Kenya 2 - histoire érotique

Après avoir profité de sa pelouse nous sommes retournés vers la terrasse où se trouvait une surprise si on peut dire....une baignoire. En plein air comme avec vu sur la nature. Après avoir traversé une crise existentielle sur mes études et mes capacités en informatique par rapport à mon salaire je me rendis vite compte que la suite allait être très très agréable.

Tandis qu'elle faisait couler le bain en en penchant assez pour mettre en valeur son superbe derrière je reprenais une vigueur qui ne demandait qu'à s'exprimer. Je me mit dans son dos et la caressa en malaxant surtout sa poitrine pendant qu'elle me masturbait en appréciant la dureté de mon sexe.

Une fois le bain prêt elle s'allongea dans l'eau de tout son long (elle était grande sa baignoire) mais alors que j'allais pour m'allonger sur elle elle me demanda de m'allonger sur le dos. Ma foi pourquoi refuser deux coussins ? Même si je dois dire que c'est la première fois que je faisais cela.

Une fois très confortablement installé elle commença à me caresser. En premier le torse, comme moi même je l'ai fait avec elle. Puis ma belle kenyanne descendit sur mon ventre et mes flancs en frôlant de temps en temps mon sexe tendu qui dépassait à peine de l'eau.Mais il y avait aussi nos têtes qui se frottaient et c'était bon, elle avait la peau douce et m'embrassait dans le cou.

Après un délicieux moment je guidai ses mains vers mon sexe, je voulais voir ses doigts de gymnaste me branler et hmm elle savait y faire. En même temps une nana aussi sexy ne devait pas avoir de mal à trouver des volontaires. Je laissais ma tête en arrière sur son épaule pour profiter de ses deux mains sur ma queue.

-Tu aimes bien hein ?
-J'adore, je me suis pas fait branler aussi bien depuis longtemps.
-Ce n'est que le début. Elle mordit mon oreille et murmura. Je vais te faire la meilleure branlée de ta vie.
-Hmm, je me demande combien ont eu la chance d'entendre ça.
-Très peu mon mignon, et depuis longtemps.

Elle saisit mes bourses à pleines mains et les malaxas avec forces. Après un instant de douleur elle s'y prit comme il fallait. Je soufflait fors sur son visage souriant, c'était la java ! Et c'était que le début car elle abandonna sa masturbation pour me décalotter au maximum et me secouer littéralement le sexe.

Je me serais bien encore effondré sur son épaule si elle n'était pas en train de me lécher l'oreille tout en me murmurant des choses plus salaces les unes que les autres avec une voix rauque surexcitante, le tout sans oublier ses obus de marine dans mon dos.

-C'est bon oui t'arrêtes pas !
-Tu aimes ? Tu vas jouir ?
-Oui !
-Tu sens ton plaisir monter ? Tu sens que tu vas jouir dans mes mains ?
-Oui oui je vais jouir !
-Et si je te dit que je vais te donner plus ?

Ma bite se tendit encore plus (du moins ce fut mon impression) à ses mots. Nous soulevant sans peine ma belle gymnaste fit sortir le bout de mon sexe hors de l'eau. Abandonnant le malaxage de mes bourses elle posa sa main sur mon gland et se mit à tournoyer autour, comme un limage.

Je n'en pus plus et au bout de quelque secondes avec une légère morsure sur mon oreille je jouis dans sa main avec force; un véritable geyser, l'ouverture des écluses d'un barrage. Mon sexe se contracta dans sa main et j'expulsai ma semence dans l'eau en laissant des trainées blanches, les suivantes filèrent quelques centimètres dans les airs car elle se souleva "pour voir comment ça fait" et retombèrent dans l'eau en faisant le même bruit que la pluie tombant dans l'eau.

Nous restâmes un moment dans la baignoire, elle caressait distraitement mon sexe au repos en me cajolant. Finalement nous sommes sortis de l'eau pour nous diriger je ne savais pas encore où. Elle était terriblement sexy avec son corps couvert d'eau, scintillant au soleil. Sa poitrine arrogante était hérissé par la chair de poule.

Elle m'adressa un regard équivoque en passant par la baie vitrée et s'étira ostensiblement. J'avais du mal à croire qu'hier à la même heure nous n'avions, en tout cas pour moi, pas l'intention de faire quoi que ce soit. De plus je sentais dans son attitude et de par ses mots qu'elle entendait bien me réserver une sorte "d'exclusivité". Je mesurais ma chance en sentant le désir remonter en moi, mais franchement je n'étais pas un dieu du sexe, j'étais juste attentif à mes partenaires.

Ma belle africaine s'allongea sur l'escalier vers l'étage (et la salle de bain) et dans une pure excitation obscène écarta largement ses cuisse pour dévoiler son trésor qu'elle caressa avec un maximum d'exposition. Je restais immobile devant elle, appréciant le spectacle. Elle passa sa langue entre ses dents et se cabra avec un gémissement mais alors !

-Hmm tu n'en rajouterais pas un peu ?
-Ouh si...mais tu adores non ?
-Oh que oui. Je m'approchais et la relevais pour l'embrasser. Je ne t'imaginais pas aussi..
-Chienne ?
-Euh non non.
-Vulgaire si tu préfères. Moi m'en fiche du mot, la c'est moi qui choisit. Elle me donna un baiser très doux pour me rassurer mais le naturel de la situation revint très vite. Et maintenant vient me démonter hihi.

Durant notre montée des escaliers je ne me privais pas de la caresser et de l'embrasser sous toute les coutures avec ses soupirs ravis. Je la plaquais contre le mur avec l'intention de la prendre sur le sol mais elle me repoussa d'un doigt et ouvrit la porte menant sur la salle de bain et sa douche équipée de tous les gadget possibles et imaginables.

-Allonges toi dans la douche !
-Hum tu as hâte non ? Tu veux quelle température ?
-Après ! D'abord je veux te sentir dans moi !

Je m'allongeais en m'adossant contre le mur avec a nouveau le sexe prêt à l'action. Alors qu'elle s'allongeait sur moi je me rappelais qu'elle m'avait promis la sodomie !!! Et c'est ce qu'elle fit, son cul appétissant s'ouvrit comme les corolles d'une fleur et ma verge entra sans soucis dans son conduit étroit.

Je plaquais ma tête contre la paroi. Mon sexe était compressé à un point mais c'était pas ça du tout le meilleur. Non le plaisir c'était la réalisation de ce fantasme avec une fille aussi belle. On se connaissait depuis même pas une semaine et elle avait décidé de m'offrir tout les plaisirs. Je lâchais un grand cri à accompagné de son soupir quand je fus au maximum dans ses reins.

Passé un petit moment ou avons trouvé une position confortable nous avons enfin pu profiter. Cette fois les rôles étaient inversé et je murmurais à son oreille en appréciant ses soupirs langoureux. Ma belle kenyanne était à fleur de peau, il n’appartenait plus qu'à moi de la faire éclore.

Je passais mes mains sur son corps, pas seins non, d'abords ses flancs avec lenteur en suivant les sillons de ses muscles. Elle bougea légèrement, une petite réaction mais oooh ! Nous avons tous les deux gémit comme si c'était notre première fois avant de rire. Je repris ensuite vers en parcourant son ventre et descendant vers ses cuisses et surtout ce qu'il y avait entre.

Ses cuisses étaient serrés entre les miennes, aucun espace. Elle se les frottait sans y faire attention et semblait y retirer un sacré plaisir quand je voyais son miel couler. Je glissais mon index entre et atteignit son clitoris que je commençais à masser avec douceur. En même temps elle activa la douche et une eau délicieusement chaude tomba sur nous comme une petite pluie. Trois doigts, elle écarte ses cuisses, ses genoux se touchent, ma belle se cambre quand je la pénètre de mon majeur, son cul est si confortable.

La pièce est emplit de vapeur, l'ambiance est d'un érotisme, d'une sensualité. Je lui lèche l'oreille, j'abandonne son sexe pour caresser son corps et jouer avec sa poitrine? Sa peau est chaude, si douce, ses jambes écartées sont emmêlées dans les miennes et elle se masturbe d'une main et se caresse de l'autre. Elle est une chenille et je suis son cocon de plaisir.

Je décide de nous caler, je me prépare à ramoner son cul de rêve. Elle tourne un autre bouton et c'est une pluie intense qui nous tombe dessus pour nous noyer avec notre futur plaisir. Je saisit ses fesses et commence lentement mes va et vient. Elle pousse un cri et enfouit sa tête dans mon cou, Elle se doigte avec frénésie, se pince les tétons. La situation est d'une telle intensité.

-Oh oui, je la sens bieeeeeeeeeeeeeen.
-Han...han...Tu...oh..je te sens aussi..
-Tu es...ha....tu me fais tellement bien...
-Tu...veux la sentir encore plus ?
-Oui...oui...oui. Fais moi...Haa, comment on diiiiiit ?!
-Défoncer ? Tu..veux..que...je te défooonce ? Hmm !!
-Haa..haa oui défonce moi vas y ! Défonce moi !

On cri, on hurle. La vapeur est si dense que nos corps sont incertains. Elle bondit sur mon pieu avec une joie folle. On glisse, nous voila en cuillère, ça ne change rien nous continuons d'aller l'un à l'autre, je la serre de toute mes forces, je suis plongé dans ses cheveux trempés. Ses jambes tremblent, elles s'agitent sans cohérence emportées par le plaisir de ma partenaire.

Je sais pas si on le fait depuis dix minutes ou une demi-heure. J'en peux plus mon sang bat à mes tempes. Elle jouit, sa cyprine se mêle à l'eau qui coule, elle hurle son plaisir en swahili. Encore un coup de rein la lave monte, un autre mon sexe se contracte, encore un je me retiens, un dernier je vais mourir ! AAAAAH ! Je jouit, je me déverse, j'explose ! J'emplit ses reins de ma semence, je suis vide mais je me contracte encore, je jouit encore. Et je m'effondre.

Ma kenyanne ferme l'eau et s'allonge contre moi. On est épuisé, on arrive même plus à s'enlacer. On est juste l'un contre l'autre à se sourire. L'air saturé de chaleur et d'humidité se dissipe on reste quoi...une heure à nous remettre de nos émotions.

-Tu sais mon beau..
-Oui ?
-C'était ma première fois par la...