Kentin 12 Fanstasme assouvi

- Par l'auteur HDS Kentin -
Récit érotique écrit par Kentin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Kentin 12 Fanstasme assouvi Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Kentin 12 Fanstasme assouvi
Le soir, souvent j’étais trop fatigué pour entreprendre quoi que ce soit car en plus de la salle de sport, je faisais aussi de la course. Après le repas du soir, elle me faisait enfiler un legging à elle sans rien dessous, elle me conduisait à quelques kilomètres de la maison et je devais rentrer en courant.
La pratique intensive du sport avait partiellement calmé mes envies. Le soir j’étais crevé et docile. Je m’endormais comme un bébé. J’acceptais beaucoup mieux les escapades de Corinne. Je l’interrogeais moins sur ses relations avec Pierre. Je n’allais plus que rarement sur les sites porno. Je ne pratiquais plus la masturbation pénienne même lorsqu’elle me laissait sans mon étui. Par contre je n’avais pas renoncé à la masturbation de mon petit trou avide. Il m’arrivait d’imaginer qu’un homme viril se vide en moi comme l’avait fait Pierre. Mais dans mes fantasmes il ne s’agissait plus de Pierre. Nos relations s’était nettement refroidie depuis la soirée coquine avortée. Il me fuyait. Et c’est vrai que pour ma part le fait de ne pas assumer notre relation m’avait meurtri.
Corinne s’évertuait à m’exciter et à me provoquer quand nous étions tous les deux en sortie. Elle se frottait à moi, m’embrassait, me caressait à travers le pantalon.
-Il faut me dire si ça t’embête, mais tu m’excites vraiment avec tes petites pommes dans des dessous de filles. Tu es tellement craquant.
Un après-midi, alors que nous étions en promenade. Elle me proposa soudain de nous arrêter sur une plage. C’était en semaine, il n’y avait pas grand monde. Je n’avais pas de maillot. Elle par contre avait son sac de plage dans le coffre et de mit enfila son une pièce. Le tissus noir moulant rendait son corps désirable. Moi pour ma part, je me suis mis torse nu et j’ai gardé mon pantalon.
- Tu ne vas pas rester en pantalon à la plage; ça fait plouc.
-Je te rappelle que je n’ai pas pris de maillot et en plus tu sais ce que j’ai dessous.
- Si tu veux je te prête le bas de mon deux pièces.
-Tu es folle ou quoi. Si les gens s’en aperçoivent…-Tu les vois où les gens?
C’est vrai qu’il n’y avait pas grand monde.
-En plus moi , ça m’exciterait de te voir en monokini sur la plage. Je crois que j’en deviendrais incontrôlable, mon doudou.
Son regard était coquin. Elle a posé sa langue sur mon téton l’a fait tourné puis l’a mordu. j’ai sursauté.
-Alors tu le fais…Je n’ai pas su lui résister en je me suis contorsionné pour ôter mon shorty pour en filer le bout de tissus.
-Tu vois ce n’était pas si dur…Je savais par expérience que même si la nature ne m’avait avantagé, ma queue était capable de sortir par l’élastique.
-Tu sais que ça te vas plutôt bien. Mets-toi debout.
Je regardai à droite et à gauche pour voir si personne ne nous regardait.
-Finalement, on voit à peine la bosse. Je pense que pourrais même porter des strings si on parvenait à cacher tout ça.
Je me suis allongé de nouveau. Elle s’est collée à moi et m’a embrassée à pleine bouche. Elle a même retirer les bretelles de son maillot et j’ai senti ses seins réchauffés de soleil se coller à moi. Elle avait perdu toutes ses anciennes pudeurs au contact de Pierre. Je me suis mis à bander.
-Et bien, qu’est-ce que je sens là. Depuis combien combien de temps tu n’es pas…-Je n’aime pas parler de ça.
-Tu sais c’est naturel que tu le fasses. J’ai lu que les hommes doivent se purger pour que leur semence ne leur monte pas à tête. Cela ne me fait pas plaisir, tu le sais bien, mais si c’est la nature, on n’y peut rien .Et, de toute façon, comme nous ne faisons plus l’amour de manière traditionnelle...
-Plus d’une semaine. Dix jours si tu veux savoir.
-Je peux arranger ton problème si tu veux. Retourne-toi.
Je me suis mis sur le ventre. Elle a craché dans sa paume. Sa main est venu au contact de mon sexe dans le petit maillot de bain de fille.
-Allez, Doudou. Baise ma main comme si c’était ma chatte.
J’ai commencé des petits mouvements.
- c’est bien, mon chéri, continue.
Les sensations commençaient à monter petit à petit. Mes ondulations devenaient de plus en plus amples. Ma respiration aussi.
-Vas-y, baise moi la main, je veux te sentir grossir encore et encore.
Elle me susurrait tout cela à l’oreille. Je gémissais. J’étais follement excité. J’avais atteint le point de non retour et j’ai fini par explosé dans sa paume.
-Tu en avais une dose, dit-elle en essuyant sa main sur le devant du maillot et sur le bas de mon ventre. Elle s’est retournée et a repris son livre.
-Et moi, comment je fais maintenant?
-Et bien c’est simple, tu vas à l’eau et tu te rinces. Tu ne t’es jamais demandé ce que je faisais quand tu te vidais entre mes jambes?
J’ai donc du me rincer dans l’eau glacée du début de saison pour me débarrasser du foutre que j’avais émis. Et je dois dire qu’au retour mes attributs avaient la taille d’un modeste bigorneau.

******
Corinne se donnait encore et toujours à Pierre. Mais j’avais l’impression que leur relation baissait d’intensité. Une impression, ou étais-ce le fait que je m’y intéresse moins qui rendait la chose plus banale? D’un autre côté elle me maintenait dans état de fatigue qui me faisait accepter ma condition. J’étais un homme docile mais les provocations qu’elle ne manquait pas de me faire lorsque nous étions de sortie réveillaient mon excitation. Un désir vain car je savais que le seul plaisir qu’elle retirait de moi était celui de mon humiliation et de ma frustration. Jusqu’à ce qu’elle s’en lasse, son mâle serait Pierre. Il me suffisait d’attendre.
A l’occasion de petite vacances elle me proposa de me faire rencontrer un homme capable d’assouvir mes pulsions sexuelles. L’occasion de la soirée avec Pierre avait été un fiasco. Elle avait choisi de contacter des hommes pour moi via un site de rencontres. Ses mots ont sonné comme un soulagement.
- Je me sens prête à t’offrir. Il faut bien que tu fasse ce que de ton côté tu me laisses faire. Je sais que vais en souffrir car tu es à moi.
- Si c’est uniquement pour te faire du mal, il vaut mieux laisser tomber…- Non, même si ça me fait mal J’espère pouvoir chasser cette idée qui te hante. Je suis persuadée que cette obsession de préférer les mecs te quittera une fois la chose essayée.

Elle a donc cherché un mec. Elle le voulait mûr et expérimenté.

Elle a fini par entrer en contact, avec un mec d’une cinquantaine d’année, le courant passait bien, du moins par SMS. Elle me faisait suivre leurs contacts. J’étais plus curieux qu’attiré par ce type d’expérience épistolaire.
Elle prit rendez-vous avec lui dans un bar et s’empressa de partager les photos de leur rencontre.
- J’ai rencontré le mec, il m’a fait bonne impression , il vient demain en début d’après-midi… Je vous laisserai seuls. Tu es toujours Ok?
-On fait comme tu as décidé.
En fait, ce n’est pas ce que pensais. Je trouvais ce type procédé complètement artificiel. Je ne goûtais pas la méthode. Je n’en avais avais plus envie.
- C’est bien mon coeur, je suis contente que tu ailles au bout de ton envie. Moi demain j’irai voir des copines comme ça vous aurez ainsi le temps de faire connaissance. Il te plaît?
- C’est un beau mec, grisonnant et expérimenté, d’après ce que tu m’as laissé voir. Je suis sûr que tu as bien choisi. Et puis j’ y pense depuis trop longtemps…- Tu sais ce que j’aimerais que tu fasses, que tu mettes une petite culotte sexy; une des miennes. Ça m’exciterait de te savoir en dessous sexy pour le recevoir...

Je rêve, ou ma femme est en train d’entrer dans mon jeu...J’hésitais entre l’envie de la mettre à quatre pattes et la baiser violemment pour lui rappeler qui était l’homme, et la remercier de m’accompagner aussi bien dans un tournant de ma vie sexuelle...J’ai évidemment opté pour la deuxième option...
- A une condition chérie, que tu ne me voies pas avec… tes sous vêtements- Bien-sûr mon amour, juste savoir que tu l’a mise me suffira....

Le lendemain matin, à mon réveil, je trouvai un string noir, au devant en dentelles; je l’avais plusieurs fois vu sur ma femme...

Je l’ai essayé en me disant que je ne rentrerais pas dedans...si, un peu tendu, mais il m’allait...Cette sensation de gêne entre les fesses a vite laissé place à une autre sensation; je sentais mon cul excitant, j’avais même envie d’accentuer mon déhanchement en marchant.

Ça m’excitait et m’inquiétait à la fois; mec, chienne, homo, bi, hétéro, qu’est ce que j’étais en train de faire, ou mettais-je les pieds. Avais-je raison d’aller au bout, pourquoi ais-je tant envie de connaître le sexe avec un mec, pourquoi ne me vois-je qu’en passif ? Tout se mélangeait encore dans ma tête, mais j’étais décidé. A l’heure du rendez-vous, elle m’embrassa et s’éclipsa, me souhaitant "un bon moment"...

Ça sonne. Je tremble...j’ouvre, je n’ouvre pas, je suis tout bizarre, apeuré, mais excité. J’appuie sur le bouton de l’interphone...C’est fait, il arrive; que dois-je faire, je lui propose un verre, on se tutoie, je commence à le toucher? tout se bouscule...

Il sonne à la porte, j’ouvre. Entre un bel homme, fidèle à la photo, calme, souriant. Je l’invite à s’asseoir, et lui sert un verre. Je m’assieds à côté de lui, un peu timide, le coeur battant. On discute de choses et d’autres, de nos passions de nos hobbys. Il y des silences parfois, pesants. Si il ne fait rien, je ne bougerai pas. Je me jure. Voyant ma gêne, il finit par m’attirer doucement vers lui. Je résiste un peu, c’est inconscient...

Puis je sens sa main sur ma queue...je me mets à bander, de plus en plus. Puis il passe sa deuxième main sur ma nuque, et m’attire vers sa bouche. C’est rugueux, le contact de ses lèvres est étrange, je suis habitué à la douceur de la femme, et je sens sa langue entrer dans ma bouche, me fouiller, je me laisse faire, et ma queue s’affole, je commence à aimer, à chercher sa langue, à l’embrasser sensuellement, et ça me plaît… Embrasser un mec c’est comme embrasser son double. Doucement, il me glisse à l’oreille.
-Tu es très belle, tu me plais beaucoupBelle? je ne comprends pas, mais je lis le désir dans ses yeux...
Il me tire vers le sol, et me met à genoux devant lui, tout en baissant son pantalon aux chevilles...mon coeur bat, ma bite mouille...
- Lèche mon slip, et fais durcir ma queue me dit -il avec douceurJe m’exécute, ma volonté de résister est nulle à cet instant, et je me mets à lécher son slip, sensuellement. Sa queue gonfle sous le coton, je la sens durcir, et ça me plaît de provoquer cela chez lui; je lèche de plus belle, il m’ordonne de le regarder en même temps. Je comprends que désormais et pour les prochaines heures, je lui appartiens, et je commence à me sentir comme une salope. Il sort sa queue par le côté de son slip, et dirige, toujours avec une douce assurance, ma tête vers ce sexe d’homme durci par le plaisir du contact de ma bouche.

Je passe ma langue dessus, ça sent le poivre et le musc, je trouve cette odeur presque excitante bien que très masculine, et je commence à le sucer, lentement, et j’y prends goût, à tel point que je bouge mon cul, commence à me branler, et gémis en même temps.

Sa respiration accélère, je sens cet homme, fondre sous les caresses de ma langue, et j’aime ça, je n’ai plus de doutes, tout s’accélère... il me demande d’enlever mon pantalon.

Presque timide, je l’enlève, et me trouve face à lui, en string.

J’entrevois une lueur dans ses yeux; ça lui plaît, l’initiative de ma femme était bonne; il se lève, et en me roulant une pelle passionnée commence à me toucher le cul, et passer sa main sous l’élastique. Je gémis, bouge mon cul de gauche à droite tant ses mains excitent mon cul.

- Tu es une vraie salope, ton attention me plaît beaucoup, j’ai envie de toi!

Cette phrase résonne; je suscite l’envie chez un mec, je le prends par la main, et l’attire vers la chambre, en prenant soin de rouler du cul comme une petite allumeuse.

Il me met à quatre pattes sur le lit, tire ma queue en arrière, et commence à me masturber. Je sens ses doigts écarter mon string, puis une langue chaude envahir mon anus...il me lèche, pénètre ma rondelle avec sa langue, je gémis, j’en redemande, mon cul est trempé de sa salive, et une sensation de chaleur envahit mon ventre...puis, il vient en face de moi, je suis toujours à 4 pattes, le cul en attente, la bite dure, gagné par une pulsion soudaine et intense : être sa chienne, et me faire prendre!

Il présente son sexe à ma bouche, et naturellement, je le suce, le lèche, m’y soumets, comme une petite pute...Toujours en douceur, je sens un doigt entrer dans mon cul, puis deux, il titille, écarte, enfonçant en même temps sa queue dans ma bouche, ma tête tourne, j’ai chaud, je veux être à lui!

Puis il revient se placer derrière moi, Il a enfilé un préservatif sans que je m’en rende compte. Je sens sa queue se frotter entre mes fesses, je me frotte, tente de me reculer pour la sentir, dure, dans ma raie, mon souffle s’accélère lorsque je la sens à l’entrée... Je réalise que je suis sur le point de me faire prendre le cul par un homme qui m’était inconnu tout à l’heure, je ne bande plus, mais je me trémousse de plus belle, pour mettre fin à cette interminable attente...

- Baise-moi, lui dis-je avec une voix de petite soumise en chaleur.

Il me tient fermement le cul, et commence à me pénétrer. C’est un peu douloureux au début, mais je sens que mon cul est trempé et glissant. Avec fermeté mais une douceur calculée, il entre petit à petit. Une sensation de plaisir s’empare de moi, je sens ses va-et-viens, et sa bite entrer en moi. Je commence à gémir, à bouger comme avec Pierre. Sauf que c’est plus un pote mais un homme quasi inconnu qui me baise, et j’adore ça, je suis une chienne, une salope qui satisfait un mec et qui le fait bander...je commence même à donner de la voix, avec des petits cris, chaque fois que je sens ses poils contre mon cul, signe qu’il m’encule profondément.
Je sens son sexe entier en moi, à genoux sur le lit, lui dans mon dos en train de m’enculer lentement et en profondeur, et il tourne ma tête pour m’embrasser avec passion; j’ai sa queue dans le cul, sa langue dans la bouche, je suis comblé, possédé, je lui appartiens, et je veux qu’il me prenne encore… Il sait tellement bien y faire
Il s’allonge ensuite sur le dos, et n’a même pas besoin de parler; la salope qui était en moi a pris le dessus, je place une jambe de chaque côté de ses hanches, et m’enfonce sa queue...il me baise, me tenant le cul avec ses deux mains, et je suis en chaleur, je cherche sa bouche, je bouge sur sa queue, et atteins une excitation jamais connue jusqu’ici...Soudain, mon coeur manque de s’arrêter, mes jambes se mettent à trembler, et l’excitation descend d’un coup!

Je constate presque avec effroi, mêlé à un sentiment de honte étrange, que ma femme est rentrée, sans bruit, et me regarde me faire baiser et me comporter comme une salope sous les coups de queue de ce mec. Je ne sais plus quoi faire. Etais-ce prévu entre eux? l Depuis combien de temps est elle là? Est-ce que je m’arrête, tout se mélange à nouveau dans ma tête.
L’homme tourne la tête, et la voit, toujours en moi à ce moment, il continue, et ne paraît pas plus étonné que ça.
-Entrez si vous voulez lui dit-il. Si vous voulez participer...
- Non merci. Je vous regarde tous les deux depuis tout à l’heure, vous êtes beauxJe suis tétanisé, je la regarde, elle me sourit.
-Vas-y , je veux te voir bouger sur la queue de ton homme
Enhardi par ces propos, le mec reprend mon cul en main; je suis en train de me faire baiser devant ma femme. Un peu gêné, je commence néanmoins à gémir. Ma femme est maintenant face à moi, je crie, je me fais limer la chatte, elle s’approche de moi, et me dit-Tu aimes vraiment, dis le moi.
-Oui j’aime, mon amour.
-Tu aimes quoi? me dit-elle d’un ton sévère, dis le!
-J’aime me faire baiser.
-Alors mets toi sur le dos, je veux te voir soumis à une bite les jambes écartées-Oui, obéis à ta femme ajouta l’homme.
Je me mis sur le dos, un peu troublé, gêné mais terriblement excité finalement par la tournure que prenait les choses, et le mec saisit sa queue et me l’enfonça dans le cul.

Puis il l’a sorti, et remis plusieurs fois, je sentais mon cul s’ouvrir et se fermer à chaque fois. Pour finir, il continua de m’enculer de plus belle. Ils voulaient m’entendre crier. Il saisit ma queue, et commença à me branler, en me regardant me crisper sous les coups de bite. Je n’arrivais pas à bander-Tu es une vraie salope, tu aimes la bite en fait...Regarde toi, tu n’arrives a bander avec une queue dans le cul...maintenant, tu vas sucer , et je voudrais ensuite jouir dans ton cul, pour prendre possession complètement de la petite soumise en string que tu es...toi tu ne jouiras pas, je veux te laisser en chaleur pour commencer le dressage que ta femme va t’imposer. J’ai failli exploser plusieurs fois tant la sensation d’être une femelle m’a excitée.
Je me suis laissé faire, encore, quel choix avais-je, désormais. Corinne m’avait vu rouler des pelles à un mec et me frotter en couinant sur sa queue pour finir par lui demander de me baiser, comment maintenant refuser un scénario?
Je me mis donc à genoux, et commençais à le sucer. Me femme tenait sa queue d’une main, et ma tête de l’autre, et m’enfonçait littéralement son sexe en bouche, le sortait, me le frottait contre les lèvres, en me disant que j’étais bien à ma place. Je ne me touchais pas, mais je sentais quand même un filet de liquide séminal couler; j’étais en transe, dirigé par ma femme sur la queue d’un bel homme mûr qui venait de faire de moi sa soumise sexuelle; je jubilais intérieurement.

Puis j’ai senti le pénis de mon mec se contracter; j’ai cru qu’il allait venir dans ma bouche, mais il s’enleva violemment, me remis sur le dos, enfonça sa queue d’un coup en moi, et déchargea son sperme dans mon cul, m’écrasant de tout son poids, et m’enfonçant sa langue dans la bouche.

Quand il eut fini, je cherchai ma femme du regard dans la chambre; plus personne, elle s’était envolée . Mon cul coulait encore du sperme de mon initiateur, et je me sentais soumis, comblé, mais toujours en chaleur...il m’embrassa encore quelques minutes, me faisant sucer sa langue, en enfonçant ses doigts dans ma chatte, puis s’arrêta net, et commença à se rhabiller.

Je l’ai raccompagné à la porte.
- Tu vas revenir me baiser hein...?

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Texte coquin : Kentin 12 Fanstasme assouvi
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