Kristine 10 Et aussi dans les bois - histoire érotique

Depuis que que j'avais pris la place de Sophie auprès de Damien j'essayais de me conformer au mieux à ce que mon jeune amant attendait de moi. Je m’efforçais de donner le change. Je portais des jupes courtes à la maison, des jeans moulants et chemisiers courts et serrés qui dévoilaient mon ventre et mes hanches. Nous sortions ensemble en ville pendant la journée. Je ne voulais plus cacher ma relation. Pendant des années j’avais été l‘épouse honteuse d’un alcoolique. Je savais qu’alors on me plaignait. J’en avais plus qu’assez pour passer pour la gourde de service. J'assumais totalement mon comportement et je me moquais bien de ce que vous pouvaient dire les gens.
Un matin nous avions décidé d’aller au marché dans une ville voisine. J’ouvris mon placard pour choisir mes vêtements. Rien de bien sexy, des tenues étroites et sévères pour asseoir mon statut au travail, et aussi des tenues négligées pour la maison. Comme il faisait chaud, j’avais envie de me sentir légère mais rien ne me convenait. Je rentre alors dans la chambre de Sophie, j’ouvre son armoire. Tout ce qui m’attire ce sont des chemisiers étriqués et des jupes minis bien trop courtes pour moi. J'essaye néanmoins une jupe de Sophie, c'est une de ces minis extensible qui couvre le cul et les hanches, mais c'est tout. Cette mini fait ressortir toutes mes courbes. J'essaye aussi un de ses hauts avec une coupe basse et seulement deux boutons à l'avant et je me regarde dans le miroir.
Doux Jésus, que de chair à l'air! Mes seins dans leur soutien gorge de dentelle blanche sont à moitié caché par le chemisier le bas de celui-ci ne couvre pas mon estomac. En me regardant dans le miroir, je me trouve plutôt sexy. Je passe mes mains de mes seins à mes hanches et sur mon ventre. Je me penche pour voir mes seins prêts à sauter hors du chemisier.Je tourne la tête pour admirer mon cul bien rond et bien dessiné dans cette jupe moulante et me penchant en écartant les jambes, je remarque dans le miroir, que la jupe extensible roule sur mes cuisses exposent mon cul et ma culotte de femme sage.
J’enfile une paire de talons noirs et me regarde encore une fois le miroir après le maquillage. Je retiens mon souffle, jamais il y a quelques semaines je m’aurais osé une telle tenue.
-Cette tenue vous va à ravir Kristine. Il m’ouvre la porte de l’automobile côté passager.
C’est devenu une habitude, c’est Damien qui conduit mon auto désormais. C’est lui qui garde les clés. Quand j’en ai besoin, je dois lui demander. Le matin quand il est libre, c’est lui qui me conduit au travail et lui qui vient me chercher le soir. Souvent, je dois l’attendre car il est souvent en retard.
Le marché est populaire et animé. Nous flânons d’étal en étal. Je sens le regard des hommes sur moi et aussi le regard acrimonieux des femmes quand la main de Damien se pose sur le bas de mon dos. Je suis heureuse et amoureuse. Je me sens investie d’une puissance et d’une assurance que je n’avais que peu connue dans ma vie d’avant.
Damien m'arrête devant un étal de lingerie. Il y a là des strings et les soutiens-gorge à prix réduits. Des choses que je n'aurais jamais porté tant je les trouvent vulgaires. C’était le genre de sous-vêtement que portent les pétasses, celles qui se maquillent trop. Je prends la chose en riant imaginant des jeunettes acheter ce genre de chose pour sortir en boîte le samedi soir.
-J'aimerais vous faire porter ces choses là Kristine . Il me montrait des sous-vêtements aux couleurs criardes: des strings, des soutiens gorges à balconnets. Il avait l’air sérieux.
-Voyons Damien je n’ai plus l'âge de porter une telle chose. Si vous voulez que nous allons dans une boutique de lingerie, il y a tant de choses plus classe...
- Mais non Kristine. Ce sont ses sous-vêtements de salope que je veux vous portiez. Sa voix était devenue soudainement ferme et moi aussi je me suis contractée. La vendeuse avait-elle entendu son propos?
Il a interpellé la femme.
-On peut essayer les sous-vêtements?
-Non Monsieur. Il faut d’abord acheter, lui répondit-elle avec un fort accent étranger.
-Vous avez bien une cabine d'essayage? Je souhaite que ma femme porte ces sous-vêtement maintenant, vous comprenez?Elle nous désigne son camion. Damien saisi un lot de strings particulièrement transparents il sort un billet paye directement la vendeuse.


-Allez vous changez Kristine.
Je monte l'arrière du camion encombré de cartons .Il y avait un rideau au fond qui faisait office de cabine d’essayage. Et pendant que je me changeais il revint avec un soutien-gorge transparent. Je me regarde dans la glace j'ai vraiment l'air d'une pute.
-Tu ressembles de plus en plus à ta fille. Allons descends, je te payes un verre. J’étais morte de honte. Le soutien gorge en mailles transparentes ne cachait pas mes aréoles et j’étais persuadée que tout le monde le voyait. J’étais boudeuse et colère. La journée avait si bien commencé et puis tout d’un coup il se montrait dur et autoritaire. Pourtant j’ai suivi Damien qui me tenait par la main, forçant mon pas malhabile à cause des talons. Nous nous sommes arrêtés à la terrasse.
-Si tu veux que nous passions une bonne journée ensemble, tu vas aller aux toilettes retirer ta culotte et me la donner.
- Vous êtes fou Damien. Vous venez de me payer cette culotte ridicule, et maintenant vous voulez que je la retire.
- Non je ne rigole pas, après tu verras ce que nous ferons, si j’ai pas ta culotte dans
ma poche je pense que je vais devoir partir et tu rentreras en bus.
-Je ne vais pas me balader sans culotte quand même!
- Essaye et tu verras comme c’est agréable…
Je résiste en boudant un peu. Le silence s’installe 5 minutes, 10 minutes. Il regarde sa montre.
-Je crois que vais y aller.
Je le retiens par la la main.
-C’est bien vous avez gagné...
Je me lève et part retirer ma culotte. A mon retour, Je lui donne discrètement
mon petit morceau de dentelle. C’est un fantasme particulièrement ridicule. Je me sens humiliée qu’il se serve de moi pour ce genre d’expérience. Si ça lui fait plaisir, pas moi en tout cas.
Il décide de continuer la journée avec une balade en forêt. Sur la route sa main vient se poser sur ma cuisse pendant qu’il conduit et remonte vers ma chatte dont je maintiens l’entrée fermée par mes cuisses serrées
Je ne dis rien, mais il sent bien ma réticence. Il me donne un tape sur les cuisses.
-Qu’est qui vous prend, Damien? Je ne suis pas une pute. Vous ne disposez pas de moi comme vous le voulez. Respectez mon désir.
-C’est là que vous vous trompez Kristine. A la maison vous vous comportez comme une chienne insatiable. Même en présence de votre mari, vous m’offrez vos orifices au mépris du danger et là vous comportez comme un mijaurée et vous parlez de respect. Le respect, votre fille Sophie et moi on vous en a montré. Pour ne pas vous géner, nous sortions faire l’amour dans des parkings déserts, dans des bois. Vous vous habillez avec ses vêtements, vous voulez prendre sa place. Je vous devez suivre alors suivre le même parcours.
Il force à nouveau l’ouverture de mes cuisses et me titille le clito. Il sent bien que je ne suis ni à l’aise ni sereine, toujours fâchée de l’épisode précédent. Mais je suis prête à céder.
Au bout de quelques minutes , je finis pas me relâcher et tendre mon bas ventre vers ses doigts.Si au moins ma tête ne suis pas, mon corps lui donnera-t-il la voie? Je me mets à onduler du bassin pour accentuer les sensations qui augmentent progressivement et finis par me libérer en jouissant quasiment en silence. Nous arrivons à la forêt. Nous avançons de quelques pas, il me prend prend par la main et m’amène en dehors du chemin vers un petit fourré. Il sort sa queue et sans rechigner, je m’accroupis et prend sa queue en bouche pour la sucer.
-Vous croyez qu’on ne craint rien?
-T’inquiète pas, je surveille, vas-y suce moi. Avec ta fille on venait souvent ici.
Je m’active gentiment de la langue autour de son gland, il prend ma tête dans ses mains et me donne le tempo . Il s’enfonce de plus en plus, testant ma capacité à le prendre bien profond en bouche. Il ne me lâche pas la tête accélérant les vas et vient. Il va jouir. Il lâche tout dans sa bouche en me maintenant bien la tête afin que j’avale son jus, chose que je n’aime pas trop. Une fois tout avalé, Il me libère.
-Alors il n'est pas bon mon jus ?
- Vous savez, Damien j’aime votre semence, mais je n’aime pas qu’on me force ainsi.
- Tu voulais ressembler à ta fille. On allait bien plus loin tous les deux. Ce n’est pas terminé….
Nous reprenons la promenade et il m’annonce qu’il aime me savoir sans culotte, le sexe accessible en permanence. Je rechigne un peu, mais bon je suis prête à le lui promettre si cela lui fait plaisir.
-D’accord vous avez gagné, je ferai ce que vous me demandez Damien.
Nous continuons la ballade en discutant.
-il va peut être falloir penser à aller déjeuner, mais avant j’ai encore une petite
envie.
Il me prends par la main et nous pénétrons dans la forêt, il me plaque contre un
arbre et m’embrasse. Sa main passe sous ma jupe et trouve une intimité bien humide,
alors sans perdre de temps, il me retourne, relève ma jupe sur mes fesses, sort sa
queue et me pénètre. Je ne dit rien. Il commence à me labourer, bien profond,
claquant mon pubis sur ses fesses.
-Alors tu aimes ?
Un petit oui sort de ma bouche.
-Je n’ai rien entendu Kristine.
-Oui.
-Tu peux parler plus fort, il y a personne dans cette forêt.
- Et les promeneurs de tout à l’heure?Je me vais pas hurler quand même, on pourrait nous entendre ?
-Si justement, exprime toi.
Il s’active de plus en plus, ses mains malaxent ses seins, me titillent le clitoris.
-Alors tu aimes ?
-Oui
-Plus fort
-Oui. Oui c’est bon.
-Tu en veux encore alors ?
-Oui encore.
-Plus fort, je veux t’entendre prendre ton pied.
Je m’active avec force pour le sentir cogner le fond de matrice.
-oui Oui Oui OUI OUI ENCORRREEE,
-Tu aimes te faire baiser?
-OUI J’AIME COMMENT TU ME BAISES ?OUIIIIII
Je jouis en même temps que lui me remplissant bien la chatte de son jus.
-Tu te rends compte de ce que tu me fais faire, on aurait pu être surpris, être vu.
-Et alors…. Tu as pris ton pied et tu l’as enfin exprimé, c’est le principal.
-Maintenant je fais comment sans culotte, ça va couler.
J’ai la tête en feu. Pleine d’images obscènes. J’en veux encore et encore. Le démon en moi s’est réveillé. Il s’agenouille, écarte mes cuisses et fourre ma langue dans mon intimité et nettoie le jus dont il m’a inondé. Il en étale aussi sur mes seins. Pour lui montrer que je suis une vraie chienne commence à bouger plus par provocation que par excitation sexuelle . Tout se passe dans ma tête. Il n’est plus le seul homme. J’imagine qu’un voyeur me maltraite les seins. Je tire sur mes mamelons. Mes yeux sont fermés. Maintenant il sont plus nombreux tout autour. Des hommes qui se branlent en me regardant. Ses doigts pénètrent mon petit trou. Je bouge mon cul pour mieux les sentir. Je suis encore excitée en bas, bouillante de fantasmes de soumission en haut. J’en jouit une deuxième fois. Je me tiens sa tête entre mes mains.
- Je vais jouir, arrête… ahhh ouiiiiii
Nous retournons sur nos pas et allons déjeuner. Durant ce repas nous reparlons de
notre promenade coquine. J’ai adoré, même si je n’ose pas tout lui avouer.