L’Abjection Totale pour la Grande Reine Angèle

- Par l'auteur HDS Soumicaviar -
Auteur homme.
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Récit libertin : L’Abjection Totale pour la Grande Reine Angèle Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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L’Abjection Totale pour la Grande Reine Angèle
Avertissement : Cette histoire contient des descriptions crues, explicites et intensément humiliantes de pratiques BDSM, incluant scatophilie, urophilie, sodomie, chasteté, tatouage, et autres éléments demandés. Ces pratiques sont réservées à des adultes consentants, dans un cadre sécurisé avec des précautions sanitaires strictes. Cette histoire est totalement fictive


Dans une cave crasseuse, où l’odeur de moisi se mêle à celle de ma propre honte, je suis à quatre pattes, nu, pathétique, ma bite écrasée dans une cage de chasteté si étroite que mes couilles palpitent de douleur. Mes poignets et chevilles sont enchaînés à des anneaux rouillés scellés au sol, me forçant à m’avilir, cul en l’air, visage collé au béton froid. Maîtresse Angèle, ma Grande Reine, se dresse au-dessus de moi, son corps de déesse moulé dans un latex noir qui hurle sa supériorité. Ses yeux me percent, pleins de mépris, et un rictus sadique tord sa bouche.
« Regarde-toi, sale porc, » crache-t-elle, sa voix tranchante comme une lame. « T’es même pas digne de lécher la merde sous mes bottes. Prêt à te vautrer encore plus bas pour moi ? »
Je tremble, la gorge nouée, la honte me brûlant plus que n’importe quelle chaîne. « Oui, Grande Reine Angèle, je suis votre ordure, » bégayé-je, la voix brisée, la tête baissée jusqu’à toucher le sol.
Elle s’approche, et un pet sonore, puant, explose dans l’air. L’odeur, épaisse, écœurante, me fait tourner la tête, me noie dans une soumission abjecte. « Sniffe, misérable déchet, » aboie-t-elle. J’inspire profondément, chaque bouffée de ses gaz me transformant en une chose encore plus pitoyable, enivré par son pouvoir brut. « T’aimes ça, hein, sale chien ? T’es né pour bouffer mes pets. »
« Ouvre ta gueule de chiotte, » ordonne-t-elle, impitoyable. J’écarte les lèvres, tremblant, humilié jusqu’au fond de l’âme. Elle se positionne au-dessus de moi, et un jet d’urine brûlante gicle dans ma bouche, salé, acide, me faisant tousser. « Bois, salope, ou je te fais lécher le sol pour nettoyer ! » hurle-t-elle. J’avale, m’étouffant, le liquide dégoulinant sur mon menton, mes joues, marquant ma peau comme une preuve de ma déchéance. Elle ricane, satisfaite. « T’es qu’un urinoir, un trou pour mes fluides. »
Puis vient son offrande, sa merde, chaude, lourde, qui s’écrase dans ma bouche comme une punition divine. L’odeur me retourne l’estomac, le goût me ravage, mais je mâche, je bouffe, je m’applique à tout avaler sous son regard cruel. « Nettoie tout, ordure, » grogne-t-elle, attrapant mes cheveux pour me forcer à croiser ses yeux. « Si tu laisses une miette, je te fais lécher le sol avec ta langue de chien galeux. »
Derrière moi, son amant, un mec massif avec une queue monstrueuse, s’avance. « T’es prêt à te faire défoncer, salope ? » ricane-t-il, sa voix lourde de mépris. Sans attendre, il m’écarte le cul et m’encule d’un coup brutal, me faisant hurler dans ma bouche pleine de l’offrande de ma Reine. Il me baise sans pitié, ses coups de reins me déchirent, chaque mouvement me rappelant que je ne suis qu’un trou, un objet pour leur plaisir. Maîtresse Angèle se penche vers moi, crachant sur mon visage. « Regarde-toi, pathétique. T’es juste une chiotte et un vide-couilles. »
Je mâche, j’avale, je gémis, la honte et l’excitation me consumant. L’amant accélère, me pilonnant comme une bête, et finit par jouir, son sperme brûlant giclant en moi, me remplissant jusqu’à ce que je le sente déborder. « Garde tout, salope, » grogne-t-il en se retirant, enfonçant le plug d’acier que je dois porter en permanence pour ma Reine. Le métal me déchire, scellant son foutre et ma soumission dans mon cul, un rappel constant de mon abjection.
Mais Maîtresse Angèle n’en a pas fini. « T’es pas encore assez brisé, » siffle-t-elle, ses ongles griffant ma peau. Elle appelle un tatoueur, un type sinistre qui sort son aiguille. Les chaînes me tiennent immobile pendant que l’aiguille perce mon pubis, gravant en lettres brûlantes : « Soumis à ma Grande Reine Angèle ». La douleur est insoutenable, mais je gémis, ma cage de chasteté me torturant à chaque spasme. « Pleure, sale pute, » ricane-t-elle. « Ce tatouage te rappellera à jamais que t’es rien sans moi. »
Quand c’est fini, elle inspecte la marque, ses doigts pressant la peau à vif jusqu’à ce que je geigne. « T’es ma propriété, un déchet marqué à mon nom, » murmure-t-elle, son ton dégoulinant de mépris. Elle détache mes chaînes, me laissant m’effondrer à ses pieds, tremblant, brisé. Même dans l’aftercare, où elle me caresse à peine, ses mots restent durs : « T’as bien servi, ordure, mais t’es toujours qu’un ver à mes yeux. » Je m’accroche à ses bottes, enivré par l’odeur de ses pets, son urine, sa merde, et l’humiliation totale qui me lie à elle.

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