’arrête pas ! Bouffe-moi ma chatte ! J’adore me faire bouffer la chatte ! C’est la plus belle chose du monde ! Bois mon jus ! Dis-moi qu’il est délicieux ! Comme ton foutre est délicieux ! Dis-moi que tu ne t’arrêteras jamais de me sucer ! Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir dans ta bouche ! Tu vas boire tout mon jus ! Tu ne laisseras rien se perdre ! Je jouiiiis !
Elle eut une très forte jouissance, caractérisée par une grosse décharge de liquide directement dans ma bouche ; liquide que j’avalai goulûment sans rien laisser se perdre. Quand elle lâcha ma tête et que je pus m’allonger à côté d’elle pour la regarder, elle avait un sourire béat et semblait planer au dessus de nous. Quand elle revint à la réalité, elle m’adressa un grand sourire qui illumina toute la chambre et me dit merci.
- Merci pourquoi ? lui dis-je.
- Pour ces moments de bonheur que tu m’as donnés. C’est la première fois que j’ai pu vivre tous mes fantasmes sexuels, sans avoir à me soucier du jugement de mon partenaire. J’ai beaucoup aimé mon mari. Et je crois que je l’aime encore. Mais avec lui, je ne peux pas donner libre cours à toute ma sensualité. Avec toi c’est différent. Tu es libre et large d’esprit. Et puis tu es bien foutu et tu baises comme un Dieu. Jure-moi que cela ne s’arrêtera pas là.
- Il n’y a aucune raison pour que cela s’arrête là. Si tu n’es pas trop jalouse de ta sœur qui elle aussi veut sa part de bonheur, on peut se revoir tous les jours si tu veux.
Et c’est ainsi que ma liaison avec Karima et sa merveilleuse sœur dura plusieurs années. Jusqu’à ce que le mari de Noura fasse un grave accident de circulation et ne put plus assurer son dur métier de chauffeur grand routier. Il se contenta de conduire des véhicules légers et arrêta de s’absenter aussi longtemps, empêchant sa femme de me retrouver et de m’offrir son immense beauté et sa sensualité. Il me reste encore Karima pour assouvir mes désirs et me parler de sa sœur.
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