karine devient masculine

Récit érotique écrit par masculesb [→ Accès à sa fiche auteur]
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karine devient masculine
Karine, quarante-deux ans, lesbienne depuis très longtemps. 1m74, soixante-quatre kilos, brune avec quelques mèches. Je suis une femme qui n'aime pas porter des tenues très glamour, plutôt jean polo que robe et talons. Je n'aime pas me maquiller. Je suis en couple depuis presque deux ans avec Magali. Petite nana sexy de 1m59, pour quarante-cinq kilos avec de petits seins, cheveux aux épaules châtain. Elle est à l'opposé de moi, elle adore faire la femme. Elle ne quitte jamais ses talons de dix ou douze centimètres. Elle ne porte que des jolies robes ou jupes. Ses ongles sont toujours vernis de jolies couleurs, jamais de rouge, c'est trop banal. Avant moi, elle était hétéro, mais tellement déçue par son ex qui l'a trompée que j'ai pu la séduire. Nous sommes heureuses et épanouies.
Avec le temps, pour pimenter nous jeux érotiques, Magali a investi dans quelques sex-toys. Un dildo pour démarrer, puis un joli rosebud avec un diamant bleu, avant de craquer pour un petit œuf vibrant, puis un strapon. Avec le temps, nous avons appris à jouer avec, et de temps en temps à se lancer quelques défis. Aller au restaurant avec son rosebud. Magali devient de plus en plus coquine et accepte de plus en plus de défis. Elle ne porte plus de soutien-gorge, et le rosebud trouve très souvent sa place dans son magnifique postérieur. A la maison, je lui glisse souvent l'œuf dans sa grotte, que je trouve souvent très humide... J'aime lui envoyer quelques décharges pour l'exciter.
Un soir, nous décidons de sortir dans un bar que nous connaissons bien avant d'aller rejoindre des copines. Il est environ vingt-deux heures, nous nous attablons tranquillement. Je porte un jean noir, et un polo rouge. Magali, quant à elle, porte une petite robe noire et des escarpins noirs, ses ongles sont violet foncé. Pas de "défi" ce soir. Je lui fais un petit bisou avant d'aller commander nos consommations.
Une fois au bar, je commande nos deux verres de vin blanc, au moment de payer, je me retourne et je vois deux mecs qui discutent avec Magali. Je vois bien que ça ne va pas. Je me dépêche de la rejoindre. Je trouve deux mecs agressifs, qui vulgairement expliquent à ma chérie qu'elle a besoin de vrais mecs pour prendre son pied et qu'elle n'a rien à faire avec une femme. Une fille canon comme elle ne doit pas être lesbienne. J'édulcore leurs propos qui sont bien plus vulgaires. Je pense qu'ils sont alcoolisés.
Je les interromps.
— Bonsoir messieurs, nous souhaitons passer une bonne soirée, si vous voulez bien nous laisser.
— Casse-toi lesbienne, les filles canons sont pour nous les vrais mecs.
Je vois Magali effrayée, car un des mecs attrape son bras.
J'essaye encore une fois de rester courtoise, mais il commence à m'énerver.
Quand un des mecs essaye d'embrasser Magali, mon sang ne fait qu'un tour. Je le repousse violemment et sans réfléchir, je lui envoie un énorme coup de genou dans l'entrejambe. Il s'écroule instantanément.
Devant l'agitation, l'agent de sécurité arrive et empêche l'autre de s'en prendre à nous. Mon regard est si noir, je sens un feu dingue en moi de colère. Magali, terrifiée, tremble de peur.
— Ne parle plus jamais comme ça à ma chérie, dis-je au mec au sol en le regardant droit dans les yeux. Mes yeux doivent ressembler à deux carabines.
Je rejoins Magali et la serre fort dans mes bras. Elle est au bord des larmes.
— Quel connard ce mec, et l'autre ce n'est pas mieux.
— Oublie- les, je suis là.
— Merci Karine, j'ai eu si peur.
L'agent de sécurité évacue ces deux mecs. Le patron du bar se présente et nous propose de nous offrir des consommations pour s'excuser du comportement des clients.
Nous déclinons, préférant rentrer au calme à la maison. Nous quittons l'établissement, et nous nous réfugions dans la voiture. Magali tremble encore. Je la câline et lui donne des petits baisers. C'est une fois assise que je réalise ce que je viens de faire pour Magali, et que la tension retombe. Mes jambes flageolent aussi. Nous envoyons un message aux copines que nous devons rejoindre, nous ne précisons pas le pourquoi, mais juste que nous n'allons pas fort et que nous préférons rentrer. Le trajet en voiture nous permet de nous calmer.
Une fois à la maison, nous allumons la télé et avant de s'asseoir dans le canapé, je prends Magali dans mes bras pour un doux câlin. Sa tête sur mon épaule, elle me remercie.
— Karine, merci de m'avoir protégée tout à l'heure, j'ai eu si peur.
— Je ne le laisserai jamais personne te faire du mal, tu le sais.
— Maintenant, j'en suis sûre, tu es comme mon chevalier.
Elle m'embrasse et nous nous asseyons. Je zappe, alors que Magali se blottit contre moi. Dur de trouver un programme qui convient vu les circonstances. Surtout que Magali commence à me donner de petits baisers dans le cou, puis joue avec le lobe de mon oreille. Elle m'embrasse la joue, prend mon menton et tourne ma tête. Un baiser qui ne cache aucunement ce que Magali a derrière la tête. Ma langue flirte avec la sienne. Le baiser s'intensifie. Pas sûr que nous regardions la télé. Magali me caresse, mes mains commencent à s'aventurer. J'enlève le zip de sa robe, puis invite Magali à se lever. La robe tombe et dévoile devant moi le corps de ma chérie. Elle est si belle, juste en talon et tanga devant moi. Elle me tend la main. Je me lève, et l'embrasse avec désir. Je porte Magali dans mes bras et nous nous dirigeons vers la chambre.
— Mon chevalier est si fort, dit-elle.
Je la dépose sur le lit délicatement, elle est sexy et désirable. Je l'embrasse, lui mordille les tétons qui durcissent de plaisir. Ma langue descend doucement le long de son nombril, joue avec son piercing, puis à la rencontre de son tanga. Délicatement, je l'enlève, elle lève son bassin en piquant ses talons dans le matelas. Je dévoile sa chatte toute lisse, je la caresse, elle est déjà toute mouillée de désir. J'embrasse encore ma belle.
— Coquine, déjà mouillée ?
— C'est ta faute mon chevalier.
Un doigt, puis deux, tout en embrassant Magali. J'aime lui faire du bien. Mes doigts rentrent et sortent, pendant que je mordille ses petits seins. Elle m'enlève le polo, puis m'aide à me débarrasser du reste de mes vêtements. Nos langues se mêlent, un baiser intense. Je descends pour lui faire un cunnilingus comme elle les aime. Ses doigts jouent avec son clitoris tout dur. J'avoue que ses ongles violets, mouillés de désir m'excitent beaucoup. Mes doigts se joignent aux siens, je me délecte ce puissant philtre d'amour.
— Embrasse-moi mon chevalier.
— Personne ne te fera de mal.
Magali sort du tiroir le gode ceinture, elle aime que je la prenne avec. Elle m'aide à le mettre en place. Me voilà nue devant ma chérie, nue aussi en talon, avec ce phallus en érection. Magali écarte les jambes, et m'invite à la pénétrer. Elle guide ce phallus en elle pendant que je l'embrasse. J'aime lui faire l'amour comme ça. Elle est très excitée quand je la prends comme un homme. Mais ce soir, c'est différent. C'est intense, chaud.
— Mon chevalier, prends-moi fort.
— Tu me veux ma belle.
— Oui, prends-moi fort Karl mon chevalier, tu es fort mon Karl.
Je souris, mais plus elle parle de moi au masculin et plus ça m'excite, et plus je m'active. Elle est encore plus chaude que d'habitude. Elle me harangue, elle ne m'appelle que Karl. Je l'embrasse, mordille ses lèvres.
— J'ai envie de ton petit cul ma chérie.
— Karl, il est tout à toi.
Ma langue prépare son petit trou, puis mes doigts. Elle miaule de désir. J'attrape un de ses doigts avec ma bouche et le guide pour qu'il se joigne au mien. Nous la titillons, elle s'ouvre doucement. Un doigt, puis deux, je crois que l'excitation du moment l'aide à se détendre.
— Karl, qu'est-ce tu attends, prends-moi.
— Magali, tu n'as jamais été aussi chaude, j'adore.
— C'est de ta faute mon chevalier Karl.
Elle guide mon sexe qui rentre doucement dans son fondement. Une fois collé contre elle, je l'embrasse, nous bougeons à l'unisson. Un doigt dans sa chatte dégoulinante de désir, ses doigts caressant son clitoris. Son plaisir est total. Je sens son orgasme monter, elle est brûlante de désir.
— Karl ne t'arrête pas, je viens.
— Encore mon chéri.
Mon front dégouline de sueur. Elle tremble de tout son être. Elle me sert fort.
— Oh Karl, tu ne m'as jamais fait jouir si fort. Comment tu fais mon chevalier.
— C'est ta faute, tu as vu comment tu m'as excitée. J'ai adoré Magali.
— Avec plaisir Karl.
J'enlève ses chaussures, je détache le gode ceinture. Magali se blottit dans mes bras. Je relève la couette. Elle m'embrasse encore. Nous tombons de sommeil.
Au réveil, j'embrasse Magali puis fonce à la douche. Rien de prévu ce samedi, peut-être irons-nous faire du shopping. Magali prépare le petit-déjeuner, café et tartine de confiture. Je la rejoins, vêtue d'un short et un t-shirt.
— Bonjour Karl.
Elle m’embrasse tendrement. Bien sûr je lui rends son doux baiser.
— Pourquoi tu ne m'appelles pas Karine comme d'habitude, hier on jouait ?
— Peut-être mon chevalier, mais j'ai adoré t'appeler Karl et je crois que ça t'a bien excité aussi. Ce que tu as fait pour moi hier m'a troublé et je t'ai trouvé si courageux.
— Arrête de parler de moi au masculin.
— Je n'ai pas envie, je te sens comme ça maintenant mon chevalier, je veux mon Karl. Et puis regarde comment tu t'es habillé ce matin mon chéri, un short et un t-shirt blanc, ce n'est pas très féminin.
Je me regarde. Elle n'a pas tout à fait tort, cette tenue est plutôt masculine. Magali s'approche de moi, elle me chauffe, m'embrasse, me caresse. Des Karl par ci, des Karl par là. Mon chevalier, je te veux. Je constate que plus elle parle de moi au masculin, plus ça m'excite. Elle fait mine de me masturber comme un mec en m'embrassant. Je craque, le l'attrape gentiment, la porte jusque sur le lit, la dépose gentiment. Je lui enlève sa nuisette et vite enlève mes vêtements. Nous sommes nues, je me jette sur elle.
— Magali, tu m'excites.
— Karl prends-moi.
— Tu me rends folle quand tu m'appelles comme ça.
— Attends !!! Il manque quelque chose Karl.
Elle attrape le gode ceinture et m'aide à le mettre. Me voilà avec un phallus en érection, chauffée par ma chérie.
— Karl prends-moi.
Elle guide ce sexe bandé vers sa grotte déjà mouillée. Elle ne me laisse même pas le temps de lui lécher quoi que ce soit. Pourtant j'adore ça, jouer avec ma langue. Je la pénètre, elle m'excite en parlant de moi en terme viril et masculin. Elle est encore plus chaude qu'hier. Elle ne tarde pas à jouir.
— Magali tu me préfères « mec » on dirait ?
— C'était un fantasme, mais depuis ce qui s'est passé hier. Je te ressens comme ça Karl. Et ça m'excite beaucoup. Ça me rassure de te sentir fort pour moi mon chéri.
— Tu parles de moi au masculin Magali, ça fait drôle.
— C'est comme ça que je te veux maintenant Karl. On a du shopping à faire, je crois, mon chevalier.
— Je crois ma chérie.
Nous nous habillons pour sortir. Magali, toujours très femme, choisit une petite jupe patineuse gris clair, un tanga, un top à bretelle crème, de petites boucles d'oreille, et des sandales à talons de dix centimètres. Bien sûr, je la complimente sur sa tenue, elle est si belle.
— Tu ne crains pas d'être trop sexy ?
— Non, je veux être attirante pour toi, et puis mon chevalier me protègera. Je suis une femme heureuse et amoureuse et j'assume que tu me rendes si femme Karl.
Comme d'habitude, je mets des sneakers, un jean et un polo. Avec en dessous une simple culotte en coton et un soutien-gorge.
— Karl, il va falloir changer des sous-vêtements...
Je crois avoir compris que c'est pour ça que nous allons faire les boutiques
Une fois en voiture, nous décidons d'aller au centre commercial où nous sommes sûr de trouver du choix en boutiques vestimentaires. Main dans la main nous déambulons dans la galerie commerciale.
Nous commençons par chercher une robe pour Magali. Je lui choisis une robe blanche à fleur évasée sur le bas, avec des bretelles fines. Bien sur la robe s'arrête au-dessus du genou car j'aime voir les jambes de ma douce. Ensuite direction les chaussures, car avec cette robe une paire de sandales à talon s'impose.
Au tour de Magali de me choisir quelque chose. Nous entrons dans une boutique pour homme, et elle me choisit des boxers et une chemise blanche qui ira très bien avec mon jean noir. Ensuite, elle me cherche dans une boutique un brassière très sport afin d'écraser ma poitrine pour la dissimuler au mieux.
— Magali, tu veux vraiment me voir comme un homme on dirait ?
— C'est ta faute, tu n'avais pas à me sauver hier, tu me fais cet effet-là. Aller tu veux bien Karl ?
— Décidément tu ne veux plus m'appeler Karine alors ?
— Non Karl plus envie je préfère comme ça.
— Mais je n'aime pas vraiment ce prénom.
— Alors tu en choisiras un au plus vite.
— Karine, alors.
— Non un prénom de garçon bien sûr. Tu y réfléchis Karl ?
— Tu veux vraiment me travestir en garçon ?
— Pas besoin, tu ne te maquille jamais, tu es toujours en jean et t.shirt ou polo. Donc ça ne changera pas grand-chose.
Je me vois dans un miroir et en me regardant, c'est vrai que je ne suis vraiment pas féminine, tout en restant une femme. Et quand je fais l'amour à Magali, je le fais plus comme un homme que comme une femme, surtout hier.
Magali aurait-elle raison ? serais-je plus masculine que féminine ?
Après avoir trouvé ce qu'il faut, nous quittons le lieu, sur le passage, je trouve un joli verni pour ma belle, noir mate qui je suis sûr sera du bel effet sur les ongles de Magali.
Dans la voiture, nous papotons de tout et de rien mais Magali n'arrête pas de chercher à me faire dire le prénom que j'aimerais porter. Mais je fuis la question.
Comme souvent, ma main est sur la cuisse de ma chérie et je remonte sous sa robe pour la caresser. Elle est déjà mouillée. Je lui fais la remarque. Pour seule réponse, je sens sa main pousser la mienne contre sa culotte et nous la caressons. J'évite de la faire jouir car j'aime quand elle est excitée. Elle pousse mes doigts contre son clito m'incitant à le caresser. Je sais qu'elle aime ça.
Une fois rentrées, nous déballons les paquets et nous essayons les achats. Magalie enfile la robe et les sandales. Elle est craquante, je n'en doutais pas. J'ai envie d'elle.
Je la prends dans mes bras et l'embrasse, nos baiser deviennent chaud. Mes mains passent sous sa robe. J'attrape ses fesses et glisse mes doigts sous son tanga. Elle sait que j'ai envie d'elle.
— Tu n'as pas encore essayé ce que nous avons acheté. Mets les d'abord Karl.
— Ah non je t'ai dit que je n'aimais pas ce nom.
— Alors trouves-en un.
A la télé passe une émission ou l'on parle de Vincent Van Gogh. Je tilte, je trouve que ce prénom sonne bien.
— Magali, que penses-tu de Vincent.
— Je n'aurais pas pensé, mais oui, ça sonne bien.
Aller, viens on va te changer.
Magali sort les achats et choisit d'abord un boxer noir, le jean, la brassière et la chemise. J'enfile le boxer quand elle me stoppe.
— Mets ça en dessous.
Elle me tend le strapon et me l'attache. J'enfile le boxer en cachant ce sexe dessous, puis enfile le jean et le reste.
Elle me regarde, mmm Karl, oups Vincent. J'adore ça te va bien. Elle me dirige vers un miroir, et vêtue ainsi, avec dans ce jean un sexe en érection, si je n'avais pas les traits féminins, on ne verrait qu'un garçon.
Je dois avouer que j'aime ce que renvoie le miroir. Magali me regarde et sourit.
— Bonjour mon chevalier, je suis ravi de te rencontrer Vincent. Alors tu aimes ?
— Ça me surprend, mais oui, on ne voit plus vraiment Karine comme ça. Alors oui tu peux m'appeler Vincent.
Elle commence à m'embrasser.
Je vais devoir faire attention, plein de filles vont te vouloir.
Le baiser devient chaud, fougueux qui ne laissent aucun doute de ce qui va se passer.
— Vincent prend moi !!!
— On dirait que ça t'excite vraiment de m'appeler comme ça et me voir encore plus masculine ?
— Oui j'adore, ça me plait, tu me plais Vincent, fais-moi l'amour….
Je serre Magali dans mes bras en l'embrassant tendrement, puis dans mes bras, je l'emmène dans la chambre et la dépose sur le lit. Doucement je relève sa robe, et la caresse. Je prends ses doigts et les dirigent dans sa culotte. Pendant qu'elle se caresse j'embrasse ses petits seins, les lèche pour les rendre durs. Je la sens se tendre. Elle s'arrête mais je force sa main à rester dans sa culotte et à se caresser. Je veux qu'elle jouisse plusieurs fois.
Je relève Magali pour lui enlever sa robe, puis saute entre ses jambes, elle est trempée, je la lèche avec délice, je sens que ma langue lui fait du bien, elle tremble en jouissant. Je vais l'embrasser pour qu'elle partage le gout de son désir avec moi.
J'ouvre la braguette de mon jean et sors ce phallus, et le guide en elle.
— Ah Vincent, j'adore te sentir en moi.
— Mag, tu m'excites, j'aime ce que tu fais de moi.
Je tourne la tête et je nous vois dans le miroir de l'armoire. Mais dans le miroir, je vois un couple faisant l'amour, je vois un homme et une femme car ma tête déborde du miroir. Cette vision m'excite terriblement. J'accélère le rythme et je prends Magali de plus en plus fort. Elle jouit pour la seconde fois.
Je m'allonge près d'elle, et la prends dans mes bras. On s'embrasse tendrement.
— Vincent, tu ne m'as jamais prise comme ça. Tu me promets de recommencer. Je suis sûr que plein de nanas hétéro aimeraient que tu les prennes comme ça.
— J'aime te faire l'amour et te voir jouir, tes yeux brillent et ça me flatte de te voir prendre ton pied.
— Tu peux j'ai adoré.
— En fait je crois que j'aime que tu m'appelles Vincent.
Nous nous rhabillons, et allons préparer le repas, mais Magali a insisté pour que je garde le god caché dans mon jean….Toutes les discussions reviennent à mon côté « mec », Vincent par ci, Vincent par là.
— Tu sais que plein de fille serait mieux avec toi qu'avec un mec.
— Pourquoi dis-tu cela ?
— Tu sais où toucher, comment caresser, tu es tendre, mais viril en même temps c'est ce qui est excitant, et surtout : tu fais passer mon plaisir avant et ça …. J'en veux encore.
— Arrête de me regarde comme ça, tu m'excites. Je ne sais pas ce que tu as fait de moi, mais je me sens gonflé d'énergie, de désir j'ai envie de sexe.
Magali s'approche de moi, m'embrasse et caresse le god au-dessus du jean. Nous faisons l'amour bien sûr. Notre vie sexuelle a toujours été active, mais depuis que Magali me transforme, ça devient de plus en plus chaud, j'ai toujours envie d'elle et Magali en redemande souvent… Je lui fais toujours l'amour avec le strap-on comme un homme ferait l'amour à sa femme. Nous adorons ça, Magali jouit pour nous car du coup mes orgasme se font plus rare. Moins je jouis, plus je suis excitée et j'ai envie de sexe.Je ne me suis jamais senti aussi bien et aussi sur de moi. Magali a révélé mon moi caché en mon for intérieur.Après avoir fait une nouvelle fois jouir ma chérie, elle me dit en rigolant que bien tôt une femme ne me suffira plus et qu'elle aimerait bien essayer à 3.
— Tu aimerais une autre fille dans notre lit ?
— Juste pour le fun, et le sexe tu n'aimerais pas ? je suis sûr que tu nous ferais grimper aux rideaux toutes les 2.
— Quel genre de fille tu aimerais ?
— Une féminine bien sûr, j'ai déjà mon mec je n'en veux pas un autre !
— On va la trouver où ?
— Tu ne dis pas non Vincent on dirait à avoir 2 filles pour toi.
— J'avoue, tu me fais déborder d'énergie n'en ai à revendre. Et dans la rue je vois plein de nanas que je baiserai bien.
— Il n'y a plus qu'a trouvé une jolie fille du coup.
— Je m'en charge Magali.
— Je suis sûr que tu n'auras aucun mal à en trouver une.
Après cette discussion, on en reparle plus vraiment, mais lors d'une soirée 3 ou 4 semaines plus tard, je vois une fille, très jolie, et son mec qui se dispute. Ça a vraiment l'air de chauffer entre eux. Et quand le gars empoigne sa copine, je ne peux m'empêcher d'intervenir.
— Eh, lâche-la ! Ça ne va pas de faire du mal à une jolie fille.
— Dégage laisse nous, elle fait chier, je l'ai attendu plus d'une heure et là elle veut rentrer, mes potes sont là on devait s'éclater et cette conne.
— Oh arrête, va les voir tes potes, si tu ne sais pas apprécier la compagnie d'une jolie fille casse toi.
Il regarde sa copine, mais il lui tend la main, le regard menaçant :
— Viens, on va les rejoindre.
— Aller Sophie, vient te fait pas prier ?
Pour la première fois j'entends le son de sa vois
— Non vas-y tout seul !!
Et elle se cache derrière moi.
Il avance vers, moi. Mes yeux deviennent noirs de colère.
— N'essaye même pas, lui dis-je, en le voyant lever la main pour attraper Sophie.
Il fait un pas en arrière et tend la main à Sophie.
— Si tu ne viens pas maintenant, tu ne me vois plus.
Sophie ne répond pas et baisse la tête en restant derrière moi.
Le garçon s'en vas et Sophie s'effondre en pleur dans mes bras.
— Oublie-le, tu es trop belle pour lui, comme pour les autres hommes en fait.
— Les mecs sont trop cons. Il fait chier ce mec.
— C'est pour ça qu'on est là ?
— Qui ?
— Les filles comme moi, pour prendre soin des jolies demoiselles comme toi. Allez viens avec moi.
Je lui tends la main, et je la guide vers ma table. Nous buvons un verre en faisant connaissance. J'apprends qu'elle était avec ce mec depuis presque un an, et a toujours dû subir et n'a jamais reçu de compliments après avoir couché avec lui. Je ne cesse de la regarder, elle est surprise d'avoir une regard doux posé sur elle. Elle est très attirante. Sa chevelure blonde au-dessous des épaules et légèrement ondulés. Sa robe à brettelles dans les teintes dorées pas trop courte lui va à ravir, bien sûr elle porte des talons. Elle est légèrement maquillée.
— Pourquoi tu me regardes comme ça ? me demande t'elle.
— Tu es très belle, Sophie, tu me plais vraiment.
— Tu es lesbienne ?
— Bien sûr tu ne l'avais pas deviné ?
— Non, pas du tout,
— Maintenant tu sais.
— Je ne connais même pas ton prénom.
— Karine est mon vrai prénom, mais avec ma copine on en a trouvé un autre qui me correspond mieux.
— A bon lequel ?
— Vincent.
— C'est un prénom de garçon ça !!!
— Oui, mais on trouve que ça me va mieux.
— Tu as été plus courageuse que bien des mecs tout à l'heure ça ne m'étonne pas. En plus tu n'es pas vraiment féminine.
— Je prends ça pour un compliment.
Nous finissons nos verres et je propose à Sophie de la raccompagner afin de lui éviter d'être seule dans les transports en commun. Je me lève et lui tends la main pour l'aider à se lever. Mais un peu surprise, elle laisse sa main dans la mienne, nos doigts croisés. Nous nous dirigeons vers le bar pour payer et juste avant de partir nous apercevons celui qui est désormais son ex. Sophie, en étant sûr qu'il nous voit, me fait un bisou sur la joue. Une fois dehors, toujours main dans la main, je lui demande pourquoi ce bisou.
— Je voulais lui faire comprendre qu'il m'a perdue.
— Alors il fallait m'embrasser sur la bouche Sophie.
— Je n'ai jamais embrassé une fille, je n'ai pas osé.
— Tu as envie que je t'embrasse Sophie ?
Elle baisse la tête et timidement et me répond avec une voix très timide
— Depuis que tu m'as dit que j'étais belle et attirante, j'ai envie que tu m'embrasses Vincent.
— Tu m'appelles Vincent ?
— Oui tu as raison, ça te va mieux.
Nous continuons à marcher en direction de ma voiture, j'avoue avoir un malin plaisir à avoir la main de Sophie dans la mienne. Magali avait raison, certaines filles seront mieux en ma compagnie qu'avec leur mec. Une fois assises dans la voiture, Sophie me donne la direction à suivre. Ma main est posée sur sa cuisse. Une fois devant chez elle, je lui demande son numéro de téléphone. Elle prend mon téléphone et le note elle-même dedans. Sophie se penche vers moi pour me rendre mon téléphone. Je ne résiste pas, et tendrement lui donne un baiser sur les lèvres.
Sophie me regarde surprise, mais me rend mon baiser. Je raccompagne Sophie à sa porte, elle me tient la main. Contre sa porte nous nous embrassons tendrement, puis plus de retenue, le baiser devient fougueux.
— Vincent, tu embrasses mieux que mon ex, j'en veux encore.
— Promis je t'embrasserai encore Sophie, mais pour ce soir, restons raisonnable.
— Comme tu veux Vincent, j'attendrais ton coup de téléphone avec impatience.
— Compte sur moi.
Après un dernier baiser, je laisse Sophie et m'empresse d'appeler Magali
— Ma belle, tu avais raison, pour les filles qui seraient mieux avec moi.
— Ah bon pourquoi ?
— Je viens d'en quitter une, et elle finira dans notre lit. Je me dépêche et on en parle.
Une fois rentrée, J'embrasse Magali mais elle est bizarre.
— Qu'est ce qui ne va pas ?
— On vient de m'a appelé tout à l'heure pour me proposer le boulot que je voulais. Mais c'est loin, près de ma famille. C'est pour 1 mois et peut être un CDI ensuite.
— Fonce, tu en rêves depuis longtemps de ce boulot fonce ma belle. C'est génial pour toi.
— Tu es un amour, mais tu vas me manquer tu sais Vincent.
— Tu trouveras une autre nana à transformer en mec, dis-je en rigolant.
— Et toi tu vas sauver plein de filles des vilains garçons.
On s'embrasse et faisons l'amour bien sur avant de nous coucher. C'était très tendre ce soir-là. Peut-être avons-nous senti que nous ne ferions plus l'amour ensemble avant un petit moment.
Epilogue :
Magali est partie travailler à l'autre bout du pays pour un mois. A l'issue elle a signé un CDI. Et le confinement a été déclaré. Ne pouvant pas la rejoindre à cause de mon travail, nous avons décidé de nous éclater chacun de notre côté. Nous nous sommes promis de nous revoir en sex friend.
Magali est heureuse en couple avec une fille bien sur
Du coup j'ai recontacté Sophie. Mais ce sera peut-être une autre histoire à raconter.
Avec le temps, pour pimenter nous jeux érotiques, Magali a investi dans quelques sex-toys. Un dildo pour démarrer, puis un joli rosebud avec un diamant bleu, avant de craquer pour un petit œuf vibrant, puis un strapon. Avec le temps, nous avons appris à jouer avec, et de temps en temps à se lancer quelques défis. Aller au restaurant avec son rosebud. Magali devient de plus en plus coquine et accepte de plus en plus de défis. Elle ne porte plus de soutien-gorge, et le rosebud trouve très souvent sa place dans son magnifique postérieur. A la maison, je lui glisse souvent l'œuf dans sa grotte, que je trouve souvent très humide... J'aime lui envoyer quelques décharges pour l'exciter.
Un soir, nous décidons de sortir dans un bar que nous connaissons bien avant d'aller rejoindre des copines. Il est environ vingt-deux heures, nous nous attablons tranquillement. Je porte un jean noir, et un polo rouge. Magali, quant à elle, porte une petite robe noire et des escarpins noirs, ses ongles sont violet foncé. Pas de "défi" ce soir. Je lui fais un petit bisou avant d'aller commander nos consommations.
Une fois au bar, je commande nos deux verres de vin blanc, au moment de payer, je me retourne et je vois deux mecs qui discutent avec Magali. Je vois bien que ça ne va pas. Je me dépêche de la rejoindre. Je trouve deux mecs agressifs, qui vulgairement expliquent à ma chérie qu'elle a besoin de vrais mecs pour prendre son pied et qu'elle n'a rien à faire avec une femme. Une fille canon comme elle ne doit pas être lesbienne. J'édulcore leurs propos qui sont bien plus vulgaires. Je pense qu'ils sont alcoolisés.
Je les interromps.
— Bonsoir messieurs, nous souhaitons passer une bonne soirée, si vous voulez bien nous laisser.
— Casse-toi lesbienne, les filles canons sont pour nous les vrais mecs.
Je vois Magali effrayée, car un des mecs attrape son bras.
J'essaye encore une fois de rester courtoise, mais il commence à m'énerver.
Quand un des mecs essaye d'embrasser Magali, mon sang ne fait qu'un tour. Je le repousse violemment et sans réfléchir, je lui envoie un énorme coup de genou dans l'entrejambe. Il s'écroule instantanément.
Devant l'agitation, l'agent de sécurité arrive et empêche l'autre de s'en prendre à nous. Mon regard est si noir, je sens un feu dingue en moi de colère. Magali, terrifiée, tremble de peur.
— Ne parle plus jamais comme ça à ma chérie, dis-je au mec au sol en le regardant droit dans les yeux. Mes yeux doivent ressembler à deux carabines.
Je rejoins Magali et la serre fort dans mes bras. Elle est au bord des larmes.
— Quel connard ce mec, et l'autre ce n'est pas mieux.
— Oublie- les, je suis là.
— Merci Karine, j'ai eu si peur.
L'agent de sécurité évacue ces deux mecs. Le patron du bar se présente et nous propose de nous offrir des consommations pour s'excuser du comportement des clients.
Nous déclinons, préférant rentrer au calme à la maison. Nous quittons l'établissement, et nous nous réfugions dans la voiture. Magali tremble encore. Je la câline et lui donne des petits baisers. C'est une fois assise que je réalise ce que je viens de faire pour Magali, et que la tension retombe. Mes jambes flageolent aussi. Nous envoyons un message aux copines que nous devons rejoindre, nous ne précisons pas le pourquoi, mais juste que nous n'allons pas fort et que nous préférons rentrer. Le trajet en voiture nous permet de nous calmer.
Une fois à la maison, nous allumons la télé et avant de s'asseoir dans le canapé, je prends Magali dans mes bras pour un doux câlin. Sa tête sur mon épaule, elle me remercie.
— Karine, merci de m'avoir protégée tout à l'heure, j'ai eu si peur.
— Je ne le laisserai jamais personne te faire du mal, tu le sais.
— Maintenant, j'en suis sûre, tu es comme mon chevalier.
Elle m'embrasse et nous nous asseyons. Je zappe, alors que Magali se blottit contre moi. Dur de trouver un programme qui convient vu les circonstances. Surtout que Magali commence à me donner de petits baisers dans le cou, puis joue avec le lobe de mon oreille. Elle m'embrasse la joue, prend mon menton et tourne ma tête. Un baiser qui ne cache aucunement ce que Magali a derrière la tête. Ma langue flirte avec la sienne. Le baiser s'intensifie. Pas sûr que nous regardions la télé. Magali me caresse, mes mains commencent à s'aventurer. J'enlève le zip de sa robe, puis invite Magali à se lever. La robe tombe et dévoile devant moi le corps de ma chérie. Elle est si belle, juste en talon et tanga devant moi. Elle me tend la main. Je me lève, et l'embrasse avec désir. Je porte Magali dans mes bras et nous nous dirigeons vers la chambre.
— Mon chevalier est si fort, dit-elle.
Je la dépose sur le lit délicatement, elle est sexy et désirable. Je l'embrasse, lui mordille les tétons qui durcissent de plaisir. Ma langue descend doucement le long de son nombril, joue avec son piercing, puis à la rencontre de son tanga. Délicatement, je l'enlève, elle lève son bassin en piquant ses talons dans le matelas. Je dévoile sa chatte toute lisse, je la caresse, elle est déjà toute mouillée de désir. J'embrasse encore ma belle.
— Coquine, déjà mouillée ?
— C'est ta faute mon chevalier.
Un doigt, puis deux, tout en embrassant Magali. J'aime lui faire du bien. Mes doigts rentrent et sortent, pendant que je mordille ses petits seins. Elle m'enlève le polo, puis m'aide à me débarrasser du reste de mes vêtements. Nos langues se mêlent, un baiser intense. Je descends pour lui faire un cunnilingus comme elle les aime. Ses doigts jouent avec son clitoris tout dur. J'avoue que ses ongles violets, mouillés de désir m'excitent beaucoup. Mes doigts se joignent aux siens, je me délecte ce puissant philtre d'amour.
— Embrasse-moi mon chevalier.
— Personne ne te fera de mal.
Magali sort du tiroir le gode ceinture, elle aime que je la prenne avec. Elle m'aide à le mettre en place. Me voilà nue devant ma chérie, nue aussi en talon, avec ce phallus en érection. Magali écarte les jambes, et m'invite à la pénétrer. Elle guide ce phallus en elle pendant que je l'embrasse. J'aime lui faire l'amour comme ça. Elle est très excitée quand je la prends comme un homme. Mais ce soir, c'est différent. C'est intense, chaud.
— Mon chevalier, prends-moi fort.
— Tu me veux ma belle.
— Oui, prends-moi fort Karl mon chevalier, tu es fort mon Karl.
Je souris, mais plus elle parle de moi au masculin et plus ça m'excite, et plus je m'active. Elle est encore plus chaude que d'habitude. Elle me harangue, elle ne m'appelle que Karl. Je l'embrasse, mordille ses lèvres.
— J'ai envie de ton petit cul ma chérie.
— Karl, il est tout à toi.
Ma langue prépare son petit trou, puis mes doigts. Elle miaule de désir. J'attrape un de ses doigts avec ma bouche et le guide pour qu'il se joigne au mien. Nous la titillons, elle s'ouvre doucement. Un doigt, puis deux, je crois que l'excitation du moment l'aide à se détendre.
— Karl, qu'est-ce tu attends, prends-moi.
— Magali, tu n'as jamais été aussi chaude, j'adore.
— C'est de ta faute mon chevalier Karl.
Elle guide mon sexe qui rentre doucement dans son fondement. Une fois collé contre elle, je l'embrasse, nous bougeons à l'unisson. Un doigt dans sa chatte dégoulinante de désir, ses doigts caressant son clitoris. Son plaisir est total. Je sens son orgasme monter, elle est brûlante de désir.
— Karl ne t'arrête pas, je viens.
— Encore mon chéri.
Mon front dégouline de sueur. Elle tremble de tout son être. Elle me sert fort.
— Oh Karl, tu ne m'as jamais fait jouir si fort. Comment tu fais mon chevalier.
— C'est ta faute, tu as vu comment tu m'as excitée. J'ai adoré Magali.
— Avec plaisir Karl.
J'enlève ses chaussures, je détache le gode ceinture. Magali se blottit dans mes bras. Je relève la couette. Elle m'embrasse encore. Nous tombons de sommeil.
Au réveil, j'embrasse Magali puis fonce à la douche. Rien de prévu ce samedi, peut-être irons-nous faire du shopping. Magali prépare le petit-déjeuner, café et tartine de confiture. Je la rejoins, vêtue d'un short et un t-shirt.
— Bonjour Karl.
Elle m’embrasse tendrement. Bien sûr je lui rends son doux baiser.
— Pourquoi tu ne m'appelles pas Karine comme d'habitude, hier on jouait ?
— Peut-être mon chevalier, mais j'ai adoré t'appeler Karl et je crois que ça t'a bien excité aussi. Ce que tu as fait pour moi hier m'a troublé et je t'ai trouvé si courageux.
— Arrête de parler de moi au masculin.
— Je n'ai pas envie, je te sens comme ça maintenant mon chevalier, je veux mon Karl. Et puis regarde comment tu t'es habillé ce matin mon chéri, un short et un t-shirt blanc, ce n'est pas très féminin.
Je me regarde. Elle n'a pas tout à fait tort, cette tenue est plutôt masculine. Magali s'approche de moi, elle me chauffe, m'embrasse, me caresse. Des Karl par ci, des Karl par là. Mon chevalier, je te veux. Je constate que plus elle parle de moi au masculin, plus ça m'excite. Elle fait mine de me masturber comme un mec en m'embrassant. Je craque, le l'attrape gentiment, la porte jusque sur le lit, la dépose gentiment. Je lui enlève sa nuisette et vite enlève mes vêtements. Nous sommes nues, je me jette sur elle.
— Magali, tu m'excites.
— Karl prends-moi.
— Tu me rends folle quand tu m'appelles comme ça.
— Attends !!! Il manque quelque chose Karl.
Elle attrape le gode ceinture et m'aide à le mettre. Me voilà avec un phallus en érection, chauffée par ma chérie.
— Karl prends-moi.
Elle guide ce sexe bandé vers sa grotte déjà mouillée. Elle ne me laisse même pas le temps de lui lécher quoi que ce soit. Pourtant j'adore ça, jouer avec ma langue. Je la pénètre, elle m'excite en parlant de moi en terme viril et masculin. Elle est encore plus chaude qu'hier. Elle ne tarde pas à jouir.
— Magali tu me préfères « mec » on dirait ?
— C'était un fantasme, mais depuis ce qui s'est passé hier. Je te ressens comme ça Karl. Et ça m'excite beaucoup. Ça me rassure de te sentir fort pour moi mon chéri.
— Tu parles de moi au masculin Magali, ça fait drôle.
— C'est comme ça que je te veux maintenant Karl. On a du shopping à faire, je crois, mon chevalier.
— Je crois ma chérie.
Nous nous habillons pour sortir. Magali, toujours très femme, choisit une petite jupe patineuse gris clair, un tanga, un top à bretelle crème, de petites boucles d'oreille, et des sandales à talons de dix centimètres. Bien sûr, je la complimente sur sa tenue, elle est si belle.
— Tu ne crains pas d'être trop sexy ?
— Non, je veux être attirante pour toi, et puis mon chevalier me protègera. Je suis une femme heureuse et amoureuse et j'assume que tu me rendes si femme Karl.
Comme d'habitude, je mets des sneakers, un jean et un polo. Avec en dessous une simple culotte en coton et un soutien-gorge.
— Karl, il va falloir changer des sous-vêtements...
Je crois avoir compris que c'est pour ça que nous allons faire les boutiques
Une fois en voiture, nous décidons d'aller au centre commercial où nous sommes sûr de trouver du choix en boutiques vestimentaires. Main dans la main nous déambulons dans la galerie commerciale.
Nous commençons par chercher une robe pour Magali. Je lui choisis une robe blanche à fleur évasée sur le bas, avec des bretelles fines. Bien sur la robe s'arrête au-dessus du genou car j'aime voir les jambes de ma douce. Ensuite direction les chaussures, car avec cette robe une paire de sandales à talon s'impose.
Au tour de Magali de me choisir quelque chose. Nous entrons dans une boutique pour homme, et elle me choisit des boxers et une chemise blanche qui ira très bien avec mon jean noir. Ensuite, elle me cherche dans une boutique un brassière très sport afin d'écraser ma poitrine pour la dissimuler au mieux.
— Magali, tu veux vraiment me voir comme un homme on dirait ?
— C'est ta faute, tu n'avais pas à me sauver hier, tu me fais cet effet-là. Aller tu veux bien Karl ?
— Décidément tu ne veux plus m'appeler Karine alors ?
— Non Karl plus envie je préfère comme ça.
— Mais je n'aime pas vraiment ce prénom.
— Alors tu en choisiras un au plus vite.
— Karine, alors.
— Non un prénom de garçon bien sûr. Tu y réfléchis Karl ?
— Tu veux vraiment me travestir en garçon ?
— Pas besoin, tu ne te maquille jamais, tu es toujours en jean et t.shirt ou polo. Donc ça ne changera pas grand-chose.
Je me vois dans un miroir et en me regardant, c'est vrai que je ne suis vraiment pas féminine, tout en restant une femme. Et quand je fais l'amour à Magali, je le fais plus comme un homme que comme une femme, surtout hier.
Magali aurait-elle raison ? serais-je plus masculine que féminine ?
Après avoir trouvé ce qu'il faut, nous quittons le lieu, sur le passage, je trouve un joli verni pour ma belle, noir mate qui je suis sûr sera du bel effet sur les ongles de Magali.
Dans la voiture, nous papotons de tout et de rien mais Magali n'arrête pas de chercher à me faire dire le prénom que j'aimerais porter. Mais je fuis la question.
Comme souvent, ma main est sur la cuisse de ma chérie et je remonte sous sa robe pour la caresser. Elle est déjà mouillée. Je lui fais la remarque. Pour seule réponse, je sens sa main pousser la mienne contre sa culotte et nous la caressons. J'évite de la faire jouir car j'aime quand elle est excitée. Elle pousse mes doigts contre son clito m'incitant à le caresser. Je sais qu'elle aime ça.
Une fois rentrées, nous déballons les paquets et nous essayons les achats. Magalie enfile la robe et les sandales. Elle est craquante, je n'en doutais pas. J'ai envie d'elle.
Je la prends dans mes bras et l'embrasse, nos baiser deviennent chaud. Mes mains passent sous sa robe. J'attrape ses fesses et glisse mes doigts sous son tanga. Elle sait que j'ai envie d'elle.
— Tu n'as pas encore essayé ce que nous avons acheté. Mets les d'abord Karl.
— Ah non je t'ai dit que je n'aimais pas ce nom.
— Alors trouves-en un.
A la télé passe une émission ou l'on parle de Vincent Van Gogh. Je tilte, je trouve que ce prénom sonne bien.
— Magali, que penses-tu de Vincent.
— Je n'aurais pas pensé, mais oui, ça sonne bien.
Aller, viens on va te changer.
Magali sort les achats et choisit d'abord un boxer noir, le jean, la brassière et la chemise. J'enfile le boxer quand elle me stoppe.
— Mets ça en dessous.
Elle me tend le strapon et me l'attache. J'enfile le boxer en cachant ce sexe dessous, puis enfile le jean et le reste.
Elle me regarde, mmm Karl, oups Vincent. J'adore ça te va bien. Elle me dirige vers un miroir, et vêtue ainsi, avec dans ce jean un sexe en érection, si je n'avais pas les traits féminins, on ne verrait qu'un garçon.
Je dois avouer que j'aime ce que renvoie le miroir. Magali me regarde et sourit.
— Bonjour mon chevalier, je suis ravi de te rencontrer Vincent. Alors tu aimes ?
— Ça me surprend, mais oui, on ne voit plus vraiment Karine comme ça. Alors oui tu peux m'appeler Vincent.
Elle commence à m'embrasser.
Je vais devoir faire attention, plein de filles vont te vouloir.
Le baiser devient chaud, fougueux qui ne laissent aucun doute de ce qui va se passer.
— Vincent prend moi !!!
— On dirait que ça t'excite vraiment de m'appeler comme ça et me voir encore plus masculine ?
— Oui j'adore, ça me plait, tu me plais Vincent, fais-moi l'amour….
Je serre Magali dans mes bras en l'embrassant tendrement, puis dans mes bras, je l'emmène dans la chambre et la dépose sur le lit. Doucement je relève sa robe, et la caresse. Je prends ses doigts et les dirigent dans sa culotte. Pendant qu'elle se caresse j'embrasse ses petits seins, les lèche pour les rendre durs. Je la sens se tendre. Elle s'arrête mais je force sa main à rester dans sa culotte et à se caresser. Je veux qu'elle jouisse plusieurs fois.
Je relève Magali pour lui enlever sa robe, puis saute entre ses jambes, elle est trempée, je la lèche avec délice, je sens que ma langue lui fait du bien, elle tremble en jouissant. Je vais l'embrasser pour qu'elle partage le gout de son désir avec moi.
J'ouvre la braguette de mon jean et sors ce phallus, et le guide en elle.
— Ah Vincent, j'adore te sentir en moi.
— Mag, tu m'excites, j'aime ce que tu fais de moi.
Je tourne la tête et je nous vois dans le miroir de l'armoire. Mais dans le miroir, je vois un couple faisant l'amour, je vois un homme et une femme car ma tête déborde du miroir. Cette vision m'excite terriblement. J'accélère le rythme et je prends Magali de plus en plus fort. Elle jouit pour la seconde fois.
Je m'allonge près d'elle, et la prends dans mes bras. On s'embrasse tendrement.
— Vincent, tu ne m'as jamais prise comme ça. Tu me promets de recommencer. Je suis sûr que plein de nanas hétéro aimeraient que tu les prennes comme ça.
— J'aime te faire l'amour et te voir jouir, tes yeux brillent et ça me flatte de te voir prendre ton pied.
— Tu peux j'ai adoré.
— En fait je crois que j'aime que tu m'appelles Vincent.
Nous nous rhabillons, et allons préparer le repas, mais Magali a insisté pour que je garde le god caché dans mon jean….Toutes les discussions reviennent à mon côté « mec », Vincent par ci, Vincent par là.
— Tu sais que plein de fille serait mieux avec toi qu'avec un mec.
— Pourquoi dis-tu cela ?
— Tu sais où toucher, comment caresser, tu es tendre, mais viril en même temps c'est ce qui est excitant, et surtout : tu fais passer mon plaisir avant et ça …. J'en veux encore.
— Arrête de me regarde comme ça, tu m'excites. Je ne sais pas ce que tu as fait de moi, mais je me sens gonflé d'énergie, de désir j'ai envie de sexe.
Magali s'approche de moi, m'embrasse et caresse le god au-dessus du jean. Nous faisons l'amour bien sûr. Notre vie sexuelle a toujours été active, mais depuis que Magali me transforme, ça devient de plus en plus chaud, j'ai toujours envie d'elle et Magali en redemande souvent… Je lui fais toujours l'amour avec le strap-on comme un homme ferait l'amour à sa femme. Nous adorons ça, Magali jouit pour nous car du coup mes orgasme se font plus rare. Moins je jouis, plus je suis excitée et j'ai envie de sexe.Je ne me suis jamais senti aussi bien et aussi sur de moi. Magali a révélé mon moi caché en mon for intérieur.Après avoir fait une nouvelle fois jouir ma chérie, elle me dit en rigolant que bien tôt une femme ne me suffira plus et qu'elle aimerait bien essayer à 3.
— Tu aimerais une autre fille dans notre lit ?
— Juste pour le fun, et le sexe tu n'aimerais pas ? je suis sûr que tu nous ferais grimper aux rideaux toutes les 2.
— Quel genre de fille tu aimerais ?
— Une féminine bien sûr, j'ai déjà mon mec je n'en veux pas un autre !
— On va la trouver où ?
— Tu ne dis pas non Vincent on dirait à avoir 2 filles pour toi.
— J'avoue, tu me fais déborder d'énergie n'en ai à revendre. Et dans la rue je vois plein de nanas que je baiserai bien.
— Il n'y a plus qu'a trouvé une jolie fille du coup.
— Je m'en charge Magali.
— Je suis sûr que tu n'auras aucun mal à en trouver une.
Après cette discussion, on en reparle plus vraiment, mais lors d'une soirée 3 ou 4 semaines plus tard, je vois une fille, très jolie, et son mec qui se dispute. Ça a vraiment l'air de chauffer entre eux. Et quand le gars empoigne sa copine, je ne peux m'empêcher d'intervenir.
— Eh, lâche-la ! Ça ne va pas de faire du mal à une jolie fille.
— Dégage laisse nous, elle fait chier, je l'ai attendu plus d'une heure et là elle veut rentrer, mes potes sont là on devait s'éclater et cette conne.
— Oh arrête, va les voir tes potes, si tu ne sais pas apprécier la compagnie d'une jolie fille casse toi.
Il regarde sa copine, mais il lui tend la main, le regard menaçant :
— Viens, on va les rejoindre.
— Aller Sophie, vient te fait pas prier ?
Pour la première fois j'entends le son de sa vois
— Non vas-y tout seul !!
Et elle se cache derrière moi.
Il avance vers, moi. Mes yeux deviennent noirs de colère.
— N'essaye même pas, lui dis-je, en le voyant lever la main pour attraper Sophie.
Il fait un pas en arrière et tend la main à Sophie.
— Si tu ne viens pas maintenant, tu ne me vois plus.
Sophie ne répond pas et baisse la tête en restant derrière moi.
Le garçon s'en vas et Sophie s'effondre en pleur dans mes bras.
— Oublie-le, tu es trop belle pour lui, comme pour les autres hommes en fait.
— Les mecs sont trop cons. Il fait chier ce mec.
— C'est pour ça qu'on est là ?
— Qui ?
— Les filles comme moi, pour prendre soin des jolies demoiselles comme toi. Allez viens avec moi.
Je lui tends la main, et je la guide vers ma table. Nous buvons un verre en faisant connaissance. J'apprends qu'elle était avec ce mec depuis presque un an, et a toujours dû subir et n'a jamais reçu de compliments après avoir couché avec lui. Je ne cesse de la regarder, elle est surprise d'avoir une regard doux posé sur elle. Elle est très attirante. Sa chevelure blonde au-dessous des épaules et légèrement ondulés. Sa robe à brettelles dans les teintes dorées pas trop courte lui va à ravir, bien sûr elle porte des talons. Elle est légèrement maquillée.
— Pourquoi tu me regardes comme ça ? me demande t'elle.
— Tu es très belle, Sophie, tu me plais vraiment.
— Tu es lesbienne ?
— Bien sûr tu ne l'avais pas deviné ?
— Non, pas du tout,
— Maintenant tu sais.
— Je ne connais même pas ton prénom.
— Karine est mon vrai prénom, mais avec ma copine on en a trouvé un autre qui me correspond mieux.
— A bon lequel ?
— Vincent.
— C'est un prénom de garçon ça !!!
— Oui, mais on trouve que ça me va mieux.
— Tu as été plus courageuse que bien des mecs tout à l'heure ça ne m'étonne pas. En plus tu n'es pas vraiment féminine.
— Je prends ça pour un compliment.
Nous finissons nos verres et je propose à Sophie de la raccompagner afin de lui éviter d'être seule dans les transports en commun. Je me lève et lui tends la main pour l'aider à se lever. Mais un peu surprise, elle laisse sa main dans la mienne, nos doigts croisés. Nous nous dirigeons vers le bar pour payer et juste avant de partir nous apercevons celui qui est désormais son ex. Sophie, en étant sûr qu'il nous voit, me fait un bisou sur la joue. Une fois dehors, toujours main dans la main, je lui demande pourquoi ce bisou.
— Je voulais lui faire comprendre qu'il m'a perdue.
— Alors il fallait m'embrasser sur la bouche Sophie.
— Je n'ai jamais embrassé une fille, je n'ai pas osé.
— Tu as envie que je t'embrasse Sophie ?
Elle baisse la tête et timidement et me répond avec une voix très timide
— Depuis que tu m'as dit que j'étais belle et attirante, j'ai envie que tu m'embrasses Vincent.
— Tu m'appelles Vincent ?
— Oui tu as raison, ça te va mieux.
Nous continuons à marcher en direction de ma voiture, j'avoue avoir un malin plaisir à avoir la main de Sophie dans la mienne. Magali avait raison, certaines filles seront mieux en ma compagnie qu'avec leur mec. Une fois assises dans la voiture, Sophie me donne la direction à suivre. Ma main est posée sur sa cuisse. Une fois devant chez elle, je lui demande son numéro de téléphone. Elle prend mon téléphone et le note elle-même dedans. Sophie se penche vers moi pour me rendre mon téléphone. Je ne résiste pas, et tendrement lui donne un baiser sur les lèvres.
Sophie me regarde surprise, mais me rend mon baiser. Je raccompagne Sophie à sa porte, elle me tient la main. Contre sa porte nous nous embrassons tendrement, puis plus de retenue, le baiser devient fougueux.
— Vincent, tu embrasses mieux que mon ex, j'en veux encore.
— Promis je t'embrasserai encore Sophie, mais pour ce soir, restons raisonnable.
— Comme tu veux Vincent, j'attendrais ton coup de téléphone avec impatience.
— Compte sur moi.
Après un dernier baiser, je laisse Sophie et m'empresse d'appeler Magali
— Ma belle, tu avais raison, pour les filles qui seraient mieux avec moi.
— Ah bon pourquoi ?
— Je viens d'en quitter une, et elle finira dans notre lit. Je me dépêche et on en parle.
Une fois rentrée, J'embrasse Magali mais elle est bizarre.
— Qu'est ce qui ne va pas ?
— On vient de m'a appelé tout à l'heure pour me proposer le boulot que je voulais. Mais c'est loin, près de ma famille. C'est pour 1 mois et peut être un CDI ensuite.
— Fonce, tu en rêves depuis longtemps de ce boulot fonce ma belle. C'est génial pour toi.
— Tu es un amour, mais tu vas me manquer tu sais Vincent.
— Tu trouveras une autre nana à transformer en mec, dis-je en rigolant.
— Et toi tu vas sauver plein de filles des vilains garçons.
On s'embrasse et faisons l'amour bien sur avant de nous coucher. C'était très tendre ce soir-là. Peut-être avons-nous senti que nous ne ferions plus l'amour ensemble avant un petit moment.
Epilogue :
Magali est partie travailler à l'autre bout du pays pour un mois. A l'issue elle a signé un CDI. Et le confinement a été déclaré. Ne pouvant pas la rejoindre à cause de mon travail, nous avons décidé de nous éclater chacun de notre côté. Nous nous sommes promis de nous revoir en sex friend.
Magali est heureuse en couple avec une fille bien sur
Du coup j'ai recontacté Sophie. Mais ce sera peut-être une autre histoire à raconter.
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