L'amant de la voisine
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'amant de la voisine
Lorsque j'habitais à Paris, j'en ai vu défiler des voisins, ça bougeait beaucoup. C'est comme ça que j'ai vu arriver un couple, elle devait avoir 30 ans et lui faisait plus âgé. On se croisait, bonjour bonsoir, sans plus.
Je les voyais ensemble principalement le week-end. Ils avaient l'air très amoureux, elle toujours collée à son mec, souriante, seins en avant. Elle avait l'habitude, lorsque l'on se croisait de me fixer et de regarder mon entrejambe, en passant la langue sur sa lèvre supérieure et ça, devant son mari!
Je rigolais en moi même, pensant "tu peux faire ce que tu veux! même ton mec ne me fait pas envie".
Cela s'est produit un soir que je rentrais du travail, j'attendais l'ascenseur quand je l'ai vu arriver avec un autre mec. J'ai été un peu surpris. Elle m'a dit dit bonjour comme d'habitude, le mec m'a salué d'un signe de tête.
Il était plus jeune que son mari, blond châtain comme moi, plus beau (que son mari!!), sportif, en tee-shirt on voyait bien son torse musclé et son petit cul moulé dans un pantalon de survêt collant. La bosse de l'entrejambe était prometteuse et il avait le sourire quand il l'a regardait.
On est monté ensemble dans l'ascenseur sans un mot, je voyais que leurs mains se touchaient, les regards qu'ils se faisaient et, arrivés, ils sont entrés chez elle.
Et, cela s'est reproduit plusieurs fois.
Lorsque je croisais son mari je ne pouvais que le plaindre de ne rien voir.
Il m'est arrivé aussi d'être tout seul avec l'amant dans l'ascenseur. Alors je le matais sans vergogne, le détaillant avec un petit sourire narquois et lui finissait par me tourner le dos, mais en fin de compte l'envers n'était pas mal à regarder.
Et ce qui n'aurait jamais dû arriver… ben est arrivé!
Un soir en rentrant du boulot je me trouve nez à nez avec le mari cocu. C'était bien la première fois que je le voyais à cette heure là. Il avait l'air inquiet. On s'est salué, pris notre courrier dans la boîte aux lettres et nous avons attendu l'ascenseur.
Un bruit s'est fait entendre dans l'entrée, des voix, des pas qui arrivent et deux personnes apparaissent au détour du couloir pour venir prendre l'ascenseur: sa femme et l'amant de madame.
Moi j'ai failli éclater de rire de voir la tête de sa femme et le mec cloué sur place, regardant en l'air.
-tu rentres de bonne heure chéri dit la femme en venant faire un bisou à son mari, qui mate d'un air peu amène le petit blond châtain prêt à lui sauter dessus.
Qu'est ce qui m'est passé par la tête à ce moment là?
Tout ça semble avoir durer une éternité, alors que tout se déroule en même temps, en 10 secondes.
-Kevin! mais je ne t'attendais pas si tôt! dis je en venant prendre mon "ami" par les épaules, lui faire une accolade et planter deux bises sur ses joues.
Il est pétrifié le pseudo Kevin, liquéfié et balbutie je ne sais quoi.
Mais le mari détourne son regard, prend sa femme par le bras et ils entrent dans l'ascenseur, on est bien obligé de les suivre au même étage.
Je trouve la situation assez cocasse et j'ai envie de rire de voir les têtes d'enterrement qu'ils font tous.
On sort de l'ascenseur, le couple se dirige vers leur appartement.
-bonne soirée dis je tout sourire.
-merci à vous aussi me répond le mari.
Ils entrent chez eux et je me dirige vers ma porte. Le "Kevin" danse d'une patte sur l'autre.
-suis moi le mari doit regarder par l'œilleton! faut pas le prendre pour une andouille quand même!
"Kevin" baisse les yeux et me suit, j'ouvre et le fait entrer en lui caressant le dos. Il ne réagit pas, se laisse pousser jusqu'au salon où il reste planté au milieu.
-eh bien tu l'as échappé belle! dis je en riant.
-oui merci quand même, mais j'ai tellement été surpris et, elle m'a toujours dit que son mari ne rentrait que bien plus tard et qu'on avait le temps.
-il a peut être des doutes ce brave homme, elle est canon quand même la meuf!
-ouai et elle en veut! dit "Kevin" enfin en me regardant. Bon c'est pas tout ça, mais je voudrais pas te déranger plus longtemps.
-attends... patiente… car ils ne vont pas tarder à ressortir. D'habitude quand je la croise toute seule elle a fait des courses, là rien, donc ils vont ressortir.
-mais on va faire quoi ?
S'il avait pu lire dans mes pensées, je pense qu'il se serait sauvé en courant!
-t'es pressé ?
-non non pas du tout.
-t'es marié ?
-non plus.
-alors monsieur fait le coucou, il va voir dans le nid des autres.
Il finit par rigoler, on s'installe au salon, côte à côte sur le canapé à parler, raconter nos vies. Si bien qu'on devient les meilleurs amis du monde… lol.
Il est pas farouche le "Kevin" qui en fait s'appelle Elias et l'on se met à parler cul. Il me raconte ses aventures avec les femmes des autres qu'il préfère comme ça il n'y a pas trop d'attache. Quand ça devient trop sérieux, ben il se casse.
-mais tu serais pas un peu salaud mec ?
Il rigole.
-mais toi ? pas d'attache ? rien !
-non rien du tout, pas de femmes.
-tu préfères les mecs ? demande t-il simplement.
-comment tu sais ?
-je me souviens des regards que tu me faisais dans l'ascenseur, ta manière de me détailler passant tes yeux partout sur mon corps.
Je crois que j'ai rougi quand même.
-j'aime bien les beaux mecs bien faits ! j'ai répondu en le fixant.
C'est lui qui a rougi cette fois, plus d'air arrogant, sûr de lui, il me regardait.
J'ai posé ma main sur la sienne.
-et toi? t'as déjà fait quelque chose avec un mec ?
Il baisse la tête pour éviter mon regard, ne répond pas.
Je lui relève le menton, le fixant avec mon sourire ravageur (lol)
-alors Elias.
-il m'est arrivé lors de partie à trois d'être avec le mari et sa femme, de me faire sucer par le mari, s'embrasser.
Il avait chaud et était tout rouge en disant cela.
-et sans femme juste avec le mari ? t'as fait quoi ? dis je en parlant bas et me rapprochant la tête de la sienne.
-rien chuchote t-il.
-tu ne veux pas essayer avec moi ?
-mais t'es pas le mari d'une femme que je connais.
-et si j'étais l'amant de la salope d'en face qui est ta maîtresse aussi et que j'ai envie de toi?
Ma main caresse sa cuisse intérieure, remontant lentement vers son sexe. On est presque nez à nez, il respire vite, son souffle vient sur moi, son haleine est agréable.
-mais... t'es pas son amant ? dit il les yeux écarquillés.
-t'en sais quoi beau blond ?
Là il semble perdu. J'avance mes lèvres et lui fait un bisou sur le nez, il ne se recule pas, mes lèvres touchent les siennes, les effleurent. Il frémit, j'insiste, il résiste, j'appuie mes lèvres sur les siennes. Il se laisse faire, ma main serre sa cuisse chaude et dure.
Je ferme les yeux et ma langue force ses lèvres qui s'ouvrent et la laissent passer. Elle fonce, trouvant la sienne, se jette dessus, s'enroule, l'aspire. Il reste passif trente secondes qui me semblent une éternité quand je sens ses mains se refermer sur moi, me serrer contre lui.
T'as gagné mec! j'ai pensé.
On s'est roulé des pelles pendant un long moment, il gardait les yeux fermés. J'ai passé mes mains sous son tee-shirt caressant cette peau douce et chaude et l'entendre soupirer sous mes caresses jusqu'à ce qu'il se mette à pousser de petits gémissements quand je lui grattais le dos.
Je l'ai appuyé sur le dossier du divan pour me mettre à genoux entre ses cuisses par terre. J'ai enlevé son tee-shirt pour admirer son torse, lui faire des bisous, lécher ses tétons, les aspirer, les sucer, les mordre pour qu'il crie en riant et descendre sur son ventre, lécher ses beaux abdos bien dessinés.
J'ai défait son ceinturon, ouvert le pantalon, tiré dessus, il a levé son petit cul pour se laisser déshabiller. J'ai enlevé ses chaussures, chaussettes et retiré le pantalon.
Putain de boxer bien rempli, y'avait du matos! elle devait pas s'ennuyer la voisine!
Une grosse tige partait vers ma gauche et le bout était tout humide.
Je me suis penché dessus, suivant la tige avec ma langue, déposant encore plus de salive pour arriver au gland que j'ai pris entre les dents comme pour le bouffer.
Je l'ai entendu rire. J'ai retiré le boxer, il se laissait faire Elias et j'ai eu pour la première fois son monstre pour moi tout seul.
Une belle paire de couilles poilues toute blondes, une queue longue et épaisse, une grosse veine bleue remontait jusqu'au gland encore enveloppé de son prépuce.
On s'est regardé… il attendait la suite visiblement.
J'ai relevé sa queue, décalottant le gland humide qui coulait, un beau gland violacé, bien dessiné, légèrement plus gros que la hampe.
Je l'ai reniflé des couilles au gland et ma langue est entrée en action noyant les couilles, les avalant une par une puis les deux ensemble, les faisant nager dans ma salive pour ensuite attaquer la queue, à coups de langue, de bisous pour arriver au gland, le lécher, l'aspirer et l'envelopper de mes lèvres chaudes et douces.
Il a gémi longuement quand j'ai avalé sa queue lentement, sentant son gland glisser entre ma langue et mon palais s'enfonçant dans ma gorge. Je pleurais, j'ai toussé, craché et j'ai recommencé. Quand je l'ai regardé, j'ai vu qu'il était étonné que j'avale toute sa queue.
Alors je l'ai pipé comme un chef! il poussait de petits cris quand sa queue allait au fond de ma gorge et sa main, ses mains sont venues se poser sur ma tête, m'accompagnant dans mes mouvements, il haletait soulevant ses fesses pour aller encore plus loin dans ma bouche. J'ai senti ses couilles se raffermir, sa queue se raidir, le gland durcir. Il s'est bloqué, a gueulé un grand coup et s'est mis à m'expédier des giclées de foutre chaud dans la bouche et il en avait des réserves le garçon!
Ses fesses sont retombées sur le divan, j'ai pris ses jambes pour les remonter et les coller sur son torse et j'ai vu de l'étonnement dans ses yeux.
-elles te bouffent le cul les nanas ?
-pas souvent répond il, mais tu vas pas m'enculer ?
-tu l'as déjà fait ?
-une fois dit il en rougissant.
Et bien ça fera une deuxième j'ai pensé!
J'ai bien ouvert ses petites fesses laissant voir la raie qui s'ouvrait bien dans cette position et l'anus rond, bien fermé.
J'ai donné des coups de langues sur les couilles juste au dessus, descendant avec ma langue vers l'anus déposant la salive, léchant et Elias devait pousser, car je voyais son anus palpiter, s'ouvrir, s'offrir.
Toi mec! t'as pas eu qu'un coup de bite! ou alors tu te godes!
Mes coups de langue ont fait des miracles, l'anus s'ouvrait et ma langue pouvait lécher l'entrée en déposant la salive que j'ai poussé avec mon index qui entrait comme chez lui et Elias gémissait de plus en plus.
Je suis allé au plus profond, le doigtant de plus en plus vite. Deux doigts ont ouvert encore plus ce petit trou qui semblait bien accueillant quand même car le trou restait ouvert.
J'ai baissé mon survêt, sortant juste le matériel qui était dur comme de l'acier, décalottant mon gland, je l'ai posé sur l'entrée, m'appuyant sur ses cuisses. Il me fixait, se mordant la lèvre.
Mon gland a ouvert son sphincter encore plus, il grimaçait le chéri de ses dames mais ne se refusait pas.
J'ai forcé, je voyais bien qu'il serrait des dents le Elias, moi je souriais. J'ai donné un petit coup de reins et le gland est passé. Il a ouvert la bouche en grand et, avant qu'il hurle il se mordait le poing, les yeux larmoyants.
Je l'ai laissé s'habituer. Une cuisse tremblait, quand j'ai vu que sa respiration était redevenue normale, j'ai donné de petits coups de reins m'enfonçant entièrement en lui. J'étais penché sur lui bien au fond de son cul chaud.
-il est bon ton petit cul Elias, j'm'en doutais en le regardant que ma queue y serait bien!
-t'es un salaud mec!
-pourquoi ?
-de faire ça à un pauvre hétéro!
-hétéro?? mon cul oui! c'est pas la première bite qu'il prend ton petit cul!
-t'es la deuxième!
-alors tu te godes.
-non mais je me doigte souvent dit il en souriant.
Ceci explique cela j'ai pensé.
-tu vas voir que c'est meilleur que tes doigts! prêt pour une bonne défonce ? dis je en rigolant
-va doucement quand même!
J'ai été doucement au départ et je l'ai baisé, baisé comme un mec qui aime ça et qui réceptionne bien! il encaisse ce mec pour soit disant sa deuxième bite!
Et j'ai joui en lui pour la première fois l'inondant complètement, je sentais ma queue nager dans son sperme bien au chaud. Il gémissait toujours les yeux fermés, mais souriait. Je me suis penché sur lui, il m'a entouré de ses jambes, me serrant et je suis venu lui offrir mes lèvres, il m'a offert les siennes. Il me serrait de ses bras pendant que sa langue voyageait dans ma bouche jouant avec la mienne.
Je bandais toujours dans son cul chaud, je lui aurais bien mis un deuxième coup.
-et toi ? tu m'offres quoi mec ?
-tout ce que tu veux, je suis à toi tu peux faire ce que tu veux de moi!
-même t'enculer ?
-si tu y tiens bien sûr!
Il souriait les yeux dans le vague, je me suis retiré lentement de lui, admirant son petit cul qui se refermait gardant tout mon sperme.
Je me suis relevé, je l'ai aidé à se remettre debout, pour le prendre dans mes bras, faire mon câlin en lui faisant des petits bisous sur le menton.
-je t'invite à dîner et à dormir t'en penses quoi beau blond ?
-t'es sûr ? dit il étonné.
-à moins que tu veuilles aller sonner chez mes voisins pour qu'il t'héberge cette nuit dis je en riant.
Il rigole en me serrant contre lui.
-j't'aime bien mec! et c'est pas souvent que je reste dormir chez mes maîtresses.
-là t'es chez ton maître Elias et tu lui dois obéissance! je t'ai quand même sorti d'une belle merde ce soir non ?
Il rigole.
-avec l'idée de m'enculer comme récompense ?
-euh.. c'est venu juste après!
On a passé une première nuit très chaude tous les deux et j'ai eu droit à ses confidences, qu'il aimait bien baiser aussi avec des mecs, qu'il allait de temps en temps sur des lieux de rencontre gays, se faire sucer et défoncer des culs. De temps en temps il prenait une bite, un vrai petit cachotier ce Elias!
Mais il est revenu et revient toujours me voir, mes voisins sont partis.
Les nuits sont toujours chaudes avec Elias!
Je les voyais ensemble principalement le week-end. Ils avaient l'air très amoureux, elle toujours collée à son mec, souriante, seins en avant. Elle avait l'habitude, lorsque l'on se croisait de me fixer et de regarder mon entrejambe, en passant la langue sur sa lèvre supérieure et ça, devant son mari!
Je rigolais en moi même, pensant "tu peux faire ce que tu veux! même ton mec ne me fait pas envie".
Cela s'est produit un soir que je rentrais du travail, j'attendais l'ascenseur quand je l'ai vu arriver avec un autre mec. J'ai été un peu surpris. Elle m'a dit dit bonjour comme d'habitude, le mec m'a salué d'un signe de tête.
Il était plus jeune que son mari, blond châtain comme moi, plus beau (que son mari!!), sportif, en tee-shirt on voyait bien son torse musclé et son petit cul moulé dans un pantalon de survêt collant. La bosse de l'entrejambe était prometteuse et il avait le sourire quand il l'a regardait.
On est monté ensemble dans l'ascenseur sans un mot, je voyais que leurs mains se touchaient, les regards qu'ils se faisaient et, arrivés, ils sont entrés chez elle.
Et, cela s'est reproduit plusieurs fois.
Lorsque je croisais son mari je ne pouvais que le plaindre de ne rien voir.
Il m'est arrivé aussi d'être tout seul avec l'amant dans l'ascenseur. Alors je le matais sans vergogne, le détaillant avec un petit sourire narquois et lui finissait par me tourner le dos, mais en fin de compte l'envers n'était pas mal à regarder.
Et ce qui n'aurait jamais dû arriver… ben est arrivé!
Un soir en rentrant du boulot je me trouve nez à nez avec le mari cocu. C'était bien la première fois que je le voyais à cette heure là. Il avait l'air inquiet. On s'est salué, pris notre courrier dans la boîte aux lettres et nous avons attendu l'ascenseur.
Un bruit s'est fait entendre dans l'entrée, des voix, des pas qui arrivent et deux personnes apparaissent au détour du couloir pour venir prendre l'ascenseur: sa femme et l'amant de madame.
Moi j'ai failli éclater de rire de voir la tête de sa femme et le mec cloué sur place, regardant en l'air.
-tu rentres de bonne heure chéri dit la femme en venant faire un bisou à son mari, qui mate d'un air peu amène le petit blond châtain prêt à lui sauter dessus.
Qu'est ce qui m'est passé par la tête à ce moment là?
Tout ça semble avoir durer une éternité, alors que tout se déroule en même temps, en 10 secondes.
-Kevin! mais je ne t'attendais pas si tôt! dis je en venant prendre mon "ami" par les épaules, lui faire une accolade et planter deux bises sur ses joues.
Il est pétrifié le pseudo Kevin, liquéfié et balbutie je ne sais quoi.
Mais le mari détourne son regard, prend sa femme par le bras et ils entrent dans l'ascenseur, on est bien obligé de les suivre au même étage.
Je trouve la situation assez cocasse et j'ai envie de rire de voir les têtes d'enterrement qu'ils font tous.
On sort de l'ascenseur, le couple se dirige vers leur appartement.
-bonne soirée dis je tout sourire.
-merci à vous aussi me répond le mari.
Ils entrent chez eux et je me dirige vers ma porte. Le "Kevin" danse d'une patte sur l'autre.
-suis moi le mari doit regarder par l'œilleton! faut pas le prendre pour une andouille quand même!
"Kevin" baisse les yeux et me suit, j'ouvre et le fait entrer en lui caressant le dos. Il ne réagit pas, se laisse pousser jusqu'au salon où il reste planté au milieu.
-eh bien tu l'as échappé belle! dis je en riant.
-oui merci quand même, mais j'ai tellement été surpris et, elle m'a toujours dit que son mari ne rentrait que bien plus tard et qu'on avait le temps.
-il a peut être des doutes ce brave homme, elle est canon quand même la meuf!
-ouai et elle en veut! dit "Kevin" enfin en me regardant. Bon c'est pas tout ça, mais je voudrais pas te déranger plus longtemps.
-attends... patiente… car ils ne vont pas tarder à ressortir. D'habitude quand je la croise toute seule elle a fait des courses, là rien, donc ils vont ressortir.
-mais on va faire quoi ?
S'il avait pu lire dans mes pensées, je pense qu'il se serait sauvé en courant!
-t'es pressé ?
-non non pas du tout.
-t'es marié ?
-non plus.
-alors monsieur fait le coucou, il va voir dans le nid des autres.
Il finit par rigoler, on s'installe au salon, côte à côte sur le canapé à parler, raconter nos vies. Si bien qu'on devient les meilleurs amis du monde… lol.
Il est pas farouche le "Kevin" qui en fait s'appelle Elias et l'on se met à parler cul. Il me raconte ses aventures avec les femmes des autres qu'il préfère comme ça il n'y a pas trop d'attache. Quand ça devient trop sérieux, ben il se casse.
-mais tu serais pas un peu salaud mec ?
Il rigole.
-mais toi ? pas d'attache ? rien !
-non rien du tout, pas de femmes.
-tu préfères les mecs ? demande t-il simplement.
-comment tu sais ?
-je me souviens des regards que tu me faisais dans l'ascenseur, ta manière de me détailler passant tes yeux partout sur mon corps.
Je crois que j'ai rougi quand même.
-j'aime bien les beaux mecs bien faits ! j'ai répondu en le fixant.
C'est lui qui a rougi cette fois, plus d'air arrogant, sûr de lui, il me regardait.
J'ai posé ma main sur la sienne.
-et toi? t'as déjà fait quelque chose avec un mec ?
Il baisse la tête pour éviter mon regard, ne répond pas.
Je lui relève le menton, le fixant avec mon sourire ravageur (lol)
-alors Elias.
-il m'est arrivé lors de partie à trois d'être avec le mari et sa femme, de me faire sucer par le mari, s'embrasser.
Il avait chaud et était tout rouge en disant cela.
-et sans femme juste avec le mari ? t'as fait quoi ? dis je en parlant bas et me rapprochant la tête de la sienne.
-rien chuchote t-il.
-tu ne veux pas essayer avec moi ?
-mais t'es pas le mari d'une femme que je connais.
-et si j'étais l'amant de la salope d'en face qui est ta maîtresse aussi et que j'ai envie de toi?
Ma main caresse sa cuisse intérieure, remontant lentement vers son sexe. On est presque nez à nez, il respire vite, son souffle vient sur moi, son haleine est agréable.
-mais... t'es pas son amant ? dit il les yeux écarquillés.
-t'en sais quoi beau blond ?
Là il semble perdu. J'avance mes lèvres et lui fait un bisou sur le nez, il ne se recule pas, mes lèvres touchent les siennes, les effleurent. Il frémit, j'insiste, il résiste, j'appuie mes lèvres sur les siennes. Il se laisse faire, ma main serre sa cuisse chaude et dure.
Je ferme les yeux et ma langue force ses lèvres qui s'ouvrent et la laissent passer. Elle fonce, trouvant la sienne, se jette dessus, s'enroule, l'aspire. Il reste passif trente secondes qui me semblent une éternité quand je sens ses mains se refermer sur moi, me serrer contre lui.
T'as gagné mec! j'ai pensé.
On s'est roulé des pelles pendant un long moment, il gardait les yeux fermés. J'ai passé mes mains sous son tee-shirt caressant cette peau douce et chaude et l'entendre soupirer sous mes caresses jusqu'à ce qu'il se mette à pousser de petits gémissements quand je lui grattais le dos.
Je l'ai appuyé sur le dossier du divan pour me mettre à genoux entre ses cuisses par terre. J'ai enlevé son tee-shirt pour admirer son torse, lui faire des bisous, lécher ses tétons, les aspirer, les sucer, les mordre pour qu'il crie en riant et descendre sur son ventre, lécher ses beaux abdos bien dessinés.
J'ai défait son ceinturon, ouvert le pantalon, tiré dessus, il a levé son petit cul pour se laisser déshabiller. J'ai enlevé ses chaussures, chaussettes et retiré le pantalon.
Putain de boxer bien rempli, y'avait du matos! elle devait pas s'ennuyer la voisine!
Une grosse tige partait vers ma gauche et le bout était tout humide.
Je me suis penché dessus, suivant la tige avec ma langue, déposant encore plus de salive pour arriver au gland que j'ai pris entre les dents comme pour le bouffer.
Je l'ai entendu rire. J'ai retiré le boxer, il se laissait faire Elias et j'ai eu pour la première fois son monstre pour moi tout seul.
Une belle paire de couilles poilues toute blondes, une queue longue et épaisse, une grosse veine bleue remontait jusqu'au gland encore enveloppé de son prépuce.
On s'est regardé… il attendait la suite visiblement.
J'ai relevé sa queue, décalottant le gland humide qui coulait, un beau gland violacé, bien dessiné, légèrement plus gros que la hampe.
Je l'ai reniflé des couilles au gland et ma langue est entrée en action noyant les couilles, les avalant une par une puis les deux ensemble, les faisant nager dans ma salive pour ensuite attaquer la queue, à coups de langue, de bisous pour arriver au gland, le lécher, l'aspirer et l'envelopper de mes lèvres chaudes et douces.
Il a gémi longuement quand j'ai avalé sa queue lentement, sentant son gland glisser entre ma langue et mon palais s'enfonçant dans ma gorge. Je pleurais, j'ai toussé, craché et j'ai recommencé. Quand je l'ai regardé, j'ai vu qu'il était étonné que j'avale toute sa queue.
Alors je l'ai pipé comme un chef! il poussait de petits cris quand sa queue allait au fond de ma gorge et sa main, ses mains sont venues se poser sur ma tête, m'accompagnant dans mes mouvements, il haletait soulevant ses fesses pour aller encore plus loin dans ma bouche. J'ai senti ses couilles se raffermir, sa queue se raidir, le gland durcir. Il s'est bloqué, a gueulé un grand coup et s'est mis à m'expédier des giclées de foutre chaud dans la bouche et il en avait des réserves le garçon!
Ses fesses sont retombées sur le divan, j'ai pris ses jambes pour les remonter et les coller sur son torse et j'ai vu de l'étonnement dans ses yeux.
-elles te bouffent le cul les nanas ?
-pas souvent répond il, mais tu vas pas m'enculer ?
-tu l'as déjà fait ?
-une fois dit il en rougissant.
Et bien ça fera une deuxième j'ai pensé!
J'ai bien ouvert ses petites fesses laissant voir la raie qui s'ouvrait bien dans cette position et l'anus rond, bien fermé.
J'ai donné des coups de langues sur les couilles juste au dessus, descendant avec ma langue vers l'anus déposant la salive, léchant et Elias devait pousser, car je voyais son anus palpiter, s'ouvrir, s'offrir.
Toi mec! t'as pas eu qu'un coup de bite! ou alors tu te godes!
Mes coups de langue ont fait des miracles, l'anus s'ouvrait et ma langue pouvait lécher l'entrée en déposant la salive que j'ai poussé avec mon index qui entrait comme chez lui et Elias gémissait de plus en plus.
Je suis allé au plus profond, le doigtant de plus en plus vite. Deux doigts ont ouvert encore plus ce petit trou qui semblait bien accueillant quand même car le trou restait ouvert.
J'ai baissé mon survêt, sortant juste le matériel qui était dur comme de l'acier, décalottant mon gland, je l'ai posé sur l'entrée, m'appuyant sur ses cuisses. Il me fixait, se mordant la lèvre.
Mon gland a ouvert son sphincter encore plus, il grimaçait le chéri de ses dames mais ne se refusait pas.
J'ai forcé, je voyais bien qu'il serrait des dents le Elias, moi je souriais. J'ai donné un petit coup de reins et le gland est passé. Il a ouvert la bouche en grand et, avant qu'il hurle il se mordait le poing, les yeux larmoyants.
Je l'ai laissé s'habituer. Une cuisse tremblait, quand j'ai vu que sa respiration était redevenue normale, j'ai donné de petits coups de reins m'enfonçant entièrement en lui. J'étais penché sur lui bien au fond de son cul chaud.
-il est bon ton petit cul Elias, j'm'en doutais en le regardant que ma queue y serait bien!
-t'es un salaud mec!
-pourquoi ?
-de faire ça à un pauvre hétéro!
-hétéro?? mon cul oui! c'est pas la première bite qu'il prend ton petit cul!
-t'es la deuxième!
-alors tu te godes.
-non mais je me doigte souvent dit il en souriant.
Ceci explique cela j'ai pensé.
-tu vas voir que c'est meilleur que tes doigts! prêt pour une bonne défonce ? dis je en rigolant
-va doucement quand même!
J'ai été doucement au départ et je l'ai baisé, baisé comme un mec qui aime ça et qui réceptionne bien! il encaisse ce mec pour soit disant sa deuxième bite!
Et j'ai joui en lui pour la première fois l'inondant complètement, je sentais ma queue nager dans son sperme bien au chaud. Il gémissait toujours les yeux fermés, mais souriait. Je me suis penché sur lui, il m'a entouré de ses jambes, me serrant et je suis venu lui offrir mes lèvres, il m'a offert les siennes. Il me serrait de ses bras pendant que sa langue voyageait dans ma bouche jouant avec la mienne.
Je bandais toujours dans son cul chaud, je lui aurais bien mis un deuxième coup.
-et toi ? tu m'offres quoi mec ?
-tout ce que tu veux, je suis à toi tu peux faire ce que tu veux de moi!
-même t'enculer ?
-si tu y tiens bien sûr!
Il souriait les yeux dans le vague, je me suis retiré lentement de lui, admirant son petit cul qui se refermait gardant tout mon sperme.
Je me suis relevé, je l'ai aidé à se remettre debout, pour le prendre dans mes bras, faire mon câlin en lui faisant des petits bisous sur le menton.
-je t'invite à dîner et à dormir t'en penses quoi beau blond ?
-t'es sûr ? dit il étonné.
-à moins que tu veuilles aller sonner chez mes voisins pour qu'il t'héberge cette nuit dis je en riant.
Il rigole en me serrant contre lui.
-j't'aime bien mec! et c'est pas souvent que je reste dormir chez mes maîtresses.
-là t'es chez ton maître Elias et tu lui dois obéissance! je t'ai quand même sorti d'une belle merde ce soir non ?
Il rigole.
-avec l'idée de m'enculer comme récompense ?
-euh.. c'est venu juste après!
On a passé une première nuit très chaude tous les deux et j'ai eu droit à ses confidences, qu'il aimait bien baiser aussi avec des mecs, qu'il allait de temps en temps sur des lieux de rencontre gays, se faire sucer et défoncer des culs. De temps en temps il prenait une bite, un vrai petit cachotier ce Elias!
Mais il est revenu et revient toujours me voir, mes voisins sont partis.
Les nuits sont toujours chaudes avec Elias!
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’ai adoré ton histoire, était ce réel ?
merci mature bi bises également
J'adore ta description du baiser sur la bouche et les langues qui se mélangent : très érotique. Idem pour les caresses sur les seins et la fellation jusqu'à l'éjac. J'aime sucer et avaler le sperme. Ton récit m'a bien fait bander. Bises