Karine et moi pendant le stage
Récit érotique écrit par Jerinak [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Karine et moi pendant le stage
Karine et moi pendant le stage
Pour valider ma dernière année d’étude, je devais faire un stage de six mois en entreprise. J’ai fini par décrocher mon stage dans une petite entreprise à 200km de chez moi. Lorsque je suis arrivé, le directeur de l’entreprise m’a fait faire le tour de son entreprise pour que je rencontre l’ensemble du personnel. Cela m’a permis tout de suite de voir les femmes de l’entreprise. Pour être honnête, il n’y en avait pas beaucoup car l’essentiel du personnel est masculin. Deux de ces femmes ont attiré mon attention.
La première s’appelle Cécile. C’est une brune d’environ 30/35 ans. Elle mesure environ 1m65 et elle est plutôt ronde. Elle a une jolie paire de seins et un cul très généreux. Elle possède une voix magnifique qui charme tous ceux qui l’entendent. La seconde s’appelle Karine. Elle est blonde, les yeux marrons. Elle doit faire 1m70 et contrairement à Cécile, elle est très fine. Elle a de très petits seins mais son cul est rebondi sans pour autant être énorme. Elle est moins belle que Cécile mais bien qu’étant finalement assez quelconque, elle dégage un certain charme. Elle a 37 ans.
Pendant mon tour de l’entreprise, chacun me présente son travail mais je dois avouer que lorsque Cécile me présente le sien, je suis bien plus intéressé par ses courbes que par sa présentation. Je suis assis à coté d’elle et je peux sentir son délicieux parfum. Je m’approche un peu d’elle et je fini par poser ma main sur sa cuisse mais elle me repousse gentiment. J’apprends par la suite qu’elle est mariée et surtout je vais assez rapidement comprendre qu’elle est la maitresse du directeur de l’entreprise bien que ce dernier est au moins 30 ans de plus qu’elle.
J’ai découvert leur relation un jour où je suis allé voir le directeur. Lorsque j’ai frappé à la porte de son bureau, personne n’a répondu mais j’ai entendu des bruits qui ne m’ont pas laissé de doute sur les activités du directeur. J’ai donc écouté plus attentivement et j’ai rapidement reconnu la douce voix de Cécile. Je suis donc retourné à mon poste et lorsque j’ai entendu la porte du bureau du directeur s’ouvrir, je m’y suis rendu. Dans le couloir, j’ai croisé Cécile et j’ai remarqué qu’elle avait du sperme sur son décolleté. J’ai du la regarder étrangement car elle a rougi en comprenant que j’avais certainement tout compris. En entrant dans le bureau du directeur, j’ai aussi remarqué qu’il était épuisé et complètement ailleurs. J’ai alors entamé la conversation :« - J’ai une question à vous poser si vous avez le temps.
- Je n’ai pas le temps, repasse demain, je ne suis pas en forme car je suis malade.
- Très bien à demain et soignez vous bien ! »
Malade ! Mais bien sur. Il était surtout exténué d’avoir sauté une salope qui a trente ans de moins que lui. Naïvement, je me demande ce qu’elle lui trouve avant de me souvenir qu’il doit avoir un très bon compte en banque et qu’il peut lui donner des avantages. Du coup, j’ai compris une chose, c’est que je ne baiserai pas Cécile. Je vais donc me rabattre sur Karine.
Je ne la fréquente pas beaucoup par le travail. En fait je la vois essentiellement à la pause de midi. Pendant ces déjeuners, j’en ai appris d’avantage sur elle. Elle est mariée et elle a deux enfants. Cela ne va pas me faciliter la tache pour me la faire mais j’ai déjà baisé des femmes mariées qui se disaient heureuses en amour. Pendant ces repas, j’ai plusieurs fois eu l’occasion de la frôler, de lui toucher le bras ou de me coller à elle pour accéder à un placard par exemple. Au fur et a mesure, j’ai constaté qu’elle se laissait de plus en plus faire. Une fois elle m’a fait venir dans son bureau pour m’expliquer une démarche administrative. J’étais assis à coté d’elle et malgré la présence d’une autre collègue juste en face, lorsque j’ai posé ma main sur sa cuisse, elle n’a rien fait pour me repousser.
Malgré tout, il nous était assez difficile d’aller plus loin sur notre lieu de travail et elle ne pouvait pas se libérer après le travail à cause de ses enfants et de son mari. Il s’est donc passé presque deux mois avant qu’une occasion en or s’offre à moi. En effet, l’entreprise devait fermer deux semaines pendant l’été. Mais pour des raisons personnelles, Karine est la seule qui a eu le droit de ne pas prendre ses congés pendant cette période. Et étant donné que je suis stagiaire, je n’ai pas le droit de prendre de vacances car l’entreprise n’est pas fermée. Mais finalement, cela ne me gène pas trop car je vais avoir une occasion pour baiser Karine.
Ces deux fameuses semaines arrivent enfin et lorsque j’arrive au boulot le lundi matin, je découvre Karine qui porte une robe bien plus courte et sexy que d’habitude. Il s’agit d’une robe noire à bretelle qui s’arrête mi-cuisse. Elle a du boulot alors j’entame le mien et finalement nous nous retrouvons tout les deux à la pause de midi. Lorsque j’entre dans la salle de pause, elle entame la conversation :« - Au moins on ne va pas être séré pendant quinze jours !
- Non c’est sur.
- C’est plus relax quand ni le chef ni les autres ne sont pas là.
- C’est pour cela que tu t’habilles plus relax ?
- Oui ! Pourquoi elle te gène ma tenue ?
- Pas du tout. Elle te va très bien et elle te me plus en valeur que celles que tu as d’habitude !
- C’est gentil. Si ça te plait alors je pourrais m’habiller comme ça sans culpabiliser.
-Ca ne me gène pas du tout. Il faut se mettre à l’aise.
- Si en plus j’avais un bon massage ça serait le top ! »
Nous discutons ensuite normalement mais au moment de partir, elle me dit : « c’est dommage comme il y personne d’autre dans la salle, on ne peut pas se frotter l’un à l’autre pour passer ! »
En début d’après midi, elle me demande de venir à son bureau. Elle me demande mon avis sur des commandes qui doivent être faites. Lorsque nous avons terminé, je me lève mais elle me pose une autre question. Comme je dois me pencher sur l’écran et que je suis derrière elle, je pose mes mains sur ses épaules nues. Je sens un frisson parcourir son corps et elle ne me demande pas de les enlever. Avant que je ne reparte, elle reparle du massage qu’elle aimerait tant avoir et comme mes mains sont sur ses épaules, j’entame alors un massage. Je caresse délicatement ses épaules et la base de son cou.
« - Pourquoi tu ne l’as pas dit plus tôt que tu masses aussi bien ?
- J’ai pas de talent particulier !
- Tu te débrouilles tellement bien. Mmmm qu’est ce que c’est bon.
(Je commence alors à faire des bisous dans son cou et mes caresses vont de plus en plus vers ses seins qui pointent à travers sa robe. Au passage, j’ai remarqué que Karine ne porte pas de soutient gorge. Elle gémit sous mes caresses).
- Mon dieu qu’est ce que c’est boonnnnn. Continue je t’en supplie. Ca fait des années que je ne me suis pas senti aussi bien !
- Je peux te faire encore plus de bien si tu veux.
- Ouiiii vas y ! »
Elle s’abandonne totalement à moi et si j’en crois sa façon de réagir, son mari ne doit plus trop ou pas bien s’occuper d’elle. Pour lui donner encore plus de plaisir, je viens me placer devant elle. Je m’agenouille et je dépose des baisers sur ses cuisses tout en les caressant. Puis elle écarte d’avantage les cuisses et pose ses jambes sur son bureau. Elle ne porte pas de culotte et elle mouille tellement que son siège est trempé. Je pose alors ma langue sur son clito. Je lui fais un cunni et je la doigte. Elle gémi encore plus fort et son corps se raidi. Elle me dit que son mari ne lui a jamais fait ça et qu’il ne la baise pas bien les rares fois où il s’occupe d’elle. Après seulement quelques minutes de ce traitement, elle atteint déjà l’orgasme. Je me redresse et je la regarde. Elle a un regard que je n’ai jamais vu chez elle. Un regard de coquine qui en veut encore. Elle défait ma ceinture et elle baisse rapidement mon pantalon et mon boxer. Elle caresse un peu mon torse mais c’est ma bite qui occupe tout de suite son attention. Elle me dit qu’elle est bien plus belle que celle de son mari. Je m’assois sur son bureau et elle fait rouler la chaise pour se rapprocher. Elle met ma bite dans sa bouche puis elle me suce. Elle manque clairement de pratique mais elle me fait quand même du bien. Elle me suce de longues minutes avant que je ne résiste plus à l’idée de la prendre. Je l’allonge sur le bureau. Je place ses fesses sur le bord et ses jambes sur mes épaules. Je me place devant elle. Avant que je la prenne elle me supplie de la prendre violement car depuis qu’elle a lu certains livres, c’est l’un de ses fantasmes. Je la bourre alors sauvagement. Elle gémit de plaisir. Elle tente de se redresser mais comme je suppose que parmi les livres qu’elle a lus il y a des livres du genre de Cinquante Nuances de Grey, je la plaque sur la table en « l’étranglant » doucement. De mon autre main, j’agrippe sa cuisse et je la défonce le plus vite possible. Elle jouit à nouveau et moi non plus je ne peux plus me retenir. Je sors de sa chatte et je lâche de puissants jets qui viennent s’écraser sur son ventre mais aussi sur sa robe qui est sur le bas de ses seins et le haut de son ventre. Elle me regarde droit dans les yeux et me dit : « Merci mon mari ne m’avait jamais démonté comme ça ! Aller tu dois bien avoir du travail mais j’aurais bientôt à nouveau besoin de toi. »
Je retourne donc à mon bureau mais je n’ai pas été très efficace. Nous avons baisé tous les jours pendants ces deux semaines. Nous avons baisé un peu partout, sur son bureau, sur le mien, dans le hall d’accueil ou dans la salle de pause. Nous avons baisé dans tous les sens, debout, sur nos chaises, sur la table, sur nos bureaux, sur l’imprimante et même sur des machines-outils. Je pensais qu’avec le retour des autres, Karine allait reprendre sa vie d’avant mais j’ai, pour mon plus grand plaisir, compris que ce n’était pas le cas.
Un matin, elle me demande de venir à son bureau pour régler une affaire. Elle porte un chemisier assez ouvert et une jupe qui s’arrête au dessus des genoux. Comme nous sommes toujours en été, elle ne porte pas de collants. Je m’assois à coté d’elle et elle m’explique son truc. Je vois que la collègue qui est en face est absorbée par son travail. De toute manière, elle ne peut voir que nos têtes et nos épaules et elle n’a pas une tête à être cochonne et à se douter que l’on peut faire des trucs au boulot. Je décide alors de poser une main sur la cuisse de Karine. Elle fait comme si de rien n’était mais elle écarte d’avantage les jambes. Je fais alors glissé ma main le long de sa cuisse et je rencontre un bout de tissu. Voila qu’elle met des dessous maintenant ! Mais cela ne m’arrête pas et je passe mes doigts dessous. Je caresse délicatement sa chatte. J’enfonce finalement un doigt en elle mais elle serre immédiatement les cuisses et baisse la tête pour cacher les spasmes que cela lui procure. Elle prend mon bras pour que j’enlève ma main de sa chatte.
Je retourne à mon bureau un peu déçu mais très excité. Une heure plus tard, Karine passe à mon bureau et me demande de venir l’aider faire l’inventaire des pièces qui sont arrivées car le magasinier est en arrêt maladie. Je marche derrière elle en direction du magasin et je ne peux m’empêcher de bande en regardant son cul qui est parfaitement moulé par sa jupe. Sur le chemin, je remarque que plusieurs bureaux n’ont plus de porte et qu’un artisan est au travail. Karine m’informe que toutes les portes sont remplacées par des portes qui assureront une meilleure sécurité. Nous arrivons donc au magasin. Il s’agit d’un grand hangar qui contient toutes les pièces qui vont être utilisées par l’entreprise mais aussi les machines prêtent à l’expédition. Karine referme la porte et m’entraine dans le fond du hangar où se trouve un énorme groupe de cartons. Karine me dit alors que le magasinier a eu le temps de faire l’inventaire avant de partir et qu’elle a une activité bien plus intéressante à me proposer. Elle tire alors un carton et s’engouffre dans le tas de cartons. J’entre à mon tour et je comprends que Karine a construit une sorte de pièce secrète entre les cartons. En fait, elle a posé de gros cartons tout autour d’une étagère et elle a vidé un espace entre deux étages de cette étagère. Karine repousse le carton pour combler le trou par lequel nous sommes entrés. La hauteur sous plafond est basse et nous devons rester à quatre pates et encore, en baissant la tête. Mais nous avons assez de place pour nous allonger. Par contre nous n’y voyons pas grand-chose car il fait quasiment nuit noire entre les cartons. Je dois avouer que je suis épaté par son idée et je comprends ce qu’elle a fait pendant ces heures sup de la veille.
Je m’allonge sur le dos et Karine vient s’allonger sur moi. Elle m’embrasse à pleine bouche tandis que mes mains parcourent ses fesses. Au bout de quelques minutes nous sommes finalement nus. Karine veut me sucer mais elle manque de hauteur pour se mettre à coté de moi et elle manque aussi de place sur le coté. Nous nous allongeons donc sur le coté et Karine parvient à pivoter pour que l’on se place en 69. Je sens sa langue entrer en contact avec ma bite pendant qu’elle caresse mes couilles. De mon coté, ma langue lèche son clito et rapidement, elle entre dans sa chatte. Elle me demande de la prendre violement comme je le faisais pendant les deux semaines où nous étions seuls. Elle parvient à se positionner contre moi. Ma bite est contre ses fesses. Je la fourre finalement en cuillère. Je passe un bras autour de son cou tandis que de mon autre main j’agrippe ses hanches. Je la baise sauvagement pendant de longues minutes. Karine ne peut plus retenir ses cris. Mais comme je ne sais pas si les murs de cartons nous isolent bien, elle place sa bouche contre mon avant bras pour étouffer ses gémissements.
Karine, qui est très excitée, me demande de dépuceler son cul. Je suis assez surpris car elle me l’avait jusqu’alors toujours refusé. Je lui demande si elle en est sur et elle me le redemande. Comme nous ne pouvons pas trop bouger, je plonge mes doigts dans sa chatte pour les humidifier et étaler de la mouille jusqu’à son petit trou. J’insère doucement un doigt qui rentre assez bien. Je la doigte et je lui caresse le cul un long moment. J’insère un deuxième doigt. Elle me demande alors d’y aller pour de bon. Je place ma bite devant son trou et je m’enfonce doucement en elle. Elle pousse un cri de douleur mais je continue d’avancer un peu avant de me retirer. Je refourre ma bite dans son cul et cette fois, je vais un peu plus loin. En prenant le temps, j’arrive finalement à entrer ma bite en entier. Je fourre alors Karine comme une salope. Elle fini par prendre son pied même si je sens des larmes couler contre mon bras contre lequel elle plaque son visage pour ne pas hurler. Je fini par inonder son cul. Karine tourne sur elle-même et vient se blottir contre moi.
« - Merci c’était trop bon !
- Au début t’avais pas l’air de penser ça.
- Non mais après tu m’as fait tellement de bien. C’est vraiment trop bon. Mon mari est vraiment un con de n’avoir jamais voulu me prendre par le cul.
- Oui je confirme. Faut être un gros con pour ne pas sauter un si joli cul !
- En plus pour débuter, sa bite m’aurait fait moins mal.
- Tu t’es bien ouverte quand même. J’ai connu des dépucelages plus compliqués.
- Oui mais … »
Karine s’interrompt en entendant la porte du magasin s’ouvrir puis se refermer à clé. Même si nous sommes très bien cachés, nous ne devons pas faire de bruit et nous sommes coincés. Karine m’assure qu’elle n’a mis que des cartons qui ne partent pas avant plusieurs semaines pour faire notre nid d’amour donc normalement personne ne va toucher aux cartons. Nous entendons deux personnes marcher. Un homme et une femme pour être exact. Karine comprend tout de suite qui ils sont car il n’y a que deux clés pour ouvrir le magasin. Une est en sa possession, l’autre est au directeur et comme il n’a plus de porte à son bureau, il a du trouver un autre endroit pour se faire Cécile. Très rapidement sa théorie est vérifiée lorsque nous entendons les voix de Cécile et du directeur. Nous avons un grand moment de stress lorsque nous sentons des cartons bouger. Mais heureusement, elle a aligné plusieurs rangers de cartons pour faire les murs. Les deux amants doivent être en appui sur l’étagère dans laquelle nous sommes. Nous restons l’un contre l’autre et nous entendons tout. Voici en résumé et en accéléré (bien que cela est durée dix mminutes maximum) :« - Vas-y ma cochonne de secrétaire, suce-moi la bite.
- Oui monsieur avec plaisir.
- Laisse-moi libérer tes gros nibards de salope. »
Nous entendons des bruits caractéristiques d’une pipe. Puis Cécile commence à gémir. Il doit lui faire un cunni ou lui bouffer les seins. Puis il reparle :« - Lèche moi le cul ma pute adorée.
- Oh vous êtes un coquin monsieur.
- T’es une chienne, je suis sur que tu aimes ça. Et puis ça me fait bander si dur !
- Oh j’espère que je vais en profiter après ?
- T’inquiète pas ma petite Cécile. Si je te file une prime à la fin du mois, je veux que ça en vaille le coup alors je vais déglinguer ta chatte de maman infidèle en manque de bite. »
Nous entendons des bruits de langue, des râles de plaisir et finalement les gémissements de Cécile. Il l’a prend sans retenu et cela fait bouger l’étagère. Entendre la douce voix de Cécile m’excite énormément même si je trouve qu’elle exagère un peu dans ses cris. Mais bon, elle doit satisfaire ce vieux pervers qui l’a saute pour avoir sa prime. Karine est elle aussi excitée par la situation et elle me branle doucement. Finalement elle vient se placer sur moi. Elle s’allonge et ma bite entre en elle. Elle plaque sa tête contre mon cou pour ne pas faire de bruit et serre ses bras autour de moi. Je pose mes mains sur son cul et je la pénètre pour notre plus grand plaisir à tout les deux. Au dessus de nous, le vieux ne tiens pas très longtemps et dans des cris assez étranges, il se vide dans Cécile. Finalement ils repartent et lorsque la porte du hangar se referme, j’accélère ma pénétration. Nos corps claquent l’un contre l’autre et je rempli la chatte de Karine qui jouit puis se relâche et reste contre moi. Nous restons un peu l’un contre l’autre mais cela fait déjà deux heures que nous sommes dans notre abri cartonné.
Nous nous rhabillons comme nous pouvons. Karine ne trouve plus sa culotte et pour cause, je l’ai mis dans ma poche. Nous sortons doucement des cartons. Nous ajustons nos habits. Elle tente une dernière fois de trouver sa culotte dans le noir mais finalement nous retournons dans les bureaux. Les autres me demandent comment cela c’est passé. Je réponds que je pensais que ça serait plus long et plus chiant surtout ! Avant de débaucher, je retourne voir Karine en prétextant de lui rendre le dossier de l’inventaire que nous avons fait. Dans la chemise qui contient le dossier, j’ai ajouté sa culotte et un post-it où j’ai écrit : « Surplus étrange : Une culotte très humide ». Elle n’est pas à son poste. Je demande à la collègue coincée d’en face de lui dire que j’ai apporté ce dossier.
Le soir, je reçois un SMS de Karine qui me dit qu’elle trouve que le travail que j’ai fait au cours de l’inventaire est excellent. Tout comme la rédaction et la mise à jour du dossier que j’ai fait après. Nous sommes retournés de nombreuses fois dans notre baisodrome en carton mais malheureusement, pour des durées plus courtes car faire un inventaire de plusieurs heures chaque jour c’est assez louche ! Au fur et à mesure que les cartons des murs étaient expédiés, nous avons remis d’autres cartons à la place afin que notre petite salle de baise soit utilisable jusqu’à la fin du stage. Vous pouvez mes donner votre avis sur ce récit ou poser vos questions à l’adresse suivante : Mcpfs@hotmail.fr ou intégrer le groupe Facebook : Fan des histoires de Jerinak.
Pour valider ma dernière année d’étude, je devais faire un stage de six mois en entreprise. J’ai fini par décrocher mon stage dans une petite entreprise à 200km de chez moi. Lorsque je suis arrivé, le directeur de l’entreprise m’a fait faire le tour de son entreprise pour que je rencontre l’ensemble du personnel. Cela m’a permis tout de suite de voir les femmes de l’entreprise. Pour être honnête, il n’y en avait pas beaucoup car l’essentiel du personnel est masculin. Deux de ces femmes ont attiré mon attention.
La première s’appelle Cécile. C’est une brune d’environ 30/35 ans. Elle mesure environ 1m65 et elle est plutôt ronde. Elle a une jolie paire de seins et un cul très généreux. Elle possède une voix magnifique qui charme tous ceux qui l’entendent. La seconde s’appelle Karine. Elle est blonde, les yeux marrons. Elle doit faire 1m70 et contrairement à Cécile, elle est très fine. Elle a de très petits seins mais son cul est rebondi sans pour autant être énorme. Elle est moins belle que Cécile mais bien qu’étant finalement assez quelconque, elle dégage un certain charme. Elle a 37 ans.
Pendant mon tour de l’entreprise, chacun me présente son travail mais je dois avouer que lorsque Cécile me présente le sien, je suis bien plus intéressé par ses courbes que par sa présentation. Je suis assis à coté d’elle et je peux sentir son délicieux parfum. Je m’approche un peu d’elle et je fini par poser ma main sur sa cuisse mais elle me repousse gentiment. J’apprends par la suite qu’elle est mariée et surtout je vais assez rapidement comprendre qu’elle est la maitresse du directeur de l’entreprise bien que ce dernier est au moins 30 ans de plus qu’elle.
J’ai découvert leur relation un jour où je suis allé voir le directeur. Lorsque j’ai frappé à la porte de son bureau, personne n’a répondu mais j’ai entendu des bruits qui ne m’ont pas laissé de doute sur les activités du directeur. J’ai donc écouté plus attentivement et j’ai rapidement reconnu la douce voix de Cécile. Je suis donc retourné à mon poste et lorsque j’ai entendu la porte du bureau du directeur s’ouvrir, je m’y suis rendu. Dans le couloir, j’ai croisé Cécile et j’ai remarqué qu’elle avait du sperme sur son décolleté. J’ai du la regarder étrangement car elle a rougi en comprenant que j’avais certainement tout compris. En entrant dans le bureau du directeur, j’ai aussi remarqué qu’il était épuisé et complètement ailleurs. J’ai alors entamé la conversation :« - J’ai une question à vous poser si vous avez le temps.
- Je n’ai pas le temps, repasse demain, je ne suis pas en forme car je suis malade.
- Très bien à demain et soignez vous bien ! »
Malade ! Mais bien sur. Il était surtout exténué d’avoir sauté une salope qui a trente ans de moins que lui. Naïvement, je me demande ce qu’elle lui trouve avant de me souvenir qu’il doit avoir un très bon compte en banque et qu’il peut lui donner des avantages. Du coup, j’ai compris une chose, c’est que je ne baiserai pas Cécile. Je vais donc me rabattre sur Karine.
Je ne la fréquente pas beaucoup par le travail. En fait je la vois essentiellement à la pause de midi. Pendant ces déjeuners, j’en ai appris d’avantage sur elle. Elle est mariée et elle a deux enfants. Cela ne va pas me faciliter la tache pour me la faire mais j’ai déjà baisé des femmes mariées qui se disaient heureuses en amour. Pendant ces repas, j’ai plusieurs fois eu l’occasion de la frôler, de lui toucher le bras ou de me coller à elle pour accéder à un placard par exemple. Au fur et a mesure, j’ai constaté qu’elle se laissait de plus en plus faire. Une fois elle m’a fait venir dans son bureau pour m’expliquer une démarche administrative. J’étais assis à coté d’elle et malgré la présence d’une autre collègue juste en face, lorsque j’ai posé ma main sur sa cuisse, elle n’a rien fait pour me repousser.
Malgré tout, il nous était assez difficile d’aller plus loin sur notre lieu de travail et elle ne pouvait pas se libérer après le travail à cause de ses enfants et de son mari. Il s’est donc passé presque deux mois avant qu’une occasion en or s’offre à moi. En effet, l’entreprise devait fermer deux semaines pendant l’été. Mais pour des raisons personnelles, Karine est la seule qui a eu le droit de ne pas prendre ses congés pendant cette période. Et étant donné que je suis stagiaire, je n’ai pas le droit de prendre de vacances car l’entreprise n’est pas fermée. Mais finalement, cela ne me gène pas trop car je vais avoir une occasion pour baiser Karine.
Ces deux fameuses semaines arrivent enfin et lorsque j’arrive au boulot le lundi matin, je découvre Karine qui porte une robe bien plus courte et sexy que d’habitude. Il s’agit d’une robe noire à bretelle qui s’arrête mi-cuisse. Elle a du boulot alors j’entame le mien et finalement nous nous retrouvons tout les deux à la pause de midi. Lorsque j’entre dans la salle de pause, elle entame la conversation :« - Au moins on ne va pas être séré pendant quinze jours !
- Non c’est sur.
- C’est plus relax quand ni le chef ni les autres ne sont pas là.
- C’est pour cela que tu t’habilles plus relax ?
- Oui ! Pourquoi elle te gène ma tenue ?
- Pas du tout. Elle te va très bien et elle te me plus en valeur que celles que tu as d’habitude !
- C’est gentil. Si ça te plait alors je pourrais m’habiller comme ça sans culpabiliser.
-Ca ne me gène pas du tout. Il faut se mettre à l’aise.
- Si en plus j’avais un bon massage ça serait le top ! »
Nous discutons ensuite normalement mais au moment de partir, elle me dit : « c’est dommage comme il y personne d’autre dans la salle, on ne peut pas se frotter l’un à l’autre pour passer ! »
En début d’après midi, elle me demande de venir à son bureau. Elle me demande mon avis sur des commandes qui doivent être faites. Lorsque nous avons terminé, je me lève mais elle me pose une autre question. Comme je dois me pencher sur l’écran et que je suis derrière elle, je pose mes mains sur ses épaules nues. Je sens un frisson parcourir son corps et elle ne me demande pas de les enlever. Avant que je ne reparte, elle reparle du massage qu’elle aimerait tant avoir et comme mes mains sont sur ses épaules, j’entame alors un massage. Je caresse délicatement ses épaules et la base de son cou.
« - Pourquoi tu ne l’as pas dit plus tôt que tu masses aussi bien ?
- J’ai pas de talent particulier !
- Tu te débrouilles tellement bien. Mmmm qu’est ce que c’est bon.
(Je commence alors à faire des bisous dans son cou et mes caresses vont de plus en plus vers ses seins qui pointent à travers sa robe. Au passage, j’ai remarqué que Karine ne porte pas de soutient gorge. Elle gémit sous mes caresses).
- Mon dieu qu’est ce que c’est boonnnnn. Continue je t’en supplie. Ca fait des années que je ne me suis pas senti aussi bien !
- Je peux te faire encore plus de bien si tu veux.
- Ouiiii vas y ! »
Elle s’abandonne totalement à moi et si j’en crois sa façon de réagir, son mari ne doit plus trop ou pas bien s’occuper d’elle. Pour lui donner encore plus de plaisir, je viens me placer devant elle. Je m’agenouille et je dépose des baisers sur ses cuisses tout en les caressant. Puis elle écarte d’avantage les cuisses et pose ses jambes sur son bureau. Elle ne porte pas de culotte et elle mouille tellement que son siège est trempé. Je pose alors ma langue sur son clito. Je lui fais un cunni et je la doigte. Elle gémi encore plus fort et son corps se raidi. Elle me dit que son mari ne lui a jamais fait ça et qu’il ne la baise pas bien les rares fois où il s’occupe d’elle. Après seulement quelques minutes de ce traitement, elle atteint déjà l’orgasme. Je me redresse et je la regarde. Elle a un regard que je n’ai jamais vu chez elle. Un regard de coquine qui en veut encore. Elle défait ma ceinture et elle baisse rapidement mon pantalon et mon boxer. Elle caresse un peu mon torse mais c’est ma bite qui occupe tout de suite son attention. Elle me dit qu’elle est bien plus belle que celle de son mari. Je m’assois sur son bureau et elle fait rouler la chaise pour se rapprocher. Elle met ma bite dans sa bouche puis elle me suce. Elle manque clairement de pratique mais elle me fait quand même du bien. Elle me suce de longues minutes avant que je ne résiste plus à l’idée de la prendre. Je l’allonge sur le bureau. Je place ses fesses sur le bord et ses jambes sur mes épaules. Je me place devant elle. Avant que je la prenne elle me supplie de la prendre violement car depuis qu’elle a lu certains livres, c’est l’un de ses fantasmes. Je la bourre alors sauvagement. Elle gémit de plaisir. Elle tente de se redresser mais comme je suppose que parmi les livres qu’elle a lus il y a des livres du genre de Cinquante Nuances de Grey, je la plaque sur la table en « l’étranglant » doucement. De mon autre main, j’agrippe sa cuisse et je la défonce le plus vite possible. Elle jouit à nouveau et moi non plus je ne peux plus me retenir. Je sors de sa chatte et je lâche de puissants jets qui viennent s’écraser sur son ventre mais aussi sur sa robe qui est sur le bas de ses seins et le haut de son ventre. Elle me regarde droit dans les yeux et me dit : « Merci mon mari ne m’avait jamais démonté comme ça ! Aller tu dois bien avoir du travail mais j’aurais bientôt à nouveau besoin de toi. »
Je retourne donc à mon bureau mais je n’ai pas été très efficace. Nous avons baisé tous les jours pendants ces deux semaines. Nous avons baisé un peu partout, sur son bureau, sur le mien, dans le hall d’accueil ou dans la salle de pause. Nous avons baisé dans tous les sens, debout, sur nos chaises, sur la table, sur nos bureaux, sur l’imprimante et même sur des machines-outils. Je pensais qu’avec le retour des autres, Karine allait reprendre sa vie d’avant mais j’ai, pour mon plus grand plaisir, compris que ce n’était pas le cas.
Un matin, elle me demande de venir à son bureau pour régler une affaire. Elle porte un chemisier assez ouvert et une jupe qui s’arrête au dessus des genoux. Comme nous sommes toujours en été, elle ne porte pas de collants. Je m’assois à coté d’elle et elle m’explique son truc. Je vois que la collègue qui est en face est absorbée par son travail. De toute manière, elle ne peut voir que nos têtes et nos épaules et elle n’a pas une tête à être cochonne et à se douter que l’on peut faire des trucs au boulot. Je décide alors de poser une main sur la cuisse de Karine. Elle fait comme si de rien n’était mais elle écarte d’avantage les jambes. Je fais alors glissé ma main le long de sa cuisse et je rencontre un bout de tissu. Voila qu’elle met des dessous maintenant ! Mais cela ne m’arrête pas et je passe mes doigts dessous. Je caresse délicatement sa chatte. J’enfonce finalement un doigt en elle mais elle serre immédiatement les cuisses et baisse la tête pour cacher les spasmes que cela lui procure. Elle prend mon bras pour que j’enlève ma main de sa chatte.
Je retourne à mon bureau un peu déçu mais très excité. Une heure plus tard, Karine passe à mon bureau et me demande de venir l’aider faire l’inventaire des pièces qui sont arrivées car le magasinier est en arrêt maladie. Je marche derrière elle en direction du magasin et je ne peux m’empêcher de bande en regardant son cul qui est parfaitement moulé par sa jupe. Sur le chemin, je remarque que plusieurs bureaux n’ont plus de porte et qu’un artisan est au travail. Karine m’informe que toutes les portes sont remplacées par des portes qui assureront une meilleure sécurité. Nous arrivons donc au magasin. Il s’agit d’un grand hangar qui contient toutes les pièces qui vont être utilisées par l’entreprise mais aussi les machines prêtent à l’expédition. Karine referme la porte et m’entraine dans le fond du hangar où se trouve un énorme groupe de cartons. Karine me dit alors que le magasinier a eu le temps de faire l’inventaire avant de partir et qu’elle a une activité bien plus intéressante à me proposer. Elle tire alors un carton et s’engouffre dans le tas de cartons. J’entre à mon tour et je comprends que Karine a construit une sorte de pièce secrète entre les cartons. En fait, elle a posé de gros cartons tout autour d’une étagère et elle a vidé un espace entre deux étages de cette étagère. Karine repousse le carton pour combler le trou par lequel nous sommes entrés. La hauteur sous plafond est basse et nous devons rester à quatre pates et encore, en baissant la tête. Mais nous avons assez de place pour nous allonger. Par contre nous n’y voyons pas grand-chose car il fait quasiment nuit noire entre les cartons. Je dois avouer que je suis épaté par son idée et je comprends ce qu’elle a fait pendant ces heures sup de la veille.
Je m’allonge sur le dos et Karine vient s’allonger sur moi. Elle m’embrasse à pleine bouche tandis que mes mains parcourent ses fesses. Au bout de quelques minutes nous sommes finalement nus. Karine veut me sucer mais elle manque de hauteur pour se mettre à coté de moi et elle manque aussi de place sur le coté. Nous nous allongeons donc sur le coté et Karine parvient à pivoter pour que l’on se place en 69. Je sens sa langue entrer en contact avec ma bite pendant qu’elle caresse mes couilles. De mon coté, ma langue lèche son clito et rapidement, elle entre dans sa chatte. Elle me demande de la prendre violement comme je le faisais pendant les deux semaines où nous étions seuls. Elle parvient à se positionner contre moi. Ma bite est contre ses fesses. Je la fourre finalement en cuillère. Je passe un bras autour de son cou tandis que de mon autre main j’agrippe ses hanches. Je la baise sauvagement pendant de longues minutes. Karine ne peut plus retenir ses cris. Mais comme je ne sais pas si les murs de cartons nous isolent bien, elle place sa bouche contre mon avant bras pour étouffer ses gémissements.
Karine, qui est très excitée, me demande de dépuceler son cul. Je suis assez surpris car elle me l’avait jusqu’alors toujours refusé. Je lui demande si elle en est sur et elle me le redemande. Comme nous ne pouvons pas trop bouger, je plonge mes doigts dans sa chatte pour les humidifier et étaler de la mouille jusqu’à son petit trou. J’insère doucement un doigt qui rentre assez bien. Je la doigte et je lui caresse le cul un long moment. J’insère un deuxième doigt. Elle me demande alors d’y aller pour de bon. Je place ma bite devant son trou et je m’enfonce doucement en elle. Elle pousse un cri de douleur mais je continue d’avancer un peu avant de me retirer. Je refourre ma bite dans son cul et cette fois, je vais un peu plus loin. En prenant le temps, j’arrive finalement à entrer ma bite en entier. Je fourre alors Karine comme une salope. Elle fini par prendre son pied même si je sens des larmes couler contre mon bras contre lequel elle plaque son visage pour ne pas hurler. Je fini par inonder son cul. Karine tourne sur elle-même et vient se blottir contre moi.
« - Merci c’était trop bon !
- Au début t’avais pas l’air de penser ça.
- Non mais après tu m’as fait tellement de bien. C’est vraiment trop bon. Mon mari est vraiment un con de n’avoir jamais voulu me prendre par le cul.
- Oui je confirme. Faut être un gros con pour ne pas sauter un si joli cul !
- En plus pour débuter, sa bite m’aurait fait moins mal.
- Tu t’es bien ouverte quand même. J’ai connu des dépucelages plus compliqués.
- Oui mais … »
Karine s’interrompt en entendant la porte du magasin s’ouvrir puis se refermer à clé. Même si nous sommes très bien cachés, nous ne devons pas faire de bruit et nous sommes coincés. Karine m’assure qu’elle n’a mis que des cartons qui ne partent pas avant plusieurs semaines pour faire notre nid d’amour donc normalement personne ne va toucher aux cartons. Nous entendons deux personnes marcher. Un homme et une femme pour être exact. Karine comprend tout de suite qui ils sont car il n’y a que deux clés pour ouvrir le magasin. Une est en sa possession, l’autre est au directeur et comme il n’a plus de porte à son bureau, il a du trouver un autre endroit pour se faire Cécile. Très rapidement sa théorie est vérifiée lorsque nous entendons les voix de Cécile et du directeur. Nous avons un grand moment de stress lorsque nous sentons des cartons bouger. Mais heureusement, elle a aligné plusieurs rangers de cartons pour faire les murs. Les deux amants doivent être en appui sur l’étagère dans laquelle nous sommes. Nous restons l’un contre l’autre et nous entendons tout. Voici en résumé et en accéléré (bien que cela est durée dix mminutes maximum) :« - Vas-y ma cochonne de secrétaire, suce-moi la bite.
- Oui monsieur avec plaisir.
- Laisse-moi libérer tes gros nibards de salope. »
Nous entendons des bruits caractéristiques d’une pipe. Puis Cécile commence à gémir. Il doit lui faire un cunni ou lui bouffer les seins. Puis il reparle :« - Lèche moi le cul ma pute adorée.
- Oh vous êtes un coquin monsieur.
- T’es une chienne, je suis sur que tu aimes ça. Et puis ça me fait bander si dur !
- Oh j’espère que je vais en profiter après ?
- T’inquiète pas ma petite Cécile. Si je te file une prime à la fin du mois, je veux que ça en vaille le coup alors je vais déglinguer ta chatte de maman infidèle en manque de bite. »
Nous entendons des bruits de langue, des râles de plaisir et finalement les gémissements de Cécile. Il l’a prend sans retenu et cela fait bouger l’étagère. Entendre la douce voix de Cécile m’excite énormément même si je trouve qu’elle exagère un peu dans ses cris. Mais bon, elle doit satisfaire ce vieux pervers qui l’a saute pour avoir sa prime. Karine est elle aussi excitée par la situation et elle me branle doucement. Finalement elle vient se placer sur moi. Elle s’allonge et ma bite entre en elle. Elle plaque sa tête contre mon cou pour ne pas faire de bruit et serre ses bras autour de moi. Je pose mes mains sur son cul et je la pénètre pour notre plus grand plaisir à tout les deux. Au dessus de nous, le vieux ne tiens pas très longtemps et dans des cris assez étranges, il se vide dans Cécile. Finalement ils repartent et lorsque la porte du hangar se referme, j’accélère ma pénétration. Nos corps claquent l’un contre l’autre et je rempli la chatte de Karine qui jouit puis se relâche et reste contre moi. Nous restons un peu l’un contre l’autre mais cela fait déjà deux heures que nous sommes dans notre abri cartonné.
Nous nous rhabillons comme nous pouvons. Karine ne trouve plus sa culotte et pour cause, je l’ai mis dans ma poche. Nous sortons doucement des cartons. Nous ajustons nos habits. Elle tente une dernière fois de trouver sa culotte dans le noir mais finalement nous retournons dans les bureaux. Les autres me demandent comment cela c’est passé. Je réponds que je pensais que ça serait plus long et plus chiant surtout ! Avant de débaucher, je retourne voir Karine en prétextant de lui rendre le dossier de l’inventaire que nous avons fait. Dans la chemise qui contient le dossier, j’ai ajouté sa culotte et un post-it où j’ai écrit : « Surplus étrange : Une culotte très humide ». Elle n’est pas à son poste. Je demande à la collègue coincée d’en face de lui dire que j’ai apporté ce dossier.
Le soir, je reçois un SMS de Karine qui me dit qu’elle trouve que le travail que j’ai fait au cours de l’inventaire est excellent. Tout comme la rédaction et la mise à jour du dossier que j’ai fait après. Nous sommes retournés de nombreuses fois dans notre baisodrome en carton mais malheureusement, pour des durées plus courtes car faire un inventaire de plusieurs heures chaque jour c’est assez louche ! Au fur et à mesure que les cartons des murs étaient expédiés, nous avons remis d’autres cartons à la place afin que notre petite salle de baise soit utilisable jusqu’à la fin du stage. Vous pouvez mes donner votre avis sur ce récit ou poser vos questions à l’adresse suivante : Mcpfs@hotmail.fr ou intégrer le groupe Facebook : Fan des histoires de Jerinak.
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